Hey people !
Voici ma première Fanfic !
Titre : Chasse au trésor
Résumé : Elle aurait pu être drôle cette chasse au trésor. Si l'enjeu n'avait pas été celle que l'on aime.
Parings : BrOrson of course. Little Kathree
Déclamer : Les persos de Desperate Housewives er le BrOrson ne m'appartient pas.
Et je ne gagne pas d'argent à ecrire.
Note de l'auteur : n'ayez pas peur de la critique ! C'est pas première Fanfic alors je suis un peu mal à l'aise.. J'ecris en Français parce qu'il n'y a aucune Fanfic Brorson en Français. Sinon je l'aurais écrite en anglais !
Chapitre 1
Dans la ville paisible de Fairview, à Wisteria Lane, il y avait une très belle maison. Et dans cette maison vivait les Hodge.
Il y avait Bree qui était une femme de grande taille. Elle avait les cheveux d'un roux toujours plus éclatant et des yeux émeraude qui contrastait à merveille avec sa crinière. Elle tenait une entreprise de traiteur avec deux de ses amies : Angie Bolen et Katherine Mayfair. Son talent est très connu car elle avait également sorti un livre de cuisine. Bree finissait ses journées de travail fatiguée au plus haut point. Son mari Orson, lui était de même taille que sa femme, à l'inverse de Bree il avait les yeux de couleur miel. Au départ, Orson était dentiste mais après des petites vacances en prison il a du travailler avec Bree. Mais récemment elle l'a renvoyé ne pouvant plus travailler avec un homme qu'elle n'aimait plus. Depuis Angie à rejoint l'équipe.
Bree : Bonne nuit Orson.
Ces trois mots, Orson Hodge les vénérait. Car ce sont, à sa plus grande tristesse, les seuls qui sortent de la bouche de Bree, sa femme qui s'apprêtait à demander le divorce. A chaque fois que Bree prononçait ces quelques mots, Orson ressentait une joie intense, il voulait la serrer dans ses bras et lui dire qu'il l'aimait à la folie. Hélas, chaque soir Orson ne pouvait que répondre :
Orson : Bonne nuit Bree.
Puis la rouquine montait à l'étage dans sa chambre laissant son mari dormir sur le canapé au rez-de-chaussée. Même si Orson commençait à y prendre gout mais il voulait juste un peu de compagnie.
Et lorsque Orson était sur que Bree était montée, il s'osait enfin se remémorer le passé, puis il se disait qu'il avait eu de la chance d'avoir Bree dans sa vie. Le pauvre, il espérait tellement que tout redevienne comme avant.
Et sur cette pensée Orson s'endormit.
10 min plus tard dans le jardin.
? : C'est cette fenêtre ! C'est celle de sa chambre
? : OK. Allons-y.
Les deux voix lugubres s'estompèrent. Puis deux hommes cassèrent le carreau de la vitre.
La rouquine qui dormait paisiblement et profondément se réveilla en sursaut. Elle ne resta pas longtemps éveillée car l'un des deux hommes lui administra un coup de barre en fer. Elle vit vaguement les deux silhouettes floues et sombre éclairés par les rayons faibles de la lune, puis tout devint encore plus flou et enfin le noir total. Les deux hommes retournèrent alors sur leurs pas en emmenant Bree, inconsciente.
A 23 h40 ce soir là Bree Hodge fut enlevée.
Le lendemain matin
Comme à son habitude Orson se leva à 6h30 ce matin là. Lorsqu'il arriva dans la cuisine il s'étonna. Elle était vide de chez vide. Pas un bruit, pas même une mouche D'habitude il ya un petit déjeuner qui l'attend avec un mot de sa femme disant qu'elle est partie travailler avec ses deux amies Katherine et Angie. Mais là il n'y avait ni de petit déjeuner ni de mot ni de Bree. Furieux de ce brusque changement Orson se prépara lui-même son petit déjeuner.
Lorsqu'il entra dans la petite entreprise une demi heure plus tard en espérant voir Bree et qu'il vit son bureau vide un poids commença à peser sur sa poitrine. Une sensation étrange, un mélange de peur, d'inquiétude et d'une autre chose impossible à identifier. Il passa alors en cuisine où il trouva deux femmes en pleine cuisine.
L'une était blonde, assez grande et sembler être d'une énergie sans limite, son eye-liner était assez épais et elle mâchait bruyamment un chewing-gum tout en préparant une tarte aux pommes. Sur un petit badge accroché à son chemisier il était marqué « Angie Bolen »
L'autre était plus petite aux cheveux roux-châtains. Elle paressait plus âgée et plus mature. Dans ses yeux marron se lisait une pointe de malice et de force. Lorsqu'elle vit Orson entrer elle grimaça tout en remuant la pate à gâteaux. Sur son badge à elle était marqué « Katherine Mayfair »
Katherine (tout en grimaçant de plus belle) : Hey ! Salut Orson !
Angie : Tu n'aurais pas vue Bree ? Elle est en retard ce matin.
Orson sentit ce poids qui l'incommodait s'amplifier au point de lui couper la respiration.
Orson (paniqué) Quoi ? Vous n'avez pas vue Bree ? Pas du tout ?
Angie : Hey Calmos ! Qu'est ce qu'il ya ? Tu ne l'as vue non plus ?
Katherine : Elle est peut être chez Lynette ? Plus Bree est stressée plus elle joue aux cartes avec elle !
Angie : Impossible, j'ai vue Lynette ce matin. Elle est partie avec Gaby faire les boutiques pour la journée. Peut-être chez Sus…
Katherine : Susan est partie travailler. Voila on a fait le tour.
Voyant qu'Orson semblait de plus en plus stressé Angie tenta de le rassurer.
Angie : Hey ne t'inquiètes pas Orson ! A tous les coups elle est chez Andrew en train de parler business ou en train de faire la grasse matinée !
Orson : Oui tu dois avoir raison.
Orson rentra chez lui avec ce poids horrible qui continuait à lui peser.
Il fixa un moment l'escalier et se dit qu'il devrait monter. Alors qu'il montait les marches il s'imagina quelques scenarios catastrophes : et si il l'a retrouvait inconsciente ? Malade ? Ecrasée par une armoire géante ? Ou pire si il l'a retrouvait dans la baignoire avec les veines sectionnées ? ARF ! Orson n'osait pas imaginer sa réaction face cette possibilité.
Puis il arriva devant la porte de sa chambre fermée. Quand il posa sa main sur la poignée il espéra qu'il la retrouverait encore endormie dans son lit, le sourire aux lèvres. Mais lorsqu'il ouvrit la porte, le poids qui avait semblé s'évaporer quelques instants avant revint en force. La chambre était tous ce qu'il y a de plus vide. Pas de Bree. Puis Orson posa son regard sur une taie d'oreiller assez étrange. Sur cette taie il y avait une tache de liquide rouge à moitié séchée. Du sang.
C'était officiel Orson Hodge commençait à paniquer.
Orson : Oh non. Bree… pas toi …
POV Bree.
C'est horrible…Je me sens si mal… Je suis si fatigué alors que je, enfin je crois, dors. J'ai une migraine terrible. Des nausées m'envahissent. Je…je ne vais pas bien du tout…
Orson...je t'en supplie … Aide moi…
J'ouvre enfin les yeux, autour des moi il ya des murs gris, à l'un de ces murs il ya une ouverture avec des barreaux. A l'opposé il ya une porte en acier.
Mon poignet me fait souffrir. Et pour cause, il y a une menotte accrochée. Elle relie mon poignet meurtri à un anneau dans le mur.
Je suis Prisonnière
