Auteur : Yaya-chi

Bêta : Fey-chan

Ah ! Alors... Il y a un bon moment déjà, j'ai publié un "two shot assorti d'une séquelle". Et puis je savais très bien que bon... c'était pas trop ça, niveau développement. Alors j'avais promis de la réécrire (oui, parce que c'est devenu une fic), ça m'a pris du temps, par ce que je bloquais, mais ! là voilà ! Je vous laisse, pour celles qui ont lu Demon Stiles, juger des améliorations, et vous souhaite une bonne lecture. Puisque je publie les trois chapitres en même temps, je vous donne rendez-vous à là fin du chapitre trois.


Introduction :

Stiles était un adolescent normal, bien que souffrant d'hyper activité. Enfin... Stiles avait été un adolescent normal. Et puis son meilleur ami était devenu un loup garou, il avait rencontré Derek le ténébreux, la fille de ses rêves était brusquement entrée dans son univers, tout un tas de gens s'était mis à comploter autour de lui, et finalement, il avait l'impression de risquer sa vie au moins une fois par semaine.

En fait non, Stiles n'était pas du tout un adolescent normal. Il vivait entouré de loups garous, de revenants, de chasseurs de surnaturel, de psychopathes de tous les niveaux... Et lui, il était un humain pâle aux os fragiles ne pesant même pas 67 kilos. Il prétendait même que le sarcasme était sa seule véritable protection.

Et quelle protection... Face à un alpha destructeur, ou toute une meute, face à un méchant lézard assassin, face à une famille de pyromanes et de briseurs de code de conduite... Très efficace, je vous assure.

Pas du tout, évidement ! Et Stiles en avait assez. Déjà qu'il se retrouvait impliqué dans tout cela parce qu'il était un ami bien trop fidèle, alors que son meilleur ami se détournait peu à peu de lui, il n'allait pas non plus rester sans défenses !

Alors depuis deux jours, il cherchait vaguement sur internet un moyen de devenir plus puissant. De pouvoir se protéger, et protéger ceux à qui il tenait. Il ne trouvait pas grand chose de bien intéressant, d'ailleurs. Mais à ce moment là, tout bascula. Il lu un mot, un seul mot, qui le fit se redresser. Un mot qui bouleverserait tout.