Hello Everybody !
Oh ! Mais que vois-je ? Une nouvelle fiction les filles ? Hihi... Il semblerait bien.
En effet, nous nous sommes lancées !
Rhea et moi, sommes réunies pour vous faire partager nos petits délires quotidiens. N'est-ce pas Rhea ? Rho.. Arrête de sauter partout tu me donnes le tournis ! T'as qu'à m'appeler Alice maintenant ma chère Luna. Ça va t'inquiète pas, je te laisse la parole...
Au faite les filles, je compte sur vous. Votre avis est le bienvenu et soyez cool d'accord ? Rhea écrit pour la toute première fois... Comme c'est excitant...
Bon aller je vous laisse sinon j'aurai encore droit au fouet !
Mais t'as fini de me faire passer pour un tyran oui ? En plus, avoue que tu adores ça Luna les coups de fouets bien placés. Surtout quand c'est Edward qui te les donne !
Bon ! Sur ce, trêves de bavardages et place au premier chapitre de cette nouvelle histoire.
En espérant que vous allez l'aimer autant que nous on a prit de plaisir à l'écrire.
Disclamer: Nous ne le dirons jamais assez pendant l'aventure, mais tout ces merveilleux personnages appartiennent à Stéphanie Meyers... Notre grande prêtresse de l'amour et du vampirisme romantique... Merci de nous avoir créer Edward...
(PS... Tout le long de nos chapitres, nous avons une sale mannie qui consiste à faire des petits commentaires bien à nous. À vous de les lire ou pas... ^-^)
POVE
(Hurricane Bells - Monsters)
Le lycée...
Lieu de tout les changements physiques et psychologiques chez les adolescents.
A dix sept ans, la vie paraît compliqué. On commence à faire attention à son physique, à ses fréquentations et à sa côte de popularité. C'est aussi la prériode où tout adolescent normalement constitué va mettre en place différents plans de séduction pour ainsi avoir ses premiers rapports sexuels et pouvoir compter le nombre de petites amies qu'il aura eu durant ces trois ans...
Enfin, toutes ces suppositions s'appliquent à bon nombres d'étudiants, hormis un.
Moi ! Edward Cullen. Un look plutôt rétro : des brettelles à longueur de journée, un pantalon trop court, des cheveux cuivrés tenus par une raie sur le côté, une paire de lunette tombant souvent sur le bout de mon nez. Je peux dire que j'ai tout de l'allure d'un "geek".
Mes notes sont excellentes. Je ne parle jamais en cours, ni ailleurs. Etant un garçon réservé, je préfère ne rien dire, subissant les fléaux de ma vie de tous les jours. Mes parents sont les seuls avec qui je prends la peine de m'exprimer et peut-être ma meilleure amie aussi, Angela. Plutôt discrète comme moi, on se connaît depuis que l'on est petit. Elle sait tout de moi, comme je sais tout d'elle.
Son petit ami, Ben, est très sympas aussi. Néanmoins, notre cercle d'amis se résume à nous trois. Préférant rester entre nous, plutôt que de s'intégrer à la vie lycéenne.
- Hey Cullen ! C'est encore ta mère qui a choisit tes fringues ?
Mike Newton. Garçon le plus populaire de l'école et aussi le plus débile. Il ne rate jamais une occasion de se moquer de moi. Dans les couloirs, sur le parking, au refectoire. Chaque fois que lui et sa bande d'amis sont dans les parages, je sais que je vais m'en prendre plein la tête.(N/L: Pêcheur... J'irais bien le consoler moi... N/R : Désolée Luna, j'ai posé une option dessus avant toi ! Mais comme je suis gentille, je veux bien partager avec toi.)
Préférant éviter qu'il ne m'emmerde une nouvelle fois, je détourne le regard et me plonge dans mon livre.
Les cours représentent le seul échappatoire à ma vie. Je me noie dans mes livres. M'évadant dans un monde de sciences et de littérature, où Mike Newton n'existerait pas. Ça ne risque pas d'arriver, vu le niveau intellectuel qu'il a. Je ne suis même pas sûr qu'il sache épeler son prénom !(N/L: ça ne m'étonnerais pas non plus. Rhea tu penseras à tenter l'expérience dans les chapitres à venir ? Hihi... ça pourrait être marrant.. N/R : oh oui, oui ! On va faire ça ! J'imagine déjà la scène. Fais-moi penser à le mettre dans un chapitre Luna.)
Bref ! Autant vous dire que je n'ai ni l'allure, ni les motivations des garçons de mon âge.
Enfin sauf pour une chose...
La porte de la salle de classe s'ouvre.
Et comme au ralenti, elle entre dans la pièce. Isabella Swan...
Mon professeur de littérature n'a aucun aspect de ce qu'on peut imaginer des profs en général.
Plutôt jeune, elle ne doit pas avoir plus de vingt cinq ans.
De long cheveux bruns, tombant en une cascade de boucles soyeuses sur ses épaules. Une peau blanche comme de la craie qui a l'air si douce et soyeuse. Des yeux marrons terriblement expressifs. Un visage en forme de coeur. Un sourire sexy et radieux, pouvant faire de l'ombre aux différents astres de notre système solaire.
Elle n'est pas très grande. 1m60 tout au plus. Cette femme est la plus belle femme que je n'ai jamais vue.
Elle est arrivée dans cette école à la rentrée dernière. Et je crois que je me souviendrai toujours ce cette date devenue importante à mes yeux. Le 3 Septembre 2008...
... Flash back...
- Hey Edward ! Je me tournais vers mon amie.
- Salut Angie ! Alors ces vacances ? C'était bien la voile avec ton père ? Lui demandais-je avec un sourire.
- Oh Ed ! Tu sais ce que c'était ! Il arrête pas de parler de son joujou pendant des heures et des heures. Je n'en pouvais plus au bout de deux jours sur ce maudit bateau !
Je ris devant sa mine dégoutée tandis que je commençais à marcher vers l'entrée de mon enfer personnel.
- Et toi ? C'était bien chez ton oncle ?
- Pff ! Tu parles ! Ils m'ont interdit de prendre mes livres ! Mon été avait été très long. Je ne regrettais en rien d'être rentré à la maison.
Nous franchîmes la porte de l'établissement où des centaines d'adolescents parlaient entre eux bruyemment, se racontant leurs vacances. Mes yeux s'attardèrent sur la foule. Je soufflais une nouvelle fois, réajustant mon sac sur l'épaule, j'entrais enfin dans la cour.
Angie sur les talons, nous nous dirigeâmes vers le panneau indiquant notre emplois du temps.
- Alors Cullen ! On a prit des couleurs ? Je me stoppais dans mon mouvement. Mon dos tapa contre le torse de ce cher Mike. Il ne m'avait décidemment pas manqué !
- Hey ! Fais attention bordel ! Il ne s'attendait pas à ce que je m'arrête car il me percuta faisant tomber ses affaires sur le sol. - Ramasse ! Ce n'était pas une question, c'était un avertissement. Je regardais autour de moi. Décidemment cette année commençait bien ! Je soufflais puis me baissais et toujours sans un mot, je récupèrais ses affaires tombées sur le sol. Je remis tout ça dans son sac et le lui tendit. Il me regarda avec un sourire satisfait et me tapota le crâne.- C'est bien ! Tu apprends vite ! Pff ! En même temps, je n'avais pas le choix. Les quatres mecs qui le suivaient de partout se seraient fait un plaisir à me torturer.
Il me poussa en passant à mes côtés, me faisant reculer de quelques pas. Mes affaires tombèrent sur le sol à leur tour. Ses trois sbires le suivaient de prêt continuant à me pousser par la même occasion.
Je retenais la rage à cet instant, serrant des points pour ne pas me retourner et leur en coller une lorsque...(N/L: hoho ! N/R : Mais que va-t-il se passer. On se le demande.)
- Hey ! Toi là bas ! Reviens ici tout de suite ! Une voix charmante de jeune femme me fit rouvrir les yeux. Des yeux marrons attirèrent mon attention alors qu'elle s'avançait vers nous. Elle attrapa le sac de Newton et le tira jusqu'à moi. Mike semblait complètement perdu. Il regardait la jeune femme de façon admirative et complètement abruti.- Tu t'excuses et tout de suite !
- Pff ! Pourquoi je ferais ça ? Pourquoi il ferait ça ? Excusez moi mais on parlait de Mike là ! (N/L: Et alors ? Vas-y Bella ! Montre lui à ce Mike de mes fesses ! N/R / Ouais vas-y. Montre lui qui commande à ce macho de pacotille !)
- Pourquoi ? Oh mais je vais te le dire pourquoi ! Parce que si tu ne t'excuses pas tout de suite, vingt-cinq heures de colle t'attendent mon grand !
- Quoi ? Mais c'est une blague ? Et puis d'abord, qui êtes-vous pour me donner des heures de colles ?
- Ton professeur de littérature ! Et je te conseille de ne pas trop faire ton petit malin parce que je vais vite te le faire regretter ! Crois moi !
Notre professeur de littérature... Oh non mais je rêvais ! Cette déesse allait être mon prof pendant un an. Et en plus, elle venait de me défendre contre ce con de Newton.
Elle secoua le sac de Mike et me regarda ensuite dans les yeux. Les secondes semblèrent s'arrêter tandis que nos yeux s'accrochaient. Merde ! Elle était belle...
- J'attends ! Mike parut surpris du ton autoritaire de notre nouvelle professeur puis il me regarda en souriant.
- Excuse moi ! Elle lâcha enfin son sac et le toisa méchamment. Il la regarda mi amusé, mi troublé. Puis soudain une nouvelle lueur dans ses yeux apparut et il finit par lui sourire.
- Je ne le ferai plus, Madame.
- Mademoiselle Swan. Mademoiselle. Donc elle n'était pas mariée. C'est vrai qu'elle ne portait pas d'alliance et puis elle paraissait assez jeune. Je la plaignais d'ailleurs parce qu'une prof jeune et aussi jolie qu'elle dans un lycée d'ado bourrés d'hormones ça n'annoncait rien de bon.
Mike la regarda une dernière fois et finit par partir en compagnie de ses trois chiens.
Lorsqu'ils disparurent, elle se tourna vers moi et d'une voix terriblement douce, elle me caressa la joue.
- Tu vas bien ? Tu n'as rien ? Je ne répondit rien. Ne sentant que sa main qui regardait si je n'avais rien sur le visage. J'étais subjugué par l'intensité de son regard, par le délicat de ses traits. Mon dieu c'était un ange.
- Tu n'es pas très bavard il semblerait ? Je lui rendit son sourire et m'éloignais un peu de la proximité de son corps. Pour elle ce n'était peut-être rien, mais pour moi...
- Bonjour mademoiselle Swan, je suis Angela Weber. Et le silencieux à mes côtés est Edward Cullen. Nous sommes dans votre cours de littérature.
- Ravie de l'apprendre. Elle nous addressa un sourire franc puis regarda sa montre. - Bon et bien, je dois y aller. Rendez-vous en cours dans ce cas.
- Avec plaisir. Angela venait de dire exactement les mots que j'avais en tête. Oh oui ! Ça allait être un plaisir de la regarder tous les jours. De pouvoir l'écouter à chaque cours...
Elle nous fit un petit signe de tête et un dernier clin d'œil. Puis elle partit dans la direction de la salle des profs. Mon dieu ! Qu'est-ce qui venait de se passer ? Je ne savais pas ! Ce que je savais en revanche c'était que je venais de rencontrer un ange. Un ange aux cheveux bouclés et aux yeux chocolats. Qui était notre professeur... (N/L: voilà qui va devenir fort interessant dis moi ? N/R : Très intéressant !)
- Bon allez ! C'est parti pour une nouvelle année. Je regardais ma meilleure amie amusé alors qu'elle nous entrainait vers notre salle de cours.
... Fin du flash back...
On est au mois de novembre et ça fait deux mois qu'elle a investi ma vie. Je ne vois qu'elle. Je n'entends plus qu'elle. Lorsqu'elle entre dans la pièce mon coeur s'arrête, ma respiration se trouble.
Malheureusement, je ne suis pas le seul à avoir remarquer cette déesse. Mike Newton ainsi que les trois quart des élèves masculins de ce lycée fantasme sur cette femme.
C'est non seulement un professeur excellent, mais en plus elle s'investit énormement dans ses cours. Chaque fois que l'on entame une nouvelle oeuvre, sa description est exactement ce que je ressens vis-à-vis du livre. Elle a toujours les mots justes. C'est comme si elle pouvait lire dans mes pensées.
Nous sommes sur la même longueur d'onde. (N/L: Evidemment... Comment en être autrement ? On est tous sur la même longueur d'onde que moi Eddy... N/R : Euh, Luna… Je crois pas qu'il parle de toi là. Sans vouloir casser ton trip bien sûr)
Enfin, ça c'est ce que je pense. Mais je n'en dis mot. Je ne parle jamais. Elle n'a jamais entendu le son de ma voix. Je préfère l'écouter plutôt que de gâcher ce pure moment de bonheur.
Je me contente de regarder comme ses lèvres bougent à chaque mot. Comme ses mains bougent lorsqu'elle est prise dans son monolgue. Lorsqu'elle fronce les sourcils, lorsqu'elle croise mon regard sur elle.
En général, je détourne le regard mais certaines fois, je me perds dans la profondeur de ses yeux. C'est souvent à cet instant, qu'elle détourne les siens et reprend son discours les joues quelque peu rougies et le regard un peu désorienté.
Est-ce moi qui lui provoque cela ? Ça m'étonnerait fortement ! Comment le pourrais-je ?
- Bonjour tout le monde ! Une nouvelle fois, lorsqu'elle a franchis la porte tous les regards masculins sont braqués sur elle. Plus une parole n'est prononcée. Les filles quand à elles ont plutôt tendance à la détester. Être le centre d'intérêt de pratiquement la majorité de la population masculine de cette classe. Forcément, elle ne s'est pas faite que des amies.
- Bonjour Mademoiselle... Tout les garçons parlent en coeur dans un soupir de plaisir. Elle rougit une nouvelle fois puis prend place sur la chaise de son bureau. Je lève les yeux au ciel devant l'absurdité de ce comportement qu'ont tous les mecs et reporte mon regard sur notre professeur.
Ses yeux croisent les miens quelques secondes puis elle porte son regard sur son cahier.
- Bon très bien. Vous aviez à étudier le comportement de Roméo et Juliette dans le chapitre dernier de l'oeuvre. J'aimerai entendre quelqu'un ... Qui voudrait me soumettre ses impressions, son avis ?Elle scrute la classe. Pratiquement tout les bras sont levés. Je lève une nouvelle fois les yeux au ciel et baisse le regard sur la feuille contenant mon étude.
- Et bien... Que d'enthousiasme ! C'est plaisant de voir que Shakespeare vous inspire à ce point ! Elle sourit puis regarde la classe. Je regarde la scène par dessus mes cils. Préférant rester discret. Elle arrête son regard devant moi et me sourit.- Edward... Je suis surpris par l'appellation de mon nom. Je ne savais pas qu'elle l'avait retenu. Je ne parle jamais préférant m'effacer pour ne pas me faire remarquer. - Peux-tu nous dire ce que tu en penses ?
Je me tasse sur ma chaise, tandis que ma meilleure amie me tape le coude à l'aide du sien. -Edward répond ! Elle me chuchote ces mots d'un air menaçant qui me donne des frissons dans le dos.
Je souffle puis finis par abdiquer.- Très bien. Ma voix est un peu rauque du fait que je ne parle pas beaucoup.
-Je t'écoutes... Le fait d'entendre qu'elle m'écoute me procure mille et un frissons. C'est rassurant mais en même temps tellement intimidant.C'est quand tu veux...
(Craig Armstrong- Balcony scene piano)
Je ferme les yeux une fraction de seconde puis reporte mon regard vers ses yeux chocolats.
Elle me sourit, encourageante, et je trouve là la force de prendre enfin la parole.
- Romeo et Juliette. Les amants parfaits... Un amour impossible, destructeur mais pourtant si grand et profond.
Romeo est un amant tortué. Il a trouvé en Juliette la chose la plus importante de sa vie. A côté de cela, la richesse, la pauvreté, la mort,plus rien n'a d'importance. Quand ses yeux ont croisé ceux de cette femme, son coeur s'est arrêté et il a compris par un simple sourire que c'était elle. Que ce n'était qu'elle qui ferait battre ou mourir son coeur.
Tout le long de mes mots, je ne quitte pas son regard. Ses yeux sont perdus dans les miens. Je me laisse totalement emporter par dans l'intensité de l'instant et c'est d'une voix un peu plus forte et assurée que je continue à parler de ma rédaction. Mais est-elle vraiment liée à ces deux amants ou est-ce que je veux desespérement que ce soit d'elle dont je parle.
- Juliette, une reine dans le coeur de deux hommes. Paris, homme respectable et promis comme futur époux de la belle. Romeo, amant amoureux et passionné. Choisir sa raison ou son coeur. Evidemment, elle a choisi son coeur. Et de là, elle va en perdre la vie.
Qu'est-ce que nous serions capable de faire par amour ? Prendre du poison, mourir d'une dague en plein coeur, se suicider d'une seule et unique balle. Il y a l'embarras du choix.
Cette histoire déchirante d'un homme et d'une femme amoureux l'un de l'autre montre surtout deux choses. La première est ce lien irréprécible entre ces deux amants.Ils se jurent amour et fidélité jusqu'à la mort. Même les enfers ne pourront rien contre ce lien entre eux. La seconde, est certainement que peut importe la nature des personnes.Un nom de famille, un niveau social différent, un âge éloigné. Toutes ces choses ne peuvent éloigner ce qu'un coeur ressent. Que ce soit un battement rapide, un sursaut involontaire, un arrêt définitif. Le coeur a ses raisons que la raison elle même ignore. Cela ne sert à rien de lutter... Et c'est ce que nos deux héros ont fait. Ils se sont aimés, à un point où même la mort n'aurait pu les arrêter.
Le silence règne dans la salle. Tous ont le regard braqué sur moi. Je me sens terriblement mal, mais le regard que mon professeur a à ce moment là vaut toutes les moqueries du monde. J'attends que quelqu'un se manifeste mais rien. Tous sont surpris, choqués d'entendre non seulement ma voix mais aussi ce que je ressens envers la pièce de Shakespeare. Mais est-ce que je parle vraiment de la pièce ou est-ce autre chose ? (N/L: Et j'ai pas été le cueillir sur le net compris ? N/R : Je confirme. Luna a vraiment écrit ça.)
Je finis par baisser les yeux et rougis légèrement. Un ricannement venant de la rangée détend l'atmosphère. Je sais que Newton ne peut s'empêcher de dire quelque chose. Mais j'avoue qu'à cet instant, j'en suis soulagé.
D'autre ricannement suivent détournant le regard de mademoiselle Swan.
- Cela suffit ! Je vous interdis de vous moquez ! Ce que vient de dire Edward est tout simplement magnifique... Elle me sourit timidement reconnaissante. - J'aimerais entendre ton avis Mike. Puisque tu sembles si inspiré.
Ce dernier se lève de son siège. Il se poste devant la table de la prof, un genou à terre. Il regarde vers l'estrade levant un bras en direction de Miss Swan qui ne sait plus où se mettre.
- Oh Juliette... Pourquoi es-tu Juliette ! Elle se lève et d'une voix menaçante le pointe du doigt.(N/L: c'est vraiment un bouffon ce type ! N/R : En plus, il connait pas le texte ! Quel blaireau ce mec !)
- Si au moins tu avais écouté ce que j'ai demandé la semaine dernière Mike ! Tu serais peut-être que j'ai demandé d'étudier le dernier acte de la pièce et non le début. Ensuite, j'ai demandé une étude et non un pathétique jeu de rôle grotesque et sans intérêt. Maintenant, tu retournes à ta place ou je te vire d'ici ! Est-ce qu'on s'est bien compris ?
Il semble surpris une seconde. Puis en colère reprend sa place tout en me regardant de travers. Angela s'approche de moi et me glisse à l'oreille.
-D'où est-ce que tu sors tout ça ? C'était magnifique Edward... Elle en a les larmes aux yeux. Je souris devant sa gentillesse naturelle et reporte mon attention sur le cours. (N/L: Moi je sais d'où ça sort...hihi...de nos petites cervelles évidemment ! N'est-ce pas ma Rhea d'amour ? N/R : Rhoo ! Luna ! Les surnoms affectifs, on a dit en privé. On va nous prendre pour quoi maintenant ?)
- Bon très bien ! Quelqu'un d'autre ? Quelques bras se lèvent à nouveau et le cours reprend doucement.
...
Le réfectoire est plein à craquer ce midi. Je préfère m'isoler une nouvelle fois. Attrapant mes affaires ainsi qu'une pomme, je m'installe sur les bans à l'exterieur. Il fait un peu froid, mais le soleil est présent.
Je m'assois sur un banc. Il n'y a personne autour. J'aime être seul. Le silence et la tranquillité sont si agréables. Je n'ai pas besoin de me justifier. De me montrer différent de ce que je suis normalement. C'est plus simple.
Sortant mon petit carnet ainsi qu'un stylo, je retraçe à nouveau sur le papier ce que je ressens. Souvent, je m'installe dans un endroit paisible pour écrire. Les mots sont plus forts quand ils sont compris. C'est vrai que depuis quelques mois, toutes ces pages sont pleines de poèmes sur une seule et même personne.
Comment puis-je parler de quelqu'un d'autre. Elle est tellement parfaite, belle et intelligente.
Oh, je sais très bien que jamais elle ne me regardera. Mais j'ai envie de croire que ce que j'écris, si elle le lisait, pourrait faire toute la différence.
Elle comprendrait qui je suis. Elle verrait cette partie de moi qui est éperdument amoureux d'elle.
Mais jamais elle ne le verra. Je suis son élève et je ne suis pas de ceux qu'on regarde.
Des bruits de pas me font relever la tête. Je regarde dans la direction du bruit et mon coeur s'arrête.
(Once- Say it to me)
Elle est là. Les cheveux relevés à l'aide d'un crayon. Quelques boucles tombent sur de son chignon et s'échouent sur ses épaules.
Son pull marron fait divinement bien ressortir ses yeux ainsi que sa peau délicieuse. Elle porte des lunettes et semble prise dans sa lecture. Elle est ravissante.
Le soleil se reflète sur les quelques reflets de ses cheveux. Un halo de lumière autour d'elle. Elle s'assoit à quelques bancs de moi et ne m'a pas remarqué.
Je profite de ce moment pour la contempler et profiter pleinement de sa beauté.
Ses jambes mises en valeur par des petits talons. Sa jupe droite jusqu'au milieu de ses mollet. Son chemisier sous son pull. Elle est terriblement belle.
Elle tient son livre d'une main et de l'autre trifouille le collier qu'elle a autour du coup.
De temps à autre, elle se mord la lèvre inférieure et retient un froncement de sourcils.
Je sens mon coeur qui bat vite. Mes mains tremblent et mes yeux ne peuvent quitter cette présence face à moi.
Fébrilement, je commence à transcrire sur le papier les sensations qui envahissent mon coeur. Comme un poème emplit de déclaration pour cette femme.
Je ferme une seconde les yeux et doucement je place la pointe de mon stylo sur le papier.
Un Soleil aussi brillant peut-il exister ?
Ton simple sourire eclipse les étoiles qui nous entoure.
Le son de ta voix devient une chanson douce et mélodieuse à mes oreilles...
Pourquoi ne me vois-tu pas ?
Regarde dans ma direction. Vois comme ma personne t'appartient. Vois comme mon coeur bat pour toi. Vois comme chaque fibre de mon corps t'appelle.
Entendras-tu un jour ma voix te contait mes aventures ?
Entendras-tu un jour ma voix te dire tous ces mots que je n'arrive pas à t'expliquer chaque jour ?
Me verras-tu au travers de tes yeux si expressifs ?
Verras-tu la personne que je suis ? Verras l'amant que je pourrais être ?
Me verras-tu un jour comme ton Roméo ?
Voudrais-tu être ma Juliette ?
Parce que si même la mort ne peut arrêter cette amour qui me consume, je voudrais être ton prince. Et à travers ces quelques paroles... Je te donne mon coeur.
Tu es devenue essentielle à ma personne...
Tu es devenue essentielle à ma logique...
Tu es devenue essentielle à mon bonheur... Alors que tu ne me connais même pas.
Mais je ne demande que cela. Apprendre ton prénom par coeur. Apprendre à te connaître.
Rends moi meilleur Isabella...
Fais de moi l'homme le plus heureux du monde.
Juste par ton regard, juste par ton sourire, juste par tes yeux, juste par ton coeur...
Regarde moi...
E.C.
(N/L: Je préférais ne rien dire pendant le poème... Histoire que vous l'appréciez à sa juste valeur...mdr N/R : Je sais pas pour vous, mais moi, il m'a touché ce poème.)
Je redescend de mon nuage où la beauté de cette femme serait mienne.
J'ai toujours cette sensation qu'on est fait pour être ensemble. Deux âmes entrelacées. Deux âmes qui se connaissent avant même de se parler. Deux âmes unies par un fil invisible et indestructible.
Lorsque je relève mon regard, il n'y a plus personne autour de moi.
Un courant d'air glacial me gagne. Il me fait trembler inévitablement faisant tomber sur mon front une mèche de cheveux indomptée.
Je remonte le col de mon manteau et tout en soufflant bruyemment, je referme mon cahier.
Je décide de faire un arrêt aux toilettes pour soulager ma vessie avant la reprise des cours. En entrant, j'entends de drôles de bruits venant d'une des cabines. Non ! C'est pas ce que je crois ? Un gars est entrain de se masturber dans les chiottes ?
- Oh, Mademoiselle Swan, continuez ! C'est trop bon !
Mais c'est la voix de Mike. Il se branle en pensant à mon ange ? Non! Non! Il n'a pas le droit de la salir avec ses pensées plus vulgaires les unes que les autres. Ce type ne respecte pas les femmes. Il les prend, fait ses petites affaires et les jettent comme des kleenex. Il ne se préoccupe pas de leurs sentiments. Pour lui, ce ne sont que des fourreaux où vider son sexe et son trop plein d'hormones. Il ne mérite pas qu'une femme s'intéresse à lui. (N/L: Le boulet qui revient ! Y avait longtemps ! N/R : En même temps, il nous fait bien rire le boulet)
Je m'aperçois qu'il a fini et je ne veux pas qu'il me voit comme ça planter au milieu des toilettes. Je rentre dans une cabine et commence à faire ce pourquoi je suis là.
- Redresse toi et prend ma queue entre tes seins. Branle-moi avec.
Non ! Mais qu'est-ce que c'est que ce mec ? C'est quoi ces idées dégradantes et ce ton qu'il emploie ? C'est pas des manières de traiter une femme ? En plus, il ne sait pas aperçu qu'il avait déjà joui. (N/L: Rho la loose ! Éjaculateur précoce ! Mouhaha ! B/R : Lol ! et attends c'est pas fini)
Je décide de sortir de la cabine et vais me laver les mains. C'est là que je m'aperçois que Mike a fini sa petite affaire et me lance un regard noir. Tout d'un coup, il s'élance vers moi, m'attrape par le col et me plaque contre le mur.
- Si tu dis à qui que ce soit ce que tu as vu dans les chiottes, je te refais le portrait à un tel point que même ton papounet ne pourra pas te rendre un visage humain. Et je me ferai un plaisir de m'occuper de ta copine le serpent à lunettes. Je suis sûr que finalement elle doit être baisable. Il est malade ce mec ! Comme si j'allais raconter ça à quelqu'un ? Et à qui d'ailleurs. Je le regarde et lui répond
- Ok. Maintenant lâche-moi. Je n'ai certainement pas envie de raconter tes petites histoires de fesses à tout le monde. Ça ne m'intéresse pas ! (N/L: dommage ça aurait pu être drôle ! T'es sur Eddy ? Tu veux pas ? N/R : Ca aurait fait une super réputation à l'éjaculateur précoce ça, pourtant. Suis déçue)
- Alors on est d'accord. Mais pour te passer l'envie de le faire un jour. Et là, sans que je m'y attende, il me porte un coup de poing en plein ventre me faisant me plier en deux pendant qu'il sort sans un regard en arrière. Je prends quelques minutes pour reprendre mon souffle et faire passer la douleur avant de sortir à mon tour.
- Qu'est-ce que tu fais ?
Angela vient de me rejoindre. Elle se pose à mes côtés et voit dans mes yeux que ça ne va pas.
- Qu'est-ce que tu as Edward ? Ces derniers temps, tu te renfermes sur toi même...
- Angie... J'ai pas... Je suis assez distrait... C'est rien. Je tente d'éviter le sujet. Je n'ai pas trop envie qu'elle comprenne ce qu'il se passe en ce moment dans ma tête.
- Ouais admettons... Mais c'était quoi ce matin ? Ton discours Edward... Il était... Mon dieu...
Elle a la chair de poule rien qu'en y repensant alors que je me sens affreusement gêner.
- C'était magnifique. Quand j'ai fermé les yeux, je t'aurais presque pris pour Romeo. J'avais l'impression que tu étais ce prince charmant accompagné de son cheval blanc...
Je lève les yeux au ciel.
- Mais je suis loin d'être un prince. Je n'en ai ni l'allure, ni la carrure ! Ma voix a tranché alors que je commence à me lever du banc. (N/L: Ho que si, tu es un prince, un dieu vivant, la réincarnation du romantisme et de la pureté... Non mais qu'est-ce que je peux dire comme bétises ! Ed ! Tu es sexe, canon et en plus, t'es trop bien membr... Ok ! Je me tais... N/R : excusez-la. Elle a pas prit ses pilules aujourd'hui.)
- Edward ! Tu sais que c'est faux !
- Oh oui ! Tu as raison Angie, j'ai oublié que je suis un modèle de beauté et de charisme... Mon thon est ironique tandis que la sonnerie de la reprise des cours retentit.
- Arrêtes ! Tu es unique. Tu n'es peut-être pas un play boy, mais tu es romantique et tu as des tas de qualités bien à toi... N'en doutes jamais.
Je commence à avancer vers les salles de cours.-C'est ça ouais...
- Mais qu'est-ce que t'as ? C'est nouveau ce truc de vouloir plaire aux autres ? Depuis quand tu t'inquiètes pour ton physique ?
- Laisse tomber Angie. Aller viens on va en cours.
Elle me suit mais son regard reste bloqué sur moi. Je ne laisse rien passer. Regardant mes pieds tout en avançant comme à mon habitude.
Mon bras percute quelqu'un, mais je suis tellement remonté que je ne fais pas attention. Je continue à avancer vers le couloir menant au cours de math.
...
POV
Putain ! La prof de littérature est trop bandante ! Il faut que j'arrive à la mettre dans mon lit. Je rejoins mes potes à la cafétéria. Il y a Tyler entrain de lécher les amygdales de Lauren. Elle plus chaude je connais pas ! Tout le lycée a du passer entre ses cuisses. Mis à part cet abruti de Cullen. Quel con ce mec ! Comment un type comme ça peut exister. Et son speech en cours de littérature. Non mais quel genre de mec pense ça de nos jours ? Même les filles ne veulent plus de romantisme.
Bref, je salue tout le monde et m'assois pour déjeuner. Je commence à parler avec Tyler et les autres quand je surprends une conversation derrière moi. Deux nanas de mon cours de littérature :
- Tu as entendu la dissertation de Cullen pendant le cours ?
- Oui et j'ai jamais entendu de truc aussi romantique. Dommage que mon copain ne soit pas comme ça.
- Ni le mien. Mais en même temps, jamais je ne dirai que je suis attirée par ce genre de mec. J'ai pas envie d'avoir une réputation d'asociale. Et puis ces lunettes... Ça fait beaucoup trop... Beaucoup trop Edward Cullen à mon goût.
- Moi non plus…
Non mais dites-moi que j'ai mal entendu. Comment les nanas peuvent aimer ce genre de truc dégoulinant de mièvreries. Si c'est pas du gâchis. De belles nanas qui préfèrent le grand amour à une séance de baise. L'amour j'y crois pas. C'est un moyen de justifier qu'on a envie de baiser avec quelqu'un. Merde ! Eric m'a posé une question et j'ai rien entendu. Mais je rêve où il se fout de ma gueule parce que je lui réponds pas ?
-Répète ce que tu viens de dire Eric, je m'énerve en me levant brutalement et en faisant tomber ma chaise.
Tout le monde tourne la tête vers nous. J'en ai rien à faire. Tout le monde me jalouse parce que je suis beau, sexy et le meilleur coup du lycée (N/R : Pas narcissique pour un sou le gars !). Pourquoi ils rigolent tous ces blaireaux ?
- Assis-toi crétin ! Tu vois pas que tout le monde se fout de ta gueule parce que tu t'es renversé ton plat de spaghettis sur tes fringues ?
Merde ! Mais quel con ! Un pantalon Guess tout neuf ! Ma mère va me tuer ! Bof, pas grave. J'accuserai cet abruti de Cullen et ma mère ira faire un scandale à son père à l'hôpital. Et bien sûr, je serai aux premières loges pour voir ça ! Hey, hey, Cullen tu vas regretter l'humiliation que j'ai eu par le prof de littérature.
- Oh ! Tu m'écoutes ?
- Ouais, ouais… Qu'est-ce que tu veux ? Que je te branche encore avec une nana ? Que je te montre comment utiliser ton engin ? Je me mets à rire fortement.
- Mais non, connard. J'ai pas besoin de toi pour baiser une meuf. Je pourrais même te donner des cours si je le voulais vraiment.
- Mais bien sûr, et moi je suis pote avec Cullen. On se met tous à rire. Moi, être pote avec Cullen. Quel cauchemar ça serait. Autant me faire interner de suite.
- Bon, qu'est-ce que tu voulais me dire ?
- La prof de littérature t'a bien mis la honte aujourd'hui. Ils rigolent tous alors que je sens que je m'énerve encore une fois.
- Et alors ? Elle fait ça parce qu'elle ne veut pas que tout le monde voit qu'elle en pince pour moi. Je suis sûr que j'ai qu'à claquer des doigts pour qu'elle accoure et me tombe dans les bras.
- Ben là, tu vois mon vieux, j'en suis pas aussi sûr que toi. Elle serait même plus attirée par Cullen que par toi.
- N'importe quoi ! Comment quelqu'un pourrait être attiré par cette erreur de la nature ?
- Une fille romantique croyant au grand amour et au prince charmant, crétin.
- Lauren, franchement, tu y crois toi à ces idioties ? Elle jette un regard à ses copines pour certainement trouver sa réponse, puis elle baisse les yeux.
- Non, bien sûr. Le sexe et le physique, il n'y a rien de mieux pour connaître un mec. Je rêve ou elle vient de souffler ?
- Tu vois. Alors arrête tes conneries.
- Ok. Alors faisons un pari.
- Quel genre de pari ?
- Je te parie que d'ici la fin du trimestre, tu n'auras pas réussi à mettre la prof de littérature dans ton lit.
Je regarde la prof assise à la table des profs entrain de parler à ce connard de prof de maths. Elle est entrain de rire avec lui. Ses cheveux tombent de chaque côté de son corps relevant la partie non couverte de sa poitrine. Qu'est-ce qu'elle a l'air bonne quand même !
- Ok. Je tiens le pari. Et quel est l'enjeu ?
- Si je gagne, tu devras être l'esclave sexuel de ma sœur pendant trois mois et ne pas aller voir d'autres meufs pour te soulager les couilles quand ça te démange.
Je déglutis. Sa sœur en pince pour moi mais c'est un véritable thon cette nana. Elle ne sait pas se fringuer ni se coiffer. Est-ce que je vais pouvoir le faire ? Bien sûr, quelle question ! Je vais gagner les mains dans les poches et en même pas un mois. (N/L: Ouais bein je viens de croiser madame la marmotte qui m'a dit que tu pouvais te la foutre dans un morceau de papier allu ! En même temps je dis ça, je dis rien !mdr N/R : Tu viens de révéler le fond de ma pensée Luna. Comme quoi, les grands esprits se rencontrent, lol.)
- ça marche. Et si je gagne ?
- Lauren, Jessica, Jane et Heidi seront TES esclaves sexuelles pendant trois mois.
- Hey ! Ne nous mêle pas à vos histoires !
- Vous en faites pas les filles. Il n'a aucune chance.
- C'est ce qu'on va voir ! Allez acheter des sous-vêtements ultra-sexys les filles parce que je vais vous faire votre fête d'en même pas un mois.
- C'est ce qu'on verra !
On se sert la main et je sors de la cafet' pour décider d'un plan d'attaque. Je sors pour fumer un joint vite fait avant le retour en cours. Je regarde autour de moi pour voir s'il n'y a pas une petite chatte à combler vite fait. Mon regard se pose sur la prof de littérature entrain de lire sur un banc. C'est l'occasion de l'espionner pour voir ce qu'elle aime et de la mater en même temps. Je m'affale sous un arbre en face d'elle. Elle me remarque même pas. Je l'observe. Putain ! Elle a de ces jambes ! Sa jupe est remontée sur ses cuisses et je peux voir son string en dentelle noire. Je suis déjà dur. Je bande comme un taureau rien qu'en voyant son string. Y a pas moyen. Faut que je me la fasse !
En attendant, faut que j'aille régler mon problème avant d'aller en cours d'histoire. Pas sûr que le prof aime que je bande devant lui.
Allez hop ! Un petit crochet par les chiottes. Personne. Parfait. Je m'enferme dans une cabine et ouvre mon pantalon. Je baisse mon caleçon et commence à me masturber. J'imagine que Melle Swan est devant moi, nue et agenouillée. Elle regarde ma grosse queue avec envie et se lèche les lèvres. Je souris et commence à lui caresser les cheveux.
- Alors ma belle, elle te plaît ma queue ? Elle te fait envie ?
- Oui, Mike. Elle est magnifique et je ne veux qu'une chose, que tu l'enfonces jusqu'à la garde dans ma petite chatte toute trempée pour toi.
Je gémis et me penche pour l'embrasser. Elle entrouvre sa bouche et me laisse jouer avec sa langue. Ma main descend vers ses seins que je palpe et caresse longuement pendant ce baiser. Je le romps pour respirer et ma main glisse vers sa nuque. Je la rapproche de ma queue dure comme un roc. Elle ouvre la bouche pour la prendre et la sucer mais je l'arrête.
- Non ma belle. Laisse-moi faire. Je te dirai quand tu peux ouvrir ta délicieuse petite bouche.
Elle gémit et veut protester. Je tire ses cheveux et lui lance un regard noir pour qu'elle comprenne qui commande ici. Elle se laisse faire et me fait des yeux suppliants. Je rapproche alors à nouveau son visage de mon bel engin. Je le prends en main et commence à le passer sur ses lèvres. Je lui demande de donner un petit coup de langue sur mon gland. Je gémis et doit me concentrer pour ne pas jouir de suite. Je la regarde et vois sa magnifique poitrine. Une idée merveilleuse me vient.
- Redresse toi et prend ma queue entre tes seins. Branle-moi avec.
Elle s'exécute et c'est divin. Voir ses seins plus que généreux bouger et se resserrer sur mon bâton est tout simplement un bonheur indescriptible. Je suis au paradis. Le plus jouissif est de la voir à genoux devant moi complètement soumise à mes désirs. Je sens la jouissance arriver. Je lui ordonne de continuer tout en prenant le coup de mon gland dans sa bouche. Elle joue de sa langue et de ses mamelons sur mon manche. Il n'en faut pas plus pour je me déverse dans sa petit bouche toute mignonne dans un grand râle. Elle nettoie consciencieusement mon sexe tout en me regardant droit dans les yeux. Quand elle a finit, elle se penche en arrière pour me faire admirer son sexe luisant de plaisir et palpitant de désir. Mais, je ne veux pas lui donner cette satisfaction. Elle devrait être heureuse de m'avoir fait jouir moi, le roi de ce bahut. Je me rhabille et sors de la cabine sans un regard vers elle.
Un bruit de chasse d'eau me ramène à la réalité. Merde ! J'espère que j'ai pas été trop bruyant. J'imagine ma réputation si ça se sait. J'imagine les gros titres du journal du lycée « Mike Newton se satisfait seul dans les toilettes. Où sont toutes les filles qui l'a soi-disant sauté ? ». Je regarde ma queue pour voir si elle a bientôt fini sa petite affaire. Putain mais c'est pas vrai ! J'en ai foutu partout sur mon pantalon en plus des spaghettis et de la sauce tomate. Et j'ai même pas senti ma jouissance arriver. Bon, tant pis. Ça va sonner faut que je sorte. Vite une idée. (N/L: Ha parce que tu sais réfléchir toi ? Première nouvelle ! N/R : depuis quand ce mec a un cerveau ? Luna, tu aurais pu me prévenir !)
- Et ne sors pas de la cabine tant qu'il y a quelqu'un dans les chiottes, je dis à une fille imaginaire en ouvrant la porte. J'ai parlé bien fort en espérant que l'autre va me croire.
Je sors et me dirige vers les lavabos pour me laver les mains. Putain de merde ! Mais c'est pas ma journée. C'est ce petit merdeux de « geek » de Cullen. Vu sa tête, il a très bien compris ce que je viens de faire. Bon, pas le choix. Je l'attrape par le col de sa veste complètement démodée et le plaque contre le mur.
- Si tu dis à qui que ce soit ce que tu as vu dans les chiottes, je te refais le portrait à un tel point que même ton papounet ne pourra pas te rendre un visage humain. Et je me ferai un plaisir de m'occuper de ta copine le serpent à lunettes. Je suis sûr que finalement elle doit être baisable. Il me regarde comme si ce que je lui raconte ne l'atteint pas.
- Ok. Maintenant lâche-moi. Je n'ai certainement pas envie de raconter tes petites histoires de fesses à tout le monde. Ça ne m'intéresse pas.
- Alors on est d'accord. Mais pour te passer l'envie de le faire un jour. Et là, je lui assène un coup de poing dans le ventre qui le fait se tordre en deux. Je sors sans un regard en arrière et me dirige vers mon 1er cours de l'après-midi...
...
Pff ! Quels cours de merde cet après-midi. Les profs n'ont pas arrêté d'être sur mon dos. Et par ici, et par là. Je sais que je suis adulé mais là quand même faut pas exagérer. Si même les profs commencent à vouloir me causer, je vais plus m'en sortir.
Tiens Cullen est encore avec sa copine le serpent à lunettes !
Ils se sont bien trouvés tous les deux ! Je me demande s'ils sont ensemble. Ils ne se lâchent pas. En même temps, les loosers vont bien ensemble.
Lorsqu'il me passe à côté, son épaule heurte la mienne me provoquant une douleur légère à cet endroit.
Je veux me retourner pour lui rendre la monnaie de sa pièce lorsqu'une feuille attire mon attention.
Volant devant mes yeux, elle finit sa course sur le sol juste à mes pieds.
Je me baisse, prenant le papier entre mes mains et je commence à lire distraitement.
Pff ! C'est pitoyable ! Une déclaration d'amour.
Je veux jeter le papier, lorsque la prof de littérature passe à mes côtés. Cette nana est trop bonne ! J'en ferai bien mon quatre heures.
Elle fait la difficile, me remballant constamment, mais moi je sais que je lui plais.
Je suis irresistible ! C'est comme ça. Il y a des gens moches comme Cullen et des gens attirants naturellement comme moi.
Je sais qu'elle a envie de moi. Je la fais rire. Elle aime mon humour. Et toutes les fois où elle fait semblant de m'envoyer balader, je sais qu'au fond elle ne demande qu'à être avec moi.
Comme toutes les filles ici.
Soudain, la feuille dans mes mains devient évidente.
Et si je...
Relisant ce que l'autre affreux a écrit, je trouve que la description de la personne correspond tout à fait à notre charmante professeur de littérature. S'il croit qu'il va l'avoir si facilement ! Surtout avec sa tête et son look, il ne risque rien.(N/L: Ne parle pas trop vite tête de piaf ! N/R : Qui veut tenir le pari ?)
Mais, moi je pourrais en profiter. Elle aime les mots, je suppose.
Toutes les femmes aiment ça de toute façon !
Je sors un stylo et change la signature par M.
Qu'est-ce que je suis intelligent quand même ! Avoir une idée aussi bonne ne peut venir que d'un homme aussi intelligent que moi...(N/L: je ferais comme si je n'avais rien lu ! N/R : Ca va les chevilles ? Elles enflent pas trop ?)
Je plie la feuille et me dirige vers la salle des profs.
Les cours viennent de reprendre donc il n'y a personne dans la pièce. Je scrute la pièce et trouve enfin les affaires de mademoiselle Swan.
Je glisse le papier dans son sac et sors discrètement de la salle.
Lorsque je sors, fier de moi, une autre personne, un peu moins attirante mais bandante quand même retient mon attention.
Jessica Stanley ! Elle, je ne vais pas tarder à me la taper ! Elle est comme je les aime, facile et soumise. Enfin, je les aime toutes comme ça, même notre chère Isabella Swan...
- Hey Jess ! Attends moi Beauté ...
Je me précipite vers elle, lui tapant sur les fesses et commence mon plan drague qui fonctionne à tous les coups. Je lui fais mon plus sourire charmeur et passe mon bras autour de ses épaules. Elle me regarde avec un regard gourmand. Oh oui ! Toi ma belle, tu vas goûter à la ma médecine d'ici la fin de la journée.
- Alors ma belle, ça va comme tu veux ? Lui dis-je avec un sourire enjôleur.
- Oh tu sais, ça va comme une journée de cours dans cette prison.
Je rigole à sa phrase.
- Tu sais, cette histoire de pari, je le sens pas. Quand je couche avec un homme, je n'aime pas partager. Je le veux entièrement à moi. Qu'il me câline, me caresse et me pilonne juste moi, me dit-elle en posant sa main sur mon sexe.
Oh putain ! Elle est cache elle. Elle y va pas par quatre chemins. J'aime ça et du coup je commence à bander.
-On m'a parlé de tes prouesses au lit et de comment tu faisais jouir tes partenaires. J'avoue, que je n'y crois pas trop. Un mec comme ça, ça n'existe pas.
- Mais si tu veux, je me ferai un plaisir de te prouver que les autres ont raison. On n'attaque pas ma virilité sans en payer le prix. Je la claque contre les casiers dans le couloir. Elle me regarde avec une lueur de défi dans les yeux. Tu veux jouer, on va jouer.(N/L: Mais comment elle fait pour pas se barrer en courant ? N/R : Ben, elle doit pas être plus intelligente que lui.)
- Ah oui ? Et que me ferais-tu alors ?
- Je commencerais par t'embrasser tout en laissant mes mains courir sur tes épaules, tes bras et ta poitrine. Puis, elles descendraient lentement sur ton ventre et passeraient sous ton haut pour aller s'occuper de tes seins. J'arracherais alors ce vêtement qui me gêne et ton soutien-gorge pour me jeter voracement sur tes mamelons. Elle commence à gémir. Parfait. Ce soir, elle écartera les cuisses pour moi. Après, je déchirerais ta petite jupe toute courte et ton string avec les dents. Je mettrais de suite ma langue sur ton intimité et deux doigts dans ta petite chatte toute brûlante pour moi.
Elle commence à se presser contre moi et à frotter son sexe contre ma queue. Elle lève une jambe pour être plus proche de moi et je sens son humidité à travers mon pantalon. Je souris victorieux et décide de continuer.
- Après t'avoir fait jouir une première fois, ça sera ton tour de t'occuper de moi. Tu me déshabilleras lentement et tu t'agenouilleras devant moi. Tu me prendras dans ta petite bouche sensuelle et tu avaleras tout ce que je te donnerai, lui dis-je en passant ma main dans son string. Mon pouce commence à câliner son clitoris et j'insère deux doigts dans son vagin.
Elle gémit et ferme les yeux.
- Ne ferme pas les yeux ! Je lui ordonne. Je veux voir le désir dans ton regard. Je veux que tu me supplies de te baiser.
-Oh oui ! Continue je t'en pris.
- Bien. Je te relèverais d'un coup et te retourner sur le bureau. Et, je te pénétrerais et te martèlerais jusqu'à ce que tu demandes grâce. Attends toi à ce que ça dure toute la nuit ma belle. J'étouffe alors son cri de jouissance d'un baiser où je prends d'office sa bouche d'assaut.
Je retire alors mes doigts de son sexe et les suces devant elle.
- Hum… Délicieux. Elle gémit de nouveau.
- Allez ma belle. C'est l'heure d'aller en cours. Si tu veux que je te fasse subir tout ça, rejoins-moi chez moi ce soir vers 21 heures. Et ne sois pas en retard.
- OK. Alors à ce soir.
Je souris. La belle Mademoiselle SWAN passe dans le couloir. Je la regarde et elle me sourit. T'inquiète pas chérie, tout ce que j'ai prévu pour Jessica, je te le ferais subir bientôt au centuple. Jessica me regarde et prend ma main.
Nous avançons tous les deux vers nos cours respectifs. Je suis heureux parce que je sais que bientôt Isabella Swan sera à mes pieds ...
Comme prévu, Jessica me rejoint chez moi. Sans un mot je l'attrape par le bras et la tire vers ma chambre. Je le jette sur le lit et m'assois sur le fauteuil en face.
- Maintenant ma belle, pour me mettre en condition, tu vas me faire un petit strip-tease intégral.
- Quoi ! Mais c'est toi qui devais t'occuper de moi !
- Oui mais les règles ont changé. Si tu veux ça, dis-je en montrant mon service trois-pièces, il va falloir que tu sois très gentille avec moi.
Elle me lance un regard noir et se dirige vers la chaîne-hifi. Elle lance une musique entraînante et commence à se déhancher devant moi. Elle est plutôt pas mal foutue. Son corset tombe sur le sol tandis qu'elle s'approche de moi. Elle attrape ma tête et la met entre ses seins. Je ne peux pas résister et passe ma langue sur le sillon entre les deux. Elle se recule brusquement et enlève son soutien gorge. Elle joue avec ses pointes durcies en passant ses pouces dessus et en les tirant. Je commence à bander sévère et ouvre mon jean.
Elle fait glisser sa jupe et me l'envoie d'un coup de pied. Je la fais tomber au sol parce qu'elle me gêne. Elle se rapproche félinement de moi et vient s'asseoir sur moi. Son dos est contre mon torse et ses fesses bougent en rythme sur mon érection douloureuse. Elle prend mes mains et les fait glisser sur son corps. Elle empaume sa poitrine avec et lentement les fait descendre sur son ventre. Elle arrive à son sous-vêtement et passe nos mains jointes dessous. Nos doigts viennent cajoler son petit bouton de chair et font des allers- retours sur sa fente humide. Nous gémissons de concert. Putain ! Je vais jamais pouvoir tenir ! Il va falloir qu'elle augmente la cadence cette chienne en chaleur.
- Tu aimes me faire ça mon chéri ? Tu aimes mon corps qui bouge sur le tien. Ma petite chatte toute humide pour toi ?
Elle fait descendre son string et là je n'en peux plus. Je jouis longuement dans mon caleçon et mon pantalon. Merde ! Ma mère va me tuer ! En même temps, Quelle jouissance elle vient de m'apporter. J'ai hâte d'être dans sa petite chatte toute mouillée rien que pour moi.
Jessica se relève d'un bond. Qu'est-ce qui lui prend tout d'un coup ? Une mouche l'a piqué ou quoi ?
- Non mais tu peux m'expliquer ce qui vient de se passer ? Tu as joui alors qu'on a encore rien fait ? (N/L: c'est tout à fait ça Jess ! Etonnant n'est-ce pas ? Aller avouez ! Qui a déjà vécu ça ? Levez la main ! N/R : Oui, on veut savoir)
Elle se met à rire. Je commence à voir rouge.
- Non mais regardez moi cet éjaculateur précoce. Ta réputation va en prendre un coup quand tout le monde va savoir ça. Non mais vraiment, comment tu as fais pour avoir une réputation de bon coup et de tombeur ?
Je m'énerve et l'attrape par la gorge.
- Si jamais tu parles de ça à qui que ce soit, je te jure que tu me le payeras cher. C'est compris ! Et de toute façon, qui croira une fille facile qui écarte les cuisses devant chaque mec ?
Elle me regarde complètement terrifiée et acquiesce. Des larmes commencent à couler de ses yeux. Elle est comme toutes les autres. Pathétique.
- Bien, tu es une bonne fille. Maintenant, tu vas prendre tes affaires et te tirer de chez moi vite fait. Et n'oublie pas notre accord.
- D'accord.
Je lui tapote la joue et la lâche. Elle ramasse vite fait ses affaires et commence à partir. Quand elle passe devant moi, je prends son string au passage.
- Un petit souvenir. N'hésite pas à revenir quand tu veux ma belle.
Elle continue son chemin sans me répondre et sans prendre la peine de se rhabiller. Les filles de mon âge sont vraiment de petite nature. Je suis sûr que les vraies femmes comme Mademoiselle Swan ne sont pas du tout comme cela. Elles doivent aimer ça et ne pas être rebutées par les éjaculations précoces. Ça prouve que la marchandise est bonne et la tuyauterie est en bonne état.
En soupirant, je me dirige vers ma penderie et ouvre la porte. Je prends le carton en haut du placard et l'ouvre. Dedans se trouve tous le string et les petites culottes de mes partenaires. Et- le clou de ma collection sera celui la belle Isabella….
(N/L: Et bein ça promet ! N/R : Il serait pas un psychopathe ce mec ?)
Ok ! On y est ! Premier chapitre terminé !
Vous en avez pensé quoi ? Si vous voulez la suite vous savez ce qu'il vous reste à faire...
Je voulais vous dire également que nous devions participer au concours « Hot Summer » malheureusement mes vacances approches et le temps nous rattrape. On aura pas le temps... Donc ! On a décidé d'écrire quand même. cette fic qui sera inspiré du concours mais qui ne participera pas au concours... Compliquer n'est-ce pas ? Ouf ! C'est tout nous !
Juste un petit truc en plus. La première personne qui trouvera de qui est le poème aura droit à un teaser du chapitre 2. Alors à vous de jouer !
Aller, sur ce je vous laisse... Tout les renseignements seront sur notre profil. Vous avez donc obligation de nous y rejoindre et de nous faire part de vos commentaires.
On vous aime
Bisous et à très vite !
Rhea&Luna...
