Hello à vous chers lecteurs et chères lectrices ! Cela fait tellement longtemps que je ne suis plus venue sur le site et n'avais plus fait de fanfictions. Par Merlin, que cela me manquai ! Avant de commencer à lire ce prologue, sachez que cette fanfiction est toujours en cours d'écriture et qu'elle progresse plus rapidement que prévu ! Aussi, pour une question de facilités pour moi, les chapitres seront postés tous les mercredis, aujourd'hui étant l'exception, annonçant son début. Le premier chapitre sera donc réellement posté ce mercredi ! Aujourd'hui même, je compte actuellement au moins une vingtaine de chapitres à écrire, le 9 étant sur le point d'être écrit dans les prochaines heures. Il s'agit naturellement d'une fanfiction Harry Potter et le couple ici sera un TomxOC, moins cliché et plus sombre. Tout d'abord, si vous avez toujours cru voir Tom comme un personnage ayant éprouvé de l'amour ''guimauve'', je vous demande de prêter attention à ce que je vous écris : Sans vous spoiler évidemment, sinon ce n'est pas fair-play, je vous conseille de vite sortir d'ici, de stopper de lire et d'aller trouver autre chose pour vous occuper niveau lecture. En effet, je respecte le personnage complexe de Tom dans ses moindres détails et je l'exploite du mieux que je le peux. Je ne m'égare pas dans son personnage, le rendant carrément OOC ce qui en soi, me serait une vue insupportable. Si vous n'avez toujours pas peur et que vous êtes prêts à tout pour lire au moins quelque chose d'intéressant, sombre et cruel, je vous souhaite la bienvenue sur cette page et suis extrêmement fière de vous présenter cette fanfiction intitulée Au travers de ce regard Atone. Laissez des reviews, parce que ça fait toujours plaisir de voir qu'on s'intéresse à l'œuvre que l'on écrit. Je vous embrasse et je vous dis bien sûr : à mercredi !

L'oeuvre originale appartient à J.K. Rowling. O.C reste O.C et sort tout droit de mon imagination. L'histoire ici écrite est imaginaire et relate de façon sombre les dernières années de Tom à Poudlard. Huhu ~


Elle n'avait tellement rien de particulier. Son regard inexpressif, presque blasé ne laissait rien transparaître. Elle semblait être invisible aux yeux des autres, comme si elle n'avait jamais existé. Alors pourquoi, pourquoi avait-il eu la subite envie de comprendre l'être complexe qu'elle était ? Elle avait du potentiel, quelque chose à exploiter et ce désir vorace le consumera. Peut-être, peut-être pas. Mais elle détenait un secret, un secret qu'il devait à tout prix savoir.

A ce qu'il avait entendu, on ne s'approchait pas d'elle, on ne savait même pas où elle allait, où elle se ''cachait''. Tellement peu d'informations. Ils étaient deux opposés, elle était la lune, il était la face cachée de ce même astre. Le bon et le mauvais. Positif et négatif qui n'aimantait que dans un seul sens. Elle n'avait pas d'amis et s'était bien étonnant qu'il observe une Serdaigle à la petite taille, fine et pâle. Elle était le coup sec du violon, étrange et discret.

Ils s'étaient à peine frôlés ce jour-là, dans le vaste hall d'entrée qui les menait également à la Grande Salle. Il l'avait observé d'un regard froid et dédaigneux, sans même lui adressé un seul mot. Il la pensait naïve et chétive, un peu comme un oiseau blessé. Insignifiante. Elle respirait à peine. Leurs regards s'étaient croisés, furtivement, mais peut-être ce regard blasé accentuant les fines cernes sous ses yeux l'avait déstabilisé ? Merlin seul le savait. Et puis, assis à sa table respective, les deux tables bondées de couleurs variantes, rouge au doré, jaune au noir, elle regardait son assiette, ses cheveux négligés presque dedans, presque à même de s'imbiber de soupe. Son regard orage voguait de gauche à droite, comme pour déceler une moindre trace expressive. Il avait été intrigué, mais cela fut de courte durée, car ses compères le réveillèrent et il finit par l'oublier.

On l'oubliait très vite, cela ne durait qu'à peine quelques secondes, on ne savait même pas son nom de famille, ni même son prénom. Ou l'avait-on simplement effacé de sa mémoire, la jugeant insignifiante. On savait les Serdaigle étranges et sérieux. Qu'ils pensaient sans cesse aux livres, aux règles et énormément à leurs devoirs. Ils étaient perfectionnistes. Elle ne faisait pas exception à la règle. Mais qui était-elle réellement, qui se cachait sous ce regard vert olive sombrant au brun sous la lumière des bougies flottantes ? L'enfant le plus commun qui puisse exister. Au semblant perdu. Sans aucun réflexe vivace, aucune animosité. Une poupée de chiffon.

Ceci est son histoire.