Somewhere Only We Know ch.1

Somewhere only we... Know... Les Warblers venaient de chanter la dernière note. Le reste je m'en souviens pas, j'étais trop plongée dans mes pensées, mes souvenirs, ses magnifique souvenirs en compagnies de Brittany... Ma Brittany... On se connaissait depuis longtemps, ça tout le monde le sait ! Nous sommes meilleurs amies ... Depuis nos 5 ans. Mais se que les gens ne savent pas, ce sont les vrais sentiments que j'éprouve pour elle. Alors que je suis sur que ça crève les yeux ! Je n'ai jamais pue cacher se que je ressentais quand ça parlait de Brittany.. Mais ce lycée n'est remplie que d'abruties et d'égoïstes ! Il n'y a qu'elle est il n'y aura qu'elle à qui je puisse autant me confier ! Même si souvent il suffit juste qu'elle regarde dans mes yeux et elle comprend tout... (Et les gens osent lui dire qu'elle est « sotte » ? Elle est juste magique, et au fond d'eux ils le savent, j'appelle ça de la jalousie pure et dure !) Il n'y aura qu'elle qui puisse me faire tant de bien, me faire sourire quand je suis triste ou en colère contre Puck. D'ailleurs, il n'est qu'un « passe temps », je l'utilise quand Britt n'est pas là, ou que je veux la rendre jalouse. Ça marche souvent d'ailleurs, mais revenons a se que je voulais dire en premier. Le pourquoi, au lieu de faire comme tout le monde et de sauter sur Kurt pour montrer que je suis heureuse qu'il revienne est simple, cette chanson, cette chanson que ses amis en costumes venaient de chanter... Elle me rappelait mon enfance passait avec elle, mais surtout notre premier baiser...

Flash Back

On avaient eux 8 ans, on devait être vers Août et j'avais demandée a Britt de venir avec moi pour explorer la forêt, oui quand j'étais petite j'avais un côté garçon manqué, qui n'en n'a pas ? Bref, nous marchions sur un petit sentier, ma belle blonde s'amusait à marcher sur le tronc d'un arbre mort qui était tombé sur le bas côté. Elle souriait et j'étais heureuse, qui ne l'aurais pas été ? Être avec la fille, qu'on aime sans vraiment la savoir, est vraiment une chose merveilleuse et inoubliable...

-Oh, un papillon ! San ! Regarde, il est aussi beau que toi !

J'avais rougis, elle me trouvait belle ! Et quand une personne aussi belle et gentille que B. vous le dit, je peux vous jurer qu'une bouffée de fierté vous envahie ! Alors qu'un rictus idiot s'esquissait sur mes lèvres, je sentis une tendre main se glisser dans la mienne est m'emmener avec elle.

On a dû courir pendant dix bonnes minutes, mais Brit est sa folie pour les animaux ! Au bout du compte on avait pas réussie à rattraper le papillon et puis on était, juste un peu, perdue d'après Brittany.

-Tu m'en veux ? M'avait-elle demandée avec un peu de peur dans les yeux.

Bien sûr que non ! Je ne pourrais jamais lui en vouloir ! Et ça je le sais depuis notre première rencontre quand elle avait renversée son jus de pomme sur ma robe à l'école, Snixx n'avait même pas put pointer le bout de son nez, car aucune colère ou envie de frapper ne m'étais venue. J'avais juste dis un « Oohh, c'est bête » et j'avais souris.

-Saan ! Tu me boudes ?

Je souris.

-Pourquoi je te bouderais ? Cette endroit est magnifique B. !

-Alors pourquoi tu ne répondais pas ?

-Car... Je chercher les mots pour montrer la beauté de cette endroit ! Et j'ai trouvée ! Un sourire remplie de fierté apparut sur mes lèvres. Cette endroit est magnifiquement magique, comme toi !

Elle avait esquissée un sourire énorme en même temps que ses jolies pommettes prenaient une teinte rosée. Elle s'approchât de moi et déposât un baiser sur ma joue, puis elle prit ma main et me tirât vers le ruisseau qui coulait un peu plus bas. On s'assit tout près du courant et elle trempât sa main libre dans l'eau pour m'éclabousser, j'avais poussais un crie de surprise et avais éclatais de rire en même temps qu'elle. On a du batailler pendant une bonne heure près du ruisseau, on était complètement trempées ! Mais je me sentais bien, j'étais complètements moi même, je n'avais rien à cacher, d'ailleurs comme je l'ai dis avant, je n'ai jamais pus lui cacher quelque chose, donc je ne pouvais pas essayais de me cacher derrière une carapace, et ça me faisait du bien, beaucoup de bien. Elle avait courut en direction d'un arbre et je l'avais suivis pour continuer ma vengeance, je me fichais que le soleil commence à se baisser ou que nos parents se mettent a flipper parce qu'on est toujours pas là ou autre. J'étais avec elle, la seule que j'ai jamais aimée ! Brittany S. Pierce, ma Brittany, ma licorne, celle qui me fait vivre la vraie personne que je suis. Elle s'était allongée sur l'herbe fraiche et avais attendu son supplis, comme si c'était obligé que ça arrive, que personne ne pouvait l'empêcher, mais il y avait se petit sourire, celui qu'elle a toujours avec moi, se sourire de joie, de bonheurs et de paix. Je m'étais allongée a côté d'elle, sans un mot, et j'avais fermé mes yeux. Elle dût se relever étonnée, mais tout se que je sais c'est qu'elle sait collée à moi, sa tête dans le creux de mon cou, mon bras s'est enroulé autours de ses frêles épaules, je m'étais alors tournée vers elle pour que se sois plus confortable. Un soupir de bonheurs nous avait échappé. Je ne voulais pas me détacher d'elle, et B. aussi. J'ai ré-ouverts mes paupières tout doucement, et je l'ai encore une fois admirée, si paisible... Dieu devait vraiment m'aimer pour me laisser toucher, parler et voir un si belle ange... Et là, je ne sais pas pourquoi, j'ai délicatement posée mes lèvres sur les siennes, c'était doux et paisible, et ça n'a pas changé aujourd'hui, mais cette fois là était différente, car c'était le premier, mon premier, son premier, notre premier baiser. Quand je me suis enfin rendue conte de se que j'avais osée faire, mon visage à dû virer au rouge sang ! J'ai cru que j'allais me lever et partir, allait-elle me pardonner ? Allait-elle me gifler ? Ou bien avait-elle aimée ? Allait-elle minimum ouvrir ses paupières ou étais-ce comme une sorte de signe, un signe pour me dire « vas-t'en » ? Je ne pas le temps de poser une hypothèse car une paire de lèvres venaient de se coller au miennes, j'écarquillais mes yeux marrons, elle avait donc... Appréciée ? En tout cas c'est ce que ses lèvres disaient ! Nous sommes restées comme ça pendant de longues minutes, lèvres collées, paupière closes et corps entrelacé... Puis elle c'était décollée, j'avais ouverts mes yeux pour voir si sa réaction finale. Elle me regardait tendrement, ses grands yeux bleu hypnotisant ne montraient aucun signe de colère ou de dégout, non, rien de ça... B. avait refermée ses yeux et m'avait cette fois embrassée le front. Je devais être rouge comme une tomate ! En tout cas mes joues étaient enflammées, ça je le sentais bien. Puis après quelques seconde elle avait remit sa tête au creux de mon épaule et m'avait demandée, tout doucement.

-S., tu m'aime ?

J'avais souris, bien sûr que je l'aimée ! Et à cette âge là on ne savaient pas encore que pour beaucoup de personnes c'étaient mal, mais on s'en doutaient comme même...

-Oui, je t'aime B.

-Mais, tu m'aimes vraiment, hein ?

-Oui, je t'aime et je t'aimerais toujours ! Tu es la seule B. ...

Fin du Flash Back

-Santana ? Hey, Santana !

-Rrr.. Tu veux quoi Frankeinstein ! On t'as jamais appris à ne pas déranger l'intimité des gens ? Vas jouer avec t'as graisse et laisse moi, ok ?

Et voilà, Finnoncence venait de me sortir de mes pensées, tout le monde me regardaient, ils étaient mi-choqués mi-content... On dirait qu'ils croyaient que j'étais morte ou quoi ? Bon c'est vrai que depuis se midi j'étais perdue dans mes pensées, mais alors, on a bien tous le droit de « s'évader » ? Rooh... Pour une fois, depuis que je lui avais avouée, que j'étais un peu contente ils ont encore tout cassés.. Sans vraiment m'en rendre conte je la cherchais, ma blonde, je voulais voir... Enfaite je voulais juste revoir son visage dont je connais toutes les expressions... Elle était tout devant avec le Geek à lunettes... Rooh que je pouvais le détester celui là ! C'était un idiot, un macho et en plus il ne savait pas s'habiller. Comment ? Comment pouvait-elle rester avec lui, alors que, j'étais bien mieux que lui partout !... A pars que lui, il n'avait aucune honte, aucune honte à l'embrasser, à lui tenir la main... Mais ce n'est pas pareil ! Déjà c'est elle qui est venus le voir, deuxièmement qui refuserait de sortir avec Brittany ? Et surtout, leur relation n'était nullement mal vu... Alors que deux filles ou deux mecs ensembles, c'est « dégoutant » pour certains. Mais si tu as assez de courage, tu peux vaincre tous ça ... Et je penses que c'est se que Brittany voudrais, même si elle ne me l'a jamais dit. Depuis notre enfance, des que je faisais un dessin, un gâteau ou autre, elle voulais le montrer à tout le monde ! Donc, si je devenais sa petite amie, elle voudrait le crier sur les toits, m'embrasser dans les couloirs...etc. Mais je n'y arrivais pas, enfin, en ce moment je voulais juste exterminer le nabot à lunette et faire avouer à Brittany Pierce qu'elle m'aime et que je conte plus que fauteuil ambulant ! Et ça j'allais lui prouver, je suis bien Santana Lopez après tout non ?

Le cours du Glee Club était terminée, je n'avais pas vraiment écoutée comme on peut le remarquer, alors je regardais vite fait se que Mr. Shue avait marqué. « Born This Way ». En une simple seconde j'ai compris à peu près tout se que l'on devrait faire, avouer un secret, une chose qui nous rend unique ! Je regardais dans la pièce, personne, mince, j'aurais voulus demander à quelqu'un se qu'on devait faire exactement, bien sur je l'aurais tournée différemment ! En tant que meilleur garce du lycée je me devais d'avoir le langage approprié ! Je quittez la salle, au prochain cours il le ré-expliquera surement.

J'avais raison, Shue venait tout juste de redire son baratin ! On devais faire un T-shirt avec la chose qui nous rends unique, je le savais ! On avait une machine spéciale à notre disposition. J'avais déjà une idée vu que hier, j'avais passée ma nuit à chercher se qui me différenciait des autres. Simple, je suis une garce ! Bon, en premier lieu je voulais, enfin j'aurais voulu trouver la force de mettre « Love Brittany », mais je suis sur que certains n'aurait pas compris … Donc j'avais choisis « Bitch ». Je m'étonnais à encore la chercher des yeux, enfin chercher, je sais très bien où elle est ! Encore à côté de roue libre. Je la regardée donc dans les yeux. Mais elle aussi, ça me fit un peu sursauter, j'étais trop loin pour bien voir dans ses yeux, mais je savais qu'elle me regardait, et il semblait qu'elle veuille me parler. Je ne sais pas pourquoi j'ai fais un oui de la tête. Complètement folle, folle d'elle, mais je me faisais peur des fois.

Je l'attend ou pas ? Nan, comme ça je n'aurais pas à la voir embrasser 4 yeux... Je marche dans les couloirs, jusqu'à mon casier, j'ai fais un grand un grand détours, je suis en retard, mais je veux lui parler seule. Je sais qu'elle n'est pas allée en cours, ça fait presque 2 semaines qu'on ne sait pas parlées. Elle va saisir sa chance. J'ouvre à peine la porte de mon casier qu'une jolie cheerio blonde la ferme, un peu violament.

-Pourquoi tu me fuis ? On est en retard maintenant !

Elle a chaud, et ce n'est pas à cause de la température, non, ça se voit, elle ma cherchée, elle à même courut pour me trouver. Je souris, quand Britt cour pour te trouver c'est que tu es important à ses yeux, enfin en tout cas une sorte de joie m'emplit.

-Santana répond !

Je me suis encore égarée dans mes pensées. Elle est en colère, je suis sure qu'elle croit que je joue encore à un jeu. Mais c'est faux, je ne sais juste pas quoi lui répondre, alors je dis simplement;

-Je ne te fuis pas Brittany Susan Pierce. Et oui nous sommes en retard.

Je ne la regarde pas, j'ai ré-ouverts mon casier et je regarde mon emploi du temps, je sais que je l'énerve, un car elle déteste quand je dis son nom en entier et surtout elle déteste quand je ne la regarde même pas, mais je ne peux pas m'en empêcher, j'aime quand elle s'énerve et elle le sait. Elle soupir de colère et un blanc s'immisce entre nous. Je lève timidement mes yeux vers elle, son regard est porté sur les photos dans mon casier. Elle regarde surement la photo de se jour là, on la prit juste après que je lui dise que je l'aimerais toujours... Et que je lui dise qu'elle était la seule. Elle relève son regard vers moi, mais je baisse les yeux... Je n'ai pas mentis ce jour là, elle à toujours était la seule, je couchais avec Puck pour la rendre jalouse.

-Je t'aime...

Je me mes une claque mentale, pourquoi, bon dieu, je viens de dire ça ? Le blanc est cette fois-ci plus pesant... Brittany est la seule qui me met dans cette état de malaise. Je ne peux plus bouger, je ne sais plus quoi faire...

-Je sais, tu me la déjà dis... Ce jour là, quand je t'ai demandée.

J'acquiesce, et j'aurais du lui retourner la question, oui, elle m'a dit qu'une seule fois qu'elle m'aimait, après ses gestes le faisait. Mais un « je t'aime » vaut mieux qu'un câlin, mais c'est plus dur de dire je t'aime...

-Et toi, m'aimais-tu ?

J'ai fait exprès, je l'ai mis au passée pour voir sa réaction, elle lève ses yeux vers les miens. Elle a compris, elle comprend toujours tout quand c'est moi. Mes yeux doivent être son livre préféré.

-Je t'aime toujours.

Je rougie, mais bizarrement je ne sais plus quoi faire, plus quoi dire, une partie de moi à envie de lui dire que j'en doute, oui, je dois évacuer la tristesse et le colère qu'elle et l'idiot en fauteuil m'ont fait accumuler.

-Ah bon ? J'en doute souvent en ce moment, tu es sur que tu ne viens pas de me confondre avec Mr. 4 roue ambulante ?

Elle sert la mâchoire et déglutit, elle hait quand je doute de se qu'elle dit, surtout si en plus je réponds sarcastiquement. Je souris, j'ai gagnée la conversation, mais mon cœur lui se déchire un peu plus, elle n'a pas vraiment de façon de me prouver que j'ai torts, et si elle m'embrasse se serait me détruire, car elle n'assumerait pas se baiser. Et Brittany le sait bien. Cette conversation m'a prouvée une chose, elle ne veut pas qu'on soit éloignées, donc elle m'aime, peut être pas comme moi, mais elle m'aime beaucoup comme même. Je ferme mon casier et je prends mon sac, elle continue de me regarder, ma blonde sait très bien que je repars encore une fois blessée. Ça se voit, elle veux me réconforter, me retenir, mais elle ne peux pas, car après m'avoir attrapée mon bras, que va-t-elle faire ? Je tourne les talons et m'en vais, laissant ma blonde seule. J'ai a peine le temps de changer de couloir que j'éclate en sanglot. Mon cœur est tellement fragile, c'est pathétique, je suis pathétique, mais elle me rends toujours pathétique, B. est si belle, si forte, si jovial, si gentil, à côté je ne suis rien. Je sais qu'elle est toujours à mon casier, je sais qu'elle m'entend pleurer et je sais aussi qu'elle sait qu'elle ne peut rien faire, qu'elle est impuissante...

Je pleure pendant 15 bonnes minutes, puis je me relève, me "reprend en main", j'essuie donc mes larmes et décide rentrer chez moi, je dois être tellement misérable maintenant ! Je repasse devant le couloir où l'on étaient, elle est partit, un tout petit sourire en coin apparaît sur mes lèvres, je ne veux pas qu'elle souffre encore plus, elle va autant en baver que moi à mon avis. Je n'aurais peut être jamais la preuve, mais je suis sûre qu'elle à aussi pleurée. Nous étions donc à égalité maintenant, j'allais pouvoir commencer la suite mon "plan". Mais je pense que cette nuit allait être encore une nuit de pleur et de tristesse...