Bonjour/soir. Me voilà avec une fic qui me tient beaucoup à coeur. Il s'agit d'une fic qui relate (selon mon petit point de vue) des origines du Bad Touch Trio. C'est un long travail, aussi je vous demanderai d'être patient (p*tain, mais comment que c'est ch*ant de faire des recherches sur la Prusse! Tu peux pas avoir une histoire basique? Prusse: mon histoire est génialement compliquée, et toc!) si jamais la suite vous intéresse. J'ignore combien il y aura de chapitres, et si le style de narration suivra toujours le même genre. On verra, "lol" de circonstance. En tout cas, le chapitre deux est en cours d'écriture. Et je vais essayer d'avancer au maximum cette fic pendant le week-end (ainsi que deux/trois autres qui attendent depuis un moment). J'espère que cette aventure sur notre trio adoré vous amusera. Bonne lecture!

Hetalia appartient à Hidekaz Himaruya.


UN: PREMIERS TEMPS

-61 av. JC

Non! Il ne voulait pas venir avec lui! Il lui faisait peur avec toute cette armée! Et ce César ne lui inspirait rien de bon! Il était tranquille avant, à jouer sous le soleil, pourquoi l'avait-on attrapé pour le jeter dans une cage avec les autres enfants? Il voulait retrouver sa liberté!

- Laissez-moi sortir! Laissez-moi sortir! Laissez-moi sortir!

- La ferme!

Le coup de poing lui écrasa l'estomac. Il vomit un peu, ce qui fit reculer les autres enfants contre les barreaux. La cage était si petite, et ils étaient si nombreux. Il se sentait mal, de plus en plus mal. Tout cela était trop effrayant pour ses jeunes yeux. Et tous ces cris. Il préférait quand tout était si paisible. Il n'aimait pas être torturé de la sorte.

- Je veux sortir…

Sa vue se brouillait déjà, il tendit sa minuscule main vers l'un des soldats qui se contenta de lui coller une baffe à travers les barreaux. Tout devint noir, il était trop souffrant pour rester éveillé.

Quand on le réveilla, il se sentait un peu mieux au niveau du physique, mais certainement pas au niveau psychologique. Il était en colère, dans une colère noire qui le rendait hargneux. Ses morsures et ses cris de rage lui donnèrent droit à de nouveaux coups de la part des romains, les autres lui disaient de se faire à l'idée, mais il n'y arrivait pas. Pas avec tous ces cris dans sa tête. Il fallait qu'il fasse quelque chose, mais quoi? Il était si petit. Il attendrait son heure, oui. Voilà. Il attendrait son heure.


-51 av. JC

- Alors c'est toi, Gaule?

- Lâche-moi! Lâche-moi! Tout de suite!

- Et bien, quel caractère! Un vrai petit sauvage! Tu me plais toi, tu m'as l'air plus réveillé que l'autre barbare.

- Je t'ai rien fait, pourquoi tu m'attaques? Lâche-moi!

Rome ne pu s'empêcher de ricaner méchamment devant l'air désespéré de la minuscule créature devant lui. Ça y était! La Gaule était enfin à lui, il remercierait César pendant le dîner de ce soir. Pour l'instant il devait parler avec cet énergumène qu'on lui avait rapporté. Ses soldats lui avaient dit qu'il se cachait dans la forêt, pas étonnant qu'ils aient eu tellement de mal à l'attraper! Un vrai furet! Des sanglots étouffés lui firent tourner la tête vers Gaule.

- Bah alors, gamin, qu'est-ce qu'il t'arrive?

- … je veux pas…mourir. Je veux pas mourir, pas maintenant… je veux pas mourir…

- Que tu es bête! Comme si j'allais te tuer!

- Mais… tes soldats tuent les gens!

- Des guerriers, on ne tue pas les enfants, on les vend comme esclaves.

- C'est presque pire. Je veux pas devenir esclave. Je suis Gaule, pas ton larbin! - le petit blond se remit à jouer à la bête sauvage en griffant Rome, qui s'en amusa.

- Un vrai fauve! Ne t'inquiète pas Gaule, tu ne seras pas esclave, mais tu vas venir avec moi. Dans ma cité!

- Non! Je ne veux pas! Tu fais du mal à toutes tes conquêtes!

- Qui t'as dis de telles bêtises?

- C'est reconnu! Tu vends tes prisonniers, tu les torture! Je ne veux pas être ton prisonnier!

- Ah mais fallait avoir plus de tripes mon petit bonhomme!

Gaule se remit à pleurer, persuadé qu'on allait le faire manger par les lions.

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- Veneziano, Romano! Venez ici!

Les deux petits italiens accoururent aussitôt.

- Papy Rome! Tu es enfin revenu!

Gaule, caché derrière la cape rouge sang de l'empire, fut étonné de voir d'autres enfants. Et ils n'avaient pas l'air si malheureux que ça.

- Tu m'as manqué Papy Rome! Vee!

- Chigi! T'en as mis du temps! En plus tu viens juste pour l'heure de manger, saleté de goinfre!

Rome, de nouveau en mode gaga, après une si longue absence chez lui, sourit à ses petits-fils. Ils lui avaient manqué aussi, Veneziano avec son air si mignon, et Romano avec son caractère de cochon. Il les embrassa et les serra contre lui, oubliant un instant le petit pays caché dans son dos. Une main tirant sur sa cape lui remit les souvenirs en place.

- Ah oui, Veneziano, Romano… je vous présente Gaule, il est un peu plus grand que lui, mais pour l'instant il n'est pas au mieux de sa forme. Je vous demande d'être gentil avec lui.

- Ça alors, ses cheveux ont la couleur des pastas!

- Et ses yeux! On dirait de l'eau!

Très vite, Gaule eut deux italiens tournant autour de lui, comme des abeilles devant une nouvelle race de fleur, le rendant mal à l'aise. Le plus petit, Veneziano, avait une vraie tête d'ange, et l'autre, Romano semblait amusant à embêter… est-ce qu'ils étaient aussi des nations prisonnières ?

Rome, comme lisant dans ses pensées lui apprit alors qu'il s'agissait de ses descendants: les deux Italies. Veneziano étant la partie nord, et Romano la partie sud. Ça alors, ils étaient des pays avec des noms humains! Ça ne lui serait jamais venu à l'esprit! Chez lui on l'appelait Gaule, tout simplement…

- Et moi… je pourrais avoir un nom aussi?

Rome, devant l'air mi-timide, mi-apeuré du blond ne pu retenir son air gâteux d'illuminer son visage. Il attrapa Gaule et le serra contre lui: « Mais qu'est-ce qu'il est mignon! Bien sûr que tu auras un nom humain, on cherchera ensemble, d'accord? ».

D'abord troublé, Gaule se mit à sourire à son tour. Finalement, ça n'avait pas l'air d'être si terrible… à moins que Rome ne décide de le torturer plus tard?

- Tu es ici chez toi, Gaule. Bienvenue!


-44 av. JC

- Papy Rome?

- Tout va bien?

Rome regarda ses protégés, soupira et tenta de sourire en vain. Il s'excusa et quitta la pièce, laissant ses enfants seuls. Veneziano se mit aussitôt à pleurer, Romano s'énerva, Héraclès philosopha et Horus leva la tête vers le plafond, c'était toujours intéressant d'ignorer les soucis des autres. Gaule consola le plus petit, et calma son aîné tout en ramenant le grec sur terre. On ne pouvait rien faire pour Horus, malheureusement.

Pour Espagne non plus, d'ailleurs. Il tourna la tête vers le brun. Il n'avait pas bougé de sa place depuis ce matin. Espagne était comme ça depuis le début, il parlait peu, regardait les gens froidement, et ne riait jamais. Rome leur disait souvent qu'il désespérait de le rendre civil un jour. Il était resté « barbare » selon lui. Pourtant ce n'était pas faute d'avoir essayé. Il avait eu le même traitement que toutes les autres conquêtes: à savoir amour, pastas et cadeaux à n'en plus finir. Rome était un grand-père extrêmement gâteux. Et quand il aimait quelqu'un, ce n'était jamais à moitié. Et c'était bien là le problème de Rome, aujourd'hui. César était mort.

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C'était l'occasion ou jamais, il allait enfin pouvoir se venger! S'approchant doucement de la chambre de Rome, le garçon serra de plus en plus le poignard qu'il avait dérobé, dans ses mains. Il avait décidé de tuer Rome, et si ça ne marchait pas, d'au moins le blesser si salement qu'il ne s'en relèvera pas.

Il entendait la grande nation pleurer la mort de son héros. Glissant sa tête dans l'ouverture, il vit Rome assis sur son lit, presque effondré par la tristesse. C'était le moment!

- Qu'est-ce que tu fais?

Sursautant, il lâcha son poignard et se retourna vers Gaule. Quel gêneur!

- De quoi tu te mêles! Va retourner jouer à la mère poule!

- Quelle hargne. Tu n'arriveras jamais à trouver une gentille épouse si tu restes comme ça.

- Imbécile! Tu te prends pour qui? Le fils de Rome! Tu n'es que son prisonnier! Il te tuera à la première occasion!

- Mais…

- Il est hors de question que je finisse comme les autres! Je vivrais! Même si je dois tuer un empire pour ça!

Il avait chuchoté, mais pour Gaule, c'est comme si Espagne avait hurlé sa haine à la face du monde. Voyant l'autre foncer vers l'arme, il fut plus rapide et attrapa l'objet de justesse, le repoussant.

- Rends-moi ça!

- Non! Je ne veux pas que tu fasses du mal à Rome!

- Il le mérite!

- Il nous rend meilleurs que nous étions!

- Parle pour toi! J'étais très bien avant qu'il ne décide de devenir roi du monde! Ce sale empire! Il payera pour le mal qu'il m'a fait! Rends-moi ça!

- Non!

Gaule s'enfuit dans les couloirs, vite suivit par Espagne. La course poursuite finit dans le bassin de l'atrium. Espagne avait réussi à sauter sur Gaule et l'étranglait.

- De quel droit t'interposes-tu! J'ai attendu des années avant de pouvoir trouver le moment propice et toi tu veux tout foutre en l'air!

- Aaah! Espagne! Lâche-le!

Les deux petits italiens, accompagnés d'Hercule et Horus venaient d'entrer, attirés par les bruits de bagarre. Pendant que le grec essayait de faire lâcher prise à Espagne, Veneziano couru chercher de l'aide.

- Papy Rome!

Il s'arrêta en entendant le cri, et se mit à pleurer. Il ne voulait pas que Grand frère Gaule souffre!


-30 av. JC

- Hum… Horus?

Rome, « caché » derrière Octave, n'osait pas regarder en face le jeune pays. Comment lui annoncer que sa dernière reine venait de se donner la mort? L'égyptien garda le silence quelques instants avant de hausser les épaules et de retourner à la contemplation des poissons du bassin. Il était déjà au courant.

- Si Marc-Antoine avait été aussi vivace que lui, j'aurais gagné deux fois plus vite la guerre.

- Tu sais toujours trouver les mots justes, Octave.

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- Vous avez compris, il faudra être sympa avec lui. Il n'est pas très expressif, mais ce n'est pas une raison pour le traiter de statue sans cœur. D'accord les enfants?

- Oui!

- Bien. Allez jouer, maintenant. J'ai du travail.

Les pays quittèrent rapidement la bibliothèque de Rome pour aller jouer dehors, et partir à la recherche d'Horus. Il avait disparu depuis quelques heures et un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal.

- Tiens… viens ici joli chat.

- Héraclès, on est pas là pour jouer avec les matous de la ville.

- Chut, tu vas le vexer.

Espagne explosa de rire, tandis que Gaule soupira. Veneziano avait rejoint le plus vieux pour caresser l'animal, et Romano avait un caillou dans sa sandale, ça l'énervait. Gaule lança un coup d'œil dans la direction du chat, ah…

- Trouvé Horus!

- Ah non! J'étais sûr que j'allais gagner!

- Tu es trop lent, Espagne.

- Ne te moque pas, Gaule! Un jour je trouverai un trésor tellement génial que tu en seras jaloux jusqu'à me supplier de te le prêter!

- Hahaha! Je suis tranquille! Tu n'arrives même pas à retrouver tes tuniques!

- Et gnagnagna… allez Horus, descend de ta branche!

- Vee! Tu dois t'embêter là-haut, tu ne veux pas venir jouer avec nous?

Horus, du haut de son perchoir regarda les autres pays. Avec le temps, ils s'étaient tous rapprochés. Surtout Gaule et Espagne. Ils étaient distants au début, puis quand le brun avait blessé à l'épaule le blond, après une bagarre, ils étaient devenus carrément hargneux l'un envers l'autre, se trouvant les pires excuses pour se taper dessus. Puis doucement, sans raison apparente, ils s'étaient mis à jouer ensemble, d'abord un peu, puis constamment. Rome leur avait dit que c'était de la pure logique. Leur deux pays avaient été conquis de la même manière, et contrairement à Héraclès ou lui, ils étaient « barbares » à l'époque. Ils ont simplement agis en bons pays sauvages, s'apprivoisant mutuellement petit bout par petit bout. Aujourd'hui ils étaient inséparables. Gaule jouait le rôle de grand frère, Espagne de clown (surprenant changement de caractère), Héraclès était l'endormi, Veneziano la petite chose mignonne qu'il fallait protéger, Romano le râleur qu'il fallait sans cesse surveiller et lui-même, le rêveur. « Comme une vraie famille » avait dit Rome. Ça le fit sourire. Même si ça n'apparaissait pas sur son visage. Revenant à la réalité, il sauta de son arbre et rejoignit ses frères, il avait un peu le mal du pays, mais avec eux, tout s'arrangeait.


54 ap. JC

- Il est… étrange?

- Il est flippant!

- Vee! J'aime pas sa tête!

Les six garçons, cachés derrière le rideau, observaient le nouvel empereur. Visiblement il aimait parler, Rome avait sa grimace. Celle qu'il faisait à chaque fois qu'il avait envie de couper court à une conversation sans pouvoir le faire.

Espagne tira sur la bretelle de Gaule: « Comment il s'appelle déjà? ».

- Néron, tête en l'air.


64 ap. JC

- Non! Espagne! Reviens ici! C'est trop dangereux!

Rome tenta de rattraper son protégé mais il était trop rapide.

- Espagne!

- Ah non, Gaule! Un ça suffit comme ça! - il retint le blond par la cape - Reste tranquille!

- Mais Espagne est retourné là-bas! La ville est en feu!

- C'est Espagne dont tu parles, il s'en sortira.

- Mais… tu crois?

- Ne t'inquiète pas.

Gaule tenta de sourire à Rome, mais l'angoisse l'en empêchait, cet empereur était fou! Heureusement, quelques minutes plus tard leur frère était de retour, couvert de cendre et toussant comme un ancien. Lui, était tout sourire. Il rassura Gaule et fonça consoler Romano en larmes. C'était sa chambre qui avait prit feu en premier, et il était encore sous le choc de s'être réveillé dans un lit en flammes.

- Allons Romano, calme-toi, regarde, je t'ai ramené ton lion en bois. Ne pleure plus.

- Chigi! C'est à cause de toi que je pleure! J'ai pas envie que tu brûles!

- Trop tard, il a déjà la tête brûlée.

- Hilarant Gaule, vraiment.


79 ap. JC

- Gaule! Horus!

- Qu'est-ce qui se passe?

- Vous êtes pas au courant! Une montagne a prit feu près de Pompéi, on raconte que la ville a disparu sous une mer de flammes!

- Pompéi? Mais c'est à côté d'Herculanum! Rome est partit avec Héraclès, là-bas!

- J'espère qu'ils n'ont rien.

Horus fit la grimace, il n'aimait pas s'inquiéter.


125 ap. JC

- Dis, Rome…

- Oui, Gaule?

- À quoi elle ressemble l'Angleterre?

- Tu en poses de ces questions…

Rome sourit au blond, lui ébouriffa les cheveux et lui fit un clin d'œil avant de partir voir comment allait Veneziano, le pauvre était malade depuis ce matin.

- T'as pas répondu à ma question!

- Devine!

Rome s'amusait, il voyait bien Gaule jouer avec cette minuscule nation aux cheveux indomptables et à l'air revêche. Il l'avait vu de loin, certes, et il avait eu du mal à le distinguer parmi les arbres, mais il était sûr d'une chose. Ces sourcils étaient impressionnants!


276 ap. JC

- Ça ne va pas, Gaule?

- Si… si.

Espagne fit la grimace, il n'aimait pas quand son meilleur ami lui cachait la vérité. Il lui donna un coup de coude dans le ventre, ce qui réveilla l'endormi.

- Hey!

- Réponds-moi au lieu de beugler. Qu'est-ce qui va pas?

- Je sais pas. Les envahisseurs… chez moi. Rome les a repoussé mais…

- Mais?

- J'ai comme l'impression qu'ils vont revenir.


364 ap. JC

Espagne observait les lieux en silence. C'était grand, frais, et calme. Il y avait plusieurs personnes au fond qui étaient agenouillés devant la croix, priant en silence. C'était tellement reposant comme ambiance… tellement prenant… il se sentait à sa place dans cette église. Quoi qu'en pense Rome, cette religion lui plaisait beaucoup. Il allait s'informer un peu plus dessus.


409 ap. JC

- Mais je veux me battre!

Rome fit la moue, Espagne savait être très insistant des fois. Il soupira et tapota gentiment la tête du brun.

-Il n'en est pas question, tu es trop jeune.

- Mais!

- Pas question. Fin de la discussion.

Espagne grogna et partit bouder du côté de la chambre de Gaule, criant à tout va « qu'il deviendra plus puissant que lui quand il sera grand »! C'était injuste, des Vandales envahissait son propre pays et il ne pouvait même pas aller se battre!


476 ap. JC

- Comment vont-ils?

Gaule soupira, jeta un dernier coup d'œil dans la chambre et s'approcha de ses frères: « Ils sont inconsolables ».

- Tu m'étonnes. J'ai pleuré comme une madeleine pendant des heures.

- Venant de toi, Espagne, ça ne m'étonne pas. Tu es un vrai sentimental à tes heures perdues.

- Et toi tu es aussi expressif que ton sphinx, Horus!

- Vous me… fatiguez… tous les deux…silence.

- Ce que tu es devenu vivace depuis ton retour au pays, Héraclès.

- Silence vous trois, ce n'est pas le moment de s'engueuler, Rome n'aurait pas voulu ça… enfin ne veut pas… Rome…gnnn…

- Gaule…

Les trois garçons serrèrent l'unique blond dans leurs bras, tentant à leur manière de calmer sa crise de larmes. Rome était tombé.


-61 av. JC: conquête de l'Espagne par Rome.

-51 av. JC: conquête de la Gaule par Rome.

-44 av. JC: assassinat de Jules César.

-30 av. JC: victoire d'Octave sur Marc-Antoine et Cléopâtre, qui se suicident.

54 ap. JC: Néron devient empereur de Rome.

64 ap. JC: incendie de Rome.

79 ap. JC: le Vésuve entre en éruption.

125 ap. JC: construction du mur d'Hadrien.

276 ap. JC: Rome repousse invasion des Francs et des Alamans en Gaule.

364 ap. JC: on autorise de nouveau la religion chrétienne à Rome.

409 ap. JC: invasion des Vandales en Espagne.

476 ap. JC: chute de Rome.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas, je suis toute ouïe. J'espère que c'est un minimum intéressant, ça fait un peu cours d'histoire, non?