Halli, Hallo ! J'ai ENFIN réussit à chopper le chapitre suivant ! Depuis le temps que je le voulais. Bon après je promets rien ! Mon successeur voulait des frissons… Je suis pas certaine de pouvoir vous en donner, mais j'espère quand même que ce chapitre sera à votre goût !

Résumé : Après que l'équipage du chapeau de paille ait fait la bienheureuse connaissance des bisounours et sauvé Zoro et Law du pouvoir de leur chef, il fallait bien évidemment que notre épéiste et notre cuisinier se refassent capturer. Pendant que les Mugiwara tentèrent de s'échapper sans leur deux camarades, ces derniers réussirent à s'échapper et errent maintenant dans la demeure remplie de peluches yaoistes. Leurs coéquipiers, quant à eux, ne voulant pas payer de taxe, firent demi-tour et décidèrent d'aller sauver nos deux citrons préférés en tenu de plongée sous-marine.

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****Projet Mille et une Main : CHAPITRE 8****

C'est donc vêtu de leur meilleure défense que notre bande de pirates accosta de nouveau sur l'ile et prirent la direction de l'antre de la vache marine.

« Chopper-san, tu as eu une superbe idée avec ces combinaisons. Et avec le revêtement spécial qu'on a mis sur leurs revers, notre peau n'a aucun contact direct avec le sel ! Même si en fait je n'ai plus de peau depuis plus de 50 ans yohohohohoho !

-Baka, baka, ça ne me fait absolument pas plaisir ce que tu dis ! répondit Chopper en ce tortillant.

-Faites quand même attention à vos mouvements ! Si on agrandit trop le tissus, je ne suis pas certain que cela empêchera l'eau de mer de filtrer à travers. Prévint Law

- Yosh, j'ai faim, on va aller manger ! On peut pas aller sauver Zoro et Sanji si on a pas le ventre plein ! C'est moi le capitaine, c'est moi qui décide ! C'est donc réglé, direction restaurant !

-Mugiwara-ya, tu m'as écouté ? Il ne faut pas prendre Amor trop à la légère, elle a réussi quand même à nous attraper avec Zoro-ya, et maintenant c'est avec Sanji-ya qu'il est bloqué ! S'indigna le médecin de la mort. Puis pour lui-même : Bah, je suppose qu'il doit s'en réjouir d'un côté. Et il éclata de rire.

-Law-san, je vois que vous êtes bien joyeux, et votre bonne humeur est contagieuse. Permettez-moi d'accompagner notre belle balade avec un air de musique afin d'égailler cette belle journée !

-Euh… vous oubliez Zoro et Sanji ! C'est par là qu'il faut aller ! Intervint Usopp.

-Bah, ils sont grands tous les deux ! Ils sauront se débrouiller seul ! Répondit Nami. Et puis c'est pas comme si nous les avions abandonnés et étions partis pas vrai ? On est toujours sur l'île, à défaut de nous trouver, il y a toujours le bateau !

Le canonnier se retint de justesse de préciser que cela avait été son plan initial, et suivit le reste du groupe qui entrait déjà dans un restaurant sous les regards intrigués des habitants qui les dévisageaient. Après tout, c'est pas tous les jours qu'on rencontre un groupe de jeune en combinaison de plongé avec un squelette les accompagnant à la guitare.

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Les bruits de pas qu'ils avaient entendus poussèrent Zoro et Sanji à changer d'allure. Ils couraient à présent le long d'un couloir, l'épéiste en tête. Ce qui en soit, n'était pas forcément bon signe pour le cuisinier. Malgré les images du Marimo et de l'autre médecin fou en train de faire des choses pas très catholiques ensembles, le blond pris conscience de leur situation, et c'est d'un geste rapide qu'il empoigna le kimono de son compagnon et le tira dans une pièce avant de refermer la porte.

« Bordel mais qu'est-ce que t'as foutu ? Et on est où d'abord ? Merde, t'aurais pu mieux choisir que les chiottes comme planque quand même !

-Chut, ferme-là et écoute… »

Quelques secondes après, des bruits de pas précipités se firent entendre derrière la porte :

« Nooon, on les a perdu, de beaux spécimens comme ça…

-Kyaaaa, je me faisais une joie de les voir à l'œuvre tous les deux !

-Pour sûr ! Celui avec les cheveux verts est bâtit comme un Dieu ! Et pas seulement le torse si vous voyez ce que je veux dire hihihi ! Et les enregistrements qu'on a eu d'Amor-sama n'ont fait que démontrer qu'il a une sacré technique au pieu ! Et toute cette énergie à revendre… ce serait vraiment du gâchis de le laisser partir !

-Hiiiiiiii ! Et le blond, et le blond, et le blond ! Il n'en avait pas l'air comme ça, mais quelle souplesse et quel déhanché de folie ! Pourquoi je n'ai pas eu le droit au direct ? Je crois que j'aurais préféré mourir sur place en le contemplant, plutôt que me contenter de regarder derrière ma télé ! Et son corps si fin et pourtant musclé, cette peau si blanche, ce ptit cul bien bombé… A tomber, vraiment à tomber !

-Bon, il faut les retrouver à tout prix ! Après tout, on aura une récompense de premier ordre si on leur met la main dessus !

-Ils vont tenter de s'échapper, on retourne à la salle rose, ils passeront forcément par là si ils veulent trouver la sortie ! »

Un long silence s'installa entre les deux hommes, même après que les voix se soient éloignées. Chacun fixait l'autre, et pensait réciproquement à ce que les groupies d'Amor venaient d'énoncer. C'est donc en toute simplicité que Sanji s'imaginait maintenant dans les bras puissants du second de l'équipage, tandis que ce dernier se voyait dans une chambre avec le cuisinier lui faisant un striptease privé. Et des petits changements physiques ne se firent pas attendre.

Le cuistot rompu leur échange et se dirigea vers un lavabo pour se rafraîchir les idées.

Bon sang mais à quoi il jouait à penser à des trucs pareils ? Depuis quand l'Algue Sans Cervelle lui faisait cet effet-là ? Déjà dans cette horrible pièce rose quand il avait mis la première ligne d'oursonnes à terre, puis ce qu'il avait ressenti quand il avait appris pour Law et La Pelouse… et maintenant ça ? Non, non, il devait mettre un terme à tout ça, et vite. Sinon il allait tomber encore plus bas…

Zoro fit un pas vers son nakama mais se figea sur place en apercevant le regard noir dans le miroir qu'il lui lançait.

-Ne t'approche pas Tête de Cactus ! Je commence sérieux à en avoir raz la casserole de toute cette histoire. Pousser des hommes à le faire entre eux, c'est trop dégueulasse. Je me retiens déjà bien assez de pas t'en coller une bonne en sachant tout ce que tu as fait avec Law. Mais si on commence à se taper dessus, on va attirer leur attention, et rien que de penser à ce qui nous attend me donne envie de gerber. Donc à partir de maintenant, tu me suis et tu te tais. Ma Namie chérie et ma Robin d'amour doivent se faire un sang d'encre.

Le cuistot se dirigea vers la porte, frôlant son interlocuteur qui n'avait pas bougé d'un pouce.

Malgré ces mots tels des coups de poignard donnés à son cœur et la colère que le bretteur arrivait tant bien que mal à contenir en lui, ce dernier suivit son fantasme maintenant inaccessible sans broncher. Ses sentiments ne pouvaient-ils réellement pas l'atteindre ? Est-ce que ça avait été depuis le début qu'une idée complètement folle et impossible ? Devait-il maintenant tout enterrer dans les tréfonds de son cœur dorénavant devenu un champ de bataille d'émotion et véritable cimetière ?

C'est l'esprit bien rempli qu'il suivait toujours le cuisinier. En silence. De temps en temps ils se cachaient dans des renfoncements de mur quand des troupes ennemies passaient près d'eux.

Au final, ce ne serait-il pas bien qu'ils se fassent capturer ? Il pourrait chérir cette précieuse personne au moins une fois et faire semblant par la suite d'avoir été sous le contrôle de l'utilisatrice du fruit de démon démoniaque.

Et tandis qu'il pesait le pour et le contre que cela pouvait entrainer dans sa relation future avec Le Sourcil Vrillé, des doigts vinrent tapoter son épaule. Ne faisant plus attention du lieu où ils étaient depuis quelques minutes, c'est avec une moue consternante qu'il se retourna, et se retrouva enlacé par une chose pelucheuse, une main plaquée sur sa bouche.

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Depuis qu'ils étaient sortis des toilettes, le cerveau de Sanji tournait également à plein régime. Il se félicitait des mots qu'il avait trouvés pour éloigner Zoro de lui. Il ne se rendrait pas compte de la légère bosse au niveau de son entre-jambe comme ça. Et il ne lui donnera pas la chance de le laisser faire le lien entre son état et les paroles des furies, pour ce faire humilier par le Marimo qui l'aurait rabaissé. De plus, la proximité avec le second le perturbait trop pour se concentrer sur les dangers imminents, donc une pierre deux coups, il pouvait maintenant se concentrer sur la sortie. Et éviter les groupes de peluches à leur recherche parallèlement.

*Non mais franchement, obliger les gens à le faire entre eux, c'est quoi son problème à Amor ? L'amour est libre, on peut pas forcer les personnes à avoir des relations. Et puis à quoi ça sert si les sentiments ne sont pas réciproques ? Ou est tout le challenge de courtiser quelqu'un et la véritable jouissance d'avoir fait succomber le partenaire à nos charmes ? Attendez une minute… comment ça « le » partenaire ? Non, non, correction, « la » partenaire !*

Mais le fil de ses pensées fût coupé par la voix de l'énergumène déboussolé derrière lui :

« SANJI COOUURRT ! »

Evidemment, au lieu de courir comme lui avait intelligemment demandé l'Algue Humaine, il ne trouva rien de mieux à faire que se retourner pour demander à cet imbécile de se la fermer. Mais trop tard. Tout ce qu'il aperçut fût un gros cœur rouge venir se plaquer contre son torse dénudé, deux bras venir derrière son dos. Zoro était à quatre pattes au sol, les veines de sa tempe et de ses bras complétement gonflées par sa volonté de vouloir bouger, mais totalement impuissant face au pouvoir dont il était soumis.

« Je vous ai enfin mis la main dessus. On va bien s'amuser, vous allez voir ! »

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- Haaaaaa, haaaaaa, haaaaaaa…. Naaamiiii, c'est plus rigolo du tout, je ne veux plus porter ce truc, je veux de la viande ! Retournons dans le restaurant de la dernière fois ! Haaaaaaaaa. Quoi que non, je dois d'abord enlever ça ! Si je peux plus faire grossir mon ventre, je peux manger deux fois moins de gigot. Il faut que Sanji revienne pour me faire la cuisine ! J'ai faimmmm ! Je veux manger ! »

/BAM/BAM/BAM/

« IMBECILE ! Evidemment que tu ne vas pas l'enlever ! Et puis Law t'avais bien dit de faire attention. C'est toi le crétin qui a eu les yeux plus gros que ventre.

-Mais Nami, comment je fais pour manger si mon ventre grossit pas ? Je la mets où toute la viande que je mange ? C'était un cas de force majeur, au nom de la chair tendre, je me devais de ne pas faire de jalouses parmi ces cuisses de poulet !

/BAM/BAM/BAM/

« C'est pas une raison. Tu te gardes ta combinaison point. Qu'est-ce qu'on fera si tu te fais envouter, hein ? Alors tu te la fermes, et tu bouges tes fesses. Et ce commentaire ne s'adresse pas qu'à lui, compris vous autres ? Non mais c'est pas vrai, traîner des larves pareilles, y'a qu'à moi que ça pouvait arriver…

-En attendant, c'est qui celle qui profite de ces sois disant larves pour se protéger en cas d'attaque tout en se remplissant les poches sur leurs dos ?! Murmura Usopp pour lui-même. »

Malheureusement pour lui la rouquine l'avait entendu et il rejoint son capitaine au sol.

« Voilà deux bonnes choses de faites. Que j'entende encore un mot et vous savez ce qui vous arrivera ! Franky, tu me récupères ces deux guignols, on va pas attendre la prochaine mort d'un amiral qu'ils se réveillent ! »

La joyeuse (ou pas) troupe de fruits de démon suivit tant bien que mal la navigatrice et le cyborg qui marchaient à grande allure à la tête du cortège sous les regards mitigés des passants.

« Robin-ya, vous avez du courage de la garder dans votre équipage »

-Ne t'inquiète pas, elle est énervée parce qu'elle n'a pas pu avoir de réduction sur sa note au restaurant. Sans compter le peu de clients qui ont eu le courage de ne pas déguerpir à notre arrivée. Cela signifie pour elle moins de porte-monnaie à voler.

-Vraiment terrifiante !

-Law, je t'ai entendu alors au lieu de raconter n'importe quoi, économise ton énergie pour sauver les deux autres idiots quand on les aura repérés !

-Je comprends les mots d'Usopp-ya maintenant…

Et le groupe se remis en marche.

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Ils arrivèrent devant le pont de Franky, ou Meuh-Meuh était en train de prendre son déjeuner.

-Yo, la vache marine. On retourne juste à l'intérieur avec le SUUUPER pont que j'ai construit. Aow, on va pas te déranger plus longtemps.

Brook, Nami et Chopper lui firent un signe de main, ce qui la fit fuir. Et la bonne odeur du rôti délaissé à son triste sort réveilla une certaine personne précédemment évanouie sur le dos du cyborg.

« Manger, manger, manger ! Chopper, s'il te plait, prend la avec toi ! Que penserai Sanji si on gaspillait la nourriture ? Il nous en voudrait, pas vrai ? Alors garde la moi pour plus tard !

-Non, cette vache a subit trop de choc émotionnel pour aujourd'hui. Elle en aura besoin pour se requinquer.

-Chopper tu peux pas me faire ça à moi, s'il te plaaaaiiiitttttt »

Les lamentations du chapeau de paille réveillèrent le menteur, qui se mit à inventer ses maladies imaginaires en constatant qu'ils étaient déjà dans le lugubre souterrain.

Les nerfs de la rouquine n'allaient pas tarder à lâcher quand un grand vent venu de face les déstabilisa.

Sitôt leurs esprits retrouvés, ils coururent en direction de la faible lumière indiquant l'entrée, prés à l'attaque. Cependant, quand ils furent dans la pièce au gâteau au somnifère, des dizaines et dizaines de peluches étaient encastrées aux murs, ou gisaient en sang au sol. Près de la table ou se trouvait le gâteau à moitié dégommé par Nami se trouvait deux personnes, assises tranquillement sur deux chaises.

La première, une femme, tenait un verre de vin à la main, les cheveux en trèfle. La moitié était blanche, l'autre jaune, ce qui s'accordait parfaitement à ses vêtements.

La deuxième était une femme bien plus corpulente… ou non. C'était un homme en fait. Mais avec des bas résilles, une combinaison rose moulante qui laissait à l'air libre une tête de mort croisée de deux flèches cassées sur le torse de cette personne. Il avait une tête énorme surmontée d'une couronne, elle-même posée sur…

« Hé, toi là ! Comment oses-tu ? Je devrais être le seul à porter l'Afro ! Bien que je dois avouer que la couleur rend la coupe beaucoup plus moderne yohohoho ! »

Brook était maintenant devant l'homme qui avait coiffé ses cheveux de la même façon que lui, un doigt pointé dans sa direction. Ce dernier leva les yeux de sa part de gâteau, le dévisagea, puis jeta un coup d'œil sur les autres arrivants. C'est la femme qui parla en premier :

« Oh, Bonjour Robin-san. Cela fait un moment que nous nous n'étions pas vues !

-Effectivement Inazuma-san. Ça me fait plaisir de vous revoir, toi et Ivankoff-san. »

Tous les membres présents regardèrent l'archéologue, puis la reine des Okamas, puis de nouveaux Robin, puis de nouveau le révolutionnaire avant de lâcher en commun un puissant « HEEIIIINNNNN ? »

Luffy qui avait profité de l'inattention de la navigatrice pour enlever sa combinaison se retourna.

« Ivan-chan ! Ça fait longtemps ! »

« Oh, Mugiwara-boy ! Content de te voir en pleine forme !

Il n'en fallut pas plus à nos deux pirates pour engager la conversation avec leurs anciens amis, devant les yeux ébahit du reste d'équipage.

« C'est vraiment pas croyable que nous nous retrouvons ici tout de même !

-Je ne l'aurais pas moi-même imaginé !

-Et qu'est que vous êtes venus faire sur cette île? Questionna Luffy.

-Nous cherchons quelqu'un. Un de mes fidèles que j'ai transformé en femme est passé du coté obscure de la passion. Quand, après Marinford, je suis rentré sur mon île, j'ai appris pour lui. J'ai eu mes obligations en tant que révolutionnaire, et j'ai pu me libérer que maintenant pour m'occuper de son cas. Et pour vous ?

-On voulait acheter de la viande et on est tombé sur une peluche énorme ! Zoro et Sanji se sont perdus ici à cause d'elle, donc on est venu la défoncer pour les ramener avant de repartir !

-Toujours à foncer la tête dans le tas à ce que je vois ! »

La remarque de la reine fut accueillie par le plus grand des sourires à la Luffy… Jusqu'à ce qu'un cri retentit:

« HAAAAAAAAAA »

Silence de mort dans la salle.

« Tien, mais ce ne serait pas Candy-boy qu'on vient d'entendre ? »

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Voilà, le chapitre est fini ! Désolée pour mon retard, ma chef m'a dit 2 jours après que je me sois proposée que je devais partir le lendemain en séminaire pour une dizaine de jour… Super ! Tout au dernier moment ! Enfin bref, je ne voulais absolument pas donner ce chapitre à quelqu'un, pas après les semaines où j'ai voulu écrire la suite xD J'ai fait mon possible pour l'écrire au plus vite, sans pour autant le bâcler. Pour ca que ca a mis du temps à arriver -_-'

Pour en revenir sur le sujet…. Depuis le tout tout tout premier chapitre, avec cette histoire de bisounours, c'est aux Okamas que j'ai pensé, allez savoir pourquoi. Depuis, je voulais absolument introduire Ivan-chan… Ce que j'ai ENFIN pu faire MOUAHAHAHAHA ! Bon courage aux suivantes hihihi. Ha, et Comme Robin était avec les révolutionnaires, j'ai supposé qu'elle pouvait le connaitre tout comme elle connait SPOIL ARC DRESROSA Sabo.

Je m'étais fait un scénario beaucoup plus poussé pour ce chapitre, mais de un, je n'ai de toute manière pas le temps pour écrire 20 pages, et de deux, c'est aussi le principe du jeu de ne pas voir l'histoire se dérouler comme l'on aurait aimé. Je laisse donc aux futurs écrivains la liberté sur la signification du « passage obscure de la force » et tout particulièrement au cri de fin de Sanji !

A ce propos, Je suis désolée, mais parler des sentiments c'est quelque chose dont j'ai énormément de mal. J'ai pris ce chapitre également comme entrainement, vu que c'est sur ce point que je bloque dans mes fics, surtout sur une en particulier. Donc j'espère que ce n'était pas trop gnan-gnan… et ni trop OOC.

J'ai donc mis le mot cimetière…. Ptetre pas dans le contexte dont les gens espéraient, mais bon, je voulais pas faire trop dans le cliché « Je vais t'envoyer dans un cimetière » avant que Zoro bastonne Sanji (ou inversement). Bref.

Pour la suivante, le mot sera VALISE Bon courage !