ON NOUS VOIT
Bonjour à tous!!
Bon, cette fic est très étrange... je pensais à Remus tout le temps, mais il n'y a pas aucune référence à lui dans toute la fic... Pourtant, sachez que tout ce que j'ai écrit ici est pour lui...
Le but de la fic est un peu difficile à comprendre si on n'a pas une idée préliminaire...
Avez-vous regardé quelqu'un par derrière, et avez-vous pensé: " Si c'était lui l'homme de ma vie? Si celui-là qui s'éloigne... celui-là que je suis en train de perdre... Si celui était... Si C'était lui??"
Eh bien, quelque fois, on peut arriver à l'obssession, à voir ce personne-là partout où on regarde.... Et si on voit ce personne avec quelqu'un d'autre.... Oh mon dieu.... Moi, j'ai une très jolie, très aiguë Remus-obsession!!
Bien sûr, vous devez aussi savoir que je suis espagnole... Donc, je ne suis pas très douée avec le français... soyez gentils et s'il vous plaît, disez-moi si quelque chose ne va pas dans la grammaire de cette fic pour que je puisse la changer... Donc.... Voilà.... ça y est.
Printemps
Parmi les chants agités, j'ai contemplé le résonner de tes pas.
L'absence souriait et tes traces s'éloignaient le long du lac. Malgré la circulation. les voitures, la brilliance gênante, les heures m'ont apporté une brise différente. Et, la nuit, une image jamais vue assombra ma vision dans la glace.
Les pétales des fleurs dansaient comme des flammes.
Été
Le soleil se baigna de lin blanc. Tes bras, broncés, s'étendaient à l'infini et ondulaient, aériannes algues, par-derrière.
Mesures rallongées.
À chaque coin de la rue, au vol parmi les fenêtres, tu étais la chemise aube, la démarche ferme, la route décidé, le salpêtre de la mer.
Les mouettes s'inventèrent un prénom.
Automne
Cette fois, les spirales des draps dans mes jambes. Dehors, il fait froid, et je ne peux pas dormir. Le ciel pleure, son visage entre ses bras.
Si le vent a bercé les feuilles secs, je ne distingue plus ton visage.
Seulement quelques châtaigniers s'étaient tordus, indolentement, en te voyant passer.
La soirée ne te fit te tremper tout seul.
J'ai resté aux cheveux collés à mon visage.
Hiver
Et si tu dois t'en aller, pourvu que tu t'en ailles une fois pour toutes! Ta prèsence se rallonge ici, et ne me laissera pas tranquille.
Les murs me regardent, avec réminiscence, marqués de l'eau. Les feus verts se fondent en visages de gens que je n'ai jamais connues; les échos ont poursuivi la raison qui me restait; les fantômes me traquent.
Seulement tremble la peau de ma gorge.
Le printemps me manquera.
Comme cette fois-là, la saison renaîtra; quand les pétales des fleurs danseront ... comme des flammes.
Merci pour tout.
C'est ma première fic en français... Donc... vous savez... Read&Review!!
Peut-être, j'essaierai d'écrire quelque chose de nouveau si on aime cette fic..... Et si on ne l'aime pas.... J'écrirai le double de choses!! Lol.
Rosana
