La plus sanglante des histoires
introduction
Un mort, une larme, un gouffre, je m'enfonce, aidez-moi.
Harry était étendu sur son lit, les yeux ouvert, une larme sur la joue, le c?ur palpitant, un pli horrible sur sa bouche, la cicatrice brulante. Mais il s'en fichait, plus rien n'importait. Il pouvait bien mourir que son corps n'aurait effectué aucun changement car Harry était déjà sans vie. Il était toujours vivant, il respirait toujours et son c?ur battait à en lui défoncer la poitrine mais peu lui importait d'être encore en vie, il était destiné à mourir un jour ou l'autre. Tel était ses pensés. Lugubre et sombre, de quoi détruire toute une vie. Pendant le retour chez les Dursley, Harry s'était promis de ne pas sombrer dans le désespoir et de tout faire pour rester en vie mais malheureusement, sans ses amis pour l'épauler, Harry avait sombré. Chaque jour, chaque nuit, chaque mot, chaque geste, lui rappellait de mauvais souvenir. Le souvenir de ses 15 dernières années le tourmentait et à chaque fois, il s'enfonçait un peu plus dans son désespoir. Il était empli d'une rage sans limite et il la dédiait en parti à lui-même, en partie à Voldemort et même à Dumbledore. L'interdiction de quitter les Dursley pendant l'été entier mettait Harry dans une haine pure et simple pour cet Homme qu'il avait autrefois tellement aimé. Harry avait 15 ans depuis déjà une semaine, peu-être deux, et ses amis lui avaient envoyé des cadeaux, mais Harry s'était contenter de les mettre dans sa valise sans même les déballer et n'avait pas répondu.
Dans la chambre d'Harry, il reignait un froid intense malgré la canicule impossible à l'extérieur et aucun membre de la famille Dursley n'osait entrer adns cet endroit, même pas pour réprimander leur neveu qui ne s'était pas montrer de l'été, même pas pour manger. Ils avaient pourtant tout fait pour le faire sortir mais même les menaces de son oncle ne l'avaient fait bouger. Hedwidge était partie depuis longtemps, emportant avec elle sa cage et sa nourriture, dans l'espoir de trouver un foyer plus chaleureux et acceuillant. Il la soupçonnait d'être parti rejoindre Ron mais il n'en était pas sur et d'ailleur, cela lui était égal. Après une semaine de vacance, Harry avait terminé tous ses devoirs et ses travaux et avait tout ranger dans sa malle avec sa baguette, sa cape et ses effets scolaires.
Harry se retourna. Il venait de faire un cauchemar, et une fois de plus, il était en rapport avec Voldemort. Celui-ci était présentement en France, torturent n'importe qui pour n'importe quoi et ses mangemorts s'en donnaient à c?ur joie. Une fois de plus, Harry avait assisté à ces meurtres, ces massacres. Harry n'en pouvait plus. Il était épuisé, mais il ne pouvait pas dormir. En fait, il ne voulait plus dormir car il avait l'impression que s'il dormait, les meurtres commis seraient moin graves, moin sanguinolants. Depuis son retour, Voldemort ne s'en était pas tenu à son Avada Kédavra, mais avait recours à des tortures douloureuses pour tuer ses victimes. Puis, Harry pris conscience de la larme chaude sur sa joue et l'essuya d'un geste négligent de la main. Il s'en voulait pour ce moment de faiblesse et savait que s'il voulait vaincre Voldemort, il ne devait plus faiblir. Plus pleurer, plus aimer mais seulement détester tout en restant lucide. Cependant, il ne voulait pas que ses amis souffrent, et ça, il se le jura, si Voldemort ne touchait ne serait-ce qu'a un cheveux de Ron, Hermione ou Sirius ainsi qu'à tous ses amis, il le paierais pas seulement de sa vie, mais de celle de ses mangemort. Cependant, ces être qu'il aimait tant devait rester en arrière plan et qu'il devait consacrer son attention sur son apprentissage. Oui, c'était déssider. Une fois à Poudlard, il se plongerait dans la lecture et dans l'apprentissage de sort interdit, dans la magie noire et dans les ténèbres pour ainsi vaincre l'homme qui avait tué tant d'innocent. Seulement, jamais il ne se livrerait du côté de Voldemort. Il allait suivre ses traces sur un chemin parrallèle au siens. Etudier la magie noire pour le comprendre et pour lui tendre une embuscade et le détruire. Il ne voulait pas devenir le plus puissant, mais il voulait vaincre et il ne laissrait personne se mettre en travers de son chemin, ami ou ennemi.
Se fut sous cette pensé que Harry s'endormi malgré tout, sombrant de nouveau dans les ténèbres.
introduction
Un mort, une larme, un gouffre, je m'enfonce, aidez-moi.
Harry était étendu sur son lit, les yeux ouvert, une larme sur la joue, le c?ur palpitant, un pli horrible sur sa bouche, la cicatrice brulante. Mais il s'en fichait, plus rien n'importait. Il pouvait bien mourir que son corps n'aurait effectué aucun changement car Harry était déjà sans vie. Il était toujours vivant, il respirait toujours et son c?ur battait à en lui défoncer la poitrine mais peu lui importait d'être encore en vie, il était destiné à mourir un jour ou l'autre. Tel était ses pensés. Lugubre et sombre, de quoi détruire toute une vie. Pendant le retour chez les Dursley, Harry s'était promis de ne pas sombrer dans le désespoir et de tout faire pour rester en vie mais malheureusement, sans ses amis pour l'épauler, Harry avait sombré. Chaque jour, chaque nuit, chaque mot, chaque geste, lui rappellait de mauvais souvenir. Le souvenir de ses 15 dernières années le tourmentait et à chaque fois, il s'enfonçait un peu plus dans son désespoir. Il était empli d'une rage sans limite et il la dédiait en parti à lui-même, en partie à Voldemort et même à Dumbledore. L'interdiction de quitter les Dursley pendant l'été entier mettait Harry dans une haine pure et simple pour cet Homme qu'il avait autrefois tellement aimé. Harry avait 15 ans depuis déjà une semaine, peu-être deux, et ses amis lui avaient envoyé des cadeaux, mais Harry s'était contenter de les mettre dans sa valise sans même les déballer et n'avait pas répondu.
Dans la chambre d'Harry, il reignait un froid intense malgré la canicule impossible à l'extérieur et aucun membre de la famille Dursley n'osait entrer adns cet endroit, même pas pour réprimander leur neveu qui ne s'était pas montrer de l'été, même pas pour manger. Ils avaient pourtant tout fait pour le faire sortir mais même les menaces de son oncle ne l'avaient fait bouger. Hedwidge était partie depuis longtemps, emportant avec elle sa cage et sa nourriture, dans l'espoir de trouver un foyer plus chaleureux et acceuillant. Il la soupçonnait d'être parti rejoindre Ron mais il n'en était pas sur et d'ailleur, cela lui était égal. Après une semaine de vacance, Harry avait terminé tous ses devoirs et ses travaux et avait tout ranger dans sa malle avec sa baguette, sa cape et ses effets scolaires.
Harry se retourna. Il venait de faire un cauchemar, et une fois de plus, il était en rapport avec Voldemort. Celui-ci était présentement en France, torturent n'importe qui pour n'importe quoi et ses mangemorts s'en donnaient à c?ur joie. Une fois de plus, Harry avait assisté à ces meurtres, ces massacres. Harry n'en pouvait plus. Il était épuisé, mais il ne pouvait pas dormir. En fait, il ne voulait plus dormir car il avait l'impression que s'il dormait, les meurtres commis seraient moin graves, moin sanguinolants. Depuis son retour, Voldemort ne s'en était pas tenu à son Avada Kédavra, mais avait recours à des tortures douloureuses pour tuer ses victimes. Puis, Harry pris conscience de la larme chaude sur sa joue et l'essuya d'un geste négligent de la main. Il s'en voulait pour ce moment de faiblesse et savait que s'il voulait vaincre Voldemort, il ne devait plus faiblir. Plus pleurer, plus aimer mais seulement détester tout en restant lucide. Cependant, il ne voulait pas que ses amis souffrent, et ça, il se le jura, si Voldemort ne touchait ne serait-ce qu'a un cheveux de Ron, Hermione ou Sirius ainsi qu'à tous ses amis, il le paierais pas seulement de sa vie, mais de celle de ses mangemort. Cependant, ces être qu'il aimait tant devait rester en arrière plan et qu'il devait consacrer son attention sur son apprentissage. Oui, c'était déssider. Une fois à Poudlard, il se plongerait dans la lecture et dans l'apprentissage de sort interdit, dans la magie noire et dans les ténèbres pour ainsi vaincre l'homme qui avait tué tant d'innocent. Seulement, jamais il ne se livrerait du côté de Voldemort. Il allait suivre ses traces sur un chemin parrallèle au siens. Etudier la magie noire pour le comprendre et pour lui tendre une embuscade et le détruire. Il ne voulait pas devenir le plus puissant, mais il voulait vaincre et il ne laissrait personne se mettre en travers de son chemin, ami ou ennemi.
Se fut sous cette pensé que Harry s'endormi malgré tout, sombrant de nouveau dans les ténèbres.
