sDisclaimer : Rien ne m'appartient, je ne me fais pas d'argent sur cette fanfiction.
Note de l'auteur : Hello Hello ! Je vous présentes ma toutes nouvelles fanfiction AU Clexa ! Comme vous l'aurez vu dans le résumé, l'histoire sa passe de notre temps, dans une société assez aisé. Je dois quand même vous prévenir que je ne mets pas la fiction en M pour rien. Il y aura des scènes de violence ( physiques comme verbales ) ainsi que des thèmes assez tabou ( notament la violence conjugale ainsi que le viol ). Ceci n'est que le premier chapitre sur quatre ! L'histoire est déjà écrite et je publierais un chapitre tout les jours. Bon, j'arrête de parler, je vous laisses découvrir ! Enjoy ;)
PS1 : Désolé si il y a encore des fautes, mais je fais de mon mieux :3
PS2 : Le prochain chapitre sera beaucoup plus long ;)
Chapitre 1 : Mise en place de l'histoire
Plongée dans le noir, la simple lueur de la télévision allumée pour m'éclairer, fixant l'horloge d'un regard vide, je me remémorais cette fameuse conversation qui a fait basculer ma vie tout entière.
~ Quelques mois plus tôt ~
- Tu es l'héritière de la famille Griffin, Clarke ! Tu te dois d'épouser un homme riche et beau afin de perpétuer la lignée des Griffin ! L'héritier Blake fera très bien l'affaire. Il a vingt-trois ans tout comme toi et je suis sûr qu'il sera un mari aimant et un gendre idéal, argumenta ma mère d'une voix froide et posée.
- Quand est-ce que tu comprendras que je n'ai pas de sentiments pour Bellamy ? C'est le frère d'Octavia, ma meilleure amie si tu l'avais oublié ! Je ne le connais presque pas ! M'injuriais-je de dégoût en défiant ma mère du regard.
- Tu feras ce que je te dirais de faire, jeune femme. Notre famille a toujours conserver cette descendance noble, tu ne vas pas la briser maintenant, la lignée des Griffin doit être préservée, cracha ma mère d'une voix glaciale.
Je savais que la discussion était close pour elle, qu'elle ne reviendrait jamais plus sur sa décision. Je serrais alors les poings de rage, les larmes aux bords des yeux, plongeant mon océan glacial dans la terre des siens.
- Comme vous voudrez, Mère, mais mon père n'aurait jamais approuvé une telle chose, murmurais-je tout bas avec un certain sourire mesquin avant de claquer la porte du manoir familial.
~ Présent ~
Voilà comment je me suis retrouvé à avoir Bellamy Blake comme compagnon. Certes, au début, il était gentil, doux, compréhensif et aimant, mais plus les jours passer et plus il me montrait son véritable visage. Le gentil homme que je connaissais depuis quelques mois était devenu mon pire cauchemar. Tout avait commencé alors que nous étions à la plage, un soir d'été. Nous faisions la fête et il avait beaucoup bu avec ses amis. Mon enfer commença à la minute où il m'a vu rendre un sourire à un jeune homme en simple signe de politesse. Le soir, quand nous sommes rentrés, j'ai vécu la pire soirée de ma vie, suivis par beaucoup d'autres. De rage et complètement ivre, il avait commencé à me frapper, toujours à des endroits stratégiques tels que les épaules, le dos, les cuisses et la taille afin qu'on ne remarque rien.
Une fois ma torture terminée, il m'avait pris par la gorge, la serrant de plus en plus avant de plaquer violemment ses lèvres aux miennes sans retenu. Je ne savais pas quoi faire et il était bien plus fort physiquement que moi. Je sentais son genou écarté mes cuisses, s'appuyant contre mon intimité sans douceur. Il se retira ensuite de ma bouche, relevant ma robe, baissant ma culotte, me prenant par les cheveux avant de me plaquer contre la table du salon, mon dos rencontrant durement le bois de celle-ci. Les larmes tombèrent de mes yeux tandis que je vis un appétit malsain dans son regard.
- Je vais te faire couiner comme la sale chienne que tu es. Tu m'appartiens, Clarke, avait-il dit juste avant de s'infiltrer en moi sauvagement, déchirant mon hymen avec une telle hargne que j'en avais hurlé de douleur.
Tout en profitant de ma personne, il m'insultait et me rabaissait, cela le faisait vibrer et je pouvais le sentir en moi de plus en plus profondément. Cela dura presque toute la nuit, dans presque toutes les pièces de notre maison, devenue ma prison. Il faisait tout pour me faire sentir comme une moins-que-rien, allant jusqu'à me jeter au sol comme un déchet.
Cela continua encore plusieurs mois jusqu'à ce matin. Alors qu'il allait de nouveau me mettre des coups, il reçut un appel venant de son entreprise. Dix minutes passées au téléphone, il revint vers moi, me prenant par les cheveux avant de me plaquer contre l'évier de la cuisine.
- Je vais devoir m'absenter pendant cinq mois au Japon. Tu ne fais pas de bêtise, hein Clarke ? Sourit-il comme un pervers alors que j'avais envie de vomir.
Je lui répondis par un signe de tête négatif tandis qu'il gémit presque de son pouvoir sur moi.
- Je pars ce soir. Bien sûr, je vais accomplir mon devoir conjugal avant, ricana-t-il d'un air mauvais avant de me déshabiller et de baisser son pantalon.
J'avais alors fermé les yeux pour ne pas pleurer de nouveau sous l'intrusion de son membre en moi. Ce n'était peut-être pas la première fois qu'il abuser de moi, mais à chaque fois, c'était comme si c'était le cas. Ne trouvant aucune limite à sa cruauté, il m'avait giflé à plusieurs fois avec un sourire satisfait avant de griffer jusqu'au sang mon ventre et mes cuisses, se retirant ensuite avant de me faire agenouiller devant lui. Cela dura plusieurs heures jusqu'à son départ. Je ne pouvais même pas être heureuse de se départ puisque je savais qu'à son retour, mon cauchemar recommencerait.
~ ~ ~ CLEXA
Me voilà donc recroquevillé sur mon canapé, observant la télévision sans vraiment la voir. Les larmes que je retenais depuis le début de la journée tombèrent en torrent sur mes joues tandis que je m'allongeais sur mon canapé, étouffant mes cris de douleur et de désespoir dans un cousin avant de m'endormir, priant pour que mon enfer cesse.
Je me relevais en sursaut alors que l'on venait de sonner à ma porte, je fronçais les sourcils, essayant de me réveiller et vis qu'il était à peine huit heures du matin. J'enfilai donc mes pantoufles avant de me diriger vers la porte d'entrée. Je soufflais un coup, essayant de me donner du courage avant d'installer un faux sourire sur mon visage et d'ouvrir la porte de ma prison. Je vis soudainement un jeune homme plutôt grand et le crâne chauve sur le pas de ma porte. Il avait une carrure imposante tandis que je pus découvrir des tatouages sur son bras et sur son visage.
- Euh… Je crois que je me suis trompé de maison, dit-il avec un petit sourire d'excuse.
Je ne réagis pas de suite, surprise de sa voix forte, mais particulièrement chaleureuse. J'eus un petit sourire, qui se dissimula vite par une expression neutre. J'allais lui répondre quand une douce voix m'en empêcha sous le regard désolé du grand colosse.
- Lincoln, c'est à côté, se révéla alors une jeune femme brune, venant se poser à côté du dénommé Lincoln.
Le géant observa la femme avant de me regarder en rougissant. Il se gratta l'arrière du crâne en s'excusant à nouveau et se dirigea vers la maison à droite de la nôtre.
- Je suis vraiment désolé pour le comportement de mon frère, il ne voulait pas vous déranger, sourit-elle ensuite en plongeant pour la première fois ses émeraudes dans mon océan.
Sans que je comprenne pourquoi, elle rougit avant de me sourire sincèrement. Cela me surprit, si bien que j'eut du mal à garder une expression neutre. Je l'observais de haut en bas alors qu'elle faisait de même à mon insu. Elle portait une chemise de couleur unie bordeaux, un jean slim qui épouser parfaitement ses formes ainsi qu'une paire de baskets noire ornées de motifs dorés. Sa chevelure était typée et possédait des tresses tribales qui ajouter un certain charme à la jeune femme. À l'instant où je plongeais mes yeux dans les siens, un sourire timide, mais authentique se dessina sur ses lèvres roses et charnues.
- Lexa Woods, m'apprit-elle en me tendant la main.
- Clarke Griffin, enchantée, répondis-je en la lui serrant, partageant son sourire. Je vous offre un café ou autre chose ? Ne pus-je m'empêcher de lui demander en déliant ma main de la sienne.
- Lincoln a besoin de moi pour l'emménagement, mais je pense que ça ira s'il se passe de mon aide le temps d'un café, ricana Lexa en avançant dans mon salon alors que je m'étais effacé pour la laisser entrer.
Je refermai la porte derrière nous, m'adossant à celle-ci en observant un peu plus Lexa. Elle était vraiment belle. J'écarquillais les yeux à mes pensées et l'image de Bellamy s'insinua à mon esprit, me faisant frissonner de dégoût et de peur. Je réussis, selon moi, à le cacher à mon invité. Je repris donc mes esprits, adressant un sourire rassurant à la jeune femme qui venait de poser à nouveau son regard sur moi. Je la guidais dans l'habitacle, me rendant dans la cuisine alors qu'elle me suivait de très près. Je pouvais même sentir la chaleur réconfortante de son corps dans mon dos. Je souris en coin à cette constatation en entrant dans la cuisine, réprimant un frisson, me rappelant des évènements que m'avait fait subir Bellamy quelques heures plus tôt. Faisant comme si de rien n'était, je l'invitais à s'asseoir sur une des chaises du bar. Tandis qu'elle s'installait confortablement, je sortis du frigo ce qu'il me fallait pour pouvoir réaliser les boissons.
- C'est une très belle maison que vous avez là, Clarke, murmura-t-elle alors que je pouvais sentir son regard brûlant sur moi.
- En effet, la maison idéale, ne pus-je m'empêcher de répondre avec de l'amertume dans la voix. Si tu le veux bien, Lexa, pas la peine de me vouvoyer, cela me rappelle trop ma mère et ses manières. Après tout nous devons avoir le même âge, essayais-je de rire en me tournant vers elle, une bière à la main.
Elle fixa la boisson pour ensuite me regarder, un sourire tendre sur le visage.
- Comment tu as deviné que je préférais la bière ? Me questionna-t-elle en prenant la boisson avant d'en boire une gorgée.
- Instinct féminin, souris-je malicieusement avant de faire comme elle, grimaçant au goût de ma boisson.
- Tu n'as pas l'habitude de recevoir du monde, ni de boire de la bière. Je me trompe ? Distingua-t-elle en me fixant étrangement.
- Pas vraiment, non. Comment dire... Mon concubin est très possessif, lui répondis-je évasivement, le regard ailleurs.
Elle ne répondit pas, avalant de nouveau une gorgée de bière puis une autre. Je tournais mon regard vers l'extérieur, voyant la grande piscine par la fenêtre de la cuisine. Le vent faisait s'envoler quelques feuilles du sol qui terminèrent leur course dans le ciel.
- Je voudrais tellement pouvoir être libre, pouvoir m'envoler et ne rien regretter, soufflais-je doucement sans m'en rendre compte.
- Tu n'es pas heureuse ici, cela est flagrant. Si tu le voulais, tu pourrais être libre, Clarke, me répondit-elle sous mon regard choquée.
Avant que je ne puisse répondre, elle se leva de sa place et se dirigea vers le salon. Je la suivis du regard avant de la rejoindre devant la porte d'entrée. Elle se retourna, m'offrit un merveilleux sourire avant de s'avancer vers moi, posant ses lèvres sur ma joue dans un baiser doux. Mes joues s'enflammèrent à cette action alors qu'elle se retira, souriant simplement. Reprenant mes esprits en la voyant ouvrir ma porte d'entrée, je lui rendis son sourire.
- Si tu veux venir me rendre visite, tu sais où j'habite. Pour répondre à ta question indirecte, j'ai vingt-cinq ans, souffla-t-elle malicieusement avant de sortir de ma maison et de prendre le chemin de la sienne, faisant de grands signes à son frère.
Mon regard ne la lâcha pas tout le long du chemin entre nos maisons, si bien qu'elle se tournât un moment vers moi, se sentant sans doute observer. Elle m'offrit de nouveau un sourire et disparut de ma vue. Je soufflais, restant un instant début devant mon perron avant de retourner dans ma prison.
Voilà Voilà ! Alors votre verdict ? Dites moi tout en review ;)
Prochain chapitre : Moment Clexa !
On se retrouve demain pour le deuxième chapitre ;)
Kissous le Clexakru :*
