Bonsoir à tous, camarades, compagnons, mages et Khajiit de passage en fuite. (Sansguine en poursuit en ce moment). je vous souhaite la bienvenue sur le deuxième opus de notre histoire avec notre camarade Fenrir Lamedunord. Je vous fais un petit résumer de son histoire.
Fenrir, enfant de dragon, a retrouvé, dans un tertre enfui dans la glace, la fille de Tiber Septim, Runa MarcheOmbre. Son ami Onmund et lui-même décident de l'emmener dans leurs quêtes dans Tamriel pour ne pas la laisser aux mains des thalmors. Cette dernière l'aide avec son Huscarl Sahir, une khajiit élevée comme une nordique, a affronté Alduin, le dévoreur des mondes. Les deux enfants de dragons se sont épris l'un de l'autre durant leur aventure. Mais une nouvelle menace s'élève dans la nuit. Une nouvelle prophétie vient de commencer et ils ne savent même pas encore s'ils vont en échapper.
Voilà donc la suite que certains pourrait attendre depuis plusieurs semaines et je m'en excuse. Le travail s'est déversé sur moi comme une avalanche et je ne savais même plus ou donner de la tête.
Sinon, Skyrim appartient à Bethesda et l'histoire et les OCs sont l'invention d'une duchesse manienne/démentienne (dépends de la semaine avec Shéo) et la participation active sur les idées et l'écriture d'une khajiit sympathique qui vous salue.
Les commentaires sont toujours les bienvenues ainsi que les questions auxquels je réponds facilement.
PS : Message important en bas de chapitre ^^.
Chapitre 1 : J-3.
Faillaise était en effervescence. Les gardes ne savaient plus où donner la tête avec le nombre de personne qui arrivaient dans la ville. C'est vrai que l'évènement qui allait se dérouler à la fin de la semaine n'était pas anodin. Un mariage allait être célébré, mais pas n'importe lequel. Même si ce n'était pas des rois ou reines, beaucoup attendaient ce moment depuis des mois.
L'auberge en elle-même avait été remplit à raz par les invités principaux. Onmund se marra en regardant les gens s'affoler dans les rues avant de se diriger vers le cimetière. Il regarda aux alentours avant d'appuyer sur l'un des emblèmes de la tombe, laissant apparaitre un passage souterrain. Il reprit son package et descendit l'escalier avant de fermer l'accès. Il ouvrit alors une seconde trappe et descendit le long d'une échelle. Il entendait les voix en dessous de lui. Arrivé sur place, il vit Sahir en pleine discussion avec Engla et Saphir.
- Salut les filles ! Je suis le dernier ?
- ONMUND !
- Salut mon cœur.
La femme chat lui sauta dessus avant de l'embrasser sous les regards jaloux de plusieurs voleurs de la place. Car oui, il était descendu dans la citerne de la guilde des voleurs. Un des rares lieux où l'euphorie de la fête n'avait pas prit l'esprit. Normal, les affaires étaient plus intéressantes pour eux. Un mariage entrainait toujours beaucoup de profit pour une bande de voleur.
- Non, il manque toujours le principal concerné de la fête. … Il est allé régler un problème à Kagrenzel. Un homme lui a demandé de venir sauver sa fille qui a été enlevée par les bandits.
- Et notre dragonne favorite ?
- … Kidnappée par les jarls. Elle se trouve actuellement au palais. Même Maven Roncenoir s'y est mis. Je la plains franchement.
- Mise à part qu'on a tout Bordeciel à un seul en endroit, je me demande encore comment il se fait que les sombrages et les impériaux ne se sont pas encore tapé dessus. Dit une des voleuses.
- C'est vrai Saphir, on a quand même Tulius et Ulfric dans la même ville. et pire que ça, dans la même demeure sans qu'on est un meurtre.
- Tu sais Engla. Connaissant Runa, elle a du faire la menace de se faire bouffer par un dragon. Dit Sahir. Ou sinon, les invités ont assez de respect pour nos futurs mariés pour ne pas faire de guerre entre eux.
Chaque voleur présent se mit à rire, étant tout à fait d'accord avec les filles. Le mage vit alors Brynjolf le saluer et lui présenter d'un geste un lit. Le mage avança avant d'y lancer son sac.
Peu de temps après son arrivé, il entendit le passage de la citerne s'ouvrir à nouveau. Chacun redressa la tête avant de voir arriver une jeune femme, habillé en armure noire et rouge. Une jeune rougegarde blonde aux yeux blanc leurs fit face.
- Salut tout le monde !
- Runa ! Alors ? Les jarls ?
- … Ils vont bien. Mais le plus long fut d'éviter les vendeuses de vêtements. Chacune voulait me faire porter l'une de leurs robes malgré le fait que je déclinais toutes offres. Un cauchemar. …. Il est arrivé ?
- Non, par contre Onmund est là et Lucien se balade dans la ville avec Nazir.
- Je ne fais toujours pas confiance à l'ami de Lucien. Dit Runa.
- … Pourtant, il a grandement aidé les lames avec des informations qu'il avait trouvées pendant ses meurtres. On sait que c'est un ancien de la confrérie noire qui a échappé au massacre avec un petit vampire mais fait confiance à Lucien. …
- Je te l'accorde Sahir. J'ai juste un mauvais pressentiment. Et … J'ai cette vision qui revient sans cesse. Le soleil qui disparait et une ombre rouge macabre qui m'attrape.
La femme Chat frotta le bras de son ami avant de la tirer vers la cruche percée pour boire un verre. Arrivé sur place, les filles virent Vex lancer Delvin dans la citerne. Encore une fois. Ça devenait un spectacle fréquent maintenant. La voleuse se tourna alors vers elles avant de rire aux éclats.
- Alors ? Prête à te faire mettre la bague au doigt ?
- … Je suis terrorisée … J'ai même peur que mon frère revienne d'entre les morts pour venir tuer Fenrir.
- Et que le fiancé te fasse faux bon ?
- Pas de risque. Dit Onmund.
- Pourquoi ça ? Demandèrent toutes les filles excepté Runa.
- Parce que déjà, il a donné la bague de sa mère à Runa. Et je peux vous jurer qu'il ne l'aurait donné s'il n'était pas sûr.
- Comme c'est Romantique. Si il n'était pas déjà prit, …
- Vex ! Fenrir est mon fiancé. N'y pense même pas.
La voleuse se mit s'esclaffa en regardant Runa qui avait tout de suite monté sur ses défenses. Mais le mage continua.
- Et il n'est pas encore là car le père l'a supplié de lui venir en aide. Fenrir était retissant mais il s'est laissé convaincre pour ne pas avoir mauvaise conscience. … Sinon, il serait déjà là, campant sur ses positions. Limite déjà au pied de l'autel de Mara à attendre la cérémonie.
- Haha haha ! Oui, nia, c'est vrai que Fenrir est ainsi. Sinon, plus que combien de temps ?
- Il reste exactement trois jours. Fenrir arrivera quand à peu près ?
- … ça va dépendre. Mais je pense qu'il se fait un point d'honneur à arriver pour le mariage.
Ruine de Kagrenzel.
Fenrir regardait furtivement la zone, ne voyant aucuns bandits. Il fronça les sourcils car ce n'était pas normal. Habituellement, plusieurs de ces coupe-jarrets montaient la garde devant leurs cachettes. Il rebroussa le chemin pour rejoindre l'homme qui lui avait demandé son aide. Ce dernier portait une tenue tout ce qu'il y a de plus banal avec une hache accrochée à la hanche. Le seul truc qui le gênait, c'est que l'homme s'obstinait à garder sa capuche rabattu.
Bon, des brigands, ce n'était pas quelque chose de trop dur à s'occuper. Et il pourrait être à Faillaise un jour en avance. Alors, autant finir ce pourquoi il était monté sur cette montagne à la frontière de Morrowind.
- Il n'y a aucun garde pour le moment. Mais il faudra être prudent en rentrant. Vous me suivez et ne faites pas le héros. J'aurais déjà votre fille à sauver, me fait pas le coup où je dois en sauver deux.
- … Bien sûr, enfant de dragon. Je ne ferais qui entravera les évènements qui vont suivre.
Fenrir sentit comme une pression. Un très mauvais pressentiment. Néanmoins, il commença à s'approcher de la porte de la ruine. Il fixa le tout, ne remarquant aucun piège. Il poussa le battant tout doucement, un sort dans une main. Mais personne. Là, il commençait réellement à se demander qu'est-ce qu'il se passait. Déjà pas de garde, des … traces de sang sur le sol ? … Et une odeur qui ne laissait aucun doute, il y avait des cadavres ici. Ça puait le piège à plein nez. Il avança néanmoins, l'épée à la main.
La pièce était étrangement sombre, mise à part une lumière au centre de la pièce. Le pas silencieux, Fenrir avança jusqu'à une forme qui se trouvait au sol. Avec prudence, il retourna le corps pour voir un bandit, livide et froid comme la mort. Malgré cela la chose la plus étrange était cette blessure au cou. Comme si il…
- DES VAMPIRES ? Vous, restez derrière moi, on doit sortir rapidement.
- Vous nous quittez déjà ? Quel dommage… Dire qu'on allait vous inviter à diner.
Fenrir se retourna vers la nouvelle voix. Il vit alors plusieurs personnes émergés de l'ombre. Il nota une dizaine de personnes … Pourquoi lui ? Il soupira se demandant ce qu'il avait bien pu faire aux divins pour finir avec une bande de vampire assoiffé de sang.
Il esquiva rapidement le premier cannibale fou de sang de lui sauter dessus. Il se tenait néanmoins en protection pour l'homme qui l'accompagnait. Ce n'était pas des vampires qui allaient le faire tomber. C'est vrai qu'après Alduin, plus rien ne le surprenait. D'un coup leste, il décapita le vampire qui avait sauté vers lui. Il tourna sur lui-même tout en concentrant un sort de feu. Ce dernier transperça la tête d'un autre.
Rapidement, un à un, les vampires tombaient. C'était presque trop facile. Il sentit une paire de bras lui chopper l'épaule. En tournant les yeux, il vit l'homme qui l'accompagnait. Il retourna à son combat, pensant que c'était la peur lorsqu'il sentit une douleur à son cou. Quelque chose venait de lui transpercer la chair. Il tourna la tête pour voir une paire de deux yeux jaunes brillants.
- Par les neuf !
Il attrapa la tête du vampire pour faire une prise que lui avait appris Runa. Il utilisa le poids de son adversaire et l'envoya loin devant lui. Le vampire lâcha, à la pression, la chair du nordique alors que ce dernier posa la main contre la plaie pour arrêter le saignement. Rapidement, il passa un sort de soin et reprit son épée. Le vampire sourit avec plaisir, léchant les bords de ses lèvres couvertes de sang.
- Tu as bon gout, mon cher. …. Ton sang va très vite être mien.
- … Dans tes rêves le suceur de sang. Je m'en vais de ce pas te mettre cette épée en travers du torse et te la faire remonter jusqu'à la garde.
Les deux hommes s'élancèrent l'un contre l'autre. Fenrir balança son épée contre le vampire mais ce dernier l'esquiva en sautant, se plaçant derrière le nordique.
Fenrir roula, évitant l'arme conjurée de son adversaire avant de frapper d'un balayage les jambes du mort vivant. Il remercia intérieurement les leçons de combat de Sahir et surtout de Runa. C'était d'un pratique ces prises pour mettre au sol son adversaire. Il s'élança pour frapper le vampire de tout son poids cependant ce dernier roula sur le bord, s'enlevant de la trajectoire de l'arme. Les deux se remirent debout face à face. Fenrir sentit alors la présence d'une nouvelle personne dans la pièce. Beaucoup plus puissante que son adversaire actuel. Il se sentit drainé de toutes forces.
- Feim !
Son corps devint alors translucide et ainsi il ne se sentait plus aussi épuisé. Son adversaire plongea sur lui mais passa au travers. L'avantage du cri corps éthéré.
- Mon frère. Je crois que tu devras attendre avant de prendre à la gorge ce mortel. Il est puissant. Je comprends pourquoi notre seigneur nous a demandé de le tuer.
- … Oui. Mais sous cette forme, il est intouchable.
- Qui est votre seigneur que j'aille lui faire mes salutations après vous avoir tranché la tête à tous les deux et planté sur une pique ?
Les deux vampires se mirent à rire et Fenrir sentait bien qu'on se foutait de sa gueule. Il commençait vraiment à comprendre Runa lorsqu'elle disait qu'elle détestait être prise pour une bille. On admet, elle est jolie à regarder et surtout, un petit air innocent. Mais on sait, pour ceux qui la connaissent, qu'elle est tout sauf innocente.
Il vit que son sort finissait de faire effet. Il lui restait plus que quelque instant de répit. Il devait avoir une idée et vite. N'importe quoi. Bon, ils sont où les pièges Dwemers lorsqu'on a besoin d'eux ? Il ne sait pas lui ? Une petite sphère dans le coin ? Une balise ? Un centurion au pire … Mise à part cette étrange boule de lumière dans son dos. Rien.
- Il est redevenu visible !
Il jura un cours instant avant de voir les deux vampires lui sauter dessus. Il réussit à transpercer le premier mais le second lui planta ses mains dans le tissu de son armure. Avec la force de l'impact, il sentit qu'il touchait la drôle de petite lumière étrange. Il ne sait pas pourquoi mais ce n'était vraiment pas bon signe.
Runa se redressa dans la citerne, sentant comme un danger imminent. Elle regarda alors Onmund qui semblait perdu dans l'immensité des limbes, observant le mur comme si il voyait quelque chose. Son visage totalement neutre. Elle était sûre, quelque chose se passait. Mais quoi ?
Fenrir et le maitre vampire regardèrent sans comprendre la lumière tourner autour de la cage qui les avait coincés. C'était quoi la suite ? Une cohorte d'automates nains fous furieux ? Le signal sonore recommença, moins fort que la première fois. C'était déjà ça. Mais lorsqu'elle revint au centre de la pièce, le nordique sentit le coup fourré à plein nez. Le vampire ressauta sur lui mais ne put l'atteindre. Le sol venait de s'ouvrir sous leurs pieds. Fenrir regarda alors le vide avec une goutte de sueur. Ce n'était pas ce qui était prévue. Ce qui était prévu à l'initiale, c'était qu'il allait aider un vieil homme. Puis, il allait à Faillaise pour rejoindre Runa et les autres pour se marier. Ne pas aller à Sovngarde après être mort écrasé au sol.
Il nota au moins une chose, la tête du vampire valait le détour. On pourrait presque croire qu'il allait s'oublier. Fenrir ne put s'empêcher de rire aux éclats sous le regard terrifié du mort vivant.
- COMMENT POUVEZ VOUS RIRE, MORTEL, ALORS QUE NOUS ALLONS TOUT DEUX MOURIR ?
- Désolé, mais comme dirait ma fiancée, votre expression m'a fait mourir de rire. … J'ai cru en vous voyant que si vous aviez une autre expression, votre visage se fissurerait. Alors, excusez-moi de rire.
Le nordique partit de plus belle car le visage de son camarade de chute était devenu outré par la déclaration. Il avait passé trop de temps avec Runa. À croire que la mort ne lui faisait plus peur. Ce n'était pas vraiment vrai, mais il considérait que c'était une aventure comme une autre.
- Et vous n'avez pas peur ?
- Si, mais je dois admettre que j'ai plus peur de Runa qui, je suis sûr, serait capable de venir me chercher à Sovngarde par la peau du cou pour me ramener dans le monde des vivants.
Pendant une bonne dizaine de minute, ils tombèrent. Fenrir vit alors une surface se dessiner en dessous d'eux. Peut-être la mort ? Il vit alors son camarade percuter une plateforme de pierre mais lui continua sa course. Lorsque son corps percuta une surface liquide, son esprit sombra alors dans le noir total. La dernière pensée qu'il eut fut une image de Runa, la jeune rougegarde, souriante, marchant devant lui sur les plaines de Bordeciel. Lui faisait signe de venir la rejoindre.
Fenrir sentit la terre ferme, mais il avait froid. Il ouvrit les yeux, se sentant planant. À voir l'ambiance du coin, c'est sûr, ce n'était pas Sovngarde. Il dirait plus une grotte dans le fin fond des entrailles de la terre avec une lumière fournit par les étranges pierres cristallisées. Il se hissa malgré la fatigue, entièrement sur la berge. S'appuyant contre la roche, il vérifia si tout fonctionnait. Il frotta la blessure de la morsure, la sentant encore lancinante. Comme s'il y avait encore la paire de dents plantées dedans. La fatigue lui brumait la vue. Il se leva néanmoins pour se caller contre la paroi de la caverne pour éviter d'être repéré ou de prendre l'une des roches sur lui. Il trouva un espace cacher derrière un rocher pas loin de la berge et s'appuya contre. Rapidement, avec le peu de force qui lui restait, il posa des runes explosives de foudre et de feu au cas où il aurait un visiteur opportun. Puis, il s'endormit, ne pouvant plus avancer plus loin pour l'instant.
Runa regarda l'ombre du soleil disparaitre derrière les montagnes de Bordeciel. Elle frissonnait, sentant comme un danger planer au-dessus d'elle et de ces amis. Elle espérait que Fenrir arriverait bientôt. Il fallait qu'il arrive. Il ne restait plus que trois jours. Elle souhaitait qu'il ne soit rien arriver à son fiancé.
Le lendemain dans la journée.
Fenrir ouvrit les yeux, ne sachant pas combien de temps il avait été inconscient. Il s'assit, se frottant le cou. Il regarda alors la blessure qu'il avait acquise dans son combat. Le nordique fronça les sourcils avant de chercher dans son sac une potion de soin pour avoir assez de force pour aller jusqu'à Faillaise. Il but le liquide avant de sentir les effets dans tout son corps. Sentant ainsi disparaitre toutes les douleurs des coups et des courbatures.
Il reprit son sac qui flottait encore à la surface de l'eau et en sortit un arc et des flèches. Ça lui suffirait pour le moment. Il trouvera bien quelque chose sur le chemin pour remplacer son épée. Fenrir remonta dans l'unique galerie qui s'offrait à lui. En marchant furtivement, il entendit des grognements. Super, maintenant, après les vampires, il avait le droit aux falmers. C'était quoi le prochain cadeau ? Une ribambelle de Thalmors ? Rapidement, il se calla contre le mur, voyant passer un falmer en armure. Mais avec une épée. … ça ressemblait étrangement à la sienne. … Mais C'était la sienne !
Qu'est-ce que cette créature difforme faisait avec ? L'avait-elle trouvé plus haut ? Quoique c'était amusant de voir le falmer tenter de la soulever. Il n'y avait que lui où Runa qui pouvait la brandir. Alors les autres, … Bref. La bestiole était quand même là devant l'épée.
- Mer …ci les divins !
À peine avait-il murmuré sa frustration, que la créature se retourna pour le chercher. Le nordique brandit alors l'arc et le projectile transperça la tête du Falmer. Fenrir reprit son arme, notant qu'un liquide avait été mis dessus. Poison ? Surement. Il continua d'avancer durant toute la journée dans la grotte, tuant les créatures qu'il croisait ainsi que les chaurus un peu trop affectueux. Oui, affectueux. Il utilisait ce terme car il y avait rien d'autre pour définir le fait que ces petits insectes s'accrochaient à vous comme des huitres à un rocher.
Il arriva sur un promontoire rocheux et nota quelque chose, un visage familier figé à jamais par l'empreinte de la mort. Son camarade vampire.
- Eh bien collègue de chute ? L'atterrissage ? Ce n'est pas ton fort. Tu feras peut être mieux la prochaine fois. …. Je traine trop avec Runa … ha ha ha ! Je me demande maintenant si Hadrim réussit enfin à atterrir sans détruire tout sur son passage. Déjà le Vermidor qui a failli y passé il y a peu. Les gardes n'étaient vraiment pas contents. … Et le vieil Eorlund avec un dragon la tête planté dans sa forge, ce n'est pas quelques choses auquel il s'attendait de si bon matin.
Fenrir se mit à rire en repensant à ce qui s'était déroulé il y a peu dans Blancherive pour un seul atterrissage du nouveau gardien de Sovngarde. Même Odahviing et Nafaalilargus se marraient à ce moment-là. Et ce n'est pas une chose commune de voir un dragon rire, alors deux, ça sortait carrément du réel.
Il regarda le bandit avec interrogation. Comment il était arrivé là ? La grotte la crique pierreuse. … Il était à la grotte de la crique pierreuse. Un des repères de bandits connu dans tout Bordeciel au même titre que la tanière de l'escroc. Un jour et demi à naviguer dans une grotte remplit de falmer après une chute d'une ruine dwemer pour finir dans une grotte remplit de bandit. Et il en connaissait certain les ayant croisés sur les routes et leurs avoir donnés une correction. Lorsque l'un des coupe-jarrets nota sa présence, il lâcha sa pioche et commença à bégayer.
- Tu … tu … Tu … Tu es l'enfant de dragon ?
- … B'Jour !
- Ne nous tuez pas !
- … Si vous me laissez sortir tranquillement, je verrais.
Tous les bandits lui laissèrent un passage, se planquant derrières les rocheux ou tonneaux comme cherchant un bouclier. Runa avait raison, fait peur à un chef bandit et le laisser en vie donne des avantages lorsque l'on recroise la même troupe. Ils savent qu'il ne faut pas énerver le dragon.
Il arriva à la lumière du jour, respirant le bon air frais du soir.
Un bruit de sabot l'interpella. Il tourna les yeux pour voir une jument au pelage aussi noire que la nuit et des yeux aussi rouge que le sang. Il émit un soupir en regardant l'animal.
- Je me demande toujours comment fait Lucien pour que sa jument me retrouve. … Bonjour Crin D'Ombre. Comment tu m'as retrouvé ?
- ….
- Je parle à un cheval. … Je crois que je vais aller directement me coucher arrivé à Faillaise.
Il enfourcha le destrier, se laissant guider par ce dernier jusqu'à la ville des voleurs. Il avait hâte d'y être mais le sommeil était là.
Bon, comme dit au début, petit message important. Je vous ai parlé d'une guilde Sur Elder Scroll online qui recrute encore des joueurs de tout les niveaux. Guilde sympathique, conviviale avec un certain savoir vivre (blague et bonne humeur obligatoire ^^ (la plupart du temps)). Il s'agit de la guilde de Gaia. Si vous êtes intéressés, contactez lifi-01 qui est la Maitre de Guilde.
- Fin des messages et j'annonce un retour de fromage avec Shéogorath qui se demande si on peut lui trouver un tapis en vampire ... Tant que c'est pas moi le tapis, tout va très bien, n'est ce pas Runa?
- Précisément.