La première année à l'école de sorcellerie Poudlard venait de s'achever pour Harry. Il était tant pour lui de rentrer passer ses vacances d'été chez son oncle et sa tante. Il était difficile de savoir lesquels étaient le plus fâchés de devoir cohabiter ensemble pendant deux mois.

Harry s'était dit que maintenant que les Dursley pensait qu'il pouvait utiliser la magie contre eux car il ne comptait pas leur parler de l'usage de restriction de la magie chez les sorciers de premier cycle, ils auraient suffisamment peur pour le laisser tranquille et ne pas faire de lui un esclave comme les onzes malheureuses années qui avaient précédés son entrée à Poudlard .

Quand à Vernon Dursley, lui, ne voyait pas les choses comme ça. En effet, l'année n'avait pas était très bonne : son entreprise était à deux doigts de couler et Pétunia n'arrivait plus a assouvir ses désirs sexuel assez particuliers. Il s'était mis en tête que c'était son bon à rien de neveu lui avait jeté un sort, une malédiction ou un truc du genre pour se venger de l'avoir tyrannisé lors de son enfance.

Le jour où Harry devait rentrer au 4, Prive Drive était arrivé. Après des au revoir émouvant, Harry rejoint son oncle, qui était venu le chercher à la gare, sur le parking. Le trajet se fît dans un silence de mort. Arrivé à destination, l'oncle Vernon déchargea les affaires d'Harry de la voiture. Celui-ci s'en étonna car jamais auparavant son oncle ne s'était tué à la tache pour son neveu (En général c'était plutôt l'inverse !), Harry comprit bien vite que le geste de l'oncle Vernon ne partait pas d'une bonne intention. En effet, Vernon alla enfermer la malle, la baguette magique et le balai de Harry au sous-sol. Il mît même un cadenas à la cage d'Hedwige. Harry, désemparé, regardait son oncle mettre toute ses affaires sous clé. Et puis sans baguette magique il n'avait plus aucune chance de faire peur au Dursley !

-Adieu vacance tranquille, se dit-il.

Puis, sans prévenir, Vernon attrapa Harry par la peau du cou, le traîna violemment jusqu'à un placard situé sous l'escalier, ouvrit la porte et jeta Harry sur le lit qui occupait toute la petite et miteuse pièce. Il ferma la « chambre » à clé.Harry resta trois jours entier sans qu'on lui donne ni à manger, ni à boire. Son ventre commençait sérieusement à crier famine. Ce n'est qu'au bout du troisième jour, après avoir hurlé à la mort, que la tante Pétunia dénia lui apporter une bouteille d'eau et une miche de pain, en faisant bien attention que Vernon ne se rende compte de ne mangeât et ne bu pas tout même s'il en avait très envie mais comme il ne savait pas quand sa tante le nourrirait à nouveau, il valait mieux ne pas prendre de risque et faire des ré se demandait à quoi jouaient les Dursley. Bien sure il n'avait jamais était nourri à sa faim chez les Dursley mais jamais il ne l'avait privé de nourriture.
Voulaient-ils qu'il meure de faim ? Leur haine envers leur neveu avait-elle encore augmenté au cours de l'année solaire ?

Ce soir là, Harry s'endormit avec grande difficulté. Au plein milieu de la nuit Harry se réveilla en sursaut : il avait entendu des bruits de pas ! D'un coup la porte de sa « chambre » s'ouvrit. C'était l'oncle Vernon ! Harry fût d'abord surpris, qu'est-ce que son oncle lui voulait en plaine nuit ? puis ce fût la peur qui prit place en Harry car Vernon affichait un air méchant. Vernon fît comprendre à Harry qu'il valait mieux qu'il ne fasse pas de bruit, puis il fît signe à son neveu de le suivre. Il se dirigeait vers le sous-sol !

Arrivé au sous-sol, l'oncle Vernon gifla violemment Harry.

-Pourquoi ? demanda Harry en pleure.

-Tu le mérite, répondit Vernon, voilà pourquoi.

-Mais je n'ai rien fait, protesta Harry.

-La ferme ! Petit monstre, cracha Vernon. Je vais te faire payer le jour où tu as décidé de te venger.

-Je n'ai jamais rien fait contre vous, essayas de se défendre Harry

-Ignoble petit menteur.

Et sans laisser plus de temps à Harry de se justifier, l'oncle Vernon le rua de coups , tous plus violent les uns que les autres. Après dix bonnes minutes d'une correction intense , il laissa son neveu qui était à peine conscient.

Vernon regardait à présent l'enfant couché à ses pieds avec une lueur perverse dans le regard : la situation l'excitait énormément et puis il y avait tellement longtemps qu'il n'avait pas pris de plaisir. Sans plus attendre, il entreprit de déshabiller Harry, celui-ci , about de force à cause des coups reçu et de la malnutrition, ne pût l'empêcher.L'homme pénétra alors l'enfant. Harry poussa un cri de douleur. Vernon commença alors des vas et viens en lançant des jouissement. Harry hurlant de douleur finit par perdre conscience...