Là-haut, loin dans le plus haut gratte-ciel, se trouve un bureau de 100m², où se travaille l'une des plus grandes puissances de Manhattan, il est seulement âgé de 25 ans et c'est l'un des plus riche du monde. Vous savez comment il a atteint ce titre ? Il l'a atteint en bâtissant son propre empire immobilier. Cet homme a la plus grosse partie de Manhattan, il a des complexes immobiliers dans le monde entier. Les plus riches logent dans ses maisons, lui demandent des résidences, des idées d'habitations, lui demandent également d'innover pour être à part des autres.

Cet homme est le plus courageux et le plus stratégique, il sait mettre tout le monde dans sa poche avec son charisme, sa beauté. Il a de grands atouts avec lesquels il joue pour être le meilleur. Oui oui, Edward Cullen, c'est bien lui, tout homme de Manhattan rêve de devenir comme cet idéal au masculin. Monsieur Cullen le sait très bien et il a un égo surdimensionné, depuis qu'il a atteint les sommets de la richesse, notre bel homme a pris la grosse tête. Fêtes arrosées, drogue, minettes, etc. sont à son palmarès ... Il s'en contre fout de voir sa tête sur divers magazines people, non, lui tout ce qui l'importe ce sont les filles et son argent !

Mais pour ma part, je suis sûre que quand ce bel homme trouvera sa perle rare, il changera du tout au tout, je peux vous le garantir. En ce moment, le beau Cullen ferait des ménages à plusieurs, qu'avec des filles bien entendu, vivement qu'une midinette qui emballera son cœur pointe le bout de son nez, car Edward Cullen commence à dégringoler. Edward Cullen était posté devant l'immense fenêtre de son bureau, il était en train de regarder son empire qui est Manhattan, son prochain projet était d'avoir la totalité de Manhattan, il allait y arriver, il le savait, il n'avait jamais échoué alors pourquoi échouerait-il maintenant ? Il songeait à sa vie, tout ce qu'il avait accompli et à toutes les filles qu'il avait mises dans son lit. La seule chose qui l'exaspérait, c'était les filles qui couchaient avec lui seulement par profit.

Il s'asseyait sur sa chaise, se prenait un verre de scotch comme à son habitude, puis il appela sa secrétaire.

- « Fallone, peux-tu venir dans mon bureau s'il te plaît ! »
- « J'arrive tout de suite, Monsieur Cullen. »

Il attendit quelques instants en regardant sur son BlackBerry, tous les e-mails qu'il recevait pour diverses raisons, pour le boulot, les rencards, les problèmes de construction. La secrétaire entra enfin, vêtue d'un tailleur cintré noire, elle se mit près de son bureau, le regarda avec envie, toutes les filles le regardaient comme ça, comme si il était nu et qu'elles voulaient le dévorer et coucher avec tant de bestialité. Il lui lança un sourire en coin qui les faisait toutes tomber à ses pieds.

- « Que puis-je faire pour vous, patron ? » dit-elle d'une voix mélodieuse.

Il la regarda en souriant.

- « Montre-moi les dossiers pour le projet à San Francisco »

Elle se mit en face de son bureau, posa la masse de dossiers en face de lui, il leva les yeux vers elle et son regard tomba dans son décolleté, il sourit intérieurement en pensant : « J'aime tellement les secrétaires si bien dessinées. ». Il se leva, elle ne bougea pas d'un poil, il se mit derrière elle en posant son torse contre son dos et en plaquant ses mains de part et d'autre de ses fesses sur le rebord de son bureau pour la bloquer, puis il plaça ses lèvres près de son oreille.

- « Tu fais un si beau travail, tu es un de mes atouts que je ne voudrais jamais perdre, Fallone » Susurra-t-il à son oreille..

Il sentit le bassin de sa secrétaire se presser contre le sien.

- « J'ai d'autres atouts qui vous plaisent je crois, patron. »
- « Lesquels ? »
Dit-il en mordillant son oreille, doucement.

.Elle gémissait rien qu'en sentant ses dents sur son lobe, elle ravala difficilement salive. Edward glissa sa main au creux de son genou, il remonta délicatement sa main en dessous de sa jupe crayon, en caressant sa cuisse, sa jupe remonta doucement vers sa taille. L'atmosphère était si électrique dans le bureau.

- « Fallone aurait-elle perdu sa divine langue ? »

Il remonta la jupe à sa taille avec son autre main, sa main sur la cuisse continua son chemin et elle se dirigea vers l'antre de la secrétaire, il introduisit sa main dans le string et il commença à caresser ses lèvres intimes du bout de ses doigts. La secrétaire allait défaillir, elle se mordit la lèvre inférieure tellement qu'elle aimait les caresses de cette manière.

Ensuite, il voulait se soulager, il voulait la prendre violement sur son bureau. Il arracha son string, Fallone eut un choc et elle fut surprise par son geste, elle était complètement excitée, il la retourna et la porta en l'asseyant sur son bureau. La secrétaire déboucla sa ceinture en le regardant dans les yeux et en passant sa langue sur ses lèvres avec envie. Elle abaissa son pantalon et son boxer rapidement, il la regarda faire en souriant au coin des lèvres, elle passa sa main sur sa longueur, puis elle se pencha et elle embrassa son gland doucement. Il retira sa tête et il la redressa, il enroula les jambes de la secrétaire autour de son bassin et il la pénétra d'un coup de rein si puissant qu'elle rejeta sa tête en arrière en gémissant sous le choc de la pénétration.

- « Monsieur Cullen ! »

Elle s'accrocha à ses épaules, Edward lui, commença à lui donner des coups de reins violents et durs, il prenait du plaisir à buter en elle avec tant de force et tant de rapidité, il aimait tant glisser profondément en elle et si vite. La secrétaire n'émettait que des gémissements, sa respiration ne faisait qu'accélérer sous les assauts de son patron. Edward gémissait de plus en plus, il glissa ses mains dans les cheveux de Fallone, il buta si durement au plus profond de son être. Fallone évita de crier de plaisir de peur de mettre au courant tout l'étage de leur ébat.

- « Mmh, continuez Monsieur Cullen. »

Elle soupira d'aise entre ses lèvres, elle était en sueur, elle se sentait tellement proche. Lui, il était aussi proche, il la martelait de coups de rein puissants, il glissa son doigt à son paquet de nerfs, il le pinça durement en butant contre son centre. Elle vint soudainement sur sa verge, il ne fallut pas longtemps pour qu'Edward atteigne son apogée et venant en elle en plusieurs fois. Elle cria son orgasme, elle en fut essoufflée.

- « OH MON DIEU ! »

Elle retomba violemment contre le bureau, Edward caressa son corps et il sortit doucement d'elle, il frotta son entre cuisse à l'aide d'un kleenex qui se trouvait sur son bureau en chêne et il se rhabilla après l'avoir essuyée, jusqu'à la dernière goutte de son jus. Il était content d'avoir pu enfin prendre son pied et d'avoir fait plaisir à sa secrétaire qu'il appréciait tant. Fallone se redressa et se remit debout, elle remit ses cheveux en place et ainsi que son tailleur.

- « Merci, monsieur »

Elle sortit du bureau en le gratifiant d'un sourire. Edward lui, reprit sa place comme si de rien n'était, il regarda ses dossiers, il ne vit pas le temps passer, il lisait ses dizaines de dossiers en buvant son verre de scotch. Il reçut un appel de sa secrétaire.

- « Votre frère Anthony est là, est-ce que je le fais entrer ? »
- « Oui, faites le entrer »

Edward soupira, il adorait son frère mais il avait toujours des propos blessants envers lui et ça l'énervait. Anthony arriva et il ouvrit la porte d'une manière désinvolte, il fit un sourire à son frère. Edward et Anthony sont des frères jumeaux, Edward est le plus vieux de quelques minutes. Il y a très peu de différence entres les deux frères, ils ont quasi le même caractère, le même style vestimentaire en dehors du boulot. Sauf que Anthony était quelqu'un de très posé, il ne s'amusait pas avec les filles comme son cher frère le faisait au quotidien. Edward regarda Anthony.

- « Que me vaut ta visite ? »
- « Dis, t'a couché avec ta secrétaire ? Elle a un sourire niais plaqué sur son visage... »

Il dit ça en se laissant tomber dans le siège en face de lui et en lui souriant. Il lui rendit son sourire.

- « C'est pas la première fois que je la prends sur le bureau, ça te pose un problème ? »
- « Ta secrétaire Edward, ça ne va pas créer un froid entre vous ? »
- « Non ne t'inquiète pas, c'est très chaud entre nous. »
dit-il d'un sourire narquois.

Anthony prit une cigarette et l'alluma devant son frère, Edward sortit un paquet de billets de son bureau et les mit dans une enveloppe. Anthony regardait l'argent avec des étoiles dans les yeux.

- « Ah mais il ne fallait pas mon cher grand frère ! » Dit-il en riant.
- « Fait pas l'idiot ! » Dit Edward énervé.

Anthony se tut en entendant son frère énervé, il ne savait pas quoi dire, il savait très bien à qui était destiné cet argent. Anthony soupira en repensant à tout ça, il regardait Edward avec tristesse.

- « Tu ne devrais pas donner autant d'argent, il est juste en cure, Edward »
- « Je veux qu'il aille mieux, tu peux comprendre ça ? Notre grand frère a failli crever, je donnerais n'importe quelle somme pour qu'il aille mieux Anthony ! »

Edward était énervé, il voulait le meilleur pour son frère. Il sortit une cigarette et l'alluma avec haine, Anthony ne pipait mot, lui aussi voulait le meilleur pour Emmett. Edward se leva et se dirigea vers sa fenêtre, des larmes silencieuses coulaient sur ses joues tellement c'était dur pour lui de savoir son frère dans cet état. Anthony se leva et se plaça aux cotés de son frère, il posa une main sur l'épaule d'Edward, un geste qui signifiait qu'il était là s'il avait besoin de parler. Edward regarda son frère et Anthony l'enlaça d'une manière fraternelle, puis tapa dans son dos.

- « Tu n'y es pour rien Edward, il était dans ton hôtel avec de la cocaïne et tu l'as trouvé, il te doit la vie, si tu ne l'avais pas retrouvé à temps, il serait mort. »
- « C'est moi qui l'ai retrouvé dans cette chambre, mais c'est moi qui l'ai aussi initié à la drogue, je ne pensais pas qu'il en deviendrait accro à ce point là. »
- « Tu es un frère formidable, ne remets pas tout sur ton dos comme ça, Emmett est âgé, il a pété les plombs, sa perte d'emploi puis son divorce, tu sais comment il est, il est tellement émotif et sensible derrière sa carrure imposante. »

Anthony souriait en repensant à son frère. Combien de fois Emmett les avait-il défendus au lycée ? Il était un grand frère si protecteur et à l'écoute du moindre souci... Edward essayait de faire le vide, de ne plus penser à cette soirée, il murmura un « Merci » à son frère et il se décala de lui en tapotant son dos.

- « Maman s'inquiète pour toi, Edward »

Anthony savait que c'était un sujet à éviter mais il essayait de résonner son frère, il le devait pour le bien de leur famille. Edward le regarda en s'appuyant contre la vitre de son bureau.

- « Neuf années ont passé depuis que je ne leur parle plus, je m'en porte très bien, Anthony. »
- « Maman a besoin de te voir et de te serrer dans ses bras, elle a besoin de toi bordel ! »

Anthony s'énervait toujours quand Edward ne pensait qu'à lui.

- « Pourquoi ne vient-elle pas me voir alors ? pourquoi ? Elle n'essaye pas de me parler, de prendre de mes nouvelles, c'est elle et lui qui m'ont rejeté, car je changeais et que je n'étais plus le même. Ils devaient être là pour moi et ils n'en avaient que faire ! Je suis orphelin depuis neuf ans, je n'y changerai rien. » se radoucit-il en terminant son verre de scotch.

Son frère le regardait, il en avait souffert pendant son adolescence, ses parents avaient peur et ils n'assumaient pas ce qu'Edward était devenu, ils l'ont donc mis dehors, Edward ne leur pardonnera jamais cet acte.

- « Viens voir Emmett alors, fais ça pour lui. » dit Anthony pour encourager son frère à faire un premier pas.
- « Je ne veux pas voir Esmé et Carlisle. »
- « Très bien, je remettrais le bonjour à Emmett de ta part, comme d'habitude. »
- « Merci »
, Dit Edward en souriant et en terminant sa cigarette.

Anthony prit l'enveloppe et il salua son frère en sortant du bureau. Edward crispa ses deux mains dans ses cheveux, il devait résister à ses parents, il ne voulait pas flancher, c'était à eux de s'excuser et non à lui. C'était lui qui avait été abandonné et qui avait dû reconstruire sa vie avec ses économies, et il s'en était sorti. Il ne devait rien à ses parents et il ne leur donnera jamais rien, même pas un pardon ni un sourire.

Edward mit sa veste, il prit son porte document et il partait comme à son habitude dans un bar, le bar se nommait : Au crépuscule. Chaque jour vers seize heures, il prenait place dans un coin près d'un aquarium. Il commandait un martini blanc avec deux glaçons, il ouvrait son Mac et il commençait à régler ses comptes. Il regardait les filles aux alentours de lui, il remarqua une fille qu'il n'avait jamais vue dans le bar, elle était pensive, elle buvait sûrement une vodka. Ses jambes étaient croisées, il voyait la naissance de ses cuisses grâce à sa jupe noire, il remarqua aussi sa taille fine qui était dessinée par son chemisier blanc, il pouvait aussi apercevoir en la regardant bien qu'elle portait un carcan noir en dentelle, sa chevelure brune qui tombait en cascade sur ses épaules. Elle ne tourna pas son regard vers lui, Edward la matait sans aucune gêne, il la voulait absolument et il l'aurait ! Qui résiste à Edward Cullen ? Personne, aucune fille ne lui résiste, il appela la serveuse en souriant en coin. La serveuse se pencha pour mettre ses atouts en valeur, Edward lui fit un clin d'œil.

- « Hélène, beauté, peux tu me rendre un service ? » Dit-il en souriant en coin.

Elle sourit de manière aguicheuse, elle pensait qu'il allait encore la prendre dans la cave du bar, mais elle se trompait complètement.

- « Tout ce que vous voudrez Mr Cullen. »

Elle glissa une main sur son épaule en frottant son mollet contre sa jambe. Il souriait intérieurement car elle pensait prendre cher ce soir, mais c'était faux, elle se trompait sur toute la ligne. Il voulait absolument la jolie brune, c'était sa nouvelle cible. Il rapprocha son oreille près de celle d'Hélène et lui chuchota.

- « Pas ce soir, beauté. Je suis crevé. »

Hélène se décala honteuse d'essayer de le chauffer. Il lui sourit.

- « Donne le même verre à cette délicieuse créature qui est toute seule au bar. »

La serveuse lança son regard vers la fille, son regard était rempli de venin, elle avait des envies de meurtres.

- « Bien sûr, Mr Cullen. »

Elle sourit faussement et elle se dirigea vers la fille qu'elle détestait déjà, elle lui servit une vodka et le lui donna.

- « Tiens, c'est le gars du fond qui te le paye. »

Hélène murmura un « Conasse » d'une voix à peine audible. La jolie brune la regarda.

- « Nan mais pour qui tu te prends ! »
- « Hé, calme toi, je t'ai rien fait. »
dit Hélène comme si de rien n'était.

La belle se retourna et elle regarda l'homme qui lui avait payé un verre. Edward la regarda en lui jetant un sourire charmeur. Elle le dévisagea et elle enfouit son regard dans les yeux émeraudes d'Edward, elle rougit en sentant son regard se poser sur elle. Elle ne savait pas ce qui lui prenait, elle but cul sec sa vodka et elle regarda la serveuse.

- « Il fait cet effet à toutes les filles ? » Demanda-t-elle à la serveuse.
- « J'en ai bien peur. » Soupira-t-elle en essuyant des verres.

La jolie brune se leva de son tabouret et elle passa devant lui pour se diriger vers les toilettes, elle lui offrit un sourire enjôleur et elle marcha d'une manière gracieuse pour le rendre fou. Il la regarda avec envie, dès qu'elle fût partie, il replongea dans ses dossiers en essayant de faire disparaitre les pensées impures de son esprit.

Il recommanda un martini, il regardait dehors par la fenêtre au fond du bar comme à son habitude, il regardait les femmes qui se promenaient en ville, puis ses pensées se dirigèrent vers autre chose, il se demandait ce qu'il allait faire ce soir. Il leva enfin son regard de la fenêtre et replongea dans ses dossiers, puis il sentit une présence près de lui, c'était la jolie créature du bar, elle glissa un petit papier sur sa table avec un billet de 20 dollars. Il le déplia en souriant, puis commença à lire.

Il en faut beaucoup plus pour m'impressionner,
je ne te dirais pas, comment, à toi de trouver.
Je te donne une petite aide.
555-7657
xoxo, une inconnue.

Un sourire naquit sur ses lèvres, il releva la tête pour la trouver du regard, mais elle s'était déjà envolée. Edward était déterminé, il voulait absolument se faire cette fille aux yeux chocolats. Il laissa un billet de 100 $, le restant sera compté comme pourboire. Il prit ses affaires il sortit sans dire au-revoir à Hélène, ce qui brisa le cœur de la jeune serveuse.

Il hésitait à l'appeler, il ne voulait pas faire le gars accro. Il se dirigea vers son Audi R8 noire, monta à l'intérieur, il prit son BlackBerry, il le fit quand même, il composa son numéro et porta son cellulaire à son oreille, ça sonna, puis après deux tonalités, on décrocha.

- « Allo. » Dit-elle d'une voix si douce.
- « Laisser son numéro à un parfait inconnu, il faut être sûr de soi et avoir confiance. »
- « J'aime tenter de nouvelles expériences, et puis vous n'êtes pas si inconnu que vous le pensez. »

Il l'entendit rire, Edward lui, souriait, il démarra son véhicule. Il mit son oreillette et recommença à parler.

- « D'où vous me connaissez, Mademoiselle ? »
- « Du bar, vous m'avez offert un verre. »
- « Je vous offre une merveilleuse soirée avec un semi inconnu, je vous dis vingt et une heure au Luxe's, vous acceptez ? »

Elle mit un petit laps de temps à répondre.

- « Vous avez de la chance, je suis dans mon meilleur jour, je serai là. Au revoir, semi inconnu. »

Elle raccrocha et il fit de même, Edward avait le sourire aux lèvres. Il l'aurait sa partie de jambe en l'air et il en était tout émoustillé.

Edward se dirigea vers l'appartement de sa sœur, il fallait qu'elle lui trouve une tenue pour ce soir. Il acheta une boîte de pralines dont elle raffolait, un bouquet de lisses blanches, puis toqua à sa porte en plaquant un sourire dont elle ne pouvait pas résister. Les pas se précipitaient dans l'appartement, elle ouvrit en petite tenue affriolante, des dessous en dentelles roses fuchsias, signés par Victoria Secret. Puis Alice en se rendant compte qu'il s'agissait de son frère, resta ébahie devant la porte, avant de se ressaisir en s'énervant et en s'enfuyant dans l'appartement à la recherche d'un peignoir.

- « BON SANG ! Edward, tu ne sais pas m'envoyer un texto avant d'émerger chez moi ? J'attends quelqu'un, moi. »

Edward lui, était là, planté devant la porte en laissant tomber les pralines et les fleurs par terre, il secoua sa tête pour que les images de sa sœur s'effacent dans l'immédiat.

- « Bordel, Alice, mais pour qui es-tu habillée de cette manière ? » Demanda-t-il complètement sous le choc.

Alice le regardait ne sachant que dire.

- « Pour... pour personne ! De quoi je me mêle hein ! »

Elle le fixait avec des yeux meurtriers, Edward évita son regard.

- « Ne me regarde pas ainsi, veux-tu ? Et de toute manière, j'ai besoin des talents de ma petite sœur, si elle veut bien m'aider. » dit-il en ramassant sa boîte de pralines et ses fleurs.

Elle le regarda en souriant.

- « T'as ramené ce que j'aime en échange ? » Dit-elle avec des yeux plein de malice.

Il lui sourit et il déposa la boîte de pralines et le bouquet de fleurs à 100 $. Il la regarda avec un immense sourire.

- « Alice, il me faut des vêtements classes qui me mettent en valeur, style relax, je compte mettre mes Ray-Ban noires. »

Elle le regarda en riant, elle savait très bien pourquoi il voulait se mettre en valeur. Alice n'aimait pas trop qu'il joue avec toutes ses filles, un de ses quatre, ça va lui retomber dessus et il s'en mordra les doigts, pensa-t-elle.

- « J'ai reçu la collection de printemps pour hommes, je ne l'ai pas encore mise à l'étalage. »

Elle descendit à la cave qu'elle avait aménagée en dépôt pour son magasin de vêtements, Edward la suivit et il se mit debout en face du miroir, il sourit en se voyant.

- « Un vrai Dieu, tu ne trouves pas ? » Fit-il en éclatant de rire.
- « Tu ne changeras donc jamais, puis tu sais, la beauté c'est de famille. »
- « N'abuse pas, je suis le mieux réussi. »
Dit-il d'une manière angélique.

Elle s'approcha d'Edward, elle lui montra un T-shirt blanc et un jeans bleu foncé un peu délavé.

- « Tu mets ça avec des chaussures très classes noires et tu prends une veste en cuir noire, plus tes Ray-Ban, tu vas en faire craquer, frérot ! Maintenant grouille toi de te barrer, j'ai un homme qui vient. »

Elle plaqua les affaires dans les bras de son frère et le poussa vers la porte qui menait vers l'extérieur.

- « Je te jure, s'il te fait du mal, att.. »

Elle coupa Edward en souriant.

- « Tu n'es pas le seul à aimer les coups d'un soir, grand frère, bye bye. »

Elle ferma la porte et elle éteignit les lumières. Edward fut encore ahuri, sa petite sœur insignifiante de 21 ans se faisait des mecs pour le plaisir.

- « He beh, merde ! »

Il essaya de penser à autre chose que sa sœur en sous vêtements, puis il repensa à la jolie créature qui avait éveillé ses désirs les plus fous en un regard, il comptait assouvir ses désirs sans tendresse mais avec brutalité comme il aimait tant le faire.

Pendant la route du retour, Edward écoutait du Debussy, une musique si calme, tellement reposante qui l'aidait à faire le vide dans sa tête. Il rentra chez lui, l'esprit léger et il se doucha. Il mit les vêtements que sa sœur avait choisis avec précision, il se mit un peu de gel et de parfum. Il enfila ses chaussures noires, il mit sa veste en cuir et ses Ray-Ban. Maintenant, son objectif était de se rendre au Luxe's, séduire la jolie brune et passer une nuit torride avec elle.