(alors j'expose d'abord la situation, là cela sera un NO-huday ; donc comme vous vous en doutez Cameron est avec Chase et House avec Cuddy[les noms s'étranglent dans ma gorge] et donc je vais faire développer un sentiment complètement différent au départ de celui qu'aime les hamerons comme moi....vous allez voir )
(PS: y'a pas de saison en particulier! c'est un truc dans l'espace temps XD)
Chapitre 1:Seuls
Le noir; un espace; une pièce; des lits; une portes close; des issues bloquées; des vitres bloquant la vue grâce à des rideaux.
Dans ce noir on entend deux souffles.
Dans cette espaces on sent deux présences.
Dans cette pièce on distingue deux personnes, un homme et une femme.
Sur ces lits sont installés ces personnes, chacun d'un bout à l'autre de la pièce.
Une porte dont la poignée avait été malmenée.
Des marques de griffes pour trouver des recoins cachés afin de sortir.
Des vitres qui bloquaient la vue sur nos deux personnages par des barrière de tissu.
On va commencer par l'homme.
Un brillant néphrologue, sarcastique, ironique, mesquin mais pas forcément méchant.
Son coeur qu'on disait de pierre, allait de battement en battement à une vitesse inaccessible par tout autre personnes sur terre.
Ses membres tremblants, ne voulaient pas obéïr à son cerveaux qui demandait à ce qu'ils se calment.
Son souffle ne s'arrêtait pas d'accélérer, ne manquant pas de lacher des mots entre deux bouffées, des mots trop bas pour être compris.
Il avait une main sur une boite de vicodine vide à sa droite, et sa canne dans sa main gauche.
Ses yeux en fixaient d'autres sans s'arrêter, ne cligant que le plus rarement possible.
Aucun sentiment qu'il voulait transmettre n'échappait à la transmission d'oeil à oeil.....et la bouche entre-ouverte, dents pour dents.
Il s'agit bien du Docteur Gregory House, homme bourru et amant de la doyenne de l'hôpital Docteur Lisa Cuddy.
Cela durait depuis environ 8 mois leur histoire.
8 mois que cela avançait à grand pas, trop rapidement sûrement.
Peut-être est-ce pour faire concurrence à un autre couple?
Qui le saura.
L'autre personne elle, est immunologue bien réputée, douce, agréable, mais qui ne se laisse plus faire depuis déjà un long, très long moment.
On ne peut arrêter son coeur qui ne va pas au tro mais au triple galop, impossible de manquer une vitesse identique chez un être humain.
Son corps contracté ne laisse pas de place au doute qu'elle redoute quelque chose et qu'elle veut se battre contre.
Sa respiration haletante inquiéterait n'importe qui passerait à ses côté tellement la rapidité d'inspiration et d'expiration est terrifiante, lachant une phrase continuellement que l'on ne pourrait identifier.
Elle avait la tête sur ses genoux qu'elle serait dans ses bras, en posture assise. Cela n'était pas à cause d'une quelconque fraicheur non.
Son regard n'en quittait pas un autre, ne voulant pas perdre un instant des messages transmits.
Le même sentiment passé, aucun moyen de l'arrêter, de le maîtriser ou de le contrôler. C'était une guerre, et la fin était loin.
En effet, on parle bien du Docteur Allison Cameron, femme belle et charmante et fiancée d'un de ses collègues le Docteur Robert Chase.
Voilà plus d'un an que leur relation dure dans une lenteur que nul n'aurait imaginé.
Peut-être est-ce pour s'assurer que les autres ne font pas attention à eux?
Qui le saura.
Trois mètres séparaient ces deux personnes, et pourtat cela semblait ne pas leur suffire comme distance.
Ces deux êtres qui était si proches, et maintenant si lointains.
Il fut un temps ou sortir était un jeu, boire de la rigolade, manger était un délice; entre eux.
Ils étaient tout les quatre, deux petits couples sans vrais attaches sauf entre ces deux-là.
Une complicité les liait.
Un regard suffisait à ce qu'il comprenne l'autre, un touché à trasnférer les pensées, un mot pour en cacher un autre que eux seuls comprenaient.
Et puis il y a eu cette demande en mariage.
Chase avait demandé à Cameron de l'épouser.
Toute émue et à moitié heureuse, Allison avait accepté.
Et c'est le soir même que tout avait basculé.
Gregory n'avait pas bien pris cette nouvelle, et était donc allé, le coeur lourd chez l'immunologue.
Mais lorsqu'elle ouvrit la porte, aucun mot ne sortit de sa bouche.
Il avait seulement fais un pas en avant et posé ses lèvres sur celles de la jeune femme.
Il n'avait su qui écouter entre la voix dans sa tête et son instinct.
L'une lui disait qu'il lui fallait plus, et l'autre lui conseillait de fuir.
Il aurait du partir au lieu de savourer cette nuit que jamais il n'oublierait.
Fuir au lieu de goûter à l'interdit.
Déguerpir au lieu d'avoir aimé autant pour l première fois depuis bien longtemps.
Le lendemain de cela la distance toute seule s'était installée.
Aucun mot n'avait été échangé, partgé entre peur et l'envie de recommencer.
Personne n'avait fais attention à cette séparation soudaine, que se soit leurs amis ou amants.
Et maintenant, dès que l'un des deux couple faisait un pas en avant, l'autre essayait d'en faire deux.
Une course s'était installée.
Les seules fois où ils s'était adressés la paroles après cela, les mots n'étaient pas dis mais crachés.
Les mouvements pas fais mais envoyés.
Plus rien de beau ou de bein ne les unissait, plus rien.
Et c'est pourquoi, dans cette pièce d'isolement.
Alors qu'une bactérie s'était libérée dans l'air, leur air.
Ils étaient enfermés, à se regarder dans le blanc des yeux, et à dire des paroles indéchiffrables avant qu'ils ne parlent en même temps; à haute voix:
Je te hais.
Voilà les seuls mots sortis, et le message qui passe par leurs yeux est de la haine.
Mais est-ce variment ça? ou cela cache-t-il quelque chose de plus douloureux et de plus dangeureux que ce sentiment là?
