J'ai décidé de réécrire cette fiction car il y avait beaucoup trop d'éléments incohérents que j'ai fait à la va-vite et qui ne me plaisaient pas. Ça commence dès le 1er chapitre pour vous dire. J'ai changé beaucoup de chose, rajouté des paragraphes et changé certains passages, mais la trame scénaristique reste la même. C'est juste les détails qui changent.

Je remercie d'ailleurs ma bêta-lectrice et correctrice Chapaf, sans qui cette fanfiction serait bourrée de fautes et d'incohérences vraiment grotesques.

Donc cette fiction ne contiendra aucun couple, sauf le Trey/Matt (les créateurs de la série) même si je sais qu'ils sont mariés (enfin Trey est divorcé mais il a une copine actuellement) parce que je suis une fan girl et que j'adore le yaoi et qu'ils vont super bien ensemble. Voilà. Du coup, ce couple va sous-entendre un possible Style, mais à vous de l'interpréter comme bon vous semble.

South Park appartient à Matt et Trey.

/!\ Je ne prétend pas connaître Trey et Matt et leur caractère ne correspondra absolument pas à la réalité. Tout ce qu'ils font ou disent n'est pas représentatif de la réalité. Donc ne prenez pas au 1er degré ce qui est écrit. Si je m'inspire de quelque chose qu'ils ont vraiment fait, je le noterai en fin de chapitre. /!\

Bref, bonne lecture !


Un beau jour, deux petits garçons naquirent. L'un était blond[1] aux yeux bleus et descendait d'une bonne famille catholique, l'autre était brun aux yeux verts et appartenait au fier peuple d'Israël. Les deux garçons se rencontrèrent très tôt, à la petite enfance, et ils devinrent les meilleurs amis du monde.

Le garçon aux yeux bleus se concentrait sur le chant et les spectacles. Il adorait composer ses propres musiques, dessiner de drôles de créatures et divertir le public en faisant le clown. Le garçon aux yeux verts partageait les mêmes passions que son ami, mais il avait beaucoup moins de talent et préférait la littérature philosophique et scientifique.

Malgré les apparences, le garçon aux yeux bleus possédait un terrible secret : un pouvoir d'une puissance inimaginable et incontrôlable se cachait au plus profond de son âme. La réalité se pliait à ses fantasmes, ses dessins prenaient vie et le destin pouvait se changer afin de le satisfaire. Toutefois, cet étrange pouvoir ne s'activait que dans un contexte bien précis. Très difficile à décrire. Et, souvent, c'était le garçon aux yeux verts qui en faisait les frais. Son corps se transformait, prenant tantôt la forme d'un démon incube, tantôt celle d'un chevalier ailé.

Mais le garçon aux yeux verts ne fuit point son ami, bien au contraire, il continua de jouer avec lui sans crainte.

Les années passèrent et les deux garçons devinrent des hommes. Leur amitié s'intensifiait. Inséparables, ils fréquentèrent la même université et eurent leur diplôme haut la main.

Puis, l'homme aux yeux bleus eut une idée. Il découvrit une mine d'or à quelques kilomètres de chez lui et décida de l'exploiter. Mais une tribu indienne avait élu domicile et ne laissait personne fouler leur terre. Alors, grâce à son pouvoir et l'aide de son meilleur ami, il les chassa. Les indiens, furieux, maudirent les lieux : un démon dévorerait les âmes de tout être humain et les transformerait en morts-vivants.

La bataille fut violente et difficile, et la victoire revint de justesse aux deux meilleurs amis. Désormais, la terre de la tribu leur appartenait.

Ils construisirent un village qu'ils nommèrent South Park. La bourgade prospérait grâce à la mine et était réputée pour être festive : les deux hommes organisaient des fêtes chaque soir. Les habitants respiraient la bonne humeur et l'abondance.

Pourtant, lors d'une nuit sans lune, l'impensable se produisit : l'homme aux yeux bleus donna naissance à un être qui n'avait pas de corps. Cette chose était un concentré de force et de vilenie. Seuls lui et son meilleur ami pouvaient la voir. Ils l'appelèrent comme leur ville, South Park.

Depuis cette nuit fatidique, leurs vies changèrent du tout au tout. L'homme aux yeux bleus portaient une affection infinie à son enfant, mais l'homme aux yeux verts se sentait rejeté. Sentiment accru par l'animosité de South Park à son égard. Il lui rendait la vie impossible, plus personne dans la ville ne l'admirait ni ne le respectait. Pas même son meilleur ami.

Les deux hommes se disputèrent sans arrêt, jusqu'au jour où l'homme aux yeux verts décida d'en finir : on le retrouva pendu à côté de son lit. L'homme aux yeux bleus, effondré, tenta lui aussi de se suicider, mais son enfant l'en empêcha juste à temps. South Park prit alors une décision : puisque sa Mère ne pouvait vivre sans son Père, il ressuscita ce dernier. L'homme aux yeux verts put revivre, néanmoins une terrible malédiction le frappa : devenu immortel, la mort l'emportait chaque jour et personne ne s'en souviendrait. Le seul moyen de s'en défaire était de tuer sa propre génitrice.

Détruit et esseulé, l'homme aux yeux verts s'exila loin de la ville et se réfugia dans une synagogue. Le cœur empli de haine et de désir de vengeance, il chercha un moyen d'anéantir South Park. Le rabbin l'ayant recueillit, prit d'une profonde sympathie, lui enseigna un pouvoir que seuls certains élus pouvaient maîtriser. En échange de sa conscience, ce pouvoir donnait à son utilisateur une vitesse vertigineuse ainsi qu'une force herculéenne.

L'homme aux yeux verts parvint à le maîtriser et, avec l'aide d'un groupe énigmatique, retourna à la ville afin d'assouvir sa vengeance.

Face à face, les deux hommes se regardaient avec une haine féroce. Le combat fut le plus terrible que le monde ait connu : la terre tremblait, le ciel était chaotique et dès que les bâtiments se reconstruisaient par magie, grâce au pouvoir de l'homme aux yeux bleus, ils s'effondraient presque instantanément. Ce fut l'Enfer sur Terre. Le feu et la glace s'affrontaient sans pitié, aidés par une rage meurtrière.

L'homme aux yeux verts en sortit vainqueur, à son grand dam. Terrassé par la tristesse, il partit à Littleton où vivait sa noble famille, le corps de son meilleur ami sur le dos. L'homme aux yeux verts tua sa mère pour rompre la malédiction et ainsi pouvoir mourir définitivement.

Il fut enterré avec son meilleur ami, dans la même tombe, dans le jardin de sa défunte mère. Leur nom fut gravé à tout jamais dans la pierre : Trey Parker et Matthew Stone.

Sitôt son conte terminé, Eric Cartman plia la feuille qu'il tenait en deux et fixa intensément Kyle Broflovski.

« Voilà pourquoi les Juifs ne sont pas les bienvenues ici, Kyle. »

Kyle roula des yeux, exaspéré. Voilà qu'il était encore victime des propos antisémites de ce garçon grassouillet

« Putain, Cartman, c'est ridicule. C'est l'histoire la plus stupide que j'ai jamais entendue.

- Ne soit pas aussi hautain, Kyle. Tu ne t'es jamais demandé pourquoi t'es le seul Juif de la ville ? Parce que t'es le descendant direct de ce connard de feuj ! Tu es maudit et personne ne t'aime ! »

Kyle fronça les sourcils, furieux d'entendre de telles inepties. Il répliqua :

« Tout le monde ne me déteste pas, gros lard ! Et puis c'est toi qui l'a inventé ! Un homme ne peut pas tomber enceinte, même Butters le sait connard ! »

Cartman sourit sournoisement, les yeux pétillants de malice.

« Ne te fais pas d'illusion, le Juif. Y'a pas de place pour des gars comme toi dans notre monde... et tu le sais très bien. »

Cartman insista sur sa dernière phrase, sans quitter Kyle du regard. M. Garrisson interrompit la « dispute » entre les deux enfants en leur sommant de se taire. Même si ces deux-là mettaient un peu d'ambiance dans son cours, il ne supportait pas ce manque de respect. Il attribua un B- au travail de Cartman, pour le récompenser d'avoir fait quelque chose de potable, même si cela manquait de « passion ».

Lorsque Cartman s'apprêta à s'asseoir à sa table, il lança un regard des plus mystérieux à Kyle, un regard de prédateur. Ce dernier le remarqua et il aurait dû l'ignorer. Mais Kyle était le genre de personne à se prendre la tête pour une broutille, alors – puisqu'il connaissait suffisamment Cartman pour savoir quand ce lourdaud avait de mauvaises intentions – des doutes commencèrent à pleuvoir dans sa tête.

Et si Eric n'avait pas totalement inventé ce conte ?


Kyle ne parvenait pas à trouver le sommeil, l'angoisse le triturait depuis la fin des cours, à cause de cette stupide histoire infondée. Il savait que quelque chose clochait avec cette ville ; toutes les aventures qu'il avait vécues avec ses amis n'étaient pas naturelles. Il se sentait comme une marionnette, incapable de contrôler ni ses mouvements, ni ses paroles.

Internet ne lui avait apporté aucun indice, ce qui favorisait la théorie de la fiction pure et dure, mais pourtant Kyle doutait de la possible véracité du conte. Il ne pouvait pas l'expliquer, un peu comme une sorte de prémonition, d'instinct. Une partie de lui-même y croyait et voulait fuir cette ville, l'autre – plus raisonnable – restait sceptique. Cependant, Kyle était malgré lui davantage du côté de la première, et la panique commençait à l'emporter. Plus d'une fois Cartman avait vu juste lors de situations abracadabrantes, alors que Kyle le contredisait. Il ne serait qu'à moitié surpris si cette histoire se révélait être vraie.

Ses draps étaient à moitié au sol, aussi bleus que le bonnet fétiche de Stan. Les volets ouverts, seule la lumière du lampadaire à l'extérieur illuminait faiblement sa chambre. Kyle portait son pyjama préféré, bleu-nuit avec les têtes de ses idoles (deux canadiens pétomanes) en guise de motifs. Positionné en « étoile de mer » sur son lit, il fixait depuis un bon bout de temps le ciel étoilé : la ville étant éloignée de tout et petite, les habitants étaient épargnés par la pollution lumineuse. Une voix dans sa tête lui intimait l'ordre de sortir, et Kyle se battait pour ne pas céder. Selon une légende locale, des choses monstrueuses se baladaient la nuit pour kidnapper les malheureux qui erraient dans les rues. Kyle y croyait depuis l'accident du bus[2], où un de ces monstres avait tué un pauvre garçon qui était sorti dans l'espoir de rentrer chez lui.

Malheureusement, la voix prit le dessus et Kyle se vit contraint d'aller dehors. Il enfila sa veste orange et sortit par la fenêtre (il n'y avait qu'un mètre entre le sol et ladite fenêtre). Il se rendit machinalement à l'entrée de la ville, juste devant la vieille pancarte de bienvenue en bois. Le nom de la ville y était inscrit en style Western. Kyle la détailla et ne releva rien d'anormal. Il se sentait un peu ridicule d'accorder autant d'importance à un conte idiot, et d'avoir cédé à cette stupide voix, mais de toute façon il n'était encore qu'un enfant de dix ans, et personne ne saurait ce qu'il avait fait.

Au fond, Kyle avait toujours trouvé injuste, et étrange, que sa famille soit la seule à être juive dans ce patelin. Il essayait de ne pas y faire trop attention, certes il était juif et alors ? Il n'était pas le seul à l'être dans le monde. Plus de treize millions de personnes l'étaient. Cependant, Cartman avait de nouveau éveillé ce doute en lui, cette culpabilité ridicule qui le tenaillait malgré lui. Dieu avait-il décidé que ses parents vivraient ici pour punir sa famille de quelque chose ? Kyle savait que c'était stupide de penser cela, que c'était certainement faux, mais il était convaincu que, pour un pays qui accueillait plus de quatre millions de Juifs, ce n'était pas normal qu'aucun d'entre eux n'ait foulé cette terre. Cette ville correspondait parfaitement à la définition du mot étrange, et ses mystères allaient au-delà du simple paranormal.

Kyle sentait cette présence pesante, qu'il nomma l'Esprit, tout autour de lui. Lorsqu'il quittait la ville, il ne la sentait plus pendant un bref instant, puis elle revenait brusquement, comme si elle le pourchassait. Bien évidemment, Kyle voyait cela comme un fantasme et ne la prenait pas au sérieux, même si parfois il y croyait un peu trop. Kyle voulait tester quelque chose d'idiot – parler avec l'Esprit du bourg – mais au point où il en était autant le faire, ce n'était qu'un bête fantasme après tout. Il ravala sa salive et parla dans le vide :

« Euh... Je suis désolé pour ce que mes ancêtres ont pu commettre. Même si... Non, non. Je suis sincèrement désolé. »

Kyle n'entendait que le vent glacial lui souffler aux oreilles. Il resta immobile un moment, puis tapa du pied, frustré de ne rien recevoir en retour – il y croyait vraiment ! – et d'avoir encore une fois fait quelque chose d'insensé. Au même moment, une voix féminine l'appela dans son dos. Kyle se retourna aussitôt, à la fois surprit et excité. Peut-être qu'il n'était pas totalement fou. Il chercha du regard ladite personne, pourtant rien ne trahissait sa présence. Aucune trace de pas, si ce n'était les siennes. La voix retentit de nouveau, cette fois tout près de lui. Affolé, car la rumeur des monstres dévoreurs d'Hommes venait de traverser son esprit, lui faisant prendre conscience de la dangerosité de la situation, Kyle se tourna immédiatement. Il avait les bras croisés au niveau de sa tête en guise de protection, et les paupières fermées. Puisque rien ne semblait vouloir le frapper, il ouvrit les yeux et baissa les bras. Quelqu'un avait écrit sur la neige sans laisser de traces aux alentours. Kyle lut à haute voix :

« Libère-les...

Puis il demanda :

- Mais qui ? »

Aucune réponse. Kyle tourna machinalement la tête à l'opposé : une nouvelle inscription était apparue.

« A Littleton... Père et Mère... dit-il. »

Kyle ne comprenait pas ce que cela signifiait. Était-ce une farce de mauvais goût ? Ou « l'Esprit » lui demandait-il gentiment de se rendre à Littleton, une petite ville pas loin de Denver, pour libérer ceux qui l'avaient conçu ? Kyle fut prit d'un doute, et vérifia si un monstre ou quelque chose d'extraordinaire ne se trouvait pas dans les parages. Rien, comme tout à l'heure.

Cela signifiait donc que Cartman avait raison ? La famille de Kyle n'était pas la bienvenue ici, et il avait été choisi comme défouloir ? Kyle secoua la tête, refusant de croire à cette version. Il hésitait à obéir sagement, peut-être que quelque chose de terrible l'attendait là-bas. Pourtant une irrépressible envie d'aventure l'incitait à le faire, quelle que soit la raison. Kyle céda une fois de plus et quitta South Park.

Un conducteur qui passait par là avait eu l'amabilité de le conduire à Littleton, celui-ci n'habitait pas loin de la ville alors cela ne le dérangeait pas. Kyle lui avait menti sur les véritables raisons de sa visite nocturne, en lui disant qu'il habitait là-bas et que des amis l'avaient abandonné sur la route suite à une blague. Le conducteur ne chercha pas plus loin, et le déposa en face d'un fleuriste.

Le bâtiment était très sobre, les murs beiges n'avaient pour ainsi dire aucune vitalité. Seuls les vitrines, où étaient présentés des bouquets de fleurs plutôt jolies, donnaient envie d'entrer dans le magasin.

Kyle ne savait pas par où commencer. Une précision sur le lieu où il devait se rendre n'aurait pas été de refus. La même voix que toute à l'heure lui ordonna de casser la vitrine du fleuriste. Kyle, peu emballé, obéit malgré tout et prit un gros cailloux qu'il lança contre le verre qui se brisa en mille morceaux. La pierre écrasa au passage deux petits bouquets qui s'éparpillèrent par terre, mélangés à des bouts de verre et d'eau sale. Kyle y pénétra sans faire attention, s'entailla les mains et râla après lui-même pour son erreur. Il enleva les morceaux de verre enfoncés dans sa chair avec difficulté : la douleur l'empêchait d'être efficace. Ceci fait, il vit deux portes au fond du magasin, une en face et l'autre sur le côté. La voix le guida vers la deuxième. Il l'ouvrit et se retrouva dans un petit jardin loin d'être entretenu : des mauvaises herbes pullulaient de partout et une tombe trônait au milieu. Un bout de tissu blanc orné d'une étoile de David se trouvait au dessus de la pierre tombale. Deux noms ainsi que des dates y étaient inscrits : Trey Parker, 1830 ~ 1875 et Matthew Stone, 1832 ~ 1875. Kyle s'avança pas à pas vers la tombe, inquiet. Il craignait que les parents de l'Esprit soient en réalité morts et qu'il doive les déterrer. Une pelle lancée de nulle part qui atterrit à ses pieds confirma sa crainte : il devrait bel et bien creuser.

Tout d'abord, Kyle refusa. Déranger les morts ne faisait pas parti de ses hobbys favoris, et il recula jusqu'à la porte. Une force le poussa violemment vers l'avant et le traîna jusqu'à l'endroit à creuser. Kyle se releva, la pelle entre ses mains bien malgré lui. Il avait comprit le message.

Au bout d'une heure trente, il arriva jusqu'au fond. Des chaînes empêchaient l'ouverture du caisson en bois. Elles étaient rouillées et fortement usées par le temps. Cependant, une aura surnaturelle s'en dégageait, ce qui fit frissonner Kyle. Il remarqua que le même tissu avec le même dessin se trouvait coincé sous une des chaînes. Celui-là, par contre, était sale et l'étoile de David avait presque disparue. Kyle essaya de le retirer, sans effet. Le bout de tissu sale restait sagement sous la chaîne, comme collé à même le caisson. Il releva la tête, fixa longuement le tissu au dessus de la tombe et tendit le bras pour l'attraper. Il réussit à l'extirper sans aucun problème.

Le bout de tissu se dégrada presque instantanément, ainsi que celui coincé sous la chaîne. Kyle, étonné, sentit le sol trembler sous ses pieds. Il tenta de sortir de la tombe, mais une lumière aveuglante s'échappa du trou et lui brûla les yeux. Kyle perdit connaissance et ne se réveilla que bien plus tard.

Kyle venait d'accomplir l'une des plus grosse bêtise de sa vie.


[1] quand Trey était plus jeune, ses cheveux étaient blonds. Ça arrive souvent que les petits blonds brunissent avec l'âge (c'est arrivé à l'une de mes amies : à huit ans, elle était blonde, et maintenant elle est châtain ^^)

[2] référence à l'épisode 7 saison 2 « la ville au bord de l'éternité ».

Voilà, fin du premier chapitre. Je sais bien que Matt est athée, mais ethniquement il est juif (car sa mère l'est), donc dans ma fiction, il est juif, et un pur. Surtout parce que c'est drôle ;)

Je précise que les deux bouts de tissu sont en réalité des sceaux, liés aux chaînes.

J'ai changé pas mal de chose, même si globalement les événements restent les mêmes.

Je vous rassure, la date de naissance et de mort attribuée aux créateurs ici est purement fictif, Trey est en réalité né en 1969 à Conifer et Matt en 1971 à Houston et ils ne sont pas morts. J'ai donné ces dates pour des besoins scénaristiques, car en réalité South Park a été créé vers 1860 lors de la ruée vers l'or au Colorado. Puisque dans ma fiction ils sont les fondateurs de la ville, fallait bien que ça soit cohérent.

Bref, j'espère que cette nouvelle version vous a plu ! N'hésitez pas à lâcher un petit commentaire, ça fait toujours plaisir !