Disclaimer: Le monde, la plupart des persos (sauf ceux que j'inventerais, faut quand même que quelque chose vienne de ma tite tête) et des sorts appartienne à JKR. Je sais pas ce qu'elle leur a donné comme filtre d'amour mais il veulent rester avec elle... Sniff' moi qui espérait récupérer un ou deux beaux garçons (oui deux, et non bande de pervers, c'est pour jouer aux échecs! Comment ça je sais pas jouer aux échecs? Et alors, ils peuvent m'apprendre, j'ai plein de choses à apprendre!)
Bon donc y a que l'idée qu'est à moi... Donc faut espérer qu'elle plaira. Donc il me faut des reviews! Vous oubliez pas, à la fin de mes 7 pages Open Office, le machin bleu au milieu où l'est marqué ''Reviews'' et ben ça sert à ça! J'précise si y en a des qui sont comme moi avec l'informatique, parfois un peu à l'Ouest... Vu que j'ai passé trois quarts d'heure à trouver comment poster ma première fic... M'enfin, place à la lecture! =D
*Audace stressée*
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Chapitre 1 : Un patient pas si inconnu ?
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Je rangeais tranquillement mon bureau lorsque la porte s'ouvrit sur mon meilleur ami.
« Coucou Mione, comment vas-tu ? »
« Très bien Harry, et toi ? Qu'est ce que tu fais là ? Pas de monde à sauver ? »
« Très drôle ! J'ai plus le droit de passer dire bonjour à ma meilleure amie quand j'en ai envie » Me demanda-t-il avec une moue boudeuse.
« Le droit oui, le temps non. Tu ne passes plus me voir à l'improviste depuis que toi et moi avons des jobs qui nous pompent notre temps libre, et ne me dis pas qu'aujourd'hui tu es tranquille, je sais que c'est faux. Gin' m'a dit que tu étais débordé avec les préparatifs de la célébration de ta victoire que nous devons supporter tous les ans depuis 5 années. Ô joie, encore une soirée ennuyante à passer à sourire à des gens que je ne connais pas et que je n'ai pas envie de connaître... Alors je te repose ma question; qu'est-ce que tu fais là ? »
« Hum... » Dit-il en se trémoussant, mal à l'aise... « C'est à dire que... »
« Harry ! Viens en aux faits ! J'ai un nouveau patient qui va arriver d'ici quelques minutes, et ministre de la magie ou pas, tu passes après mes patients ! »
« Merci, ça fait toujours plaisir ! » Fait-il, faussement vexé.
« Tu ne me réponds pas Harry, fait gaffe ou je vais finir par croire que tu t'es encore attiré des ennuis... »
« Encore ? Tu exagères ! Mais bon...c'est à propos de ce nouveau patient... Tu sais quoi à propos de lui ? »
« Pas grand chose, son dossier indique qu'il a été atteint par un sort de magie noire qui l'a paralysé de la jambe gauche, que ça le fait souffrir en continu et qu'il a été voir tous les médicomages de la planète -qui n'ont rien pu faire- avant de venir me voir. Je suppose que si tu es là, c'est parce que tu en sais plus que moi ? »
« Euh... Ben oui... »
« Harry ! Les faits ! Je vais pas te manger tu sais ! Alors, en quoi ce patient est-il assez important pour que ce soit toi, le ministre de la magie, qui vienne me voir ? »
« Écoute Mione... Fait moi confiance ok ? Je sais qui est ce patient, et je sais que ça va pas te plaire. Alors s'il te plait, garde ton calme et fait comme si c'était un patient comme les autres... »
« Harry ! » Le coupais-je « Tu commences à m'inquiéter. Qui est ce patient ? Et pourquoi voudrais-je le traiter autrement que mes autres patients ? »
« Hermione, je ne remets pas en cause ton professionnalisme, mais je sais que tu n'aimeras pas, donc je te préviens. Ça ne me plait pas non plus en fait, surtout le fait que tu vas devoir habiter chez lui mais... »
« Pardon ? Pourquoi devrais-je habiter chez mon patient Harry ? »
« Euh... Pour sa sécurité en fait... Il te l'expliquera, il faut que j'y aille Mione! N'oublie pas de le garder en vie assez longtemps pour qu'il t'explique ! »
Et il transplana. Il y a des moments où je le hais. Et voilà, maintenant je suis morte de curiosité à cause de lui! Et le rangement de mon bureau ne me calme pas... En même temps, ce n'est pas comme si j'avais beaucoup de travail à faire, contrairement à Ron et Harry, mes affaires sont déjà rangées dans mon cabinet... Alors que eux, c'est une horreur. Je crois que Molly, si elle rentrait dans leurs bureaux, ferait ou une crise cardiaque, ou un carnage et qu'elle nous tuerait le Survivant et son propre fils. C'est à peine si Harry retrouve ses dossiers dans le fatras qu'est son cabinet ministériel, Ginny et moi ne cessons d'ailleurs de remercier Susan Bones d'être sa secrétaire, car sinon je crois que le monde sorcier serait sens dessus-dessous... Harry est excellent comme ministre, c'est d'ailleurs grâce à lui que l'impact de la guerre sur la société sorcière a été moindre, mais heureusement qu'il est bien entouré, sinon il perdrait jusque sa tête... Ron lui n'a pas un bureau mais le stéréotype même du grenier mal rangé... Il fuit lui même son bureau! Il préfère passer son temps sur le terrain... Et il rentre faire ses dossiers chez lui pour ne pas avoir à entrer dedans...
Je recentrais mes pensées sur ce nouveau patient. Harry avait vraiment piqué au vif ma curiosité. Je ressortis son dossier -déjà lu plusieurs fois- et le parcouru encore en quête d'indices sur son identité... Et ce fut un échec. Je n'apprenais rien que je n'eus découvert lors de mes précédentes lectures... Je connaissais déjà le dossier par cœur, mais pas le patient... Ce n'était pas la première fois qu'un patient m'était inconnu avant notre premier rendez-vous, ce qui pouvait s'avérer normal vu que j'étais devenue une médicomage renommée. Je guérissait les maladies les plus étranges, et certains de mes patients ne voulait pas que leurs noms soient conservés aux archives. Sauf que d'après les dires d'Harry, je connaissais le patient. Et je ne l'aimais pas. Ça promettait...
Alors que je ressassais toutes les questions qu'Harry avait fait naître dans ma tête, ma porte s'ouvrit -enfin- sur Meredith, mon assistante.
« Hermione, ton nouveau patient est là, je le fais entrer ? »
« Oui Merry, s'il te plait »
Ah, Harry, je vais enfin savoir! Le supplice auquel tu m'as confronté durant ces quelques minutes entre ta fuite - faux Gryffondor que tu es - et son arrivée, va prendre fin!
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Mon nouveau patient, vêtu d'une robe de sorcier noir et sa capuche remontée sur sa tête, entra en boitant. Je repensai immédiatement à son dossier et à la description de sa pathologie. Vu comment il trainait la jambe, il devait vraiment souffrir... Je commençais à m'impatienter quand il enleva sa capuche.
Je. Vais. Tuer. Harry!
« Bonjour Granger »
« Malefoy » Soufflai-je en me laissant retomber sans aucune grâce sur mon fauteuil.
« Vu ta tête j'en déduis que Potter n'est pas passé te voir... »
« Si, mais il ne m'a pas précisé, qui était mon patient, juste que j'aurais probablement envie de le tuer et qu'il faudrait que je réfrène mes ardeurs » Lui dis-je d'un ton sec « dommage que je n'ai qu'une seule parole... »
« Ah Granger... Tu n'oserais tout de même pas t'en prendre à un patient sans défenses ? »
« Pourquoi es-tu là Malefoy ? »
« Tu n'étais pas censée être intelligente Granger ? Pour me faire soigner bien évidemment ! »
« Je sais pertinemment que tu es là pour être soigné, la question c'est pourquoi es-tu dans mon cabinet ? » Lui dis-je « Tu n'es pas censé, toi, me haïr, et te considérer comme supérieur grâce à ton si cher Sang-Pur ou je ne sais quelle connerie de ce genre ? Parce que si c'est pas le cas, tu es un très bon acteur ! »
Je vis ses poings se serrer, j'avais touché là où sa faisait mal, tant pis pour lui.
« Granger, j'ai fait le tour du monde et de tous les médicomages que j'ai vu, aucun n'a rien pu faire, alors je suis rentré en Angleterre pour venir voir celle qui fait tant parler d'elle de part ses miracles. Je n'y peux rien si c'est toi qui a réussi à avoir une telle réputation, mais ma présence ici n'est due qu'à tes merveilleux talents de médicomage... Si j'avais pu me faire soigner ailleurs, je l'aurais fait ! »
« Malefoy » Répondis-je, hypocrite « Je suis navrée que tu sois obligé de supporter ma présence, si j'avais su que ça m'amènerais à te revoir, sois certain que je n'aurais pas cherché à guérir mes patients »
« Tu es beaucoup trop Gryffondor pour ça ! » Ricana-t-il « Que t'a dit ce cher Potter à propos de moi ? Vu qu'il n'a vraisemblablement pas tout expliqué... »
« Comme je te l'ai dit, pas grand chose. Juste que je ne devais pas tuer mon patient, car je risquais de ne pas l'apprécier - doux euphémisme -, et qu'il fallait que je le laisse s'expliquer... Oh, et que je devrais aller habiter chez toi ! Ce qui est totalement hors de question ! »
« Ça, ce n'est pas négociable Granger. »
« Et pourquoi donc, Malefoy ? Sois sûr que je ne remettrais pas les pieds dans ton foutu manoir ! »
« Tout comme te l'a dit ton cher ami, tu dois me laisser m'expliquer. Et malheureusement pour toi, je ne le ferais pas ici. De plus, rassure-toi, je ne vis plus au manoir. En revenant en Angleterre, ma mère et moi l'avons donné au Ministère, ils vont en faire un musée sur la Guerre, donc tu n'auras pas à aller affronter tes souvenirs... »
Je lui lançais un regard noir. C'est qu'il a le sens de l'humour le Malefoy! "Affronter mes souvenirs", l'est drôle le diable ! On voit que ce n'est pas lui qui s'est tordu de douleur au bout de la baguette de tata Bella.
« Je sais que tu ne me fais pas confiance » Reprit-il « Mais tu fais confiance à Potter. Alors fie-toi à lui et fais ce qu'il te demande »
« Bien sûr que je ne te fais pas confiance : tu ne m'as jamais donné aucune raison de le faire, bien au contraire. Mais je suppose que je n'ai pas le choix... Donne moi ton adresse, je vais mettre en ordre quelques affaires, aller faire mes valises et je viendrais chez toi dans l'après-midi. Je suppose que j'en aurais pour un bout de temps à te guérir » Dis-je d'un ton résigné.
« Effectivement... Je te remercie Granger » Me dit-il en déposant un papier sur mon bureau.
Il sorti après avoir remit sa capuche.
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Je restais quelques secondes ébahie. Malefoy. Malefoy. Draco Malefoy. Harry n'avait rien trouvé de mieux que de me laisser me démerder avec Draco Malefoy. Celui qui m'avait insulté pendant 6 années, qui avait été le principal acteur de la mort de Dumbledore, le fils du bras droit de Voldemort, neveu de Bellatrix Lestrange... Et aussi celui à qui Harry semblait désormais faire confiance. Pourquoi ? Qu'avais-je fait à Merlin pour mériter ça ? Finalement, la cérémonie d'anniversaire de la victoire, qui se passait dans bientôt deux mois, ne me paraissait plus tellement insupportable.
Je me levai. Il fallait que je parle à Harry. Beaucoup trop de données me manquaient. Comment pouvait-il lui faire confiance ? Pourquoi devais-je aller vivre avec Malefoy ? Pourquoi son retour en Angleterre 5 ans après avoir été innocenté ? Pourquoi ces 5 années de silence ? Beaucoup trop de questions sans réponses pour moi. Je sortis de mon bureau.
« Merry, je vais devoir aller habiter chez mon nouveau patient. Je pense que je pourrais passer, mais au cas où, je te préviens. Je m'en vais, des affaires à mettre en ordre et un déménagement provisoire à organiser. Ô joie. Tu peux prendre ta journée, vu que c'est le seul patient du moment et qu'il va avoir l'exclusivité jusqu'à ce que je trouve le moyen de me sortir de cet enfer... »
« Bien Hermione ! Je t'enverrais les dossiers de suivis des patients guéris par hibou »
« Merci, bonne journée »
Je sorti de l'aile de Sainte-Mangouste où se trouvait mon cabinet et transplanais, direction le Ministère.
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L'ascenseur du Ministère atteignait le niveau du bureau d'Harry quand Susan Bones entra dedans.
« Oh, bonjour Hermione, comment vas-tu ? Et que fais-tu ici, tu ne travailles pas ? »
« Très bien Susan, merci. Je cherche Harry, il est là ? »
« Ah, il m'a dit que tu pourrais passer. Il s'excuse mais comme tu dois le savoir, il est assez occupé en ce moment. En plus de ça, il a promis à Molly de ranger son bureau lorsque les jumeaux l'ont balancé lors du dernier repas en famille... »
« Alors il en a pour un moment oui » Répondis-je en souriant «Mais il n'est pas là ? C'est important. »
« Non, je suis désolée, il ne reviendra pas avant la fin de l'après-midi, mais je lui dirais que tu es passée ne t'inquiètes pas »
« Merci, dit lui de passer me voir demain, et ce sans faute ou je viens l'étriper. »
« Ah ! Je comprends pourquoi il était si pressé de partir ce matin... Je passerais le message. Tu descends avec moi ? » Me demanda-t-elle.
« Vu que Harry n'est pas là, oui. Où vas-tu ? »
« J'ai prévu de déjeuner avec Ron. Tu peux venir avec nous si tu veux »
« Non, merci mais j'ai pas mal de choses à faire cet après-midi, et si je viens j'en ai pour des heures à regarder Ron faire concurrence aux plus gros mangeurs... »
« Ça fait partie de son charme Hermione ! »
« Tu dis ça parce que tu l'aimes! Et parce que tu ne supportes pas ça depuis tes 11 ans! Par Merlin, ça fait plus de la moitié de ma vie que j'assiste aux orgies de Ron! » Dis-je en riant. « Passe lui le bonjour de ma part. »
Nous nous quittâmes devant le Ministère alors qu'elle partait en direction de la boutique de son petit ami et que je transplanai vers mon propre appartement.
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J'entrai dans mon chez-moi, un appartement que mes parents m'avaient offert lors de ma première année en Médicomagie. Il n'était pas tellement vaste, mais le salon était ouvert sur l'extérieur par deux grandes fenêtres, qui le rendaient clair et agréable. Alors que je me dirigeai vers la cuisine, je remarquai sur la table basse une lettre à mon nom, sur laquelle s'étendait l'écriture brouillonne de mon meilleur ami.
Chère Mione,
Je sais, tu m'en veux. Je comprends, mais comme je te l'ai dis tout à l'heure, laisse-le t'expliquer. Je sais que tu as probablement des milliers de questions, il pourra répondre. Quand à l'envie de me trucider, j'espère juste que tu ne t'allieras pas avec lui pour le faire. Pense à Ginny qui t'en voudrait à mort ! Ce serait entièrement ta faute si je ne la demandais jamais en mariage après !
J'ai conscience que j'aurais du te dire qui il était plutôt que de te le cacher, mais je ne savais pas comment le faire... Je sais que, malgré le fait que tu nous l'ais caché, toutes les insultes qu'il te lançait à Poudlard te faisaient mal. Et je sais que tu le déteste pour ça. Pour avoir réussit à te blesser autant. C'est pour ça que je m'en veux de l'avoir dirigé vers toi. Cependant Malefoy a besoin du meilleur médicomage pour le guérir. Et tu es ce, enfin cette, médicomage. Je sais, les éloges ne te calmeront pas, mais ça vaut toujours la peine d'essayer...
Enfin, je te demande juste de faire ce qu'il faut faire pour le guérir. Et d'habiter chez lui. Je te l'ai dis, question de sécurité. Vraiment désolé. Laisse-le s'expliquer et tu sauras. Tout. Depuis le début. Je crois même que tu auras des détails que je n'ai pas.
Ton imbécile de meilleur ami qui s'en veut, espère que tu pourras lui pardonner et qu'il restera en vie assez longtemps pour demander en mariage ta meilleure amie.
Je souris. Évidemment, l'excuse de la demande en mariage... Bon alors je ne l'étriperais pas, je me contenterais de le défigurer. Gin' ne m'en voudra pas -ou pas trop- elle l'aime pour ce qu'il est non ?
Je rangeai la lettre puis me dirigeai vers le coin cuisine ouvert sur le salon afin de me préparer un repas rapide avant de -ô joie- devoir faire ma valise. Lorsque je mangeais, je remerciai mentalement ma mère pour m'avoir légué son savoir culinaire, sachant pertinemment que si j'avais eu celui de mon père, je serais morte empoisonnée depuis longtemps. Puis d'un pas lourd, témoignant de toute mon impatience à me retrouver dans la nouvelle demeure Malefoy, je me dirigeai vers ma chambre. La pièce était beige clair, d'un côté de grandes fenêtres tenaient lieu de murs alors qu'en face un immense miroir couvrait la longueur de la pièce, à l'exception d'une porte donnant sur la salle de bain. Au milieu trônait un lit aux draps rouges, petit rappel quotidien à ma maison d'adoption pendant plusieurs années et au dessus des photos de mes amis, de mes parents ou de moi recouvraient le mur.
Je me dirigeai vers les miroirs, et d'un geste de la main, les ouvrit sur mon dressing. Alors que je n'apportais pas tellement d'importance à mes habits à Poudlard (j'avais d'autres préoccupations, comme est-ce que Harry va survivre à cette année? Ou quel plan machiavélique le Grand-Mégalo va encore imaginer pour tuer mon meilleur ami, torturer les nés-moldus et prendre le pouvoir et instaurer sa dictature obscure ?), je m'étais bien rattrapée avec Ginny après, et sur toute la longueur de ma chambre, derrière les miroirs, s'étendaient d'immenses étagères contenant ma garde robe... démesurée! Faisant apparaître deux valises, je commençai à réfléchir aux vêtements que j'allais emporter, et en fis apparaître une troisième. C'était nécessaire. Au final, vu que nous étions en avril, je décidai de prendre des vêtements d'été. Si la guérison de Malefoy se prolongeait, je n'aurais qu'à revenir, et j'espérais fortement que ce ne soit pas le cas.
Une heure plus tard, vêtements, chaussures, affaires de toilette et maquillage emballés, je regardai l'heure. Même pas 14h. Ne tenant pas à aller trop tôt m'enfermer dans mon enfer personnel, je choisi de ranger et nettoyer mon appartement avant mon absence à durée indéterminée et de mettre en ordre quelques dossiers de mes anciens patients.
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Je regardais mon appartement d'un air triste. Je l'avais tellement nettoyé et rangé qu'il paraissait inhabité. Un coup d'œil vers l'horloge : 15h. Je n'avais plus rien à faire, plus aucune excuse pour retarder l'échéance. Je devrais peut-être passer voir mes parents... Ça faisait près de deux semaines que je ne les avait pas vus. Une petite heure à prendre le thé chez papa et maman ne me nuirait pas non ?
Je secouai la tête d'un air dépité. Ça ne me nuirait pas, mais cela ne ferait qu'assurer à Malefoy que j'avais peur de lui. Ce qui n'était pas le cas! Non ? Non! Pas du tout!
Dans un élan de courage Gryffondoresque, je rapetissai mes valises, attrapai les coordonnées de la nouvelle maison Malefoy et transplanai. Je ne ferais pas à ce serpent boiteux la joie de me croire effrayée. Surtout par lui! Je n'ai pas combattu Voldemort pour fuir devant un blondinet.
Et j'apparus devant sa demeure.
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Ah... Audace veut des avis ! Des reviews ! Des reviews ! Sinon vous aurez pas la suite !
En même temps, si vous reviewez pas c'est que ça plait pas trop donc vous vous en foutez de la suite.. Donc j'vais pas faire de chantage idiot... Bon alors j'vais faire appel à votre bon cœur (dixit la sadique que je suis... Arf, soyez heureux de pas me connaître ^^) Soyez gentils, les reviews me remonteront le moral, moi quand vient l'automne, que le matin il fait froid et que les arbres perdent leurs couleurs, j'suis toute triste... Donc mettez des reviews et remontez moi le moral... Oui je sais, c'est toujours du chantage idiot =D
Enfin, j'ai déjà commencé la suite, j'ai aucune idée de ce que ça donnera: Mettrais-je en avant mon côté sadique en faisant souffrir mes personnages ? Oui ! En faisant une fin triste ? Je sais pas, moi même je n'aime pas les fin tristes... J'aime que les histoires soient compliquées mais que ça finissent relativement bien.. Donc probablement une fin heureuse (Et il vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants... Euh non quand même pas..) Enfin j'verrais selon ce qu'eux décident, j'avais même pas prévu de caser Susan Bones avec Ron.. faut croire que Lavande n'était pas la seule à avoir des vues sur Ron-Ron (Le pauvre, il a du souffrir avec un surnom pareil..)
Mais j'arrête mon blabla.. Un fois lancée j'suis difficile à stopper. Donc je n'ai aucune idée de délai de parution de la suite, selon ma vitesse d'écriture (qui peut varier de 3 heures à 3 mois...), mon inspiration, et la vitesse de mes super bêta-lectrices (Plyne et ArnoFool!). Un grand merci à ces dernières sinon vous auriez eut droit à un texte bourré de fautes, j'ai honte... Il faut que j'arrête d'écrire à minuit et demie car ça donne un texte pas grammaticalement correct.. mais ça développe mon imaginaire..
Mais j'ai dit que je me taisais.. Donc merci de votre lecture, de vos reviews *air de chien battu* et bonne journée/soirée/nuit ou tout ce que vous voulez.
Audace