Kikoo tout le monde !!
Je poste juste mon premier OS sur Drago/Hermione. Donc ça sera mon deuxième en tout et ma 4eme histoire. Ouh trop fière mdr.
A cette histoire elle me troter depuis longtemps dans la tête et aujourd'hui j'ais décidé de l'écrire pour de vraie. Bon j'ais rien d'autre à dire sauf que à cause de ce OS j'avais plus d'inspiration pour la fic que j'écris en ce moment. J'espère que ça va revenir maintenant. Et bien lisez et après vous me direz ce que vous en avez pensez et si ça valait le coup de l'écrire lol.
Bien sûr cet OS est classé M alors si vous aimez pas il vaut mieux que vou partes et maintenant même si ça serait dommage. Et maintenant :...
...Bonne lecture.
Une nuit.
Les murs résonnent d'un éco glacé, le sol est froid sous mes pieds, seule, la nuit je m'enfuie loin de la vie que tout le monde croit que j'ais. Seule, la nuit je fais ce que j'aime, je respire enfin et me libère de la prison qu'inconsciemment ils m'ont créée. Seule, la nuit je pars de ses murs glacés de ce château que la nuit fait mourir, seule, je sors respirer l'air froid et mordant de la nuit. Seule avec la nuit je vie. Il fait froid mais j'aime ça, l'air passe et coule sur mon corps comme l'eau d'un ruisseau, elle humidifie le short et la chemise en soie que je porte. J'ais l'impression d'être nue et j'aime ça, le monde m'appartiens. Les lourdes portes de Poudlard s'ouvrent sur mon paradis et me laissent m'enfuir loin des rêves qui ne sont pas les miens. Personne ne me connaît vraiment, ici je ne suis plus la personne qu'ils croient connaître, je ne suis plus celle qu'ils ont modelée pour fermer les yeux sur ma réalité. Pour eux je suis Hermione Granger, rat de bibliothèque, miss-je-sais-tout, fierté du corps enseignant. Ici je suis moi, jeune fille passionnée et libre, mystérieuse et envoûtante, légère et précise, glacé mais brûlante. Pour eux je suis Hermione Granger, trop coincée pour faire autre chose que travailler, trop coincée pour s'amuser. Ici je suis moi, jeune fille trop libre pour s'enfermer, trop légère pour ne pas m'envoler. Pourquoi croient-ils que je ne monte pas sur un balai ? Si je le faisais je n'aurais plus de secret. Pourquoi partager avec eux la chose qui me fait vivre ? Pourquoi leur montrer ce qui m'aide à me libérer de la cage où ils ont emprisonné mon esprit ? Dans le parc de Poudlard je m'envole, je ne redescendrais que lorsque le soleil chassera la nuit, lorsque leur vies reprendront et que la mienne finira pour recommencer une fois le monde endormi.
Loin d'eux je laisse le vent me transporter, je manie mon balai avec une facilité qu'ils envieraient. Je le laisse me guider je n'ais pas besoin de l'aider, la nuit me libère et le chant des hiboux m'accompagnent toujours plus haut, j'aime le vide. La tête en arrière, mon corps suit le mouvement, et moi suspendues dans le vide je me retiens avec mes jambes. Si je lâche je tombe, si je tombe je meurs, mais qu'importe je m'envolerais à nouveau et cette fois, pour ne plus redescendre. Je me laisse guider, les yeux fermer la tête en bas, je ressens le vide sous moi, la vibration de mon balai dans mes jambes et je le sens sans le voir prendre une direction inconnue pour moi, jusqu'à ce que je sente de l'eau effleurer mes doigts. En silence, accompagnée par la nuit, je frôle la surface calme du lac, dessinant des symboles imaginaire avec mes doigts. Mais bientôt je remonte, c'est l'altitude que j'aime, le vide sous moi et l'air froid d'en haut. Je garde les yeux fermés, je n'aime pas voir, j'aime ressentir. Je sais tout les détails même sans les voir, je ressent toute les présences familières autour de moi et cette présence inconnue qui me rejoint au sommet de mon monde, cette présence étrangère que je maudie en silence les yeux fermés. Je la sens voler en cercle autour de moi, ce n'est pas un animal et gardant les yeux fermé je me promet de faire payer à cette élève la violation de mon monde privé. Qui est assez sot pour croire que je vais me laissée tomber, qui croit que je suis là pour me suicider ? Je ne montre donc pas une image heureuse de moi ? Qui a osé m'observer assez pour voir le jeu que je joue tous les jours ? Qui essaye de voir ce que je suis vraiment ? Je garde les yeux fermés et me laisse descendre au sol, le corps et la tête toujours en bas, je descends doucement pour me laisser retomber sur le dos sur l'herbe, mon, balai posé à côté de moi. Je ne partage pas, le vide et la nuit sont à moi. Pourquoi cette personne est là ? Ne peut on pas me laisse vivre ? Qu'ais je fais pour qu'on veuille me voir mourir ? La personne à genoux à côté de moi m'observe, je le sens, je garde les yeux fermés, je ne les ouvrirais pas, je ne partage pas, il ne verra pas tout ce que je peut voir, si je ne le vois pas il ne saura jamais ce que ça représente pour moi, je garde les yeux fermés et ne les ouvrirais pas.
Je sens une odeur familière, c'est une personne que je connais. Pas assez pour que je sache qui c'est grâce à son odeur, assez pour que je sache que je la connais. C'est un garçon. Je garde les yeux fermés. Ne peut-il pas partir et me laisser tranquille ? Ne voit-il pas que je ne veux personne avec moi. Je ne partirais pas avant lui, ce monde est à moi, et, j'ais les yeux fermés je ne peux pas me lever. Pourquoi doit on perturber ma vie ? Ils ont dicté ma vie le jour et maintenant ils viennent m'empêcher de vivre la nuit. Pourquoi on ne me laisse pas tranquille ? Je ne parlerais pas, je ne lui ferais pas ce plaisir, de toute façon la Hermione d'ici ne parle à personne.
-Tu devrais ouvrir les yeux Granger.
Cette voix. Parmi tous les élèves de Poudlard, il a fallu que ça soit lui, lui qui continue à pourrir ma vie. Lui qui va s'empresser de dire à toute la populace que moi Hermione Granger, vole la nuit sur un balai, seulement couverte d'un pyjama qui ne couvre pas grand-chose. Lui qui va faire de ma pseudo vie un enfer, lui qui a fait de ma vie un enfer, lui qui a fait ce que je montre à tous. Lui qui est à côté de moi, et moi qui me suis promis de ne pas ouvrir les yeux. Moi je suis allongée les yeux fermés à côté de Drago Malfoy. Rien que dis penser j'en ai des frissons de dégoût. Et ce connard le remarque.
-Tu as froid Granger ? Tu as besoin d'être réchauffée ?
C'est plus une information qu'une question. Et sans attendre une réponse que je ne lui aurais jamais donnée, il s'installe confortablement sur moi. Mais à quoi joue t-il ? Je préfère endurer un froid que je ne ressens pas plutôt que de devoir supporter sa présence au dessus de moi, sur moi. Je lui dis de dégager ? Non, je ne parlerais pas, je ne lui ferais pas le plaisir de lui montrer que sa présence a assez de valeur pour me faire réagir. Je reste impassible, essayant de percevoir le moindre de ses gestes et... putain quesqu'il fait ? Malfoy, le grand l'illustre Drago Malfoy en ce moment même installer confortablement sur moi, s'amuse à caresser le contour de mon corps. Ses mains passe sur chaque parti de ma peau que le tissu que je porte découvre, donc beaucoup. Que veut il ? Que je gémisse ? Croit il que je vais me mettre à soupirer comme une vierge ? Ou même à m'offusquer comme la sainte nitouche que je suis sensée être ? Désolé je ne suis pas comme ça, et il en faut plus pour me faire gémir. Il est comme tout le monde il me prend pour la gentille petite pucelle qui rougit dès que l'on parle de sexe à côté d'elle. Désolé je ne suis plus comme ça, je n'ais jamais été comme ça. Et ça fait longtemps que ces simples caresses ne me fassent plus d'effet. De nombreux tableaux peuvent en témoigner. Mais personnes ne le sait, les Serpentards n'iront pas ce venter de coucher avec une sang-de-bourbe. Quoi ? Et bien oui des Serpentards. Mais se sont eux les plus doués en la matière et je sais aussi que mon secret et bien gardé avec eux, la preuve tout le monde me croient encore vierge. Depuis toute ces années, ils croient tous que même Ginie a plus d'expérience que moi. Mais si Ginie voyait certaine chose que je fais elle rougirait jusqu'à la racine des cheveux et irait se planquer derrière le grand Harry Potter. Je suis Hermione Granger, jeune dévergondée inconnue. Alors les vulgaires caresses de Malfoy, il peut tout de suite les arrêter, ça me chatouille plus qu'autre chose. J'affiche un sourire sarcastique sur mon visage et apparemment il comprend. Il s'arrête et je le sens qui détail mon visage, à la recherche d'une émotion qu'il ne trouve pas.
-Tu m'impressionnes Granger, la plupart des filles gémissent déjà mon prénom en me demandant de continuer.
Malgré moi je souris. Il est comme les autres, tout les Serpentards sont pareils. Fière arrogant et trop sûr d'eux, surtout dans ses moments là. Je me demande pourquoi ? Certain sont vraiment médiocre, pas beaucoup mais quelques uns. Assez doué pour ne pas m'endormir, pas assez pour me faire éprouver des choses. Mais peut être que le problème vient de moi. Les Serpentards sont assez brutaux, peut être que ce qu'il me faut c'est de la tendresse. Je souris encore plus, si c'est la tendresse que je recherche, ce n'est sûrement pas Malfoy qui sera le plus doué. Je le sens me détailler, ses doigts effleurent chaque nerf, cherchant mon point faible et malgré moi j'aime bien cette légère caresse. Il n'appuie sur aucun endroit de ma peau, osant à peine la toucher. Est-ce que c'est parce qu'il me prend pour une petite fille fragile comme tout le monde ? Ou parce que l'idée qu'il touche une sang-de-bourbe le répugne à ce point ? A cette idée là je m'énerve brusquement et fronce les sourcils. Tout mon corps se raidit et je sens le sang pulser plus vite dans mes veines. Je prends une décision qui me fera peut être perdre beaucoup cette nuit, j'ouvre les yeux. Et je tombe dans un océan d'acier positionné au dessus de moi, je ne l'imaginais pas aussi près. Je n'avais jamais vu ses yeux d'aussi près, on dirait de l'argent liquide, c'est beau, mais c'est froid.
-ça te gêne si je t'appelle Hermione ? D'après moi, en ce moment tu n'es pas la Hermione Granger que je connais. Alors ça ne te gêne pas si ici tu n'es pas Granger mais Hermione ?
Son ton est presque amical. Parle t-il comme ça à toute les files qu'il veut mettre dans son lit ? Il peut tout de suite arrêter, je ne suis pas dans son lit. Et je ne répondrais pas, ça ne nécessite aucune réponse de ma part. Pour moi il sera toujours Malfoy, ici ou ailleurs. Et pourquoi faut-il qu'il comprenne qu'ici je suis différente ? ç'aurait été un autre encore à la limite, mais lui. Il va aller dire ça à tout le monde et mes nuits seront mortes. Je ne pourrais plus jamais voler. A cette idée ma vision devient trouble et des larmes tracent des sillons jusqu'à mes lèvres, j'ais toujours été trop sensible. Mais je ne supporte pas l'idée d'abandonner cette liberté. Au dessus de moi Malfoy me regarde surpris, je m'en fou, il est entré dans mon monde sans rien demander, à lui d'en subir les conséquences. Si j'ais envie de pleurer je pleure, si il est gêné qu'il parte ça me laissera une dernière nuit pour visiter le ciel. Les larmes inondent mon visage, et je sens leur goût salé sur mes lèvres. Et ce Serpentard qui sourit. Vas-y fou toi de ma gueule, tu ne sais faire que ça de toute façon. Je ne détournerais pas les yeux, je n'ais pas honte de pleurer, parce que je pleure pour quelque chose que j'aime, que j'aimais. Et là, Malfoy approche doucement son visage du mien. Mais qu'est-ce qu'y lui prend ? Il est beaucoup trop près à mon goût, contre ma peau je sens la pression de ses lèvres qui suivent les marques laissées par mes larmes. Doucement il suit petit à petit le chemin menant à mes lèvres. Il a positionné ses bras de chaque côté de ma tête pour retenir son pois, est-ce vraiment le Malfoy que je connais ? Peut importe, là pour une fois je suis bien, et je suis même prête à me laisser faire, en attendant de voir ce qu'il veut vraiment. Je n'ais plus aucune larmes sur mon visage, de ses lèvres il a tout effacé et au-dessus de moi il me fixe, attentant peut être une approbation que je ne lui donne pas clairement. Un sourire made in Malfoy sur le visage, il se penche jusqu'à atteindre mes lèvres. Personnes ne m'a jamais embrassé comme ça. Il effleure légèrement mes lèvres sans jamais vraiment m'embrasser, c'est agaçant. Il ne peut pas y aller franchement ? Lit-il dans mes pensés ? Je sens sa langue qui retrace le contour de ma bouche, il mordille ma lèvre supérieure, demandant une chose que je lui donne volontiers. J'entrouvre la bouche, lui laissant le passage libre d'en explorer chaque recoin, il embrasse bien. Et malgré moi, j'aime ça. Il m'entraîne dans un baisé enfiévré, les bras le long du corps je ne fais que lui répondre. Je le sens sourire contre ma bouche lorsqu'il arrête de m'embrasser et là je suis légèrement inquiète.
-Parmi les Serpentards ont parle beaucoup de toi, il y a même des paris. Celui qui arrive à te faire jouir le plus gagne. Pour le moment je crois que c'est Blaise qui gagne. Tu m'intrigues, je ne te croyais pas comme ça. Mais ne t'inquiète pas ton secret est bien gardé avec nous, personnes ne dira rien. Je crois même qu'ils t'aiment bien, contrairement à ce que tu pense les sang-de-bourbe ne les répugnent pas temps que ça. Et si ils ne c'étaient pas autant attaché à toi, ton secret n'en serait plus un depuis longtemps. Ils te décrivent tous comme "la fille le plus mystérieuse de Poudlard". N'est-ce pas mignon ? On va faire un jeu...Hermione. Tu vas te laisser faire, tu ne bouges pas, je m'occupe de toi. On va voir jusqu'à qu'elle point tu peux garder le contrôle de toi.
Il me sourit légèrement. Est-il sérieux ? Les Serpentards m'aiment bien ? C'est quoi ce conte qu'il m'invente là ? Bien sûr que c'est ce que j'inspire aux Serpentards qui les empêchent de parler. Il a but avant de venir ? Décidément ce qu'il se passe m'échappe totalement. Je ne comprends qu'une seule chose. Il veut jouer. Je lui adresse un sourire moqueur, signe chez moi que je me fou de ce qu'il peut dire. Il me sourit en retour et l'assurance qui ressort de ce geste me perturbe légèrement. Que va-t-il m'arriver maintenant ? Dans quoi me suis-je lancée ? De toutes mes forces je me concentre, me préparant à paraître insensible à ce qu'il va bien pouvoir me faire. Je ne dois pas bouger et me laisser faire, tel est la règle du jeu. Du moins si je décide de la respecter. Ce que je ferais si il ne dépasse pas les limites. Si il ne dépasse pas mes limites.
Il se penche vers moi et pose ces lèvres à la base de mon coup, je comprends soudainement qu'il ne m'embrassera pas. Comme la plupart des Serpentards, pour eux les baisers sont réservés à la personne qu'il aimeront vraiment, ce que l'on a échangé tout à l'heure n'en était pas un, pas un vrai, pas pour lui. Il suçote mon coup, suivant une ligne imaginaire qui le mène jusqu'à ma clavicule, des frissons remontent le long de mon dos et je mets ça sur le compte de l'air frais. Le passage de sa langue laisse une traîné humide tout le long du chemin qu'il empreinte, sa bouche vient trouver refuge dans le creux de ma gorge qu'il explore à sa guise, prenant le temps de lécher chaque centimètre de peau, de mordiller le moindre endroit accessible à ses dents. Ses mains détachent lentement les boutons de ma chemise, je souris. Serpentard jusqu'au bout des doigts, toujours trop pressé de voir ce que je cache en dessous. Son entreprise finie il n'écarte pas les pans de ma chemise désormais ouverte et se redresse, plantant ses yeux dans les miens. Je me retrouve à nouveau dans la contemplation de ses iris, me perdant dans leurs profondeurs. Pour la première fois, je vois un vrai sourire apparaître sur son visage, illuminant tout ses traits, dissipant tout les défauts qu'aux cours des années je me suis efforcé de trouver sur son visage. Il saisis une de mes mains, je me laisse faire, il l'emmène jusqu'à ma chemise qu'il écarte à l'aide de ma main, les yeux toujours plongés dans les miens. Il a un comportement curieux, je ne le comprend pas, à vrai dire je n'ais pas envie de comprendre, cette part de mystère m'envoûte. L'air frais sur ma peau nu m'arrache des frissons que je ne peux contrôler. Il ne manquerait plus qu'il interprète ça comme du plaisir.
-Le vent te donne plus de plaisir que moi ? Je suis vexé.
Si ce n'était pas Drago Malfoy, là, au dessus de moi, j'aurais éclatée de rire. Je ne l'imaginais pas comme ça, sarcastique, rusé, ignoble ou comme vous voulez mais pas comme ça, c'est indescriptible. Il emploie un ton qui me charme étrangement, ses mains se font douce sur mon corps, il a compris que j'aime la tendresse et il réussi étonnamment bien à m'en donner l'illusion en ce moment. Pour la première fois je laisse mon regard se perdre en dessous de son visage, ne pouvant m'en empêcher je grogne en tombant sur un t-shirt large me gâchant la vue. Devinant la cause de mon grognement Malfoy retire son t-shirt non sans un sourire purement moqueur, mais je m'en fou, devant mes yeux ébahi il vient de dévoiler le torse le plus beau que j'ais jamais vu. Je suis persuadé que ce n'est pas le quidditch qui lui a donné des muscles aussi parfaits, Harry et Ron ne sont pas mais alors vraiment pas comme ça. Je comprends soudainement ce que les filles lui trouvent, ce que je me cachais à moi-même : Malfoy à un physique parfait. Un désir impérieux me submerge et je temps une main vers cette perfection avant de me souvenir que je ne dois rien faire. Un sifflement furieux grince entre mes dents et je me promet mentalement de ne plus rien accepter si je ne suis pas sur à 100 de ne pas le faire. Malfoy à l'air satisfait. Il ferait bien d'effacer ce sourire suffisant de sa tête de blond platine avant que je ne lui fasse bouffer. J'ais ouvert les yeux, je peux très bien me mettre à parler et puis je n'ais rien signé pour tenir mon engagement alors rien ne m'oblige de ne rien faire. Essayant de faire de mon mieux pour me détendre je reporte mon attention vers une zone moins tentatrice : son visage. Il est beau. C'est une remarque simple, mais vraie. Quand il n'affiche pas son rictus moqueur, il est plus beau. J'attend tranquillement qu'il se décide à faire quelque chose, j'ais froid moi, il ne faudrait pas l'oublier. Il me sourit timidement avant de baisser les yeux vers ma poitrine. Un sacré numéraux se Malfoy, simuler la timidité pour m'attendrir. Raté, ça m'énerve plus qu'autre chose, personne ne joue un jeu aussi hypocrite avec moi.
-Malfoy si tu crois que je vais attendre éternellement que t'arrêtes de jouer les timides tu te trompes.
Il plante à nouveau ses yeux dans les miens et me fait un sourire triomphant. Faut que j'apprenne à fermer ma gueule, j'aime pas voir Malfoy gagner comme ça. Je viens de lui donner exactement ce qu'il voulait. En parlant je lui ais prouvé que son manque de réaction me perturbe. Il se penche vers moi et son torse exerce une pression sur ma poitrine durcie par le froid et je sens comme des décharges électriques affluer vers mon ventre. Et j'entends à nouveau sa voix, la voix qu'il emploie pour me rabaisser devant tout le monde, me murmurer à l'oreille :
-Eh bien Hermione. Tu en as mis du temps pour parler. Tu sais, c'est vexant de t'entendre m'appeler Malfoy. Et si tu m'appeler Drago ? Ça serais dommage que tu cris mon nom au lieu de mon prénom quand je t'aurais donné plus de plaisir que tu en n'as jamais eu. Tu ne crois pas ?
Non mais pour qui il se prend ? Comment ose t-il me parler comme ça ? Sale Serpentard prétentieux et arrogant sale enculé de Malfoy. Il ne changera jamais. Qu'est-ce qu'il m'as pris de me laisser caresser par lui sans réagir ? Je dois être complètement cinglé. Et il y 10 minute à peine je le trouvais beau. On m'a jeté un sort c'est la seule explication. Et en plus il sourit. Il manquait plus que ça. Qu'il se foute de ma gueule. Non mais qu'est-ce qu'il croit ? Que je vais rester la sans faire sans rien dire ? Sale bâtard visqueux. Je vais lui faire ravaler sa fierté ça va être vite fait.
-Je n'aurais pas l'occasion de crier ton prénom dans l'extase Malfoy. Pour la bonne raison que je n'irais pas plus loin avec toi. Tu me répugnes. Le simple souvenir de tes mains sur moi me donne envie de vomir. Je préférais me faire baiser par un hippogriffe plutôt que par toi. Maintenant casse toi, je ne coucherais pas avec toi.
J'ais été assez convaincante ? Pour moi oui, apparemment pour lui non. Pourquoi ne part-il pas ? C'est dans ces moments là que je regrette de ne pas avoir ma baguette. Il n'a même pas l'air en colère. Son visage n'exprime rien comme d'habitude. La seule chose qu'il laisse montrer c'est son faux sourire qui déforme ses traits. Même ses yeux ne montrent rien. De la pierre, de l'argent solidifié, c'est ce que je vois dans ses yeux, aucun sentiment, rien même pas une étincelle qui prouverait qu'il est vivant. Il attrape durement mes poignés et les positionne au-dessus de ma tête. Peut être est il énervé en fin de compte. Je vois sa mâchoire tressaillir légèrement. Tique nerveux ou contraction dût à une colère contenue ? Peut être les deux. En tous cas ce que j'ais dis ne le laisse pas indifférent et j'en suis fière. C'est ce que je voulais, le faire réagir. Il a des mains larges et puissantes, je le remarque maintenant. Il tien mes deux poigné fermement emprisonné dans l'étau d'une seule de ses mains, son autre main reposant négligemment dans mes cheveux. Je sens son haleine près de mon visage : du citron. Le goût légèrement acide de ses lèvres vient sûrement de là, j'aime bien. Il se déplace légèrement, s'installant plus confortablement. Sa main libre par explorer mon corps, s'attardant essentiellement sur ma poitrine plus que sensible. Merlin, non.
-Pourquoi ne te laisserais tu pas faire Hermione ? Un peu de plaisir ne fait de mal à personne et là, on est tout les deux gagnant. N'essaye pas de résister, le plaisir sera moins grand, pour toi comme pour moi. Tu veux bien m'appeler Drago aussi ?
J'acquiesce silencieusement, acceptant de retirer mon masque devant lui pour une nuit. Cette nuit, ma vie d'une nuit, je la laisse entre ses mains. Il me fait un faible sourire, remerciement discret pour ce que je lui offre. La pression autour de mes poignés se relâche, je souris et frotte légèrement la marque rouge imprimé sur ma peau. Drago se redresse et je m'assois devant lui, ma chemise toujours ouverte. Je lui souris presque timidement, une première pour moi, je me lève et recule de deux pas. Son regard perçant ne me lâche pas, il me brûle la peau et me donne des frissons ou c'est peu être la brise. Je redresse la tête, je ne sais plus ce que je fais, je ne me contrôle plus, cette nuit m'ensorcelle et guide mon corps qui échappe à mon contrôle. Je laisse tomber ma chemise au sol et tends la main vers Drago, l'invitant à me rejoindre. Il se lève, il est beau, mystérieux et presque ténébreux, j'adore, dîtes je rêve ? A mon avis je fantasme à mort en rêve. Pas que je fantasme sur Drago, mais là il représente tout ce qui me fait craquer chez un mec. Le contact de son torse chaud sur la pointe de mes seins dressé et ses mains froides sur mes anches m'empêchent de croire à un rêve. Je ressens trop de sensations pour dormir réellement. Je ne ressent plus le froid, la chaleur de son corps m'enveloppe, je ne vois plus le décor, trop absorbé par la contemplation de son corps. Je perds la tête qu'est-ce qui m'arrive ? Je me retrouve noyé par un océan de caresse, de frissons de plaisir et à ma grande consternation, de tendresse. Je deviens une poupée disloquée, une marionnette entre des mains de professionnel. Je m'ouvre complètement à lui et lui fait cadeau de mon corps, sans arrière pensé, sans remords. Je remets mon corps entre ses mains, gardant mon cœur à l'abri. Je gémis faiblement, me libérant complètement. Nos deux corps bougent à l'unisson, entraînés dans une danse de plaisir charnel. La tête légèrement en arrière je contemple le ciel étoilé, mes mains caressent des abdos bien dessinés et quand je bouge un peu la tête je peux embrasser la peau sucrée de l'homme contre moi. J'ais la poitrine sensible se soir, et Drago le sent. Une de ses main et posé contre mes reins, me retenant pour m'empêcher de tomber, son autre mains redessine les contours de ma poitrine. Doucement il effleure les alvéoles brunes et leurs pointes fièrement dressées, sans les pincées il en trace le contour, les faits rouler entre ses doigts et délice suprême, sa bouche rejoint sa main. Je gémis plus fort. Comme une jeune vierge je découvre ou plutôt redécouvre le feu brûlant qui couve dans mon bas ventre, je me sens dévoré de l'intérieur et je donnerais tout pour que ça s'arrête. Pourtant je m'approche encore plus que lui, cherchant plus de contact. Merlin je me sens bien. J'ondule contre lui, comme un roseau ployant sous le pois de l'eau, des gémissements plus ou moins appuyés prennent naissance dans ma gorge et viennent finir leur course dans la nuit. J'aimerais que ça ne finisse jamais.
Mon rythme cardiaque s'accélère, de la fumé blanche sort de ma bouche et ce mêle au souffle de Drago, j'en peux plus. La situation m'échappe, je ne contrôle plus rien et ça me fait bizarre. J'ais toujours eu l'habitude de mener le jeu, et là, je me laisse emporter, je ne tente pas de maîtriser ce qui nous emporte. Ne me demandez pas comment mais Drago est simplement en boxer et je me retrouve bientôt à nouveau allongé sous lui. Je devient pressé et le supplie du regard d'aller plus vite. Il me répond d'un sourire moqueur et prend encore plus plaisir à aller doucement, comprenant ma frustration. Une chaleur inconnu m'enveloppe, l'air est froid, je le sens quand je touche du doigt l'humidité de l'herbe. Alors d'où vient la chaleur qui m'entour et me fait transpirer ? Est-ce le feu intérieur qui brûle dans mon ventre ? Ou la chaleur envoûtante que dégage le corps de dieu grecque de Drago. On pourrait nous voir. Je pense à ça soudain et ça ne fait qu'amplifié les frissons de plaisir qui courent sur chaque parcelle de mon corps. Je gémis quand je sens l'érection de Drago coller à mon bassin. Son boxer et mon short m'énervent sérieusement, ils empêchent le contact de nos deux peaux et par la même occasion, un plaisir plus intense. Je lui retire son sous-vêtements dévoilant une érection impressionnante, j'en soupir de plaisir rien que de l'imaginer en moi. Mais quand j'amorce un mouvement pour retirer mon dernier vêtement, Drago m'arrête et plante ses yeux dans les miens en souriant.
-Ne sois pas si pressé Hermione. Tu es tellement belle en ce moment. Laisse moi profiter de ça. Pourquoi gâcher le plaisir en étant plus pressé ? Cette nuit nous appartiens.
Il essaye de m'attendrir avec ces belles paroles. Je le sens. Mais je ne me laisserais pas avoir, j'en ai besoin là maintenant, ça en devient vital et je n'ais pas l'intention d'attendre. Je tends une main vers l'objet de mes désirs et le saisis à pleine main. Je sens le corps de Drago se crisper entièrement au dessus de moi avant de se détendre en même temps qu'un râle roque sort de sa bouche. Je le caresse lentement, sentant les petites veines qui palpitent sous mes doigts. Je vois le visage de Drago tordue de plaisir, j'entends les gémissements retenus qui sortent de sa bouche et j'appuie plus fort sur certaine partie de son sexe dressé. Je veux l'entendre crier de plaisir, je veux le voir perdre le contrôle. Je veux qu'il me prenne brutalement, sans l'amour qu'il ne possède pas, je veux qu'il vienne en moi maintenant. Ne plus ressentir ce feu qui me dévore et en même temps tout faire pour intensifier cette sensation. Brûlante de la fièvre du désir qui embrase chaque cellule de mon corps, je veux sentir ses mains sur moi. Mais il ne bouge pas, uniquement concentrer sur son propre plaisir. Il est beau et d'après lui je suis belle, mais là je m'en fou, ces détails sont relégués au second plant en ce moment. De toute façon demain tout redeviendra comme avant et pour lui je serais à nouveau la sang-de-bourbe aux dents de lapins. Je ne dois pas penser à ça, non, juste me concentrer sur mon plaisir et sur le sien. Je saisis brusquement une de ses mains, ce qui a pour effet de le faire ouvrir les yeux. Il me regarde étrangement et moi je ferme les yeux, me mordant légèrement la lèvre. Une de mes mains caressent toujours le membre dur entre mes doigts, l'autre occupé à balader celle de Drago sur mon corps. Je la guide plus bas, vers mon entre brûlant, et d'un mouvement souple j'envoie valser mon short. J'ouvre les yeux à nouveau, le fixant intensément et je sais que ce que je lis dans les yeux du Serpentards est l'exacte réplique de ce qui brillent dans les mieux : le désir. Sans plus réfléchir je pose la main de Drago sur mes partis intimes et sans me retenir je pousse un cri de plaisir en sentant ses doigts commencer à me caresser. Je lui lâche la main et pose la mienne dans son dos, dans le creux de ses reins et je sens une chaleur encore plus brûlante m'envahir.
-Tu as peut être raison. Prendre son temps, c'est frustrant.
Il peut pas se taire ? J'ais l'impression de passer mon temps à prier pour qu'il arrête de me parler. Ce mec est fou ou insensible. Ou peut être que je ne suis pas assez belle pour qu'il prenne pleinement plaisir à ce qu'il fait. Ah fois de Hermione, même si il n'aime pas ce qu'il voit je vais lui faire aimer ce qu'il fait. J'ondule du bassin, accentue mes gémissement et ma main se fait plus sensuelle autour de son sexe tandis que l'autre s'agrippe à ses fesses, que j'avoue son ronde et ferme, tout ce qu'il me faut. Je l'entends gémir et il enfouie sa tête dans le creux de mon coup, espèrent sûrement ainsi étouffer la preuve même que je lui donne du plaisir. Je souris, fière de l'effet que je produis sur son corps. Ses mains s'active sur moi et sans pouvoir contrôler ce qui m'arrive, mon corps se contracte en entier, je sens les muscle de mon vagin emprisonner les doigts de Drago, je ressens avec plus d'intensité les frissons qui court dans mon dos et le feu qui brûle habituellement dans mon bas-ventre m'envahis tout entière. Des papillons volent devant mes yeux et je me sens m'envoler hors de mon corps et de se monde tandis qu'un long cris s'échappe de mes lèvres. Finalement je me serrais quand même envolée se soir. Pendant un moment je flotte à la dérive, emportée par le courant du désir vers la planète du plaisir. Si le paradis est ainsi je signe tout de suite. Mais le paradis ce sont les anges si sages et bien élevés, l'enfer c'est l'entre du diable, de la luxure et de l'interdit. L'enfer est peut être plus approprié pour de pareil sensation. Et brutalement je me sens reprendre possession de mon corps grâce à un mouvement habile des doigts de Drago qui renvoie le plaisir dans mon corps. Je suis pantelante de fièvre, couverte de transpiration et inondée de plaisir, une poupée livrée entre les mains de cette sucrerie interdite. Les yeux de Drago brillent d'une lueur étrange et il affiche un sourire franc qui me désarme. Rien que ce regard me renvoie direct vers le sommet désormais connu du désir. Malgré l'orgasme fulgurant que je viens d'avoir je veux plus, toujours plus. De ma main emprisonnant le membre dressé de Drago, je le tire vers moi, jusqu'à l'entrée palpitante de la grotte bouillante qu'est devenu mon sexe. Je le lâche, noue mes deux mains derrière sa nuque et emprisonne ses fesses de mes cuisses musclées. Un simple regard du Serpentard cèle cette étrange nuit, je l'attire brusquement vers moi avec mes jambes et sans difficulté aucune il rentre enfin en moi. Devient-il aussi pressé que moi ? Il commence un mouvement rapide qui me fait hurler, pendant cet instant je retrouve la brutalité naturelle des Serpentards et ça ne fait qu'augmenter le plaisir presque trop intense que je ressens. Je griffe son dos en tentant de me retenir à lui, j'ai l'impression de sombrer et de m'envoler en même temp. Comme lors d'un doloris je transpire de partout et ma tête tourne, pourtant je ne cris pas de souffrance mais de plaisir. Je hurle pour expulser la chaleur qui m'envahis et propulse de l'électricité sur chaque parcelle de mon corps. Je hurle à en perdre la voix. Il accélère encore et là je suis perdue. Je l'entends gémir de plaisir comme étouffer derrière en voile, mes cris résonnent à mes oreilles et devant mes yeux grands ouverts on dirait que les étoiles éclatent avec moi. Mon cœur cogne contre ma poitrine, j'ai l'impression qu'il va jaillir d'un moment à l'autre et me laisser ici en partant sans moi. C'est impossible de ressentir autant de sensations. Personne ne peut survivre à ça. Je vais peut être mourir, mourir de plaisir. J'attends la délivrance en hurlant à chacun de ses mouvements. Son sexe entre et sors régulièrement de moi, chaque mouvement créé un frottement qui me tue petit à petit, le liquide qui sors abondamment de mon sexe fait un clapotis chaque fois que la peau de Drago claque sur la mienne, ce bruit érotique que je perçois faiblement me fais rougir et j'ais encore plus chaud. Drago me regarde et j'ais l'impression qu'il attend de me voir jouir avant de pouvoir venir lui aussi. Alors je décide de l'aider, de me libérer enfin. Une de mes mains viens caresser ma poitrine et l'autre par directement stimuler mon bouton de chair devenu énorme sous l'effet du plaisir. Il accélère et je hurle encore pus fort en accélérant moi aussi mes mouvements. Pour la deuxième fois de la nuit, mon corps se crispe. Le sexe de Drago se retrouve emprisonné dans le mien, la voûte céleste explose sous mes yeux, une bombe éclate au niveau de mon bas-ventre, je renverse ma tête en arrière et hurle comme jamais en même temps qu'un liquide m'envahi. Là c'est sûr je ne vais jamais atterrir. Je ne sais plus ou je suis, ce que je fais, qui je suis. Je ne sais plus rien, je n'ais plus conscience de rien à pars de cette sensation d'accomplissement et de plénitude qui me possède soudain. La tension de mon corps se relâche et je me rends soudain compte de l'orgasme que je viens de vivre. C'est trop puissant pour être décrit. Là je sais que tout est fini mais j'ais encore la tête qui tourne, pris dans un tourbillon sans fin, mon corps est pris d'un tremblement incontrôlable et mon souffle précipiter ne ralentis pas. Drago aussi respire vite, je ressens soudain le point de son corps sur le mien. Prise d'une envie soudaine je dégage mes bras et sert fort cet ange de l'enfer contre moi. Et bien sûr il parle ce crétin.
-Merci.
-Pardon ?!
Cette exclamation sors brusquement de mes lèvres, mais, comprenez moi. Drago Malfoy viens de me dire merci et je ne sais pas pourquoi ? De toute façon je ne peux pas réfléchir à ça, chaque parti de mon cerveau est encore concentré sur ce que je viens de vivre. J'entends ce Serpentard plus que bizarre rire doucement contre ma poitrine et je sens que ce qu'il va dire n'est pas vraiment rose.
-Merci pour ce que tu m'as laissé faire. T'es le meilleur coup que je n'ais jamais eu.
-Espèce de salopard, sale détritus, déchet de l'humanité !
Ma voix se brise et des larmes coulent de mes yeux, j'étais si heureuse il y a pas si longtemps, si heureuse de ce que j'avais fait. Je ne regrettais pas et lui... Lui il vient de me faire regretter, c'est comme si il me traitais de putte. Je l'insulte temps que je peux, je ne sais plus ce que je dis. Et cette situation et quand même assez étrange. On est tout les deux nus dans le parque de Poudlard, je viens de m'envoyer en l'air comme une sauvage avec le dieux du sexe Malfoy, il est tranquillement couché contre ma poitrine, je le tiens dans mes bras tout en l'insultant et détaille important : il est toujours en moi. Oui plus qu'étrange mais pourtant je n'ais pas envie de bouger. C'est comme si il me faisait l'insulter pour que tout redevienne comme avant. Peut être est-ce le cas et alors je me tais. Et je le sens sourire.
-Je rigole Hermione. Non pas tout à fais. C'est vrai je te remercie pour ce que je t'ais déjà dis. Mais je ne considère pas comme une putte. T'inquiète pas sale Griffy. Mais ne t'attendrie pas petite fille, demain tout sera comme d'habitude. Tu redeviendras la petite dévergondée des Serpentards. Et moi le dieux du sexe des filles en chaleur de Poudlard.
Je souris légèrement et ferme les yeux. Moi je ne dis pas merci j'ai encore un peu d'honneur. Je le sens se dégager de mes bras et se retirer doucement de mon corps. Je sais qu'il part et j'entends le froissement de ses vêtements. Moi je reste allongé là les yeux fermés, nue. J'attends que la chaleur quitte mon corps, j'attends de sentir à nouveau le froid mordre ma peau. Là seulement j'ouvrirais les yeux et je sais que si je n'étais pas nu je pourrai croire que j'ais rêvée. Peut à peut mon cœur arrête de résonner dans ma tête, des frissons parcours mon corps et je reprend conscience de moi et de ce qui m'entour. Comme une petite fille ne voulant pas quitter un rêve particulièrement beau j'hésite à ouvrir les yeux, mais à quoi bon retarder ce qui doit arriver ? Je dois retourner dans la réalité, c'était prévu depuis le début. Malgré moi je souris, les yeux grands ouverts sur la nuit, je remarque que les étoiles non pas explosées. Doucement je me rhabille et peut être par simple provocation je garde ma chemise ouverte, de toute façon à cette heure ci tout le monde dors. Sauf Malfoy et moi. Tournant le dos à ce que je viens de vivre je ramasse mon balais et rentre dans le château, la nuit s'éteignant peut à peut.
Et si c'était une histoire d'amour je devrais encore parler longtemps, mais ce n'en est pas une. Et ça ne le sera jamais.
Alors ??? Bon je dis rien d'autre y a rien d'autre a dire. Dîtes mon juste ce que vous en avez pensé svp merkiiiii. a+
