"Cet os est écrit pour un jeu du FoF, il fallait le rédiger sur le thème "Brut" en une heure. Pour plus de précisions vous pouvez m'envoyer un mp."
L'ensemble des personnages appartient au monde fabuleux d'Alexandre Astier, je me permets de les utiliser afin de leur faire vivres quelques aventures supplémentaires.
La salle du trone était occupé par le roi Arthur, en plein conseil de guerre, se prépare à repoussez une invasion de brute sanguinaire composé de Burgondes et de Saxon. A ce moment là, le chevalier Bohort se présente au roi et demande s'il peut lui demander quelques choses. Le roi l'autorise, mais s'il fait vite. Le chevaler s'éclairci la gorge et se lance dans une petit ode afin de donner son point de vue.
Bonjour sir Arthur je me présente devant vous suite à votre convocation
Ravis de pouvoir vous aidez à accomplir votre destiné pour glorifier votre nom
Une prouesse dont je ne suis pas le héros je le crains
Tellement je trouve inutile de se battre en vain
Bien que je sois l'un de vos chevaliers de la table ronde
Rien n'empêche d'entrer dans la légende sans couper de tête burgonde
Une issue diplomatique est toujours la bienvenue en temps de guerre
Tout le peuple vous acclamera pour avoir su leur éviter tant de misère
Bondissant depuis votre trône vous pourriez fendre la mêlée à l'avant de vos troupes
Rugissant le nom des Pendragon pour donner courage et faire honneur à vos ancêtres
Unissant sous votre bannière l'ensemble des clans de Bretagne et vos alliés fidèles
Tel pourrais être écrite la légende de cette bataille qui s'annonce universelle
Bohort est là pour vous servir sir, si vous me le permettez
Rappelez vos cohortes de soldat pour leur éviter d'être massacré
Utile et malin, des envahisseurs je vais me débarrasser
Tenant des propos si alléchant qu'ils ne pourront les refuser et s'en iront sans discuter
A la fin de cette chanson, le roi regarde Bohort avec des yeux grands comme des soucoupes, et répondit au chevalier:
-"Si vous pensez que c'est en allant leur raconter des balivernes pour les faire rire ou alors en leurs donnants des terres que cela va s'arranger, c'est une grosse erreur. En face, c'est des brutes épaisse Bohort, vous allez en prendre pleins de la tête si vous y aller…"
-"Je serais prudent sire, mais je pense que c'est la meilleur chose à faire, j'y vais de ce pas d'ailleurs afin d'éviter un carnage à nos hommes." Répondit Bohort.
-"Bohort, arrêtez vous immédiatement, ou je vous enferme, ça ne me plaira pas mais c'est pour votre bien."
-"Moi aussi sir, je vais les voir pour votre bien…"
-"GARDES emmener le seigneur Bohort dans sa chambre et qu'il n'en sorte sous aucun prétexte, vous ne le libérerait qu'à la fin de la bataille."
Alors que Bohort était emmené dans ses appartements manu-militari, un étrange sourire de satisfaction se dessina légèrement sur son visage…. Sacré Bohort !
Ps: pour ceux qui ne l'on pas remarqué, lisez la première lettre de chaque vers de la chanson…