Hum… Il vous arrive certainement de vous demander : « Mais comment ça s'est produit? » Je tâcherais donc d'inventer ce que n'a pas voulu nous démontrer l'auteur de DBZ en écrivant l'histoire d'amour, comique et touchante, de Krilin, cotoyant C-18, et comment l'amour pu naître entre eux, à l'époque blanche des fêtes.
Couple : Krilin et C-18
Ce fan-fic était une réalisation que je souhaitais faire, il y a très longtemps. Mais je craignais simplement de ne pas pouvoir la terminer… (Je fais tellement de fan-fic!) … Mais je me suis relever mes manches! Et à présent, je prends le temps, l'énergie et la force de mes doigts pour créer cette mignonne histoire, qui parlera de comment Krilin c'est casé avec C-18!
Une petite givre de bonheur
Chapitre 1 : Un cadeau pour NoëlDans les rues d'une charmante ville, la foule se pressait pour les préparatives de la célèbre fête commerciale et catholique de Noël. Dans cette foule, se déplaçait un petit personnage, qui avait fait un long voyage, afin de trouver un cadeau à offrir à son hôte et ses nombreux amis.
-Hum… Bon, pour Tortue Génial, cette statuette de trionyx! Pour Oolong… cette culotte à pois fera l'affaire! répéta machinalement le nain en énumérant la marchandise qu'il avait trouvée et achetée dans les boutiques, presque en saturation de marchandise.
À trois jours de Noël… il était vrai que Krilin était plutôt tard… Bien sûr, il savait que certain de son groupe, comme Piccolo, Dende, Mister Popo, et peut-être même les Saiyans, ne feraient pas de cadeaux, dans le prochain jour de fête! Mais en tant qu'humain, ayant déjà fêter, et surtout, appréciant vraiment cette heureuse fête, il voulait la célébrer, malgré tout ce qui s'était produit.
Cela faisait sept moins, depuis ce 3 mai, à 9 km au sud Ouest de la capitale du sud, qu'il avait combattu les Cyborgs, puis peu après Cell. Durant tout ce temps, il avait pensé à cette rencontre avec l'androïde qui lui avait volé son cœur.
« C-18, où es-tu? » demanda-t-il, en serrant ses paquets sur son ventre, sans cesse cogner par les gens.
Ils rentraient chez eux, avec des amis, leurs familles, ou pour les plus chanceux, une copine. Pour lui, quand il rentrerait, se serait tout afin différent. Comme seul famille, il avait Tortue Génial, son maître, dont sa force était à présent bien plus grande que lui. Malgré tout, il honorait son maître, le respectait, et lui était très reconnaissant de le loger gratuitement. Mais… ça ne l'empêchait pas d'envier les autres, qui avait encore des parents, des frères et sœurs… des enfants.
Il secoua la tête, et se décida enfin à bouger, sachant que s'il avait trouvé deux cadeaux, il lui en restait encore une vingtaine à trouver.
-Je pourrais faire un cadeau familial à Sangohan et sa famille! Ouais, ça sera moins cher! pensa-t-il tout haut, la pensée de la famille le ramenant toujours vers son chanceux ami.
Chanceux, chanceux… Ça dépendait de la façon dont on voyait les choses! Chichi était celle qui avait toujours mené leur couple! Lui, il n'aurait pas pu supporter son caractère de meneuse et de mère poule! Pas pour tout l'or du monde!
« Sangoku n'est pas le plus veinard. » pensa-t-il, en achetant une grosse dinde et tentant de la ranger dans ces sacs, bien qu'il savait qu'à présent, au ciel, il avait une plus grande liberté.
Lui, il était encore totalement libre! À part la promesse qu'il avait fait à Tortue Génial, de lui dire quand il revenait de ses escapades, il pouvait faire ce qu'il voulait! Dépenser tout les sous qu'il gagnait dans les défis et compétions d'art martiaux, visitez les contrés éloignés, côtoyez toutes les régions du monde, les plus riches au plus malfamés, etc.
Oui, il avait une franche liberté! Une liberté qui ferait jalousie bien des pères et des maris. Pourtant… Lui, cette liberté de dépense, déplacement, et autres, ce n'était pas de ça qu'il rêvait.
Il rêvait… Enfin, ces rêves étaient des rêves. Il ne pouvait pas les réaliser s'il ne s'en donnait pas la peine!
-Ça coûtera 2000 senzus! renseigna la vendeuse, quand il arriva pour acheter un ensemble de mitaines et tuques pour Tenshihan, Chaozu et encore un autre pour Yamcha et Plume.
Il fouilla dans sa bourse et ne trouva pas cette somme. Gêné, il demanda à la jeune dame de laisser ces objets de côté, qu'il allait revenir avec la somme désiré. Il sortit à toute hâte du magasin, observant dans toutes les directions pour trouver une banque. En voyant une de l'autre côté de la rue, il sauta avec agilité, faisant de belle pirouette, afin d'y arriver, malgré l'embouteillage qui barrait le passage.
S'il ne se dépêchait pas, ces ensembles de laine pourraient se faire acheter par un autre client! À quelques jours de Noël, toute la marchandise des boutiques disparaissait en quelques secondes!
Donc, en entrant dans la banque de senzu, il ne penserait jamais à voir quelques secondes plus tard un visage familier. Tout particulièrement celui qui le hantait.
Il allait voir le préposé, ne remarquant pas que son air accroupit était plutôt étrange. Il lui demanda donc d'ouvrir son compte et d'en retirer une somme tel que 4000 senzus, mais voyant que ce dernier regardait un point à sa gauche, il tourna la tête. Et ce qu'il vit le rendit encore plus énerver qu'il ne l'était.
Un voleur! Il tenait, lever dans les airs, un gros personnage, certainement le patron de l'établissement, qui geignait et suppliait que le mécréant ne lui face pas de mal. Durant ce temps, d'autres préposés transportait un gros sac, et le posa à ses pieds. Mais le criminel était trop occuper à observer Krilin comme s'il était un être effrayant, imposant, déstabilisent. Pourtant, il n'était rien de tel! En apparence, même son captif semblait plus dangereux que lui, Krilin! Mais il semblait savoir qu'elle était sa force caché et… et il y avait autre chose. Autre chose qui aurait expliqué son étonnement, le chamboulement émotionnel du voleur à la taille très étroite et à la forte poitrine, une cagoule dissimulant les traits inquiets et ahuris du voleur.
Mais Krilin ne se questionna ni sur son apparence, ni sur son immobilité. Il donna un coup de pied au sac d'argent, l'envoyant derrière les caisses, et se positionna en mode combat.
Le voleur, plus calme, mais ne semblant pas du tout aimer le cours de la situation, lâcha son captif, ce dernier fuyant à quatre pattes vers l'emplacement du butin, et le cagoulé serra ses poings, près pour le combat.
Krilin sauta et donna un coup de pied au criminel, qui bloqua avec son genou et envoya son poing vers le nain.
Ce dernier évita le coup, étonné par tant de force et d'agilité, de la part d'un humain et prépara son poing droit à cogner. Mais le voleur avait aussi prévue ce coup.
Il bloqua le poing, le bloquant par
sa main droite, et l'envoya dans le mur, du même côté que le membre utilisé.
Krilin se releva doucement, ne connaissant que de ses amis qui pouvait dévoiler une telle force. Et encore! Seul Sangoku, Végéta, Piccolo et Sangohan lui semblait assez fort! Euh… et aussi Trunk du futur, mais il ne croyait tout de même pas que ça aurait pu être lui. Et pour ce qui était des quatre autres, aucun était capable, ou perdrait son temps à commettre des vols! Pour ce qui était des plus diaboliques, Végéta vivait grâce à la générosité de sa compagne et Piccolo se suffisait des biens faits de la nature et des courtoisies de Dende.
Non, ça ne pouvait être aucun de ceux là! Qui donc sur terre était de puissants combattants, et assez avare pour voler une banque? Il ne prit pas beaucoup de temps à réfléchir. Soudain, le jean que le voleur le mit sur une voix proche de la vérité.
-C… C-17?! Mais qu'est-ce que tu fous à voler une banque?! demanda le petit personnage, décontenançant la fille sous la cagoule.
-Hé! C-17 n'a pas tant de poitrine! répliqua le criminel, Krilin reconnaissant cette voix dès qu'elle eut prononcer le « Hé! ».
-C-18?!!! Mais… Comment…?! fit le nain, ne pouvant pas croire la revoir ainsi, dans… de tel circonstance.
Elle enleva son masque, sachant qu'il ne servait à rien de dissimuler son visage, maintenant qu'elle était reconnue. Elle détourna sa tête du nain ahuri et s'avança vers le comptoir.
-Ça vient? demanda-t-elle au même préposé avec qui Krilin avait parlé quand il était rentrer dans la banque.
Celui-ci se dépêcha de lui remettre la somme voulue, toujours dans le sac. Krilin, se remettant peu à peu de sa surprise, se remit dans une position de combat, lui barrant le chemin vers la sortie. Même si c'était elle, il ne pouvait pas la laisser filer! C'était contre la loi, les vols et les menaces de mort! Sachant qu'il ne pourrait pas faire grand-chose contre elle, connaissant son haut niveau dans l'art du combat, dépassant le sien, il se tint tout de même droit.
« Je vais passer un mauvais quart d'heure, mais au moins, ma conscience sera tranquille! » pensa-t-il, serrant les poings autant que la mâchoire, se préparant plus à encaisser plutôt qu'à vraiment faire un combat.
C-18 resta sans bouger, aucune émotion ne transparaissant sur son visage parfait, mais presque hideux, sans expression. Finalement, elle laissa tomber le sac d'argent qu'elle maintenant d'une main sur son épaule et elle leva le bras vers lui, prête à lui lancer une attaque de Ki.
Sur son visage, Krilin ne pouvait ni lire de la joie, ni de la honte, à attaquer un plus faible que soit. Elle semblait n'être rien qu'une machine, bien huiler, bien graisser, avec une couche de peau sur des plaques de métal polie, ne faisant que faire un geste parmi tant d'autres, programmer dans un programme très complexe. Il ne pouvait supporter de la voir ainsi, ne pouvant rien savoir de ses émotions. En partie, ce mystère lui rajoutait du charme, même alors qu'elle était en très de la menacer.
Mais Krilin garda sa position, sachant que s'il se faisait battre par elle, il aurait une bonne excuse à n'avoir pas réussi d'avoir eu des cadeaux pour tous ses amis. Raison stupide, mais c'était tout de même une raison parmi tant d'autre!
Soudain, une sirène de police fit grincer les oreilles des occupants de la banque, et les portes d'entrer claquèrent, une poigné de policiers armée entrant. Krilin fut emporté par le mouvement raide de la porte, et revolant pour la deuxième fois de la journée dans un mur. Cette fois, il préféra rester à terre, ne voulant pas être arrêté à quelques jours de Noël.
Comme il s'en doutait, C-18 ne resta pas pour saluer la police. Elle s'envola tel une comète entre deux agents de police, préférant encore ne pas avoir d'argent cette fois, afin de ne pas gagner en prime les menottes.
Malheureusement, Krilin fut arrêté, les témoins croyant qu'il était complice de la voleuse. Après un long débat qui échouât enfin pour le désavantage du nain, qui devait maintenant passer la nuit en prison, il dut se résoudre à annoncer la nouvelle à Tortue Génial. Comment lui dire que son locataire était considéré comme un criminel par la police, tout ça parce qu'il avait reconnu la vraie criminelle? Il aurait pu lui mentir, lui dire qu'il passait la nuit chez une nouvelle amie, ou qu'il séjournait chez Sangoku, Yamcha, Bulma… Mais il ne pu se résoudre à un tel stratagème.
Il était en très de composé le numéro, se préparant au long silence que ferait Tortue Génial, à la honte qu'il aurait d'avoir un apprentie qui aurait arpenté les parois ombrageuses de ce lieu peu apprécié par la population. Soudain, un policier vint le stopper, lui disant qu'on avait payé sa quotient.
-Hein…?! Mais qui…? demanda le nain, se faisant lancer son manteau et son foulard.
Il se retrouva sur le pas de l'entrée du centre de police. Il tourna ses yeux dans toutes les directions, mais ne vu personne qu'il ne connaissait. Il remarqua par contre une voiture qui faisait des clignotants, à l'autre bout de la rue à six voies. Regardant à gauche et à droite, il traversa, arrivant à côté du véhicule, tentant de voir à deux mètre de distance de la portière le conducteur. Il vit seulement une main lui faire signe de la main de rentrer par de l'autre côté. l le fit, se doutant qu'un individu ne pourrait pas faire rentrer un nain au allure paumé s'il ne le connaissait pas.
Il rentra et ferma la portière, frottant ses mains frigorifiés du froid l'une contre l'autre, et tourna sa tête vers le fameux conducteur. Il faillit faire une crise cardiaque en se retrouvant encore une fois à côté de C-18.
-Toi?! Mais qu'est-ce que… tu fais devant le poste de police?! Tu veux… te rendre? demanda l'attristé personnage, bien que doutant que cette foncière dame ne ferait jamais rien de tel.
-Non. Je… J'ai payé ta peine. Comme ça, on n'est quitte, pour le silence que tu as fait de mon identité! expliqua-t-elle, les bras croisés, regardant dans le pare-brise qui se recouvrait peu à peu de neige.
-… Qu'est-ce que je leur aurais dit de toute façon? Je ne crois même pas qu'on te connaît sous le nom de C-18! répliqua le petit personnage, pour se donner un air moins adorable qu'à l'habitude.
Elle savait qu'il était amoureux d'elle, mais elle n'avait pas à s'imaginer qu'il allait la couvrir à chaque fois qu'il la verrait commettre un crime.
-… Si tu veux savoir, C-18 est à présent une criminelle très recherchée par deux continents! … Non, trois, maintenant que j'ai voler cinq de leurs banques! rajouta-t-elle, presque avec de la fierté dans sa voix.
Mais cette aveux découragea le nain, ne la pensant pas si terrible. « Est-elle aussi méchante que la vilaine Lunch?! » se demanda-t-il, mais en se taisant, ne désirant pas vraiment le savoir.
-Ou… Ouah! C'est bien… pour toi! Je veux dire… tu vas avoir assez d'argent pour t'amuser avec ton frère! En passant, joyeux Noël! s'écria-t-il, n'oubliant pas cette fête était un événement heureux pour tous, même… pour les cyborgs.
Mais C-18 le dévisagea, ne semblant pas comprendre sa joie, ni comment il pouvait s'imaginer que…
-Je ne vis ni ne côtoie mon frère! On s'est donner rendez-vous à fin janvier! Je ne peux quand même pas, même s'il est sensé être adulte, le laissé trop de temps tout seul! expliqua-t-elle, bien que ne comprenant pas pourquoi elle lui disait tout ça, à ce petit homme.
-Tu… Tu vas passez les fêtes sans ton frère? demanda Krilin, n'en revenant pas.
Il pensait qu'ils étaient proche, elle et son jumeau. C'était bien triste, de savoir qu'elle serait sans lui pour ces instants de joie et de réunion.
-C'est pas changement! Je suis toujours seul, à cette époque de l'hiver! confia-t-elle, de plus en plus dérangé par son attention et la peine qu'il avait pour elle, alors qu'elle ne se sentait nullement attristé de son sort.
Bien des gens voudraient être dans sa situation! Libre, indépendant, aucune attache et avec des super pouvoir! Après une légère réflexion, Krilin devint aussi être dans cette lignée, mais elle n'aurait pas pu le jurer. Elle ignorait ce qu'était et remplissait sa vie.
Krilin, en l'entendant parler ainsi, s'empêcha de la plaindre, et de larmoyer sur son sort. Ou pire : de répliquer que sa vie était presque identique, mais en un peu mieux. Elle n'avait pas besoin d'entendre ça. Il lui demanda simplement comment elle fêtait Noël, alors.
-Si tu as besoin de décoration pour ton sapin, le magasin, là, au fond de la rue, qui semble encore ouv…! commença le généreux personnage, avant de se faire rire au nez. Qu'est-ce qui a de si drôle?
-Pourquoi aurais-je besoin de décoration, en n'ayant ni sapin, ni lieu où le mettre?! répliqua l'androïde, avant d'expliquer, sous l'air étonné et tanné des élans de gentillesse de Krilin.
Elle l'avait tiré d'un mauvais pas, il n'avait pas pour autant se rendre autant ridicule à vouloir lui apporter de la joie! Non, elle ne comprenait pas son but, quand il lui suggérait des choses de la sorte.
-Tu n'as pas de lieu…?! Pas de maison, ni appart?
-… Je suis avare, point final! Je couche ici! expliqua-t-elle, en faisant un geste plat de la main, démontrant sa voiture.
-Ici?! Mais tu dois geler! s'exclama Krilin, avant de douter si… si elle pouvait vraiment ressentir le froid.
Elle profita de son doute pour tenter de rendre moins pire à la vision d'un garçon honnête son existence.
-Je ne ressens ni froid, ni chaud! répliqua-t-elle, en croisant ses bras derrière la tête.
-… Ah… Ben alors, si c'est comme ça, je peux ouvrir la fenêtre! Je commence à avoir un peu chaud, ici! s'exclama Krilin, en étirant son bras vers le bouton contrôlant la hauteur du pare brise.
-Hé! gronda C-18, l'empêchant d'agir ainsi en retenant sa main, fâchée.
Il sourit, satisfait, ayant eu la réponse qu'il voulait! (Elle sentait le froid!)
-Bon! Plus la peine de chercher un lieu où passer les fêtes! Je t'invite! S'exclama-t-il, comme il aurait fait à un bon ami.
-… Hein?! Tu veux dire… Chez toi?
-Chez Tortue Génial! Je réside chez mon maître d'arts martiaux! Si ça te chante, d'avoir eu peu de compagnie, à ce moment de l'année, ça serait chouette! Je veux dire… C'est comme tu veux! Je ne veux pas t'obliger, mais on aurait bien besoin d'aide à préparer le réveillon!
-… Est-ce que je vais devoir payer quelque chose? demanda-t-elle, ne comprenant pas pourquoi il avait eu encore cet immense élan de gentillesse.
-Euh… À part des cadeaux, si tu veux en faire à quelque, je ne vois pas ce que tu aurais à débourser!
-Ah… parce qu'il faut que je fasses obligatoirement un cadeau à quelque…, fit-elle, s'étant douté que c'était pour une histoire du genre qu'il l'avait invité.
-Ben non! Un cadeau, c'est avec le cœur qu'on le fait! Pas par obligation! Moi, j'en fais à mes amis, parce que c'est chouette, d'en recevoir! Alors, pour leur faire plaisir, j'en trouve, j'en fais, j'en achète!
-… Donc, une dépense de temps et d'argent! jugea C-18.
-… Ça dépend de l'angle qu'on voit les choses! avoua-t-il, quelques gouttes de sueurs sur le front.
Il remit son foulard, sortit, et laissa la portière ouverte. Avec un temps de réflexion, il se décida de sortir un morceau de papier.
-Tiens! Ce sont les coordonnées de notre île! … Ne les donne à personne de non recommandable! Tortue génial aime la tranquilité… et moi aussi! Expliqua-t-il, avant de la saluer, fermer la porte, et de s'en voler.
Il craignait avoir fait une faute. Il espérait seulement qu'elle ne profiterait pas de cette info pour leur faire du tort.
En observant le petit homme chauve disparaître dans le ciel étoilé, elle sourit.
« Des vacances de Noël… avec des gens d'ont lui… Et sans payer quoi que se soit… Mouais, ça pourrait être bien! » pensa-t-elle finalement, après mur et bonne réflexion.
