Chapitre Un : Une rencontre, c'est douloureux ?
- Non, Je vous l'ai déjà dit, que ce n'est pas moi !
Une fois encore, un garçon d'une Quinzaine d'années ce précipita dehors en claquant la porte de sa classe « Mais quelle bande d'abruti. Ils ne comprendrons donc jamais ! » Cela faisait la cinquième fois ce mois si. Comme à son accoutumé, il se dirigea d'un pas énervé vers sa maison tout en frappant les petits cailloux trainant sur le sol.
Ses camarades de classe lui avaient encore reproché le tragique accident du mois denier. S'ajoutait à cela son impulsivité et ses idées du monde un peut trop excentrique, la goutte d'eau qui fait déborder le vase arrivait vite chez lui.« ces idiots, qui compose 99% de ma classe, sont persuadés que c'est moi qui ai mis le chat dans le lave linge ».
- Je ne suis pas assez stupide pour confondre des fringues et un chat quand même !... Et puis, il n'avait pas à se planquer dans le bac de linge sale... Nah !
La grand mère qui venait de passer à coté de lui fut choquée par ces paroles et protégea son yorkshire en le mettant dans son sac a mains. Des fois qu'il ait envie de nettoyé son trésor dans une quelconque machine.
« Par contre je le suis suffisamment pour traverser la route alors qu'un camionneur écervelé et en train de griller des saucisses dans son habitacle.
Je vous jure, de nos jours, la moindre seconde compte.
Regardez le résultat ! Une bouillie de lycéen énervé. Je sais que quand on masse longuement on finit par se détendre, mais de là a ce faire rouler dessus par un 3 tonnes 5 , faut pas pousser non plus. »
La grand mère, qui n'avait rien raté du spectacle, envoya valser sont sac a mains, dans le fleuve derrière elle, pour mieux agiter ses avant bras. Montrant ainsi qu'elle venait de frôler la crise cardiaque.
En plus des gendarmes, ''pour coller le camionneur en prison'', des pompiers, ''pour éteindre le camion et bientôt l'école en flamme'', et d'un service de nettoyage, ''pour extraire les morceaux incruster dans le bitume'', il fallut appeler les gardes côtes pour ramener à sa richissime maitresse le petit kiki qui maintenant voguait en plein milieux du port international de karakura.
« Ha ça , on s'en souviendra longtemps de cette histoire. C'est moi qui vous le dit. »
*Je vous rassure, aucun chihuahua ou autre bestiole de ce genre n'a était traumatisé pendant l'écriture de cette fic.*
« Les années qui suivirent furent troubles, commandées par la haine accumulée durant toutes ces années d'école. A force elle a dut disparaître, enfin c'est ce que j'en conclu, car là en ce moment, depuis que j'ai repris contrôle de moi même, je me trouve dans une fâcheuse situation...
Du sang... Du sang dans ma bouche. Vous me direz que ce n'est pas bien grave, c'est juste un aphte ou une gencive trop sensible. Mais... ça n'aurait pas été une situation fâcheuse...
Ce sang n'est pas le mien, mais celui d'une jeune fille brune avec un katana blanc comme la neige, et un kimono noir taché de son sang.
Voilà, je vous l'avais dit que c'était une situation fâcheuse. »
Un vent frais, prévient le jeune homme de sa situation vestimentaire. Et ce n'est pas les colonnes de glaces fracassées de ce champ de bataille qui vont l'aider à se réchauffer.
Des débris blanc et noir jonchant le sol à ses pieds, lui indique que ses vêtements ne sont plus en états.
« Il m'en faut d'autre d'urgence ! ! sa commence à me les gelée grave, et si sa continue, je vais finir par changer de sexe! »
Les seul habits présent dans les alentours était ceux du cadavre, mais vue sa taille comparer à la sienne, un mètre trente contre un bon mètre 80, ils vont à peine lui servir de teeshirt. Et puis une grosse tache de sang , n'est pas toujours bien vu dans ce bas monde.
Le froid ne lui donnait plus le choix. «Vas pour le bout de tissus tinté de rouge. »
Il ce penche pour récupérer son butin. La vue de la gorge déchiqueté mit une autre tache sur le kimono noir, une vert/jaune cette fois.
Dépliant le tissus pour essuyer au mieux la matière organique, il remarque que finalement il n'est pas aussi petit ce bout de tissus.
« Il a un sacré paquet de replis cet uniforme, tant mieux. Je vais finir par en faire quelque chose, ça ne sera pas de la grande couture mais ça va me tenir un peu plus chaud.
En réfléchissant, bien, vue la mode actuelle, je pourrait peut être lancer une ''new wave''. Mis à par l'odeur, c'est plutôt seyant...
mais qu'es ce que je raconte moi, Je suis grave des fois, à moins que ce soit la situation dans laquelle je me retrouve ? Aurai-je changé de personnalité ?
Non, j'ai toujours été comme sa...
Arrêtons de débloquer et réfléchissons à ce qui a put se passer.
La dernière chose que je me souviens c'est ce camion, puis après le flou total, pire qu'un réveil après une soirée trop arrosée.
En même temps à près une fête tu ne te retrouve pas avec le sang d'une gamine, que tu as férocement prélever sur sa gorge, dans la bouche. »
Perdu dans ses pensées, le jeune homme ne vit pas arriver la silhouette qui gueule a tout vas.
- RUUUUUKIAAAAA ! ! ! ! ! ! ! ! RUUUUUKIAAAAAA ! ! ! !
Un frisson lui parcours le dos. Prennent son courage à deux mains, il se réfugia dans le fourrer d'à coté.
« Quel voix de crooner. Il doit en faire tomber des nanas avec cette voix là. J'espère que ce n'ai pas cette fille qu'il cherche, sinon il vas être déçus. »
- RUUUUUKIAAA ! ! ! ! Non !
« Ha ben si »
Il regardait attentivement l'inconnu qui venait d'arriver.
« Ho, un roux, lui aussi il a un kimono noir. Et un énorme engin... Dur, long, noir, lisse, pénétrant à merveille dans la chaire, et …. mais qu'es ce que je raconte Moi ? au lieux de fantasmer sur le premier inconnu qui passe, concentre toi sur ce qu'il dit. »
- Qui t'a fait ça , rukia ! ! Qui c'est cet enfoiré qui ta fait ça. L'enflure, si je le croise, je le défonce !
« Ho mais avec plaisir mon petit rouquin, surtout si ton katana a toi est à la hauteur de celui que je vois...
Hein ! Mais c'est quoi ces pensées de pervers ! Et depuis quand je m'intéresses à ce genre de chose ?
Calme, bastien, calme.
ça doit être le froid qui te fait cet effet là. Concentre toi, un camion t'es passé dessus... Pas de pensées perverse , pas de pensées perverse. Donc je suis probablement mort, sinon je n'aurai pas une si grande forme. »
Une forte pression stoppa sa réflexion.
- ichigo, rien ne sert de rester là. L'assassin doit être loin à présent.
Lança le grand brun avec une écharpe et une cape blanche qui venait d'arriver.
« Whouw , cette voix, ce visage, rien quand le regardant, le froid disparait , et je ne sent plus cette forte pression. »
- Tu as raison, il faut être stupide ou écervelé pour rester dans les parages. Je vais le buter cette enfoiré de shinigami !
« …... Je ne suis pas stupide ou écervelé, juste déboussolé. Comment garder ses idées claire devant de si beaux éphèbes. »
- Ce n'est pas un shinigami, vu la trace de morsure, ça ne peut être qu'un hollow du niveaux d'un vastos lordes. Part devant , je vais me recueillir un peu.
Marquant une courte pause, l'éphèbe à l'écharpe reprit en pesant un à un ses mots.
- Mais surtout ne le tue pas, je le ferait moi même. Pour l'être cher qu'il nous a retiré. Il sentira mon zampakuto pénétrer lentement aux plus profond de ses entrailles. Il subira la colère des kuchiki.
« Je suis tout à toi mon grand, je subirais ta colère mille fois si tu le souhaite. Mais je t'en supplie, arrête, je vais finir par te sauter dessus.
RHAAAAA c'est un truck de dingue, j'ai chaud , nom de nom, j'ai chaud ! Faut que je tienne, sont peut être canon, mais sa m'étonnerait fortement qu'ils acceptent mes avances dans un moment pareil. »
La pressions dans ses artères diminua quand ichigo parti dans la direction de bastien.
« Ouf, je respire, le rouquin, s'est barré...
Il est passé à moins d'un mètre de moi et il ma pas vu. Après c'est moi qu'on traite d'abruti... Bon qu'es ce que fait l'autre, j'ai appris ce qu'il me fallait, laisser moi tranquille maintenant. »
Byakuya Kuchiki , avait écarté Ichigo pour une bonne raison, il ne voulait pas être vu dans ce moment de faiblesse.
« Que... Il est en train de pleurer comme un bébé là.
Mais, Dit moi que je rêve ! Mais, Dit moi que je rêve ! !
Il est encore plus canon quand il pleure... Rhhha c'est insoutenable.
Vl'à que Je transpire maintenant.
C'est dur , bordel, c'est dur ! ! Rhaaaaa merde!
Le jeune garçon planqué dans les fourrés tremblotant de désir, transpirait dans son bout de tissu sanguinolent.
Calme toi, c'est juste un mec, Bastien Tarin reprend toi bordel. C'est-un-mec ! …..
Poufff, la pression est redescendue. C'était moins une... Qu'es ce qu'on devient sensible quand on meurt.
ça doit être interdit un si beaux mec en-train-de-retirer-ses-vêteMENTS ! ! !
ça y est, hémorragie nasal.
Mais pour quoi t'a retirer tes fringues, arrête ta torture mec, je peux même pas te sauter dessus.
Enfoiré! »
Byakuya venait de retirer sa cape pour couvrir le corps nue de sa sœur. En guise de ceinture il déchira un bout de sa tunique, laissant son torse au plaisir subtile de l'air glacé contre la peaux.
« NON, non, pas le kimono, pas le kimono, pas le kimono.
Ne regarde pas, ne regarde pas Bastien , ne regarde pas... trop tard...
RHAAAAAA mais c'est pas permis d'avoir de si beaux muscles. Bourreaux des cœurs... »
Ayant terminer d'enrober Rukia, le capitaine légèrement frissonnant dégagea ses manches, d'un mouvement ample et délicat, de son torse finement sculpter. L'abdomen à découvert, kuchiki transporta sa défunte sœur vers un autre horizon.
« Coup de grâce...
Une tache de plus sur mon bout de tissus...
Ourf coup de barre...
Voilà qui s'en va maintenant. Laissant derrière lui une âme en peine, en manque d'amour. Me laissant là, seul dans le plus beaux des luxes , avec un corps marqué à jamais par ce jeux masochiste mais oh combien sensuel.
Désirer la lune, ne pouvoir toucher en étant si proche, quel monde cruel. Oh quel... romflzzzzzz »
Le jeune homme s'endormit pour mieux ressasser les événements vécus. -_-'
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1.03.01
