Salut, salut mes petits pandas ! :D

Comment allez-vous ?

Première chose... Je tiens à m'excuser de ne plus publier souvent mais disons que ça bouge beaucoup de mon côté et que ce n'est pas facile tous les jours de tout gérer mais je m'en sors pas trop mal donc ça va (si je peux le dire ainsi ^^)

Sinon... deuxième chose... Concernant la suite de ma fanfic principale "Le secret"... Je sais que ça fait depuis un moment que j'ai publié le chapitre 04 mais si ça peut vous rassurer, le 05 est déjà écrit mais je dois encore le taper et l'améliorer car ce n'est qu'une ébauche tandis que le chapitre 06 est en cours d'écriture et j'ai déjà des idées pour le 07.

Troisième chose... En plus de la fanfic que je poste aujourd'hui, une troisième est elle aussi en cours d'écriture et elle concernera un autre personnage de SLG mais dont je ne dirais rien de plus pour le moment.

Ceci dit, je pense qu'elle devrait vous plaire :3

Le genre sera différent d'habitude car il sera plus axé sur une "comédie" amoureuse et non un drame comme celle ci-dessous mais dans tous les cas, l'une comme l'autre, je prends énormément de plaisir de les concevoir et j'ose espérer que vous les apprécierez ^^

Sinon à part ça... Ben euh... Je crois que j'ai fini mon petit speech donc sur ce... BONNE LECTURE mes Pandas ! :D

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P.S : un petit j'aime et/ou une petite review, ça fait toujours plèze à recevoir ;)

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Chapitre 01 : Etrange trouvaille

Je me souviens de cette nuit d'été… Cette nuit de juillet 2015…

Seul dans la rue, passé 3 heures du matin, je rentrais chez moi après avoir passé mon après-midi et ma soirée dans l'un de mes bordels favoris.

Ce soir-là, il pleuvait abondamment…

Sous mon parapluie, je marchais… lentement… une clope à mes lèvres, le regard dans le vide.

Soudainement, au milieu du chemin, j'aperçus une jeune femme, nue, allongée sur le sol, près d'un tas de sacs poubelles.

Je m'approchai d'elle, inconsciente, les bras écartés, et l'observai de long en large.

Elle avait des bleus et des brûlures sur l'ensemble de son corps mais plus particulièrement au niveau des hanches et des parties intimes.

De plus, une capote traînait là, à sa droite, à une trentaine de centimètres d'elle et dont celle-ci semblait avoir été utilisée il y a peu de temps.

Je la pris dans mes bras et la ramena à la maison, ou plutôt dans l'appartement où je vivais avec mes autres frangins.

Je la déposai sur mon lit, l'habillai avec les quelques habits de la Fille qui étaient restés là dans son ancien antre, et la recouvris ensuite avec les draps.

Je quittai ensuite ma chambre et me rendît dans celle de Mathieu où ce dernier devait être déjà en train de dormir afin de le prévenir de ma trouvaille un peu étrange.

Je frappai à sa porte et il m'ouvrît quelques petites secondes plus tard.

Il me regarda en se frottant les yeux et en baillant.

Il me demanda ce dont je lui voulais à une heure pareille et l'amena jusqu'à ma chambre où il pût voir la jeune demoiselle, endormie.

Il m'interrogea sur les raisons de sa présence ici et je lui répondis :

Patron – « Je l'ai trouvée, nue sur le sol, en pleine rue…

En plus, avec les bleus et brûlures qu'elle a et le préservatif qui n'était pas très loin d'elle, j'en ai déduit qu'elle a dû se faire violée il y a peu ».

Mathieu – « En gros, tu ramènes comme ça une inconnue dont tu déduis qu'elle a été violée… T'es sûr que ce n'est pas l'inverse ? T'es sûr que ce n'est pas toi qui veux la violer par tout hasard comme à ton habitude ? »

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Sa dernière réplique m'ayant agacé, je le pris par le col de son t-shirt et le levai du sol.

J'avançai mon visage du sien, le regardai dans les yeux et lui dis en haussant le ton…

Patron – « Ne joue pas à ce jeu-là avec moi, Gamin !... Sinon… »

Mathieu – « Sinon quoi ? »

Patron – « Tu risquerais de subir le plus long et douloureux dépucelage de toute ta vie !... Me suis-je bien fait comprendre ?! »

Mathieu – « Ok, ok… ça va. Je te crois cette fois-ci ».

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Une fois que je m'étais calmé, je le redéposai par terre et le lâchai avant d'aller à la fenêtre donnant accès au balcon de mon intérieur.

Je portai une autre cigarette à mes lèvres et l'allumai tandis que mon créateur me rejoignit.

Je lui en ai donc proposé une qu'il accepta et grilla en même temps que moi.

Je m'adossai ensuite à la barrière et levai les yeux au ciel, me permettant ainsi d'admirer les étoiles et la lune illuminant cette nuit fort sombre dont même l'atmosphère était lourde.

Cependant, il avait arrêté de pleuvoir entretemps et ça pour mon plus grand bonheur.

De plus, ça faisait depuis un bail que je n'avais pas eu un moment pareil avec Mathieu… Il faisait calme… si calme…

La plupart du temps, on ne le passait qu'à se disputer ou même se bagarrer dans le pire des cas et des occasions comme celle-ci étaient tellement rares que dès que c'était possible, j'en profitais à mort.

Evidemment, Mathieu, lui, n'était au courant de rien ou alors, faisait semblant de ne pas savoir.

Du moins, c'était ce que les autres pensaient.

Personnellement, j'ai toujours pu deviner ses réactions ou ses pensées rien qu'en observant son comportement mais aussi vu que je fus le premier à voir le jour, il était donc normal que je le connaissais mieux que tous les autres.

Il me tira de mes songes quand il se tourna vers moi, tira un coup et ajouta…

Mathieu – « Tu connais son nom au moins ? »

Patron – « Non !... Elle n'avait aucun papier sur elle… Par contre, elle les a peut-être à l'intérieur d'elle… Si tu vois ce que je veux dire… ».

Cette dernière phrase me fît bien sourire mais pas Mathieu.

Mathieu – « J'espère que cette histoire ne nous causera pas de problème même si j'ai le sentiment que ce n'est que le début des ennuis... »

Patron – « Que veux-tu qu'il y ait ?... En ce qui nous concerne, on est réglo pour une fois donc je ne vois pas pourquoi tu dis cela ».

Mathieu – « Je ne sais pas mais j'ai un mauvais pressentiment en tout cas... »

Patron – « Te tracasse pas pour ça, Gamin… Et puis, quand bien même, ce serait le cas, n'oublie pas que je suis là pour les régler donc arrête de penser à ça, tu veux !... »

Mathieu – « Si tu le dis… Enfin !... On va en faire quoi de la fille ? T'as une idée ? »

Patron – « On va la garder ici au moins la journée de demain et la nuit et elle repartira si elle le souhaite le surlendemain ».

Mathieu – « Je vois… Ça ira cette fois-ci mais quand même… »

Patron – « Quoi ? »

Mathieu – « Nan, rien ! Laisse tomber, c'est pas grave… »

Patron – « Ok… Si tu le dis… »

Mathieu – « Bon ! C'est pas que je suis crevé mais c'est tout comme… Je vais aller dormir.

Bonne nuit !, Patron »

Patron – « Merci ! Bonne nuit à toi aussi ! »

Mathieu – « Thanks ! »

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Il s'avança jusqu'à la porte-fenêtre, passa l'entrée en me faisant signe et alla terminer la nuit dans son lit.

Quant à moi, ce serait sur le parquet vu que mon unique piaule était prise et que je n'avais rien d'autre pour me coucher.

Ceci dit, ce pourrait être intéressant de tester ça.

Peu de temps après son départ, il devait être 4h45 quand je décidai d'aller dormir, du moins un petit peu.

J'ôtai d'abord ma veste, la jetai sur le dossier de ma chaise de bureau et m'allongeai ensuite sur le dos, les mains derrière la tête, au pied de mon lit.

Je clos mes yeux aussitôt, tout en gardant mes lunettes de soleil pour les cacher, et m'endormis peu de temps après.