Chapitre 1 : mariage et co
Voici donc le cinquième tome de la saga! Je prépare un OS spécial que j'écris depuis quelques temps (héhé ça prend du temps), j'ai a-do-ré écrire ce cinquième tome j'espère qu'il vous plaira!
Je fais toujours les réponses aux questions ;)
Je passe trois excellentes semaines. J'aide Sherlock dans les préparatifs du mariage, enfin pas trop non plus parce que le mec a pété un câble avec ça. Je me suis arrangée avec Papa : je passe une quelques jours seule, et le reste avec les Weasley. Ensuite on révisera notre arrangement. Hermione m'a dit qu'ils étaient dans la maison des Black, avec un certain Ordre du Phénix (qui se bat contre Voldemort). Elle m'a précisé que quelqu'un qui connaissait l'adresse devait m'y déposer (Mycroft s'en charge). Elle a ajouté que Dumbledore lui avait interdit, à Ron et elle, d'envoyer la moindre lettre à Harry.
Je ne doute pas qu'il ait fait ça. Mais il ne m'a pas demandé à moi, et donc je continuerais de lui en envoyer. Surtout que, même si il ne le dit pas clairement, il ne va pas fort, les Dursley lui mènent la vie dure.
Aussi, je me suis arrangée avec Miss Hudson pour le potager : elle a accepté. J'ai également demandé à Sherlock pour faire un discours. Il a un peu bouder, mais a finalement accepté. On évite de reparler de George mais il fait allusion aux "farces", "blagues" et "clowns" volontairement devant Papa. Heureusement ça s'arrête là : cette balance.
Papa et Sherlock ont eu des enquêtes. Papa s'en voulait de partir mais j'étais heureuse de le voir partir, comme au bon vieux temps. J'ai reçu pas mal de lettre de George. La première le lendemain de mon retour à la maison, il prenait de mes nouvelles et de mon père. C'était adorable. Les secondes étaient pour se tenir au courant. Je suis surprise d'aimer autant ça. Cette attention. Papa a bien remarqué, j'ai répondu que Neville état stressé de venir chez des moldus, ça a suffit.
Là, j'attends sa venue. J'ai remis ma robe pour le bal. Je serais la seule qui ne serait pas en violet (lila d'après Sherlock) mais Papa tenait absolument à me voir dedans. J'ai moins forcé sur le maquillage et me suis juste lissée les cheveux.
On frappe à la porte. Je sors de ma chambre.
- c'est pour moi !
Je dévale les escaliers et ouvre à Augusta et Neville Londubat. Je lui souris.
- Salut, Neville. Bonjour, Mrs Londubat. Vous voulez prendre une tasse de thé ?
Elle regarde la maison d'un air septique. Je lui souris, Neville la regarde.
- Non, ça ira.
Le soupire soulagé que fait Neville lui échappe peut être mais pas à moi. Quel ingrat. J'invite Neville à entrer et la regarde.
- Neville m'a parlé de toute cette histoire avec Alastor. Alastor est un homme bien, il n'aurait pas infligé ça à Neville. Même si ça permet de l'endurcir.
Je la regarde et hoche sagement la tête. Ce n'est pas une question ou même une invitation à la discussion, c'est une affirmation pure et dure.
- Heureuse pour ton père ? Me demande-t-elle d'un ton bourru.
Je souris.
- Ravie. Il part deux semaines en lune de miel. Je rejoindrais les Weasley à ce moment là.
Elle arque un sourcil.
- Au QG de l'Ordre ?
- Vous en faites partie ?
- Bien entendu, dit-elle, non sans arrogance dans la voix.
- J'essayerais d'en être.
- Il faut être majeur.
Je me crispe et la regarde.
- Je trouverais un moyen.
Ses sourcils sont froncés mais je vois bien que ma détermination lui fait plaisir.
- je vous ramènerai Neville en un seul morceau. Au-revoir, Mrs Londubat.
- Au revoir, Elizabeth.
Elle s'éloigne à petits pas. Neville porte le costume qu'il avait mis pour le bal. Papa arrive, portant son costume d'un air malaisé et tenant son chapeau haute forme sous le bras. Il me regarde.
- Tu es magnifique, El.
- Je sais, je sais, je réponds d'un ton dégagé avant de le regarder en fronçant les sourcils. Tu as l'air tout.. Bizarre.
- Tu penses que ça va ?
- Tu es très bien. Un marié en bonne et due forme, n'est-ce pas, Nev' ?
Surpris par le surnom, mais il se reprend vite et hoche la tête :
- Ca vous va très bien, Monsieur Watson.
Il sourit et le remercie. Je m'attarde un peu sur Neville, ses cheveux sont plus ordonnés que l'année précédente et il a grandit : me dépassant défintivement. Je fronce les sourcils.
- Neville..
- Oui ?
Il se tourne vers moi et je m'approche en plissant les yeux.
- Neville tu as une moustache ! Tu deviens un homme !
Il rougit furieusement et plaque sa main sur sa lèvre supérieure.
- El !
- Ca te va très bien !
J'éclate de rire et prépare ma lettre pour George.
"Weasley,
Tu peux débarquer près du parlement moldu (demande à ton père mais je pense qu'il est près du parlement sorcier). Demain soir vers 20h. On ira manger un morceau dans un pub et pourquoi pas se balader dans le Londres moldu ? Je te montrerai un film sur la télé en rentrant.
Et, le lendemain, on ira visiter quelques musées. Tu rentreras et Mycroft viendra me chercher pour me déposer chez "vous".
"Amicalement",
Watson."
Je l'attache à Frodon que je regarde s'envoler en souriant. Nous allons ensuite dans la voiture. Neville est à la fois impressionné et effrayé. Je lui souris.
- Ne t'en fais pas, ça explose très rarement.
- Ca explose ?!
- El.., s'amuse mon père. Elle plaisante, Nevville.
J'éclate de rire. Papa a l'air mal à l'aise. Je fronce les sourcils.
- Papa .. Ca va pas ?
- Et si elle hésite.. Ou dit non ?
- On garde la télé et la chaine hi-fi et on lui laisse le reste.
- Et si Sherlock fait une connerie ?
- Sherlock fera une connerie. Mais il y aura, toi, Lestrade et moi pour l'aider à la faire correctement.
- Je t'interdis d'intervenir.
Neville fronce les sourcils.
- A Poudlard, c'est Elizabeth qui les fait.
- Neville, tu es bien heureux que je les fasse. Sans ça, on s'ennuyerait.
- Et bien, ennuyez vuos, grommelle mon père.
- Ne sois pas si ronchon, je dis en faisant la moue.
Nous arrivons et Papa sort de la voiture aussi blanc que Le baron sanglant. Je rentre dans l'église en compagnie de Neville. Je vois Sherlock discuter avec Lestrade. Ils se tournent vers nous et vont féliciter Papa. Greg s'approche de nous ensuite.
- Ton petit ami, Elizabeth ?
- Je crains que non, je souris. Uniquement mon meilleur ami.. Mais..
Je lui fais un clin d'oeil.
- J'y travaille.
Neville fronce les sourcils et commence :
- Mais.. Et Ge..
Je lui donne un coup de coude et il se plie de douleur. Je souris à Gregory.
- Douleurs subites. Ca lui arrive.
- je vois..
- Vous pourriez me rendre un service, Gregory ?
- Bien entendu.
- Pendant que je suis avec les autres demoiselles d'honneur, pourriez-vous vous assurer que Neville ne reste pas seul ? Il est très effrayé par les crucifix.
- Les quoi..
Je grogne. Lestrade me regarde.
- Elizabeth.. Ta robe te va très bien. Et tu as l'air plus heureuse maintenant que tu es à cette école.
- Vrai et vrai. Vous êtes excellent Gregory.
Je lui souris et lui pique Neville le temps de lui dire quelques derniers mots.
- On ne parle pas de magie, ni de George. Je t'ai fais une fiche où es cours sorciers sont remplacés par des cours moldus. Tu l'étudies et l'utilises, ok ? Je te fais confiance.
- C'est peut être une mauvai..
Je le regarde.
- Neville. Tu es mon meilleur ami. Et y'a des raisons pour ça.
Rassuré, il sourit et hoche la tête.
Histoire de la magie = histoire
Botanique = Botanique
Potion = chimie
DFCM = biologie (en quelque sorte)
Etude des runes = littérature
Arithmancie = Math
Divination = perm
Quidditch = rugby
Astronomie = géographie
Sortilège = anglais
Métamorphose = physique
Soins aux créatures magiques = SVT
En plus : aurors = forces de l'ordre (écossaise), les mangemorts existent dans le monde moldu mais sont des criminels lambdas qui agissent avec des ARMES
Je vais rejoindre Sherlock près del'autel qui me regarde de haut en bas avant d'articuler d'une voix glaci ale :
- Ce n'est pas du lila.
- Ravie de voir que tu n'es pas daltonien.
- Pourquoi tu n'as pas du lila ?
- Papa voulait que je porte cette robe. On ne contrarie pas le marié. On peut contrarier le témoin, par contre.
Il pince les lèvres.
- Tu sais danser correctement, j'espère ?
- Evidemment. J'ai eu le meilleur professeur.
Je souris en pensant à George. Mais aussi à Neville qui m'a aidé à me perfectionner avant le bal de Noël.
Le curé (ou prêtre ? Peu importe) commence son discours. Je roule des yeux et communique avec Sherlock à l'aide de sourcil levé ou lèvres pincées. Certains membres du "public" le remarquent et font part de leur amusement avec de petits rires.
Quand mon père et Mary s'embrassent, je décide le rendre mal à l'aise en sifflant très fort. Et en effet, ça ne manque pas : il rompt le baise ren rougissant et j'éclate de rire. Mary me fait un clin d'œil.
On sort de l'Eglise pour la photo de groupe. Une amie de Mary, Janine je crois, s'approche de moi en gloussant. J'arque un sourcil.
- Elizabeth.. Tu es proche de Sherlock Holmes ?
- Il est à deux mètres de moi donc je dirais pas tellement.
J'éclate de rire devant ma blague de merde. Elle me fixe, je souris.
- Sinon, oui, pourquoi ?
- Tu crois que je lui plairais ?
- Pourquoi ? Une enquête ?
- Non.. Plus...
Je me crispe et la regarde.
- .. Déjà avec ce genre de remarques, c'est mort. Sherlock n'est pas quelqu'un qu'on séduit. Sherlock est séduit, peu importe comment tu te tvends il se rendra compte de qui tu es et si tu lui plais. Et il est trop bien pour toi, j'ajoute très bas.
Trop bas.
Elle ne l'entend pas. Je bousille ensuite quelques photos en faisant des grimaces diverse : froncement de sourcils, faisant semblant d'éternuer, montrant volontairement mon double menton (affectueusement nommé "Bernard") avant d'en faire quelques unes sympa.
Je cours rejoindre Neville en compagnie de Lestrade. Ils s'entendent bien, est-ce réellement une bonne chose ?
- Alors ? Sympa ? S'amuse Lestrade.
- Génial. Le plus grand moment de fun de mon année, je réponds pince sans rire. A un moment j'ai cru faire pipi dans ma culotte.
Londubat roule des yeux. Je souris en coin. Je regarde ma montre.
- ah ! Je dois vous laisser, arrive le moment palpitant où je dois saluer les invités en compagnie des trois mariés.
- Trois ? Demande Neville.
- Sherlock et Papa. Mary tient la chandelle.
Je m'éloigne, souriant en entendant le rire de Lestrade. Quand je retrouve mon espèce de petite famille. Je me poste près d'eux. Papa arrête le photographe.
- ce serait possible une photo avec ma fille ?
- Bien sûr, sourit-il.
je me crispe.
- Papa !
Mais je n'ai pas le choix et me retrouve avec Papa plus à l'écart. Il passe son bras autour de moi et sourit à l'objectif. Je roule des yeux, flattée mais gênée et embrasse même sa joue sur l'une des photos. Pour finir je le regarde.
- Bon, john, c'est le moment où l'on va s'exploser la panse, je crois.
- En effet !
Il sourit et on va retrouver les autres.
