Note de l'auteur : BONJOUR/BONSOIR ! Et oui ! C'est moi ! Shinory-chan ! La fameuse fille qui aime faire danser la Zumba à Zoro et le faire se transformer en fille !
Me voici avec une nouvelle fiction qui est basée sur le livre : "Cinquante nuances de Grey" Le début lui ressemblera énormément [Pour ceux qui l'ont lu] bien qu'au lieu que l'histoire soit sur une femme, ce sera sur Sanji, bien évidemment !
La suite par contre, sera complètement changée !
Et en plus, vous êtes gâtées ! Regardez-moi ce premier chapitre assez long ! Bref, bonne lecture !
Disclaimer : Personne ne m'appartient ! Hormis les décors et quelques personnes...
Rating de l'histoire : M pour scènes explicites.
Roronoa.
Jeune étudiant en fin de dernière année de Fac, Sanji rentrait dans son appartement où il vivait depuis deux ans avec une très bonne amie nommée Robin.
Celle-ci étant souffrante, ne quittait pas son lit si ce n'est pour aller se chercher de quoi boire ou manger. Elle était la rédactrice en chef du journal de leur Fac et était une très grande littéraire.
Sanji, quant à lui était cuisinier dans un des meilleurs restaurants de tout le Japon, nommé Baratie. Il adorait les femmes bien qu'il n'est jamais eu de relations poussées avec elles. A vrai dire, malgré les nombreuses pirouettes qu'il effectuait devant les belles demoiselles, il n'avait jamais ressenti le besoin du plaisir charnel. Ayant déjà vingt-et-un ans, son amie s'inquiétait légèrement sur son cas. Mais bon, elle n'allait pas non-plus l'obliger a perdre sa virginité, après tout, il faisait ce qu'il voulait.
Alors qu'il déposait ses clefs sur la table du salon, son amie se précipita vers lui.
- Sanji-kun ?
- Oui, ma Robin d'amour ?
- Puis-je te demander un service ?
- Tout ce que tu voudras ! ~ Répondit le cuisinier en se dandinant devant elle.
- Je viens de recevoir un coup de fil de Mr Roronoa de Roronoa Entreprise©. Tu sais, celui que je cherchais à interviewer depuis plus de neuf mois.
- Oui. D'ailleurs, pourquoi un tel acharnement ?
- Tu ne le sais pas ? J'étais pourtant sur de te l'avoir dit... Ce n'est pas grave. Il est le mécène de notre université et j'ai promis à tous ceux du journal de l'interviewer pour le dernier numéro du journal en tant que rédactrice en chef.
- Et qu'y a-t-il ? Tu devrais être folle de joie de pouvoir le rencontrer, ce Roronoa.
- C'est-à-dire que... Étant malade, il est impossible pour moi d'aller l'interviewer... Pourrais-tu y aller à ma place, Cook-san ?
Une longue minute passa.
- Tu... Tu veux que j'ailles l'interviewer à ta place ?...
- S'il-te-plait...
- Mais je ne m'y connais absolument pas dans le journalisme !
- C'est pour ça que je vais t'écrire sur un papier les questions dont j'ai besoin de réponses, d'accord ?
- Mais ma douce Robin...
- J'ai entendu dire qu'il y avait de magnifiques jeunes filles dans ses bureaux...
- Quand est le rendez-vous ? Fit le cuisinier, les yeux en coeur.
- Demain, 14h00 à Tokyo centre.
- De quoi ?! Tokyo centre ?! Mais il me faudrait au moins trois bonnes heures de routes d'ici !
- Je sais, je te prêterais ma vieille Mercedes si tu veux. Elle ira déjà plus vite que tes simples jambes...
Le blondin soupira. Il était impossible pour lui de refuser ce que son amie lui demandait.
- C'est d'accord.
- Merci, Sanji-kun. Répondit la brune en lui offrant un doux sourire.
Sanji se transforma en mollusque entouré de pleins de petits coeurs et tournoyait autour de sa douce Robin. Celle-ci lui demanda poliment de lui préparer de quoi se nourrir pour ensuite retourner dans son lit bien au chaud.
Après un bon repas, ils allèrent tous les deux se coucher, une s'endormie comme masse et l'autre ne trouva pas le sommeil rapidement, plus angoissé qu'autre chose par la journée de demain.
Le lendemain matin, un certain blond tentait de dresser sa mèche qui recouvrait la moitié gauche de son visage. Stressé au plus haut point, il ne pouvait s'empêcher d'avoir cette boule au ventre qui le rongeait de l'intérieur. Après avoir apporté le petit déjeuné au lit à sa belle Robin et avoir récupéré la liste des questions à posées, il prit son manteau mais se fit interpeller par la belle brune.
- Qu'y a-t-il ?
- J'imagine que tu ne sais pas te servir d'un dictaphone... Viens-là que je t'explique.
Après quelques secondes d'explications, le blondin prit enfin la voiture pour partir de Shizuoka pour rejoindre Tokyo.
Deux heures et demi plus tard, il se gara et chercha à pied les locaux de Roronoa Entreprise©. A quoi pouvez bien ressembler cet homme ? D'autant plus qu'il ne connaissait absolument rien de ce Roronoa en question. Trouvant enfin son lieu de rendez-vous, il entra dans la grande bâtisse composée d'une quarantaine d'étage et se dirigea vers l'hôtesse d'accueil. Prenant un air des plus séducteur, il s'appuya contre le bureau et aborda la jolie brune :
- Bonjour mademoiselle.
- Bonjour monsieur. Que puis-je faire pour vous ?
- Je suis ici de la part de Mademoiselle Nico Robin, Mr Kuroashi Sanji. J'ai rendez-vous avec Mr Roronoa à 14h00.
- Je vais vérifier ça.
La jeune brune regarda dans l'agenda de son patron et releva la tête.
- Effectivement ! Signez juste en bas de cette page.
Le cuisinier signa et elle lui passa un Pass Visiteur en lui souriant gentiment. Sanji lui répondit avec un sourire resplendissent et prit l'ascenseur numéro trois sur sa gauche comme l'hôtesse venait de lui indiquer et appuya sur le numéro 38. Après quelques minutes passées dans la cabine, il arriva à l'étage où il allait pouvoir rencontrer celui pour lequel il avait parcourut plus de 179 km rien que pour faire plaisir à son amie.
En sortant de l'ascenseur une autre jeune brune l'aborda tout en lui demandant qui il était.
- Mr Kuroashi. J'ai un entretien avec Mr Roronoa.
- Veuillez patienter, il sera à vous dans cinq minutes ! Lui répondit la brune tout en lui souriant.
Elle l'invita à s'asseoir sur un des sièges de la salle d'attente et repartit s'asseoir à son bureau. Quelques minutes plus tard, une autre jeune fille arriva, brune elle aussi.
Il est obsédé des brunes ou quoi ? Pensa Sanji. Elle s'approcha de lui et lui souria poliment.
- Bonjour, monsieur. Vous a-t-il été proposé de quoi boire ?
La brune numéro un se leva brusquement et se courba vers le cuisinier.
- Je suis désolée ! J'ai complètement oublié de vous proposer quoi que ce soit !
- Ce n'est pas bien grave, ne vous inquiétez pas. Répondit Sanji en lui souriant.
- Margareth ! Combien de fois dois-je te le dire ?! S'indigna la brune numéro deux. Désirez-vous quelque chose ?
- Un verre d'eau sera suffisant. Fit poliment le cuisinier.
La-dite Margareth partit à toute vitesse chercher un verre d'eau et revint quelques secondes plus tard. Sanji la remercia et la seconde brune lui prit son manteau pour l'accrocher à l'entrée, près de l'ascenseur. Quelques minutes plus tard, un grand homme brun sortit du bureau de Mr Roronoa. Il souffla poliment un simple "- Au revoir" aux jeunes filles et fit un signe de tête au cuisinier. Sanji se leva donc et attendit nerveusement qu'on lui autorise d'entrer. C'est alors que la jeune brune numéro deux l'interpella.
- Mr Kuroashi, vous pouvez entrer. Vous n'avez pas besoin d'entrer en frappant.
Elle lui souria chaleureusement et il se retourna pour ouvrir et s'y engouffrer. Tellement il était nerveux, il s'effondra à quatre pattes suite à une maladresse inconnue jusqu'à présent. Il jura intérieurement mais se fit retiré de ses pensées par une voix grave et une main tendue vers lui.
- À qui ai-je l'honneur ?
Le blondin leva les yeux vers son interlocuteur et put enfin voir à quoi ressemblait le mécène de son université. Bon dieu c'qu'il était jeune et beau ! Parfaitement bien musclé, au passage. Mais ce qui attira l'intention du chef c'était sa couleur de cheveux très originale : ils étaient verts.
- Y'en a qui sont morts comme ça. Fit l'homme, agacé.
Sanji redevint maître de lui-même et prit la main qu'on lui offrait. Alors qu'il posait sa main dans l'autre, un courant électrique eut lieu. Suite à ce contact, les joues de Sanji se mirent à rougir et son corps tout entier tremblait. Il jeta un coup d'oeil à son vis-à-vis qui ne semblait pas plus affecté que ça. Le verdoyant reprit alors la parole.
- Alors ? Vous êtes ?
- Je... Euh...
- Quoi ? Vous êtes sénile à quoi... à peine vingt ans ?
- Non. Et pour être exacte, j'ai vingt-et-un ans.
- Et moi, j'm'en branle.
Sanji sentit sa colère grandir à une vitesse phénoménale mais décida de se calmer. Il ne fallait pas mettre ses études en danger à cause d'un pauvre milliardaire aux cheveux verts !
- Je suis Kuroashi Sanji. Je viens pour l'interview.
- Ce n'était pas censé être une femme ?
- Mademoiselle Robin est souffrante, donc je la remplace.
- Offrez-lui mes voeux de bon rétablissement alors. 'Faut au moins ça. Après tous ces mois où elle m'a harcelé juste pour une interview. Bref. Désirez-vous de quoi boire ?
- Ça ira, merci.
Mr Roronoa lui désigna alors un canapé près de son bureau et ils s'y asseyèrent. Sanji examina alors la pièce dans laquelle il était. Elle était très grande et donnait pratiquement sur tout Tokyo. Les murs était de couleur blanche et il y avait quelques tableaux valant une fortune accrochés un peu partout. Mr Roronoa le tira de sa contemplation.
- Alors... Ces fameuses questions. Fit Mr Roronoa un très léger sourire aux lèvres à peine voyant.
- Ou-oui.
Sanji était complètement destabilisé par la puissance qui émanait de son vis-à-vis. Ce mec avait l'air extrêmement gentil comme il pouvait être extrêmement détestable et ça intimidait fortement le blond. D'ailleurs, lorsqu'il sortit le dictaphone, il le fit tomber plusieurs fois avant de réussir à le tenir en main. Roronoa esquissa un léger sourire en coin tout en observant l'homme complètement destabilisé devant lui.
- Calmez-vous, je ne vais pas vous manger. Assura Roronoa en faisant un clin d'oeil à Sanji.
Le cuisinier sentit ses joues virer au rouge en quelques secondes. Le vert, lui, posa un coude sur ses genoux pour maintenir sa tête tout en regardant de haut-en-bas le blondinet en face de lui.
- Si vous pouviez vous dépêcher, ça m'arrangerai. Je ne suis pas fan de ce genre de situations.
- Lesquelles ? Répondit du tac-o-tac Sanji.
- Et beh, vous avez repris confiance en vous à ce que je vois, Mr Kuroashi.
Les joues du blondin s'enflammèrent lorsque le milliardaire avait dit son nom. Mais qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez lui ?!
- Vous ne m'avez pas répondu, Mr Roronoa.
Le vert eu un rire léger, amusé du comportement du plus jeune qui passait de la gène à l'agression. Ce rire - aussi léger soit-il - déstabilisa encore plus le jeunôt.
- Eh bien, je n'aime pas consacrer mon temps aux interviews, j'ai d'autres choses à faire.
- Quel genre de choses ?
Merde, il s'était laissé aller. Roronoa redevint froid.
- Ce ne sont pas vos affaires.
- Excusez-moi, ma curiosité a prit le dessus...
Le regard du verdoyant se radoucit.
- Mah, c'est pas grave, Mr Kuroashi. Mais dites-moi, qui me dit que vous n'êtes pas un ami de Mademoiselle Nico Robin ?
- Comment ça ?
- Vous pouvez très bien être un paparazzi qui s'est servit d'une jeune fille pour avoir une interview.
- Voyons ! Quel homme horrible ferais-je si je l'avais fait !
- Bien. Alors prouvez-le moi.
- Comment ?
- Dites-moi qui vous êtes exactement.
- Je vous ferais perdre votre temps.
- C'est ce que vous faites déjà. Répondit Roronoa, un sourire moqueur aux lèvres.
Sanji rougit pour la énième fois depuis le début de l'entretien et s'excusa platement.
- Bon. Je suis Kuroashi Sanji et-
- Ça, je le savais déjà.
Contrôlant du mieux qu'il pouvait sa colère, le blondin continua.
- J'ai vingt-et-un ans-
- Ça aussi.
Il soupira bruyamment sous le regard amusé de son aîné.
- Je connais Mademoiselle Robin depuis plus de deux ans et nous sommes colocataires. Étant souffrante et ne voulant pour rien au monde louper cette chance de vous interviewer, m'a supplié de venir à sa place.
- Ok. Fit distraitement la tête aux cheveux verts.
- Quoi, c'est tout ?
- Ouais.
- Mais... Pourquoi m'avez vous demandé de faire ça ?
- Comme ça.
Sanji, ne comprenant rien au comportement du milliardaire, pris le papier où toutes les questions étaient inscrites en main et prit conscience d'une chose alors qu'il allumait le dictaphone.
- Ça ne vous dérange pas si je vous enregistre ? Demanda-t-il précipitamment.
- Vous ne croyez pas que c'est un peu tard pour me le demander, Mr Kuroashi ?
Il s'empourpra de-nouveau. Revoyant sa gène, le verdoyant fit tout simplement :
- Non, ça ne me dérange pas.
- Robin-chan euh, Mademoiselle Robin vous a-t-elle expliqué le but de cette interview ?
- M'oui. Pour le journal de votre Fac, n'est-ce pas ?
- C'est exacte.
- Si je me souviens bien, c'est pour le numéro de fin d'année, vu que c'est moi qui remets les diplômes.
Première nouvelle pour Sanji. Lui qui pensait qu'il pourrait oublier ce dure moment de honte tranquillement sans le revoir, c'est loupé.
- Bien, j'ai quelques questions à vous poser, Mr Roronoa.
Il se racla la gorge pour s'éclaircir la voix.
- Je m'en doutais un peu. Répliqua Roronoa.
Cette fois c'est sur, il se moque de lui. Une nouvelle fois, ses joues s'embrasent.
- Vous êtes très jeune pour avoir bâti un pareil empire. À quoi devez-vous votre succès ?
Un sourire modeste se dessina sur le visage de Roronoa.
- En affaire, tout est question de personnes, Mr Kuroashi, et je suis très doué pour juger les gens. Je sais comment ils fonctionnent, ce qui les fait s'épanouir, ce qui les bride, ce qui les inspire, ce qui les pousse à se dépasser. J'emploie une équipe exceptionnelle, que je récompense largement de ses efforts.
Il fit une pause, observant Sanji de ses yeux émeraudes.
- Je suis persuadé que pour réussir un projet, quel qu'il soit, il faut le maîtriser à fond, dans tous ses détails. Je travaille énormément pour y arriver. Je prends des décisions fondées sur la logique et les faits ; je sais repérer d'instinct les idées solides et développer leur potentiel. L'essentiel, c'est de savoir choisir son équipe.
- Ou alors, vous avez eut de la chance, tout simplement. Fit Sanji.
Il ne supportait mais alors pas du tout l'arrogance de cet homme.
- Je ne crois pas à la chance, Mr Kuroashi. Tout est dans le choix de son équipe et de son organisation.
- Autrement dit, vous êtes un maniaque du contrôle.
- On peut dire ça comme ça.
Il soutient le regard de Sanji sans sourciller. Cet homme déstabilisait terriblement Sanji, d'autant plus que maintenant, il laissait son index caresser sa lèvre inférieur. Cet homme attirait Sanji comme un aimant. Il était si beau. Sanji reprit ses esprits et posa la seconde question :
- Que faites-vous pour vous détendre, Zoro ?
- Me détendre ?
À la vue du sourire resplendissant qui apparut sur son visage, Sanji ne put que rougir en voyant des dents parfaitement blanches. Ça devrait être interdit d'être aussi beau.
- Eh bien, pour me détendre je pratique beaucoup de kendo - dont je suis vice-champion du monde - et du tennis.
Sanji jeta un coup d'oeil aux questions de Robin.
- Vous avez investi dans un chantier pour des nouvelles salles kendo. Pour quelle raison ?
- Vous n'écoutez donc pas ? Je viens tout juste de vous dire que j'étais vice-champion du monde de kendo. D'où ma raison d'investir dans ce projet.
- Désolé...
- Pas grave.
Sanji rejeta un coup d'oeil sur le papier.
- Vous avez été adopté. En quoi pensez-vouss que cela a influencé votre parcours ?
Oups. Sujet qui fâche, à ce qu'a put constater le blondin en voyant Roronoa froncer les sourcils.
- Je n'en ai aucune idée.
Sanji continua, dans sa lancée.
- Avez-vous dû sacrifier votre vie de famille à votre travail ?
- J'ai une famille. Un père.
- C'est tout ?
- Ces informations sont publiques, Sanji.
À l'entente de son prénom, Sanji frissona et son coeur fit un bond dans sa poitrine tandis que le verdoyant continuait :
- Après le décès de ma meilleure amie, son père m'a élevé. C'est là toute la famille que j'ai.
- Je suis désolé...
Sanji se recroquevilla sur lui-même beaucoup trop honteux. Roronoa, quant à lui, souriait tendrement au blondin. Celui-ci posa une autre question.
- Êtes-vous gay, Mr Roronoa ?
Merde. Il aurait mieux fait de lire deux fois cette question avant de la lui poser. Roronoa - lui - était complètement étonné.
- Qui sait ? Répondit-il en haussant les épaules.
- Je suis désolée, c'est... Euh écrit ici ! Fit Sanji en désignant le bout de papier.
Roronoa posa sa tête sur son épaule.
- D'où viennent ces questions ?
- C'est Mademoiselle Robin qui les a rédigé...
Contre toutes attentes, le verdoyant partit dans un rire franc qui fit s'emballer le coeur du pauvre cadet.
- Pourquoi riez-vous ?
- C'est quelle manque pas de culot cette petite ! Répondit Roronoa en se calmant quelque peu.
Quelqu'un frappa à la porte : la jeune brune numéro deux.
- Excusez-moi monsieur mais votre prochain rendez-vous est dans cinq minutes.
- Annulez-le.
- Bien, monsieur.
Et la brune partit en refermant la porte.
- Je ne veux pas vous bousculer votre emploi-du-temps, je vais m'en aller. S'exclama Sanji.
- Ne vous inquiétez pas. D'autres questions ?
- Non, justement.
- Que diriez-vous si je vous propose de visiter nos locaux ?
- Non, merci. J'ai une très longue route pour rentrer à Shizuoka.
- Vous rentrez directement ?
- Oui.
- C'est une longue distance à parcourir ! D'autant plus qu'il s'est mit à pleuvoir. Soyez très prudent.
- Promis ! Fit Sanji en se levant.
Il se dirigea vers la grande porte qui fut ouverte très courtoisement par Mr Roronoa.
- Permettez-moi de vous raccompagner.
Sanji acquiesca les joues en feu. Lorsque les deux brunes virent leur patron ramener Sanji, toutes affichèrent des têtes des plus choquées.
- Vous avez de quoi vous couvrir ?
- Un manteau.
Roronoa prit alors le manteau en question et aida poliment Sanji à l'enfiler. Une poignée de mains pour se dire au revoir avec de-nouveau ce courant électrique parcourant le corps du blond. Celui-ci, plus rouge que jamais, appuya sur le bouton de l'ascenseur et s'engouffra dans la cabine. Quand il se retourna pour le regarder, il le trouva magnifique. Vraiment, une beauté comme ça devrait être interdite.
- Sanji.
- Zoro.
Heureusement pour Sanji, les portes se refermèrent au même moment.
Alors ? Qu'en pensez-vous ? :3
