Fiche de la fic: Quand reviendras-tu ?

Rating: M pour ce chapitre :d

Warning: yaoi, lemon... Vaan x Balthier, avec un p'tit peu de Basch x Vaan, mais plus tard.

Disclaimer: Si jamais Vaanille et Babal serais à moi, j' vous assure que ce serais pas qu'une fic.

Note: Je sais, Vaanille fait très uke. Mais bon... que voulez-vous, le plus vieux l'emporte ! Et désolée pour mon titre stupide... je sais qu'on est pas supposé bouger avec de telles blessure, mais, anyway...

Chapitre 1: Péché d'amour

Vaan ne put s'empêcher de laisser échapper un petit gémissement alors qu'il ouvrait ses yeux aux paupières lourdes, lourdes, lourdes... la lumière forte l'aveugla, et il craignit de se trouver dans le désert de Dalmasca...

La lumière s'atténua, et il fut rassuré de se retrouver dans l'arrière du Strahl. Sa tête cognait, ses yeux brûlaient, et il avait au côté droit comme il n'avait jamais eu mal et il sentait aussi l'intérieur de sa cuisse gauche piquer, mais au moins, il était dans un en sécurité, et il pourrait récupérer tranquille... mais récupéré de quoi ?

Vaan n'avait aucun souvenir de s'être évanoui, ou même endormi. « Que m'est-il arrivé ? » songea-t-il.

Il entendit des pas, et puis soudain, le visage – étrangement soulagé – de Balthier se plaça au-dessus du sien.

– Ah, enfin... t'es réveillé... dit-il, avec une pointe de soulagement dans la voix.

– Mais quand me suis-je endormi ? demanda le blond.

Balthier ferma les yeux, soupira, puis prit lace sur une chaise près du lit. Vaan tourna la tête pour le garder dans son champ de vision.

– C'est l'une des épées de Vayne qui t'a traversé dedans le flanc droit. Comme tu es tombé... et que tu saignais comme un cochon à l'abattoir, on a préféré foutre le camp vite fait.

Vaan porta son regard sur le corps de son compagnon, pour s'assurer qu'il n'était pas blessé non plus. Il vit que ses vêtements étaient tous tâchés de sang de part en part: les manches de sa chemise n'étaient plus blanche, mais rouge !

– D'où vient ce sang ? demanda-t-il inquiet.

– C'est le tien, Vaan, répondit-il. Je t'ai porté jusque dans le Strahl. Et je peux te dire que tu n'es pas une plume, malgré ton apparence frêle !

Vaan tenta de rire, mais ne put que gémir, ses côtes lui faisant mal. Balthier s'inquiéta aussitôt:

– Tu es sûr que ça va, Vaanille ?

– Ne m'appelle pas comme ça ! se fâcha aussitôt le blond.

– Et Pénélo, elle ?

– … c'est différent, se contenta d'ajouter Vaan.

Il ferma les yeux, et respira un peu. Il souffla, avant de sentir des mains sur son bras, puis remonter à son épaules, pour ensuite lui remonter les épaules... « Quelle douce caresse... » pensa-t-il.

Il ouvrit immédiatement les yeux, pour voir Balthier, en train de lui retirer sa veste.

– Hey... B... Bal... Balthier, qu'est-ce que...

– Bah, si je veux désinfecter et bander tes blessure, je dois bien enlever ce qui gêne, non ?

Son sourire ne le rassura pas du tout, et Vaan sentit ses joues rougir. Balthier éclata de rire.

– Mais non ! Ne sois pas timide, Vaan ! Je n'ai pas d'arrière pensées en faisant ça !

Il cessa de rire, et lui fit un sourire. Son visage était si proche du sien, tellement, que Vaan pouvait sentir sa respiration caresser sa joue.

Une fois qu'il eut rassuré Vaan, Balthier l'aida à se remettre sur le dos, puis partit chercher des bandages. Dès qu'il revint, il commença par appliquer une pommade piquante sur la profonde blessure, et puis une autre couche de l'autre côté. Vaan eut les larmes aux yeux à cause de la piqure glaciale de la pommade... mais... les mains qui le caressait était chaudes... et agréables à sentir... « Mais à quoi je pense ? » se demanda le blond.

Mais, aux plus grands regrets de Vaan, les mains finirent par se retirer, pour venir appliquer un bandage serré. L'une d'elle se trouvait entre ses omoplates, pour le maintenir en position assise. Quant à l'autre, elle enroulait le bandage autour de la taille fine et mince du garçon de Rabanastre.

– Au... au faite... où sont les autres ? demanda Vaan.

– En ville. Ils essaient de trouver un médecin, pour te soigner... m'enfin, un plus compétant que moi.

– Je t'assure, que tu es compétant: tu ne m'a pas encore fait mal, dit Vaan.

Aussitôt, il rougit devant le grand sourire de Balthier.

– Content de l'entendre de votre bouche, mon cher patient ! s'esclaffa-t-il.

Après avoir serré les bandages bien comme il faut, le pilote l'aide à se recoucher, puis, défit sa ceinture de toile. Vaan rougit, puis se rappela que Balthier ne voulait que le soigner... et pas forniquer.

Il lui enleva ses grosses bottes, et les envoya dans un coin.

Puis, en même temps que Balthier lui enlevait son jean, Vaan retira ses gants de fer, et les envoya valser sur le sol, avec un léger bruit de métal s'entrechoquant. Il n'était plus qu'en boxer, maintenant. Les joues en feu, il leva les yeux vers Balthier, qui lui fit un sourire en prenant un linge pour désinfecter la coupure de sa cuisse.

Il plaça une de ses mains trop douce sur la cuisse de droite, et, sûrement par inadvertance, la caressa du bout des doigts. Vaan put à peine contenir un gémissement. Ses joues devinrent encore un peu plus rouges, et il ferma durement les yeux, pour chasser ses pensées perverses.

Une fois après avoir fini, encore une fois, Balthier laissa glisser ses doigts le long de la cuisse du blond, qui, cette fois, ne put contenir sa plainte. Balthier eut un petit gloussement, puis, plaça ses deux mains sur les cuisses du blond, qui tentait de se convaincre de toutes les façons possibles de se convaincre que ce qu'il pensait qui allait arriver n'allait pas arriver.

– Eh bien... je ne pensais que ça te plairait à ce point ! dit-il.

Il le releva encore une fois, puis, l'accota au mur, pour ensuite, presser ses lèvres contre les siennes. Vaan eut le réflexe de reculer, mais le mur le bloquait... il ne pouvait pas bouger ! Il ne pouvait pas s'y dérober...

Balthier mordilla sa lèvre inférieure, et Vaan lui laissa l'accès à sa bouche. Balthier en explora chaque recoins avec fougue. Il agrippa les cheveux du blond d'une main, alors que l'autre parcourait déjà le haut du haut du blond – de son blond, dorénavant –, qui échappa un gémissement qui fut étouffé par les lèvres de celui qui serait sous peu son amant.

La main de Balthier qui se trouvait dans son dos descendait toujours plus bas, en faisant attention à ne pas toucher la plaie dans le dos du blond. Il trouva enfin le boxeur, certainement déjà devenu trop petit, et glissa sa main derrière, pour y trouver de petites fesses fermes, qu'il agrippa, puis massa, en écoutant attentivement les gémissement du blond chétif sous lui.

La pensées de Vaan ne pouvaient plus êtres cohérentes... il ne pouvait plus penser... c'était trop... Balthier embrassait tellement bien... et sa main sur ses fesses les caressait doucement, parfois les empoignait...

Balthier délaissa les lèvres du blond essoufflé pour passer à sa nuque, en laissant traîner sa langue sur la joue, puis dans le cou du jeune homme, qui ne put retenir un petit gémissement, qu'il étouffa. Il mordilla la peau sensible, faisant entendre des bruits de la bouche de son amant.

– B... Balthier... grogna Vaan, en tentant de faire une phrase qui tenait debout.

Pour toutes réponses, le brun passa sa langue sur là où le dos de Vaan commençait, pour caresser du bout des lèvres jusqu'au bout de l'épaule, prendre la main du blond, et faire courir ses lèvres sur toute la longueur du bras à la peau douce. Vaan frissonnait sous les caresses de Balthier, sans pouvoir contrôler ses frissons de plaisirs.

Le pilota arriva finalement aux doigts fins du blond. Il prit le plus petit à part, et l'entoura de sa langue, pour le sucer. Vaan ne put retenir un long gémissement et un frisson lui parcouru l'échine. Balthier arrêta ses caresses, et Vaan échappa un grognement de frustration.

– Alors ? Mon cher patient, vous semblez aimer ça !

– Fermez-la, docteur, et continuez ! dit Vaan, encore essoufflé, en se joignant au jeu.

– Vos désirs sont des ordres ! rigola le pilote.

Et il continua à faire la même chose à chaque doigts, pour ensuit laisser la main en retrait, et se concentrer sur le torse dénudé de son blond. Il passa sa langue sur les mamelons durci, puis les mordilla, au grand plaisir de Vaan, qui ne pouvait que gémir de plus en plus fort, croisant le doigts que leurs amis n'arrivent surtout pas à ce moment-là...

Balthier descendit encore, puis, il plaça son autre main sur le bord des fesses de son amant, puis remonta l'autre sur l'élastique, pour tirer le vêtement devenu très gênant. Balthier remit ensuite ses deux mains sur les fesses de son blond, qui rougissait.

Il remonta, pour lui donner un baiser, juste du bout des lèvres, pour immédiatement redescendre vers le membre tendu et gorgé de sang du blond. Il enroula ses doigts alentour, et le caressa, faisant gémir Vaan comme une porte de grange dans le vent d'automne.

Les joues en feu, Vaan n'en pouvait plus lorsque Balthier retira ses doigts, pour placer ses mains sur les hanches de son amant, et baisser la tête, encore, encore, et encore... et pour déposer ses lèvres sur le bout déjà mouillé.

Vaan ne out étouffer un petit cri d'envie, et il rougit aussitôt, se trouvant un peu fifille... Balthier eut à nouveau un petit rire, puis, le pilote ouvrit la bouche, et avala le membre entier.

Le choc thermique fit Vaan se cambrer, et glisser sa main dans les cheveux courts de Balthier, les agrippant comme si sa vie en dépendait. Il haletait comme s'il avait couru un marathon... Balthier savait vraiment s'y prendre !

Sa langue chaude comme de la lave en fusion caressait chaque parcelles de peau, et ses lèvres frottait contre la hampe (NDA: le shaaaaft !! xD). Les mains du bruns glissèrent de ses hanches pour aller saisir ses fesses, et les masser encore une fois. L'une d'elle se retira, pour aller caresser l'intérieur des cuisses bronzées du garçon des rues de Rabanastre, qui perdait tout son souffle en plaintes et en gémissements.

Balthier se mit à baisser la tête de plus en plus vite: la tension dans l'abdomen de Vaan s'intensifia rapidement. Sa respiration s'accélérait en même temps que le rythme infernal que lui imposait Balthier.

Puis, le pirate des aires remonta vers le bout, et il y eut un bruit de succion. Il avait sucé très fort. Tellement, que la tension de Vaan s'échappa en un jet le liquide blanc et crémeux, que Balthier avala presque en entier, en se délectant du bon goût du garçon.

– Mmmh... fit-il baisant la tête encore plus bas, pour lécher le reste du liquide.

Vaan était complètement rouge. Il venait de venir dans la bouche... d'un mec. C'était... spécial, mais cette sensation avait été tellement douce et excitante !

Balthier remonta, pour embrasser Vaan, qui pu goûter le goût salé, qu'il identifia comme ce qui était sorti de son membre... un goût un peu étrange, mais bon.

Balthier commença à défaire sa ceinture, puis abaissa son pantalon, et puis – presque en les déchirant –, baissa ses boxeurs, dévoilant un sexe de... de... de pirate, justement !

Vaan le regarda presque avec terreur. Cette chose énorme allait le sodomiser ? Si jamais elle le faisait rentrer dans le mur avec autant de rudesse que le pilote combattait, il était bon pour quelques semaines de plus alité ! Balthier remarqua son trouble, et le rassura:

– Ne t'inquiète pas. Je serais aussi doux que lorsque j'ai posé tes bandages.

– Vraiment ?

– Vraiment, lui assura Balthier.

Vaan s'agrippa aux épaules de son amant, qui lui remonta les jambes avec ses mains, en le prenant par les fesses. Vaan enroula ses jambes élancées et musclées à la taille du pirate des airs. Le brun commença ensuite par entrer lentement en le chétif blond, qui ne put que gémir et se mordre la lèvre inférieur. Balthier s'arrêta lorsqu'il fut complètement entré, pour attendre que les muscles de son blond s'ajustent à sa taille. Il le rassura, en lui disant qu'il serait très doux, et irait lentement, pour éviter que ses plaies ne s'aggravent. Une fois rassuré, le blond était complètement ajusté à la taille imposante de son amant. Maintenant, il se livrerait au péché d'amour: et avec tout le plaisir qui allait avec...

Balthier commença à bouger. Vaan serra ses dents contre sa lèvre, en gémissant de douleur. Il sortit presque complètement, avec une lenteur lancinante, lascif, puis renfonça. Et il recommença, avant d'accélérer un peu la cadence...

Les gémissements de douleur de Vaan ne tardèrent pas à devenir des plaintes de plaisir. Le visage de Balthier rencontra les lèvres de Vaan. Il y frotta sa joue, puis laissa leurs lèvres se prendre à nouveau, et leur langue engagèrent un combat pour la dominance.

Le pilote commença à masser les fesses tendues du blonds, qui ne tarda pas à ne plus pouvoir faire que gémir comme une porte qui grince.

Et enfin, lorsque la volupté fut à son comble, Vaan se relâcha partout sur eux avec un petit cri et Balthier, quelques coups de bassins plus tard, se déversa en lui avec un grognement animal. Vaan sentit un drôle de sensation de chaleur en lui... une chaleur apaisante...

Balthier le déposa sur le lit, avec une délicatesse qu'il ne lui connaissait pas. Le pilote farfouilla ensuite dans une armoire, et se changea à une tenue un peu plus simple, et lui lança quelques vêtements, avant de revenir vers lui avec de nouveaux draps.

Il l'aida affectueusement à s'habiller, puis, le fit s'asseoir un instant sur la chaise près du lit, pour changer les draps sales. Il l'aida ensuite à se réinstaller, puis, s'assit sur la chaise, et lui glissa un regard tendre. Vaan lui en rendit un identique, et approcha sa main du bord du lit.

Les mots sont inutiles, pour dire à ceux qu'on aime qu'on les aime.

Tout passe par le regard.

Balthier la prit, et la serra doucement. Le moment ne dura pas longtemps, car les autres arrivèrent à grand bruit. Ils retirèrent immédiatement leurs mains, et Pénélo arriva en courant, et se jeta presque à son cou, en renversant presque le pilote.

– Oh ! Vaanille ! Tu vas bien !

Il lui répondit par un sourire. Il tourna ensuite la tête, et en adressa un radieux à Balthier, et dit:

– Tout ça grâce à notre cher pilote !

Balthier lui répondit par un large sourire.