Chapitre 1 : Arrivée.

Albus Dumbeldore arpentait les couloirs sombres de son école, Poudlard, école de sorcellerie, créée il y a plus de milles ans par les quatres sorcière et sorcier de l'époque.

Au fils des ans et des générations d'élèves qui se sont succédées, l'école était devenue un lieu stratégique pour tout enjeux politique et pour toutes les guerres qui ont surgit au cours des époques.

Albus fut lui même élève dans cette école. Il fut également un acteur principale la socièté sorcière. Vainqueur d'une guerre impitoyable, il avait fait et vu des actes de magie à la fois spectaculaire et effroyable. Il soupirait de lassitude fasse à l'approche de cette nouvelle guerre qui avait éclatée il y a quelque temps.

Simplement pour une histoire de pureté de sang, que des tueurie et des massacres de famille entière étaient perpétrés. Le ministère s'inlisait dans leur effort de rassurer la population et promettait de venir à bout de ce Lord de pacotille en quelques semaines. Il y a de ça des années que le ministère le promettait, mais les aurors manquaient d'indices et d'effectifs, et le ministère se laissait peu à peu corromppre et inflitré par les partisant du Lord.

Albus, connaissant la véritable identité du Lord Voldemort, savait partinement que le ministère ne l'arrêtera pas si facilement. Les promesses et les idées qu'il insufle séduisent de plus en plus de monde. Une vague de terreur et d'incertitude envahissaient peu à peu la population et plus personne ne se faisait confiance. Diviser pour mieux régner

Voldemort en est venue à recruter au sein même de l'école, espionnant Poudlard et ces défenses afin d'en prendre posséssion, s'assurant ainsi la capitulation du gouvernement. Albus dû, malgrès lui en faire de même. Chargeant ainsi des jeunes de 20 ans, à espionner pour lui.

Voyant l'incompétence du ministère face à cette menace, il créa ici, l'Ordre du Phénix, ayant pour seule objectif, de debarrasser le monde de ce fléau.

Alors qu'il arrivait au 7ème étage, il sourit au souvenir de la salle sur demande. Une salle bien pratique. Il se dirigea vers elle, decidé à s'offrir une petite ballade dans la clairière de son enfance.

Arrivé à un mètre de la porte, celle-ci s'ouvrit, laissant sortir trois intrus. Certainement pas des élèves, trop agés. Ils devaient avoir 22 ans.

Le premier étaient un homme, brun, de longs cheveux retenue en catogan, un visage rustre et masulin. Une machoire carré, un petit nez, une fine bouche rose, une peau halée. Un corps musclé et puissant. Habillé d'une tunique noir à col mao, d'un patalon noir et de bottes, le tout recouvert d'une cape toute aussi noir. Il respirait la puissance et le respect.

Le deuxième était, physiquement, son exact opposé. Une peau fine et laiteuse, d'un blond platine lui arrivant à la machoire. Des traits fins et aristocratique. Un nez droit et une petite bouche. Tout aussi grand, moins musclé et élancé. Il était habillé de la même manière que son compagnon.

Entre les deux jeunes hommes, une jeune femme. D'une magnifique beauté, grande brune. Elle avait attaché ses longs cheveux en une queue de cheval haute, augmentant sa froideur. Un visage fin, une peau de porcelaine, un petit nez retroussé, une bouche rose pulpeuse, des formes magnifique et des yeux noirs particulièrement intense. Elle portait un patalon de cuir, la mollant à la perfection, un petit tee-shirt, laissant entre voir un ventre plat, de bottes à talon haut, recouverte d'une cape noire.

- Qui êtes vous ? Demanda Albus sur le défensive.

- Le futur. Répondit la jeune femme la voix enroué et rauque.

- Votre bureau semble plus indiqué pour cette conversation. Proposa le blond d'une vois neutre.

Approuvant cette idée, Albus les couduisit dans son bureau, fit apparaitre des fauteuils et du thé qu'il leur servit. Et reposa sa question.

- Mon nom. Commença le brun. est Harry James Potter. Mes parents sont James et Lily Potter née Evans.

Albus fallit recracher son thé. Incroyable, la jeune Lily avait accouché il y a un peu plus d'un an et il avait vu le jeune Harry, il y a quelque jours. Il posa son regard sur le blond, devinant aisement son nom.

- Je suis Drago Lucius Malfoy, fils de Lucius Abraxas Malfoy et de Narcissa Hélèna Malfoy née Black. Annonça t'il inexpressif.

- Charlène, Eileen Snape. Père, Severus Tobias Snape, mère, inconnu. Recita t'elle, la voix cassé.

- Bien. Commença Albus. Votre arrivée est pour le moin suprenante et pour certain d'entre vous sont déjà née. Maintenant, il nous faut trouver un moyen de vous faire rentrer dans votre époque, sans changer le futur.

- Non. Détrompez vous, professeur. Notre arrivé n'a rien d'accidentelle. Nous sommes ici, justement pour changement le futur. Expliqua Harry, très sérieux.

- Non. Vous ne pouvez pas, cela pourrait créer un chaos...

- Non. Vous ecoutez. Contra Charlène de sa voix enrayée. Le futur n'existe plus, il n'existe plus rien là bas. Voldemort a gagner. Nous avons perdus. Il rêgne sur le monde. Il a atteint l'immortalité. Il nous est impossible de la tuer. Il a pris le pouvoir, il y a 5 ans. La chasse au Moldus et aux sangs de bourbes, fut décrété. Il y a des millon de mort. L'esclavage fut instauré, le droit de cuissage par les seigneur mangemorts fut autorisé. Poudlard n'a plus rien d'une école. C'est devenu un refuge pour tous ceux qui veulent combattre. Mais ce n'est qu'une question de temps pour que Voldemort attaque le dernier bastion de résistance dans le monde. Les milliers de famille qui s'y trouvent seront massacré ou reduitent en esclavage.

- Mais Poudlard est bien plus qu'une école. Elle posséde son entité propre, sa magie. A travers d'un rêve, elle nous autorisait à retourner dans le passé, à une époque où il était encore possible de battre Voldemort. Sans condition de retour en arrière. Notre vie, maintenant elle est ici. Conclua Harry.

Albus était totalement devasté. Accablé par le futur qui les attendaient. Ne sachant plus quoi faire, tentant de réfléchir rapidement, aux actions qu'ils pouvaient mener dans l'immédiat.

- Bon, dans l'immédiat , nous ne pouvons rien faire. Je vous propose de prendre un bon repas et de vous reposer. Ce soir, c'est Halloween donc...

- QUOI ! S'écriaèrent les deux hommes. De quelle années. demanda précipitement Harry.

- 1981. Répondit le vieux directeur ne comprennant pas vraimment l'importance.

- MERDE ! Mes parents vont mourir ce soir ! S'ecria Harry en sortant en trompe du bureau. Pettegrow est leur gardien des secrets, lui et Sirius en enchangé leur rôle. C'est lui l'espion de Voldemort !

Rapidement suivit par ces deux comparses et de Dumbeldora, abasourdit par ces révélations, ils traversèrent en courrant le chateau puis le parc afin de sortir du domaine pour transplaner.

- Comment n'ai je pas vu sa traitrise. Se demanda Albus conterné et essouflé.

- La fourberie est un art chez lui. Répondit Drago.

- On transplane à 100 mètres de la maison. Ordonna Harry avant de disparaitre.

Lorsqu'ils arrivèrent sur place, le village était clame et silencieux. Ils s'approchèrent doucement de la maison. Rapidement ils virent des flash de lumière eclairant le rez de chassé.

- Merde, il est déjà là. Grogna Harry. Drake, Tu t'occupe de ma mère et de Harry. Change ta couleur de cheveux sinon elle va prendre peur. Charlie, tu fais une diversion et tu sors mon père de là. Je m'occupe de l'arrière et couvirirais de votre retraite. Vous. Ordonna t'il à Dumbeldore. Prevenez les Aurors et mettez en alerte Pomfresh, on se retrouve tous à Poudlard.

Albus admira le plan stratégique du jeune Potter, si rapidement mit en place. Il vit Drago Malfoy, les cheveux chatain, se faufiller par une fenêtre du premier étage. Harry courrut rapidement, faisant le tour de la maison. Lui, il transplana au bureau des aurors.

Charlie s'approcha de la porte d'entrée, repérant facilement Voldemort, au centre de la pièce, attaquant avec férocité, James Potter, retranché derrière un gros fauteuil, qui ne fera pas long feu.

Attaquant par surprise, elle lui envoya un sort informulé. Voldemort vola à travers la pièce. James Potter en profita pour changer de place et se mettre à couvert derrière le mur, près de l'escalier. Voldemort, surpris dans un premier temps, se repris rapidement. Charlie le regardait avec isolence.

- Qui es tu pour oser t'en prendre au seigneur des ténèbres ? siffla t'il d'une voix aigue.

- Oh, je vous interrompu peu être ? Vous m'en voyez navrés. Dit elle faussement désolé. Mais quant même Potter, vous en prendre à un veillard, vous n'avez pas honte?

- Comment ose tu ? S'insurgea t'il de plus en plus furieux.

- En ouvrant la bouche. Non vranchement, un homme plein de vigueur et de fougue comme vous, attaquer un vieillard, on ne vous à jamais dit que cela était mal poli.

- Je n'est jamais écouté mes parents. Dit James en entrant dans son jeu, voyant Voldemort de plus en plus enragé.

- Ah, les jeunes, ils n'ont plus aucune éducation. Se moqua t'elle.

Prévisible, Voldemort perdit le contrôle de ses nerfs et attaque avec une grande férocité. James admira cette jeune femme combattre avec une adresse et une déxtérité qu'il n'aura jamais. se fouttre de la gueule de Voldemort, était non seulement suicidaire mais en plus lui tenir tête en combat singulier, relevait du prodige. James l'observait avec attention. Ses gestes et ses enchainements de pas étaient spectaculaire. Il attaquait Voldemort autand qu'il pouvait. Elle lui offrait un merveilleuse deversion. Brusquement elle se refugia contre lui, près du mur. Pris en etau entre le mur et son corps chaud, James eu du mal à respirer. Les sorts de Voldemort sifflaient à leur oreilles.

- BLONDINET !! Cria t'elle gravement faisant vibrer sa cage thoracique.

- C'est bon, la mère et l'enfant sont en sécurité, on passe au plan B. Dit une voix masculine venant du premier étage.

- Mr Potter. Dit elle en s'adressant à lui le regardant droit dans les yeux. Notre rôle d'appât et de diversion est terminé, nous pouvons partir.

- Mais...

- Votre femme et votre fils sont en securité. Venez. Faîtes moi confiance. Le pria t'elle.

James plogea son regard noisette dans les puits noirs sans fond de cette femme. Des millions de paillions parcouru son ventre en quelques secondes, sa gorge devint sèche et il lui était difficile de parler. Pourquoi cette femme le faisait réagir comme cela. Il était amoureux de Lily, il aimait sa femme. Même si en ce moment, cela n'allait pas très fort, ils s'aimaient. La naissance d'Harry, les avaient rapprochés, mais depuis 5 mois les disputes et les enguelades étaient de plus ene plus fréquente. La tension à la maison était devenue parfois si insoutenable, su'in en était venu à s'inventer du travail pour rentrer le plus tard possible chez lui.

Devant ce regard à la neutre et si expressif en même temps, devant ce petit nez retroussé, devant cette bouche pulpeuse qu'il avait brusquement envie de croquer à pleine dents, il se sentit fondre. Mais que lui arrivait-il ?

- D'accord, je vous fais confiance. Dit il soudainement.

Elle hocha la tête et se remit à hurler.

- HARRY !!!!

Puis tous s'enchaîna rapidement. Elle le tira brusquement pas le bras, l'entrainant dehors. Il eu juste le temps de voir son salon exploser et s'ecrouler sur Voldemort. Aussitôt le petit portail passé, il sentit les compressions typique du transplanage.

A l'atterrisage, James eu du mal à reconnaître l'entre de Poudlard. Aussitôt, il fut assallit par une tornade rousse.

- James !! Tu n'a rien ! J'ai eu si peur qu'il t'arrive quelque chose ! Sanglota Lily.

Il la serra maladroitement dans ces bras, tentant de la rassurer. Il vit Dimbeldore, Pomfresh, Et deux personnes qu'il ne connaissait pas, dont sa sauveuse.

- Ca va Lily, ça va, je n'ai rien. sans cette jeune femme pour me sauver, je serais mort à l'heure qu'il est. Expliqua t'il.

- Impossible ! S'exclama sa femme en s'arrachant de ces bras avec virulence. Tu es le meilleur aurors du ministère.

- Vous avez raison Mr Potter, vous auriez du mourir ce soir. Contra une troisième personne arrivé entre temps, surment Harry.

- Es ce une menace. Demanda agressivement sa mère.

- Non. répondit Harry d'une voix calme, assez surpris de l'agressivité de Lily. C'est ce qui aurait du se produire.

- Venez, mon bureau semble plus indiqué pour poursuivre cette conversation.

Harry demanda de convoquer d'autre personne. ils s'avancèrent vers le chateau en parlant à voix basse. Suivit de Drago et de Lily, qui portait son fils dans ces bras.

Charlie allait les suivre lorsqu'elle se fit interpellé par l'infirmière.

- Mais vous êtes bléssé, jeune fille. Constata t'elle severement.

Ce n'est qu'à cet instant que James s'en redit compte de l'épaule démise de la jaune femme.

- Ce n'est rien, grommala t'elle. Je m'en remettrais.

- Vous ne pouvez rester ainsi et votre vois, elle n'a rien de naturel.

- Plus tard.

- Mais Votre épaule...

Elle claqua sa langue, signe certainement d'agacement chez elle. Elle se retourna brusquement vers James qui sursauta, surpris.

- Prenez ma main. Ordonna t'elle séchement presentant sa main bléssée.

Bien qu'il voyait difficilement où elle voulait en venir, James s'excuta.

- Tirez dessus. Dit elle séchement.

Quoi ! Mais elle est complétement folle. James allait refuser, mais lorsqu'il rencontra son regad, il fut incapable de lui dire non. Un mélange de tristesse et de lassitude. Elle semblait fatigué et las. Mais las de quoi ?

Il compta jusqu'à trois et tira d'un compte sec. Un crack sinistre se fit entendre, signe que l'epaule était bien remise. Pas le moindre signe, pas le moindre cri ne franchit ses lèvres monttrant ainsi la douleur qu'elle avait du ressentir. James était abasoudit. Il se demandait qu'elle seuil de douleur elle avait du atteindre pour ne rien ressentir.

Elle fit quelque mouvements de rotations vérifiant ainsi que l'épaule. Elle lui fit un petit sourire et lui souffla un leger merci. Ce simple sourire suffit à James pour ressentir à nouveau des millions de papillon au creux de son ventre. Jamsi il n'avait ressentit cela pour Lily avec autant d'intensité, à l'époque de leur scolarité. Mais que ce passait 'il dans sa tête.

Elle se tourna vers l'infirmière, scandalisée par le geste de la jeune femme.

- Problème réglé. Dit elle narquoisement. Quant à ma voix, vous ne pouvez rien faire, j'ai les cordes vocale brisées. Maintenant, nous pouvons y aller ? Delanda t'elle séchement.

Ils rettrappèrent rapidement le premier groupe. Lily lança un regard à James, lui montrant clairement qu'elle n'avait pas apprécié sa conduite.

Comme toujours. Pensa t'il en soufflant.

Lily devenait de plus en plus exigeante, de plus en plus intransigeante. C'est à peine si il pouvait voir Remus et Sirius. Elle les jugeait irresposable et immature. Elle lui imposait ses amis chiant et emmerdant, toujours à parler de livre, ennuyeux à mourrir. Pas que James se sentait moins intellectuelle qu'eux, lui aussi, il avait lu ses livres. Mais il voyait le vie plus riche et intérressante que de la passer dans un livre. Et ça Lily n'arrivait pas à sans défaire. Ce qui fouttait vraiment la merde dans leur couple, c'est qu'elle lui imposait ces loisir. Finit le quidditch, maintenant, il devait jouer aux échecs, plus de soirée entre pote dans les bar à jouer au billard ou au fléchette, plus question d'aller en boîte de nuit. Maintenant c'était les galas de charité et les soirées mondaines. Sa femme avait changé ou alors c'est lui qui se rendait enfin compte qu'ils n'avaient rien en commun, si ce n'est l'amour qu'ils portent à leur fils.

Il marchait vers le chateau, plongée dans ces pensées de couples en périls, son regard fut attirré par sa jeune sauveuse. Elle ne devait pas être plus agé que lui et pourtant on voyait que son visage était legerement marqué par des épreuves. Des courbes magnifiques, une chute de rein à damné un saint, des fesses rondes, des seins fermes. James regardait sans vergorne et admiration son corps. Lily était belle, mais elle, elle était siblime. Un ange ténèbreux au corps de déesse, tombée du ciel noir de la nuit.

James avait du mal à gêrer ses pensées et ses sentiments.

Avant une femme comme elle, il l'aurait qualifiée de maléfique et de diabolique, ancré dans la magie noire. Une serpentarde, au corps de diablesse, qui attire les honnêtes hommes dans ses filets, pour ensuite les devorer telle une mante religieuse.

Quand, comment et pourquoi sa vision a changé ?

Es ce en voyant les horreurs de la guerre contre Voldemort ou en voyant les restes des cadavres et des corps mutilés qu'il laissé derrière lui. Ou es ce que le traihison de Peter y est pour quelque chose, sue tout le monde n'est blanc ou noir.

James avait du mal à savoir où il en était. Il avait envie de se laisser prendre dans ses filets, de se laisser glisser dans l'aura pleine de ténèbres et de désespoir. Car oui, même si elle s'efforçait de le masquer, cette jeune femme était en proie à une profonde mélancolie. Son âme était abimée, déchirée. Il divinait sa detresse et sa tristesse, elle se laissait mourrir peu à peu, comme une fleur qui se fane avant l'heure.

Sans s'en rendre compte, ils étaient arrivée au bureau du directeur. Celui ci les laissa monter et repartis dans les sombres couloirs de son école. Il fit apparaitre des fauteuils et s'installa près sa femme qui lui colla Harry dans les bras. Son fils lui semblait calme et curieux de savoir ce que allait se passer. Lorsqu'il vit le fameaux Harry qui avait fait exploser son salon, il eclata de rire, le regarda avec joie et tendit ses petites mains potellés vers lui. James était très surpris, c'est la première fois que son fils se montrait si ouvert face à des inconnus, il gigottait avec énergie sur ses genoux. Le grand brun lui fit un large sourire et se permit de le prendre dans ses bras.

- Mais enfin, James, tu es complétement inconscient ou quoi ? !!! Tu donne notre fils à des étrangers !!! Hurla Lily à moitié hystérique.

- Je t'en prie, Lily, tu pense vraiment qu'ils représenteraient un danger en étant aussi proche de Dumbeldore et nous sauvant la vie. Contra t'il calmement.

- Mais...

- Et puis Harry à l'air de bien l'aimer. Vous vous nommé également Harry, n'es ce pas ?

- Non, en effet, je me nomme également Harry. Répondit en souriant le brun.

Pour couper court à toute conversation, la porte du bureau so'ouvrit pour laisser entrer Albus, suivit d'un Sirius Black remonté comme une pendule, d'un Remus Lupin, qui se rongeait non pas les ongles mais les doigts et de Severus Snape et de Lucius Malfoy, implassible et impertubable. James ne percuta pas immédiatement. Ses meilleurs amis se jettèrent sur lui, pour qu'il raconte ce qu'il c'était passé, en parlant en même temps. Par contre Lily, elle réagit au quart de tour.

- Que font ces sales mangemorts ici ! Beugla t'elle en se levant. Dumbeldore !!! J'exige des explications !!!!

- Sale sang de bou... Lucius s'arrêta au milieu de sa phrase.

Une lame de sabre, datant de la 14ème dynastie, parfaitement aiguisée était posé sous sa machoire, à la base du cou.

Afin de faire cesser de brouhaha, Charlie s'interposa en menaçant Lucius et Lily.

- Fermez la tous les deux où le peux vous assurer que je vous couperez la langue. Compris ? Siffla t'elle véritablement effrayante.

Lily et Lucius hochèrent tous les deux de la tête et s'installèrent dans les fauteuils. Charlie fit disparaître ces lames et retouna s'assoir sur le rebord de la fenêtre. Lily outrée d'être traitée ainsi, s'en pris à James.

- Et toi, tu ne dis rien ?

- Non, elle a parfaitement raison, maintenant tu pose tes fesses sur ce fauteuil et tu ferme ta bouche. Je commence en avoir marre de t'entedre hurler. Je veux savoir ce qui se passe. Claqua James, enfin ravis de pouvoir remettre sa femme à sa place.

Il ne lâcha pas du regard les yeux noir de la jeune femme, qui lui fit un petit clin d'oeil et un petit sourire, qui étrangement, valut tout l'or du monde pour James à cet instant. Tous furent assis, Sirius avait recupéré Harry du survivant.

- Qui commence ? Demanda Remus de sa voix posée.

Tous le onde regardaient les trois jeunes voyageurs temporel. Harry souffla et se lança.

- Comme vous le savez, je m'appele Harry....Harry James Potter...