Titre : Garde Rapproché

Disclaimer : Rien ne m'appartient tout est à J.K.R à part le scénario ;) qui est un UA (Univers Alternatif)

Genre : Drame/Romance

Rating : M pour violence, mutilation... [~~prochain chapitre~~]

Résumé : Une recette à la James et Lily ça donne quoi ? Une rencontre, un brin d'amour, un soupçon de désir, une pincée d'action, quelque graine de souffrance et surtout une bonne dose d'humour…


POV Lily Evans

16h30, ma journée est finie. Ouf, est bien on peut dire que je l'avais vue passé aujourd'hui. Ces petits monstres ne m'avaient donné aucune chance. Sans doute l'arrivée prochaine de la neige.

Je pris mon manteau et mis mon écharpe. Le temps s'était incroyablement rafraîchit depuis quelques jours et je n'avais aucune envie de tomber malade.

-Bon Week-end Lily !

-Salut Franck. Passe le bonjour à Alice !

-Entendue.

Et je sortie de la petite école maternelle où je travaillais. Je suis professeur des écoles des moyens depuis maintenant un an dans cet établissement au cœur de Londres. J'aime beaucoup mon travail, mais il y a des jours où c'est plus dur que d'autre, surtout à l'approche du Week-end où j'ai généralement moins de patience.

Franck Londubat est l'un de mes collègues qui s'occupe de la petite section. Cheveux noir coupé court, yeux marron, de taille moyenne, c'est le gars le plus gentil et attentionné de l'univers. Il s'était marié l'année dernière à cette époque avec ma meilleur ami Alice. Cela va d'ailleurs faire un an ! Qu'est-ce que le temps passe vite !

Ah, Octobre ! Que j'aime l'automne. Tout est tellement parfait dans cette saison. Les feuilles des arbres colorées sous l'envi du soleil, la reprise d'une certaine routine à la suite des vacances d'été et surtout le parfum des prochaines fêtes qui se ressent dans chaque bouffé d'air et dans chaque sensation. Mais malheureusement, cela annoncé aussi l'arrivé proche de l'hiver. Sur ce, je me dépêchai de marcher jusqu'à mon appartement, qui n'est qu'à quelques minutes de l'école.

A peine arrivée, que le téléphone sonnait. Je réprimai un soupir de mécontentement et sautai dessus.

-Allo oui ?

-Bonjour Lily, c'est maman. Comment tu vas ma chérie ? Ça fait un moment que je n'ai pas de nouvelle de toi.

-Je vais bien maman. Et toi ? Pas trop froid à Paris ?

Mes parents avaient décidé de déménager en France, il y a maintenant deux ans. A la suite de la mort de ma grand-mère maternelle, ma mère n'avait pu surmonter le choc et mon père avait décidé que changer d'air leur seraient profitable, à tous les deux. Aussi, ils avaient profité du fait que j'avais prit ma vie en main pour enfin se consacrer à la leur. Ma sœur Pétunia leur en avait énormément voulu de la laisser derrière. Mais depuis qu'elle avait épousé un certain Vernon Dursley, l'année dernière, tout c'était pour le moins arrangé.

Pétunia et moi vivions dans la même ville, mais elle faisait comme si elle était fille unique. Elle n'avait jamais pu supportait que j'aille faire des études pour avoir un vrai métier. Elle avait toujours pensé qu'une vraie femme se devait d'être au foyer attendant le retour de son mari et élevant ses propres enfants et non ceux des autres. Enfin… Elle avait toujours était particulière et on ne c'était jamais vraiment comprises. Notre adolescence fut ponctuée de nombreuse prise de bec, au grand malheur de mes parents qui n'avaient jamais put nous réconcilier.

-Oh tu sais, ça va, ça viens… Ton père s'est trouvé une nouvelle lubie, tu ne devineras jamais. Il veut faire du saut en parachute ! Non mais qu'elle idée, il va finir par me rendre folle !

-Oh mon cher papa… Toujours le même à ce que je vois.

-Alors, toujours pas de fiancé ?

-Maman ! Soupirais-je. Tu vas finir par me vexer. Arrête un peu de me harceler. Je t'ai dis que ça viendra quand sa viendra.

-Mais j'aimerai tout de même avoir des petits enfants…

-Oui et bien tu t'es trompée de fille. Celle qui serait la plus apte à combler tes désirs c'est Pétunia…

-Je sais mais tu me fais du souci ma petite Lily.

-Mais non, tu t'en fais pour rien.

-Tu as l'air fatigué, tu vas bien ? Est-ce que tu manges bien au moins ?

-Oui maman. Je te signal que c'est vendredi soir et que c'est normal que je suis fatiguée après la semaine que j'ai passé.

-Oui. Mais prend soins de toi comme même.

-Promis maman. Je vais devoir te laisser, je dois aller faire les courses si je veux manger ce Weekend. Fais un gros bisou à papa. Je t'embrasse.

-Bisous ma Lily.

Et je raccrochai. Je soufflai de fatigue et décidai d'aller prendre une douche avant de ressortir. Je partis dans ma chambre, rassemblai quelques affaires de rechange, puis entrai dans la salle d'eau. Je me dévêtis, lacement, et entra dans la cabine de douche. Je réglai la température sur l'eau très chaude. C'était une habitude prise depuis toute petite. Cela me détendait et me réchauffait. Je me décontractai lentement à la sensation de l'eau sur mon corps. Aucune sensation n'était plus exquise. A regret, je coupai l'arrivée d'eau pour me sécher et me revêtir.

Quelques minutes plus tard, je ressortie de la salle d'eau et me prépara à ressortir. La supérette n'étais pas très loin de mon appartement, ce qui était très pratique.

Je filais rapidement dans les rayons à la recherche de quelque ingrédient pour mes repas de ce Weekend. J'étais très difficile concernant les aliments, aussi ça prenait donc un peu de temps.

Puis me revoilà chez moi. Enfin tranquille. Fatigué par le dernier jour de la semaine, j'avais opté pour un diner simple. Un repas prêt à faire réchauffer. Je n'étais pas friande de ces repas d'ordinaire, mais quelque fois, cela faisait du bien de ne pas se soucier de cuisiner.

Le Week-end passa en un éclair. Rien de bien stimulant. J'avais pas mal trainé et récupéré de la semaine avec les petits bouts. C'est sur qu'une classe de 26 enfants entre 3 et 4 ans en train de se chamailler toute la journée, il y a de quoi devenir parano. Mais bon, heureusement il y avait des semaines plus calmes que d'autre.

Et me revoilà donc, devant la porte d'entrée de ma classe, les bras ouvert à accueillir les enfants pour une nouvelle aventure.

-Bonjour Olivier !

-Bonjour maitresse, fit-il d'une voix timide.

-Bonjour Sarah ! Comment vas-tu ma belle ? Demandais-je en la prenant dans mes bras.

-Je vais bien. J'ai fait du poney avec papa ce Week-end.

-Tu en as de la chance !

Et les enfants rentrèrent tous un par un dans la petite salle de classe. Une fois tous assis devant mon bureau, je vérifiai qu'il ne manquait personne et j'intimai le silence.

-Bien, quelqu'un peut me dire quel jour on est aujourd'hui ?

Cinq ou six petits doigts se levèrent précipitamment au plafond. Je souris et interrogeai Heleya Bones, une petite fille au cheveu auburn et au visage joufflu.

-On est le 26 Octobre.

-Oui et quel est le jour ?

-Lundi.

-C'est très Heleya. Maintenant qui va me dire qu'elle est la météo d'aujourd'hui ?

Plusieurs doigts imitèrent les premiers.

-Oui Stéphan ?

-Il fait gris… heu… il fait froid… et heu… il y a beaucoup de vent…

-Oui c'est vrai. On dira qu'il fait mauvais temps. Alors une dernière question pour ce matin. Savez-vous ce qu'il y a dans cinq jours ?

Seul Sarah levait sa petite main.

-C'est le 31 Octobre.

-Oui c'est exact. Mais c'est plus spécialement la fête d'Halloween. Vous connaissez cette fête ? Avez-vous déjà fêté Halloween avec vos parents ?

-OUI, crièrent en cœur les enfants.

-Eh bien c'est génial ! Alors toute cette semaine sera consacré à des travaux manuels sur Halloween. Bon je vais vous diviser en deux groupes. Le groupe des serpents et des Lions seront à la peinture. Le groupe des blaireaux et des aigles à la cuisine. Aller, aller !

Les enfants – connaissant leur groupe par cœur depuis le début de l'année – se séparèrent et rejoignis l'endroit de la salle indiquée.

Je me dirigeai vers l'atelier peinture pour leur donner mes instructions.

-Bien, alors je vous ai préparé des dessins de courge d'Halloween. Je veux que vous preniez vos éponges, les badigeonnés de peinture et les appliquer délicatement sur le dessin. Comme ça…

Je pris une feuille de papier et leur montra les gestes à suivre.

-Essayez de ne pas dépasser. Vous êtes grand maintenant. Faite un jolie dessin pour papa et maman, ils seront fière de vous. Olivier, je te charge du groupe. Si il y a la moindre chose c'est toi qui est chargé à venir me cherché, d'accord ?

-Oui maitresse.

Sur ce, je rejoignis mon autre groupe, impatient de commencer à faire de la cuisine.

-Alors. Comme c'est la semaine réservé à Halloween, on va alors réaliser des tartes à la courge. Vous vous mettez par quatre et vous suivez la recette que je vais vous réciter. D'accord ?

-Oui maitresse, dirent-ils en cœur.

- Bien. On va commencer tout d'abord par réaliser la pâte. Prenez votre plat et mettez-y de la farine.

Les enfants s'exécutèrent sous mes yeux attentifs.

-Non Cédric, tu ne jette pas de la farine à ton voisin ! Ensuite, vous créez un puits dans la farine. C'est-à-dire que vous faite un trou au milieu de la farine. Puis ajoutez de l'huile et de l'eau tiède en son centre. Je vais vous aidez pour cette partie. Attendez votre tour.

Et je passai à travers les tables. Les enfants adoraient faire de la cuisine. Et généralement, c'était the activité qui finissait en live. Espérons que non aujourd'hui…

-Bien maintenant vous allez malaxer la pâte avec vos doigts. Allez-y, une personne du groupe se dévoue et met la main dans le plat. Pour une fois que je vous y autorise…

-Maitresse ! Maitresse !

C'était Olivier Dubois.

-Il y a une dame qui frappe à la fenêtre.

Je me levai et allai rejoindre l'autre groupe, non sans avoir intimé à mes élèves de continuer à malaxer er de m'attendre pour la suite.

Et là, je vis Molly Wesley à travers la vitre, me faisant des grands signes de la main. Je souris et alla lui ouvrir.

-Bonjours Molly, que faites-cous ici à cette heure ?

C'était une femme un peu rondelette mais dont le visage jovial ne peut que vous mettre alaise. Cheveux roux, un en pétard sur le dessus de sa tête, Molly était une personne des plus chaleureuse et amical que je n'ai jamais connu.

-Bonjours Lily. Je viens de déposer les jumeaux à l'instant. C'est la panique à la maison, Bill et Charlie sont malades, je ne sais plus où donner de la tête.

-Oh les pauvres. Ce n'est pas grave au moins ?

-Non mais ils sont pénibles. Arthur à des tonnes de travail et rentre tard du ministère. Les journées sont longues. C'est pour cela que je voudrais te demander un petit service.

-Bien sur Molly, si je peux vous aider j'en serai ravie.

-Peux-tu t'occuper des jumeaux ce soir ? Je dois aller chez le médecin pour les deux grands et je n'y arriverai pas avec deux enfants en plus. Je les récupérerais en rentrant…

-Bien sur, ne t'en fais pas. Ils peuvent même dormir à la maison il n'y a pas de problème. Je les emmènerai moi-même à l'école demain matin, comme ça.

-Oh tu es un amour Lily. Tu es sur que ça ne te dérange pas ?

-Non du tout. Ça fait un moment que je ne les ai pas vue ces deux garnements, je sens qu'on va bien s'amuser.

-Merci encore Lily. Au revoir.

-Au revoir Molly.

Et je refermai la porte. Et c'est là que j'ai vue le désastre.

-Oh non…

Le groupe de l'atelier peinture c'étaient voués à une véritable bagarre de peinture et tous étaient recouvert d'orange des pieds à la tête.

- Non mais ça ne va pas ? Très bien, vous serez tous punis. Pas de cuisine pour vous aujourd'hui. Asseyez-vous tous par terre et plus un mot.

J'étais dans une colère noire. Les groupes des serpents et des lions étaient terribles quand ils étaient ensemble. Ça finissait à tous les coups par une bagarre collective. Mais je ne pouvais pas mettre le groupe des serpents avec le groupe des blaireaux ou des aigles car ils les empêchent de travailler correctement. Seuls les lions savent leur tenir tête, même si ça dégénère.

Je sortie de la classe et allai retrouver Franck Londubat, mon collègue qui s'occupait de la petite section.

-Franck ? Appelais-je.

-Tiens, bonjour Lily ! Qu'est-ce qui ce passe ?

-La folie, comme d'habitude. Tu sais si Lizzy est arrivée ?

- Oui il me semble. Pourquoi, un souci ?

-Oui, bagarre de peinture. Ils ont fait fort les petits monstres. Tu veux bien les surveiller le temps que j'aille la chercher ? Je laisse la porte ouverte.

-Bien sur. Bonne chance.

-Oui, je crois que je vais en avoir besoin. Merci.

Je sortie de sa salle de classe et monta les étages pour retrouver Lizzy. Il s'agissait de l'aide professorale de l'établissement, et accessoirement une de mes amies.

-Salut Lizzy ! Merci Lizzy !

-Oh non, ne me dit pas qu'ils ont recommencé ?

-Si. Ils ont profité que je discutai avec Mrs Wesley pour nous inventer la bataille du siècle en peinture. C'est eux qui ressemblent à des courges d'Halloween maintenant…, rigolais-je.

Et Lizzy me remplaça pour garder un œil sur mes garnements pendant que je m'occupé de laver un par un les élèves devenues orange. Heureusement que la peinture partait à l'eau…

Et la journée passa. Sans autre incident, mais je fus complètement lessivé. Je me levai et récupérai quelque papiers qui traîné sur mon bureau, éteignis les lumières et ferma la porte de ma salle à clef.

Je me dirigeai vers la salle de Franck où les jumeaux m'attendaient.

-Ah Lily ! Tu as fini ? Je ne sais pas ce que fait Mrs Wesley. Déjà qu'elle me les a emmené en retard ce matin…, me dit-il en me montrant les jumeaux.

-C'est moi qui me charge d'eux se soir. Elle est complètement débordé la pauvre. Bill et Charlie sont malades.

-D'accord. C'est sur qu'avec ces deux arsouilles ça ne doit pas être facile. Ils sont gentils mais épuisant.

-Oui, ils adorent faire des farces. Au fait, ça te dirais de sortir demain soir ? J'avais envi d'un resto entre ami. Tu demandes à Alice et moi je me charge de Remus ?

-OK. C'est vrai que ça fait longtemps que l'on n'est pas sortie tous les quatre. Ça va être sympa.

Je lui souris, heureuse moi aussi de notre prochaine sortie avec Franck et sa femme Alice, ainsi que notre cher Remus Lupin.

-J'espère que Remus va accepter. Je crois qu'il avait beaucoup de travail ces temps-ci à l'hôpital.

-Oui, moi aussi.

-Bon je vais y aller, il commence à ce faire tard. Et si ça continue, c'est Alice que je vais avoir sur le dos, riais-je. Fred ! Georges ! Vous rentrez avec moi ce soir.

-HOUPI ! Crièrent-ils en cœur.

-Oulla, tu leur as donné quoi à manger, du Lion ?

- A ben non pourtant. Mais c'est sans doute pour ça qu'ils appartiennent à ce groupe, ria-il.

-A demain Franck.

-Salut Franck ! dirent les jumeaux.

Et nous rentrâmes, affrontant le mauvais temps de l'automne. La soirée projetée d'être bien mouvementé…

*****

-Fred, Georges ! Vous mettez de l'eau de partout ! Venez que je vous sèche…

Les jumeaux arrivèrent, sautant, riant dans ma salle d'eau inondée. Oh la, la qu'ils sont bruyant ses bambins… J'en chopai un et le frictionna avec sa serviette de bain et entrepris de l'habiller. Passé un temps, les jumeaux venaient dormir toutes les deux semaines chez moi, donc la chambre d'ami leur étaient un peu réservée et l'armoire remplie de leurs vêtements. J'aimais bien les habiller à l'identique. Je les trouvai tellement mignons tous les deux. La famille Weasley étant réputée par leurs cheveux d'un roux flamboyant, ils se ressemblaient de façon frappante.

-Alors les garçons, vous voulez manger quoi ce soir ?

-Moi je veux des pâtes sauce fromage ! S'exclama Georges.

-Et moi aussi avec de la sauce tomate ! Suivie Fred.

-C'est partie.

Bien contente que les garçons veulent d'un plat aussi simple, je mis de l'eau à chauffer.

-Vous m'aidez à mettre la table ?

Ils s'exécutèrent. Je leur donnai les assiettes et les couverts, et ils les plaçaient gentiment sur la table.

Après le repas. Après avoir bien jouait et mis la pagaille dans tout mon appartement. L'heure fatidique…

-Allez les garçons. Vous allez vous brosser les dents.

-Ah non, grogna Fred. Pas tout de suite !

-Allez, allez, que je ne me répète pas.

Quelque châhutage après, les enfants Weasley étaient fin prêt pour le dodo.

-Lily, on peut dormir avec toi ? Demanda Fred.

-Non, non, non les petit farceurs, je vous connais trop maintenant ! Les deux seules fois où je vous l'ai permis, je me suis retrouvée le lendemain matin toute trempée, de la confiture plein le visage et les cheveux remplis de crème chantilly. Alors non merci. Vous allez sagement dormir dans la chambre d'ami.

-Tu peux nous lire une histoire alors ? Demanda Georges avec une moue irrésistible.

-D'accord, mais une seule. Vous voulez que je vous lise quoi ?

-Bambi !

J'allai chercher le livre en question dans ma petite bibliothèque. J'adorai les histoires d'enfant, aussi j'avais pratiquement tous les livres des Walt Disney. Je m'installai sur le lit des jumeaux, chacun à mes côtés et je commençai ma lecture.

« Panpan le lapin est tout excité.

-Ça y est ! C'est arrivé ! S'écria-t-il, le nouveau prince est né !

-Le nouveau prince est né ? Reprend la chouette, perchée sur une vieille souche d'arbre. Où est-il ? Vite ! Allons tous ensemble le voir !

-Suivez-moi, crie Panpan.

Tous les animaux s'élancent derrière Panpan. Rapide comme le vent, ils foncent à travers les bois pour voir le prince nouveau-né.

Au fond d'un fourré, les animaux trouvent le Prince, blotti contre sa mère. Le jeune faon, à la robe tachetée, les fixe de ses grands yeux tout étonnée.

Puis, lentement, il tend ses pattes de devant et commence à se lever.

Mais ses jambes se dérobent. Il glisse.

Le jeune Prince tombe sur le ventre.

-Il manque un peu d'équilibre, non ? Demande Panpan à la mère du faon. Il n'a pas tellement l'air d'un Prince, comment allez-vous l'appeler ?

-Je l'appellerai Bambi, répondit sa mère. »

Je tournai la tête en direction des deux bambins et m'aperçus qu'ils s'étaient déjà endormie. (Nda : Si ça pouvait toujours être comme ça XD)

Je me levai et les bordai soigneusement l'un après l'autre et les embrassa.

- A demain mes petites chéries.

Et je sortie de leur chambre. Il n'était pas très tard mais je décidais d'aller moi aussi me couché – après une bonne douche, épuisée par ma journée.

*****

Le lendemain, se fut le pire matin de ma vie. Les jumeaux m'avaient une nouvelle fois servie une de leur blague. Ils avaient débranché mon réveil – m'empêchant ainsi de me réveiller à l'heure – et saccager la cuisine en se goinfrant de chocolat. Je me réveillai donc par des éclats de verres dans la cuisine. Craignant soudain que quelqu'un avait pénétré dans l'appartement, j'étais sortie de mon lit à pas de loup afin de prendre les coupables sur le fait. Me rendant compte seulement de l'heure tardive, je me dépêchai de m'habiller, ainsi que les jumeaux, et fila à l'école avec bien une demi heure de retard.

-Je suis désolée Franck, m'exclamais-je, essoufflée.

Mon ami éclata de rire. Je le regardai bizarrement et prit finalement la parole.

-On dirait qu'il t'en on fait voir, je me trompe ?

-Ils m'ont rien épargné. Plus ils grandissent et plus leur farce se multiplie. Je plein Molly quand ils feront leur crise d'adolescence.

J'aperçus ma classe, deux pas plus loin, attendant sagement mon arrivé.

-Merci de m'avoir gardé ma classe. Au faite, si les jumeaux deviennent tout pâle et qu'ils se plaignent de maux de ventre, un conseil, cour aux toilettes, riais-je. Ils m'ont ruiné ma réserve de chocolat…

Mon ami me regarda d'un air livide. Il détestait par-dessus tous les enfants malades, et c'était encore pire quand ceux-ci vomissaient.

Je lui adressai un petit pouce en l'air pour le motivé et ne pus m'empêcher de rigoler face à ses yeux de chien battu.

Sur ce, je retournai vers ma classe à grand pas afin d'éviter le courroux de mon cher ami.

-Bonjours les enfants !

Et voilà une nouvelle journée qui commence !


Bon voilà ce n'est qu'un début, mais vous en pensez quoi ?

Je sais que je n'ai pas terminé mon autre histoire "la mission des Maraudeurs" mais j'avais cette idée dans la tête depuis un moment déjà alors j'ai eu envi de l'écrire.

Mais rassurez-vous ce n'est pas pour autant que je vais l'arrêtez, je le met juste en mini pause, le temps que je retrouve quelques idées. Mais pour l'instant, j'ai + d'idée pour cette nouvelle fiction ! J'en avais un peu marre de la magie, parce que tout est assez facile avec. Alors j'avais envie que nos héros ce retrouve un peu dans notre peau (non mais ! ça leur fera les pieds un peu...)

Voili voilou, je crois que je vais arrêter là mes bavardages qui n'intéresse personne et je vous dis à bientôt (enfin si ça vous plait !)

helono