Bonjour à tous,
Voici la première fois que je me lance dans le fanfom de Hunger Games qui recèle de chef d'oeuvre, j'espère arriver à me faire une petite place entre toutes ces fanfics déjà génialissime! (bon je dis pas que la mienne le sera!)
Une histoire qui va faire intervenir que des Ocs, même si petit à petit je vais essayer de reprendre les personnages de notre vénérable suzanne collins!
L'histoire se passe environ seize ans après le premier tome des Hunger Games, soit à la quatre-vingt dixième editions. Lors de la troisième expiation, la révolte n'a pas réussi à être lancé, et même si Katniss et ses camarades ont été évacué, il ne reste plus aucune trace d'eux. Le gouvernement ayant obligé la population à oublier la fille du feu, les Hunger Games ont repris et peu de personnes ont le courage de se rebeller de nouveau contre le gouvernement qui fait des exécutions ses habitudes quotidienne.
En espérant que ça vous plaise, bonne lecture!
Prologue
« On se revoit Lundi, demain j'ai enfin mon jour de pause.
- Fais attention à toi ! »
Oui, il ferait attention à son corps si tel était sa demande. Avec le temps, il avait prit l'habitude qu'on ne le considère uniquement comme un objet. Un magnifique objet si on en croyait les disputes qui se déroulait entre toutes ces agences rien que pour l'avoir. Stupide pensait-il, mais il ne devait pas s'en plaindre. Grâce à ces conditions, sa famille et lui n'avait jamais eu de problème financier. Et puis, pourquoi râler, il était dans le meilleur district de Panem, hors Capitole bien entendu. Mais à ses yeux, il était même mieux ici qu'au capitole.
Il avait régulièrement eu l'occasion de faire affaire avec eux, étant l'emblème d'une grande chaine de produit de luxe. Il avait commencé le mannequinat à ses cinq ans, car tous ses professeurs trouvaient qu'il avait un visage d'ange. Il avait posé avec les plus grandes marques de vêtement. Quand il avait grandis, tout le monde s'était mis à dire qu'il était devenu un véritable tombeur. Parfum, bijou, vêtement, il avait déjà tous les styles possibles.
Mais c'était à ses quatorze ans qu'il était devenu une véritable star de son district. Une phrase anodine, entendu par un photographe entre deux séances qu'il avait. Étoile de mes jours, étoile de mes nuits, étoile de ma vie. Depuis ce moment, il était considéré comme le garçon du ciel. Les coiffeurs, les maquilleurs, et toute son équipe s'amusait à utiliser cette réputation qu'il avait d'ailleurs. Sans qu'il ne puisse émettre une protestation, il s'était retrouvé à avoir des cheveux bleus nuit, une peau plus claire, tel la blancheur de la lune, et des lentilles pour ses yeux remplis d'étoiles.
Encore dans ses pensées il bouscula quelqu'un, il se retournait pour s'excuser, mais à la place, un sourire s'installa sur ses lèvres. C'était exactement la personne qu'il recherchait. Face à lui se trouvait un jeune homme, de quelques années plus âgées que lui, des cheveux noirs en batails, et un regard ambré. Son plus grand ami.
« Et bien dis-donc, déjà de retours dans le district un ? Je croyais que tu avais ton samedi Han ?
- Tu sais tout le monde n'est pas comme toi et ne nage pas dans l'argent. Je ne suis pas un mannequin de luxe, moi ! »
Il ne pouvait s'empêcher de sourire. A cause de la jalousie qu'il créait, depuis enfant, il avait eu du mal à se faire des amis. Étant incapable de savoir si on se rapprochait de lui pour ce qu'il était intérieurement ou pour ce qu'il était professionnellement.
« Même si tu gagnes moins que moi, t'as pas à te plaindre. Tu fais partis du district deux, ta vie pourrais être bien plus misérable que cela. Et puis tu as la chance de pouvoir changer de district toi. Je n'ai jamais pu aller en dehors du un et du capitole. A part une fois pour le sept pour voir les nouveaux tissus, mais je ne l'ai fais qu'une fois. Alors que toi…
- Les privilèges d'un pacificateur », lui répondit-il avec un sourire.
Ils continuèrent de marcher ainsi à travers le district, il voulait retrouver sa petite amie avant que le soleil commence à se coucher. Ils avaient prévus d'aller observer ensemble la tombée de la nuit. La vie semblait si paisible pour lui, bien plus que pour la plus part des personnes vivant à Panem.
Il avait grandis sans craindre la faim, ses parents ayant toujours bien gagnés leur vie, et son oncle étant un des vainqueurs des grands jeux. Grâce à la chance, et aux goûts des femmes du capitole il avait prit une grande place dans la mode. Et de ce fait, même si rien n'était officiel, il avait toujours eu le sentiment que jamais il ne serait pioché tant qu'il serait enfant, car personne ne voudrait qu'il ne meure prématurément.
Mais cela faisait deux ans qu'il se demandait si cette immunité n'était pas tombée. Il entendait de plus en plus de personne se demander s'il ferait parti des prochains tributs envoyés aux jeux. Ils pariaient sur combien de jours il mettrait à finir la battle, alors qu'il n'était même pas encore sélectionné. Il avait alors comprit qu'il serait pioché à coup sur dans les jeux à venir. Cela faisait deux ans qu'il y échappait, il savait qu'il se ferait sélectionné cette année.
C'était l'une des raisons qui l'avait rapproché de Han, il lui demandait régulièrement de l'entrainé à se battre, de cette façon il mettait toutes les chances de son côté. Il ne voulait pas pourrir dans les jeux du Capitole. Ce n'était absolument pas dans ses plans d'avenir. Mais c'était un fait que peu de citoyen des districts comprenaient, ils jalousaient tous sur son immunité du à sa popularité, sur sa richesse, mais à aucun moment ne voyait les revers de ces privilèges. Avoir une vie privée était devenue impossible, et les moindres mots qu'il pouvait dire à Amber étaient utilisés par la suite en guise de slogan. Sa popularité avec grimpé avec ça à vrai dire. Il était régulièrement agressé, une autre raison qui avait fait Han se rapprocher de lui en tant que protecteur. Et contrairement à la plus part qui n'avait qu'une chance infime de se faire piocher au cours de sa jeunesse pour les jeux, lui il avait peut-être immunisé pendant ses premières années, mais il allait être choisit sans aucune chance d'y échapper.
« Je te laisse, mannequin, je dois retourner au quartier maintenant que j'ai raccompagné la star chez lui, déclara t-il en souriant, enfin, chez ses futurs beaux-parents. »
Il laissa son ami partir, heureux. Le plaisir qu'il avait en était avec Han venait du fait qu'il le traitait comme n'importe qui, et non comme un bijou à manier avec précaution qu'il ne faut surtout pas abimer.
Il se retourna vers la maison, et décrocha le bracelet qui entourait son poignet depuis le milieu de la journée. Définitivement, travailler dans une maison de luxe n'était pas quelques choses sur lequel on pouvait faire que raller. Il pouvait obtenir les prototypes des prochains bijoux qui feraient fureur d'ici deux mois avec une facilité déconcertante. Une photo avec la fille du directeur, éventuellement un déjeuner, une balade, un grand sourire et on lui offrait des bijoux que peut de personne, même du district un, pouvaient s'acheter.
« Salut Steren, ta sœur est-elle là ? »
