Harry laissait ses mains se crisper spasmodiquement sur les accoudoirs de son fauteuil. Le plaisir venait doucement par petit vague bienfaitrice. Ce n'était pas passionné ou sauvage. Juste de petites pénétrations aguicheuses. Assez pour faire grimper la sensation de plaisir mais trop peu pour l'envoyer au ciel. Les jambes largement écarté, la tête basculée vers l'arrière, les yeux mi-clos, la bouche entre ouverte, il laissait le petit objet d'environ cinq ou six centimètre faire de lents allé et venue en lui.

C'était un luxe qu'il ne se permettait que peu. Après tout, il se trouvait tout même dans son bureau au ministère. Mais il lui arrivait parfois, comme aujourd'hui, d'avoir besoin de se détendre. Et quoi de mieux pour libéré la tension qu'un orgasme! Il avait acquis cet objet récemment et s'en félicitait tous les jours. Il s'agissait d'un petit cylindre métallique qui s'activait grâce à la magie.

Harry n'avait même pas enlevé ses pantalons, les laissant tomber à ses chevilles. Il avait fait pénétrer cet objet dans son anus et avait lancé le sort. L'objet ne se déplaçait que de quelques millimètre n'allant ni très profond mais ne sortant pourtant jamais complètement. Les mouvements étaient lents, mais c'est ainsi qu'il se détendait. Le plaisir montait si doucement qu'il flottait sur nuage avait d'exploser de bonheur.

Cependant, ce traitement s'étalait sur une longue période et aujourd'hui il fut coupé en plein milieu. Quelques coups résonnèrent contre sa porte et il eu à peine le temps de remonter son pantalon avant que l'invité n'entre dans le bureau. Ron lui fit signe de se rassoir tout en s'asseyant lui-même sur le siège en face du bureau.

Quelque chose d'inattendue se produisit lorsqu'il s'assit. Son anus se contracta et le petit objet métallique fut propulsé contre sa prostate avant de se mettre à vibrer de façon presque imperceptible. De surprise, Harry laissait échapper un gémissement de pur plaisir et ses yeux roulèrent dans leurs orbites. Il s'accrocha fermement à son bureau.

Ron s'inquiéta de son état, mais il lui affirma être simplement fatigué. Ron entreprit donc de lui faire son rapport de mission. Harry tentait de rester le plus impassible possible, mais la tâche s'avérait ardue. En effet, à l'intérieur de lui l'objet continuait ses petits allé et venues touchant à chaque fois sa prostate et la vibration s'amplifiait de plus en plus Au bout d'un moment, il cessa complètement d'écouter Ron. Il ferma les yeux, bascula sa tête vers l'arrière et serra les accoudoirs en donnant des coups de bassin dans le vide. Des nombreux gémissements s'échappèrent de sa gorge sans qu'il ne chercher à les retenir. C'était beaucoup trop bon. Ron comprendrait. En fait, il ne pensait plus vraiment à Ron si ce n'est qu'en associant la voix à l'objet il avait l'impression d'avoir Ron en lui. Impression tout à fait agréable selon lui. Et donc sans même sans rendre compte il se mit à gémir le nom de son ami.

Rapidement il jouit dans son pantalon hurlant son plaisir à son meilleur ami face à lui. Il n'avait cependant toujours pas trouvé le repos. L'objet continuait de maltraité sa prostate et son sexe redevint dur en deux temps trois mouvement. Ron était figé. Son meilleur ami semblait se donner du plaisir juste devant lui et s'en foutre complètement.