ECLAIRCIR LES CHOSES.

Voilà, alors j'ai eu l'idée de rassembler deux fics du même titre ici… Ben en fait la première sur Stargate Atlantis est de moi, et la seconde est la traduction d'une fic sue SG-1que j'adore.

En ce qui concerne

SG-1 : spoiler saison 1

Atlantis : spoiler saison 2

Les reviews bonnes ou mauvaises sont appréciées .

Pour ce qui se demande ou j'en suis avec un nouveau monde, je suis en train de rédiger un nvo chapitre que je posterai au pire fin de semaine prochaine. Encore désolée du retard…

ENJOY/…….

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La porte du bureau était restée entre-ouverte, et les techniciens dans la salle de commande de la base terrienne Atlantis ne perdaient pas une miette de la conversation ou plutôt de la dispute qui avait lieu dans cette pièce aux murs vitrés, entre les deux responsables de l'expédition.

W : SI VOUS CESSIEZ DE VOUS LANCER TETE BAISSE CHAQUE FOIS QUE VOUS AVEZ UNE MISSION, CA NOUS EVITERAIT BON NOMBRE DE PROBLEMES COLONEL !

S : Oh, alors si je comprends bien, c'est MOI qui fait tout mal, n'est ce pas DOCTEUR ?

W : PARFAITEMENT !

« C'est vrai que j'aurais sûrement pu lui répondre avec plus de tact. Il faut dire que je parle souvent à Kavanaugh avec plus d'amabilité. Mais là, il l'a vraiment cherché ! »

Le visage du Docteur Weir était rouge de colère, et le colonel Sheppard sembla grandir de quelques centimètres (que qui est impressionnant quand on sait qu'il dépasse tout le monde a part peu être Mc Kay, d'au moins une tête), la dominant totalement.

S: Et bien MOI je vous signale, que je n'ai fait qu'obéir à VOS ordres !

W : Tiens donc ! Alors ça c'est vraiment quand ça vous arrange n'est ce pas Colonel ? Non c'est vrai, je veux dire, à a chaque fois que je vous donne un ordre vous me lancez à la figure que vous êtes ici l'officier le plus au gradé et que vous n'avez par conséquent aucun ordre à recevoir, et quand je vous donne un conseil, vous le prenez comme un ordre et vous l'appliquer à la lettre SANS MEME CHERCHER A REFLECHIR !

« Et d'ailleurs cette activité demande de l'esprit ! Méchant ça Liz, après tout, ce n'est pas comme si John était totalement stupide … Il l'est certes… Mais juste un peu… »

S : c'est pas ma faute si c'est vous qui êtes un mauvais chef !

« Et oh quoi ? Depuis quand on en est arrivé à mes capacités de commandement ? Si je ne m'abuse, le problème à l'origine c'était son comportement à lui ! »

W : C'est pas ma faute si vous faites tout pour que je perde patience ! Sans blague, il y a des moments où je me dis que votre mère à du au moins être béatifier ! D'ailleurs je pense que c'est plutôt votre libido surdéveloppée le vrai problème ici !

« Tiens, là on arrive enfin à quelque chose d'intéressant… » Légère hésitation dans le camp Sheppard. Le major semble vouloir dire quelque chose, avant de finalement hausser les sourcils.

S : Ma libido ?

« Ah non, il va pas perdre son sens de la repartie maintenant, on commençait juste à s'amuser ! Allez, re-concentre toi John s'il te plait ! »

W : Parfaitement ! Dès que vous voyez un être humain avec une paire de sein qui ressemble de près ou de loin à une fille, vous lui courrez après ! Sans même chercher à savoir si elle est une alliée ou non ! Ces amazones auraient pu vous tuer je vous signale !

Le regard du jeune homme s'adoucit, comme s'il comprenait quelque chose à travers les paroles de son leader. Il porta doucement la main à son bras et elle ne le repoussa pas.

S : Mais je suis vivant…

W : Oui, et on peut remercier Teyla pour ça !

« Son petit sourire en coin est réapparu… Mignon… Non, Liz, arrête tout de suite ! tu n'en as pas encore fini avec lui… tu pourras soliloquer sur le charme de ses fossettes plus tard… il se rapproche de moi… il prépare un mauvais coup, je le sens… »

S : Attendez, qu'est ce que c'est le problème exactement ? Que je n'ai pas réussi à m'en sortir seul ? Que j'ai été en danger uniquement par ma faute ? Ou que vous êtes frustrée parce que vous êtes la seule femme à qui je ne semble pas porter un intérêt particulier ?

« QUOI ? Attendez, il a bien dit ce que je crois qu'il a dit ? Meeeeeeeeeeeeeeeerde ! Alerte, Alerte, John Sheppard vient de se faire télépathe, toutes pensées aux abris ou je suis morte ! Mais qu'est ce que je dis moi ? Elizabeth ? T'es devenue folle ou quoi ? Répond lui au lieu de te parler à toi-même ! »

Le silence se fit dans la salle de commande, tous étant bien plus intéressé par ce qui allait suivre que par leurs précédentes activités. Le docteur Elisabeth Weir porta la main à sa gorge comme si elle s'était étranglée, et le regarda droit dans les yeux, le prenant pour un fou

W : … Frustrée ? Vous prenez vos désirs pour des réalités Colonel…

« Oh oui, bien, très convaincant… Saute-lui dessus aussi tant que tu y es… »

S : et pourquoi ça ?

« Il a ce sourire en coin. Celui qu'il fait quand il est sur d'avoir raison. Très bien, à la guerre comme à la guerre, frapper là où ça fait mal ».

Elle se pencha outrageusement vers lui, jusqu'à ce que sa bouche ne soit qu'à quelques millimètres de son oreilles, et murmura d'une voix étrangement douce.

W : Parce que je préfèrerais encore embrasser Michael ou un de ses amis Wraiths plutôt que vous.

« Méchant ça. Et il a l'air de ne pas s'y être attendu… »

Sheppard sembla accuser le coup, reculant de quelques pas, choqué. Elisabeth ne prit pas la peine de réfléchir sur ce qui était le moins pertinent entre le fait qu'elle prenne la beauté physique comme argument (elle était une diplomate tout de même, et n'aurait pas du s'abaisser à cela) ou le fait que ce qu'elle venait de dire était absolument inconcevable… Même le plus abruti des hommes aurait pu comprendre qu'elle mentait… Mais John, blessé dans son ego ne semblait pas s'en être aperçu.

Le regard méchant, il répondit sèchement.

S : Et bien peut être que vous auriez pu tenter votre chance avec Steve tant qu'il était encore parmis nous… On ne sait jamais, si ça se trouve, pour les aveux, vous savez encore plus y faire avec les confessions sur l'oreiller…

La gifle partit d'elle-même avant même qu'il n'ait pu réaliser le sens de ses paroles. Elisabeth, furieuse et blessée quitta son bureau en hâte, tandis que le colonel John Sheppard se passait une main hésitante sur sa joue rougie, sous le regard réprobateur des techniciens en salle de commande. La lumière se fit enfin dans son esprit, et il ouvrit grand les yeux en jurant :

S : Oh mais quel con !

Il claqua la porte du bureau et s'élança à sa poursuite, bien décidé à éclaircir les choses…

A suivre ?