Bonjour tout le monde ! Laissez moi vous expliquer l'idée (pas originale ~) que j'ai eu ! Je vous propose des petits OS sur le couple que représente Steve et Tony, sur le contexte que VOUS, oui toi le lecteur derrière ton écran/portable, voulez sur ce couple ! Je peux vous faire des UA si vous le désirez également !

Je tiens aussi à préciser que je vais impliquer ce système sur aussi le Thorki et le SpideyPool !

Je vous souhaite une bonne lecture .

Bêta : Altair Ibn-La'Ahad - AC

Quand Steve et Tony … Vont à Disneyland.

Le blond avait les yeux qui brillaient. Tout lui semblait magique, alors que pour son compagnon, près de lui, c'était banal, voire ennuyeux vu les bâillements qu'il produisait.

Captain avait pourtant insisté, jusqu'à faire ses puppy eyes à l'homme à l'armure qui n'avait pu qu'accepter sa demande avant de commander et acheter les billets pour le parc d'attraction. Steve lui avait sauter alors dessus, littéralement, à son grand déplaisir, quand il lui avait annoncé qu'ils allaient au parc le lendemain matin.

Et cela faisait maintenant deux heures que les deux Avengers marchaient sur la grande rue, l'un aussi enthousiaste qu'un enfant, l'autre cherchant à comprendre pourquoi ce monde attirait autant les adultes que les enfants.

- Tony ! cria la voix de son amant.

Tournant la tête, le brun fut surpris en voyant l'homme au bouclier lui coller des oreilles de Minnie sur la tête, lui-même portant celles de Mickey. Essayant de rester calme, le fils Stark prit une grande inspiration avant d'affronter son compagnon.

- Merci, Steve.

Le sourire que lui offrit Captain le calma un peu. Ils reprirent leur marche. Un peu partout dans le parc, les haut-parleurs faisaient résonner dans leurs oreilles des chants des anciens et nouveaux films animés de la compagnie.

- Tu veux commencer par quoi ? hurla Tony pour recouvrir la voix d'Ariel qui chantait « Partir là-bas ».

- Pourquoi pas It's a Small World ?

Iron Man dut prendre sur lui à cette annonce : la maison des poupées... Avant de comprendre ce qui se passait, il se retrouva assis dans une barque, entouré par des poupées chantant l'amour et la fraternité dans le monde, le tout accompagné d'un Steve, un peu trop heureux. Après quelques minutes de chanson, qui lui semblèrent des heures, il put enfin sortir de l'attraction.

Tony ne rêvait que d'une chose, partir d'ici, le plus tôt possible, chose qu'il dut oublier rapidement en voyant son compagnon aller vers d'autres attractions. Steve se dirigeait vers le quartier de la nouvelle Orléans. Il s'éternisa devant l'attraction du manoir hanté.

- Tu veux y faire un tour ? bailla d'ennui le milliardaire, en espérant que le soldat comprendrait son désir de partir.

- Je n'ai jamais fait de manoir hanté, répondit Steve.

Arquant un sourcil, Tony se retint de dire qu'affronter des nazis, des dieux nordiques et des aliens pouvait égaler l'attraction en elle-même. Mais aujourd'hui, il avait décidé de faire plaisir à son petit ami et il se laissa entraîner une nouvelle fois dans la foule.

Marchant dans un couloir aux murs décolorés, il écouta la voix du fantôme les mettre en garde en roulant des yeux. Si Jarvis se mettait à parler comme cela et qu'il avait un taux d'alcool dans le sang important alors peut-être pourrait-il avoir un peu peur. Mais là, il était sobre et il ne souhaitait qu'une chose : partir de ce parc !

Prenant place dans le buggy, Tony sentit Steve se contracter devant les traces de pas qui apparaissaient et disparaissaient. Par réflexe, il lui prit la main, sans néanmoins sourire. Main qui fut écrasée quand ils arrivèrent dans le grenier et qu'ils virent la mariée à la hache. La scène dans le cimetière détendit le blond qui laissa un rire s'échapper quand il vit les fantômes faire du stop.

Vers midi, leurs estomacs grognèrent en cœur et Tony et Steve se retrouvèrent à manger dans un fast-food à thème Pinocchio, des enfants hurlant tout autour d'eux. Prenant encore une fois sur lui, Tony regarda son compagnon manger son repas. Voyant alors son expression renfrognée, Steve pencha la tête sur le côté avant de l'interroger.

- Un problème ?

- Non. Aucun, répondit sèchement Tony.

Fronçant les sourcils, le soldat au bouclier alla jeter son plateau dans la poubelle avant de revenir auprès de son compagnon.

- Tu es sûr ? demanda-t-il.

- Oui.

Percevant le mensonge dans les yeux noisette de son petit ami, Steve l'attrapa par le bras et le tira à l'extérieur. Il le bloqua alors dans un coin, se positionnant juste devant lui pour ne lui laisser aucune issue.

- Maintenant, je veux la vérité.

- Je n'ai rien à dire, Captain, grogna Iron Man, en croisant les bras sur sa poitrine.

- Tony.

- Quoi ?

- Dis-moi ce qui ne va pas ! Depuis ce matin, tu soupires et tu ne cesses de montrer à quel point ce parc est, à tes yeux, une hyperbole de l'ennui ! Alors qu'est-ce que tu as ?

- JE HAIS LES PARCS !

Surpris par sa propre fureur, Tony passa la main sur son visage, rouge de honte. Steve aussi était choqué.

- Pourquoi tu les hais ? questionna-t-il doucement, en le prenant dans ses bras.

- Je ne sais pas trop…

- Tu es déjà venu dans des parcs pourtant, non ?

- Non, c'est la première fois que je mets les pieds ici.

Etonné, Steve le regarda, les yeux grands ouverts.

- Ton père ne t'a jamais emmené dans un parc ou une foire !?

- Il avait d'autres occupations, répondit-il avec regret.

Comprenant son erreur, l'homme aux cheveux dorés le serra contre lui, glissant son nez dans la chevelure de son ami.

- Steve ? dit Tony d'une voix étouffée.

- C'est parfait pour toi et moi alors.

- Steve !

- Comme ça, c'est notre première dans un parc d'attraction à tous les deux.

- Steve, tu m'étouffes !

Relâchant la pression autour de Tony, le héros américain eut un sourire désolé avant de prendre son visage entre ses mains et d'embrasser ses lèvres avec tendresse.

- Que dirais-tu d'aller voir la parade ? murmura-t-il contre les lèvres bien trop tentantes de Tony.

- Hum, pourquoi pas, grogna-t-il apaisé.

- Et après, on fait les boutiques !

- Ne pousse pas le bouchon trop loin, grogna Tony en lui prenant la main, amusé.

Les chars étaient tous très colorés. Mais ce qui fut le plus beau aux yeux de Steve, c'était pour la première fois de la journée, l'expression amusée que Tony arborait.

Ils passèrent la fin de la journée dans les boutiques. Tony laissa Steve acheter ce qu'il voulait, lui-même ne prenant qu'une réplique de la rose sous verre de « La Belle et la Bête », en se rappelant l'affection qu'il portait à ce film durant son enfance.

C'est alors qu'il vit Steve courir vers lui, les bras pleins de sacs.

- J'ai fini !

- Je vois ça.

- Et j'ai réussi à avoir un CD de musique, il n'en restait presque plus, dit-il avec fierté.

- Ah ?

- On pourrait l'écouter ensemble.

- Si tu veux, se risqua Tony, croyant que les chansons Disney ne pourraient pas l'atteindre.

C'est sur ces bonnes paroles qu'ils quittèrent le monde de Mickey.

Couché dans leur lit, Steve mit le CD en route et programma la quatrième chanson. Ce n'est qu'une fois la musique commencée que Tony se jeta sur Captain, qui cherchait à défendre son bien.

- ÉTEINS-MOI ÇA ! hurla-t-il en couvrant les éclats de rire de son amant et la voix d'Elsa.

« Libérée ! Délivrée ! »