Disclaimer Rien ne m'appartient, tout est à J.K Rowling.
Note de l'auteur Coucou me voila avec mon premier bébé, ma première fan fiction centré particulièrement sur le couple Ron et Hermione qui me plait tout particulièrement.
Cette fiction est un univers alternatif sur le couple Ron et Hermione
Je remercie Missdagane pour ses corrections.
bonne lecture à tous
Prologue :
Harry Potter était un jeune homme d'une vingtaine d'années. Ses yeux étaient d'un vert émeraude ; on lui disait souvent qu'il les tenait de sa mère, Lily Potter. Tout comme ses cheveux noirs de jais, toujours en bataille, étaient les mêmes que ceux de son père, James Potter.
James et Lily Potter étaient morts alors qu'il n'était qu'un bébé âgé d'un peu plus d'un an. Tout s'était passé la nuit d'halloween : ils avaient été invités à une fête et avaient confié le petit Harry à leur voisine, une jeune femme d'une vingtaine d'années en qui le couple avait entière confiance.
Le drame s'était déroulé sur le chemin du retour…
James conduisait la voiture. Lily s'était assoupie. Ils étaient arrivés à un feu rouge, et James en profitait pour regarder sa femme dormir. Il la trouvait irrésistible dans son costume de sorcière et repensait à la merveilleuse soirée qu'ils venaient de passer. Il se souvenait du déguisement de Rémus, un loup garou. Qu'est ce qu'il avait rit en voyant la jeune cousine de Sirius, Tonk, accrochée au bras du jeune Homme et déclarant à qui voulait l'entendre qu'un jour elle se marierait avec lui, rejetant par la même occasion toutes les jeunes femmes qui s'approchaient de lui .
C'était une belle soirée, et ils en avaient pleinement profité. Sirius avait été déçu qu'ils n'aient pas amené son « filleul préféré », comme il aimait appeler Harry.
Le feu passa au vert et comme le jeune papa démarrait, une voiture arriva et les percuta de plein fouet. Le chauffard qui conduisait la voiture fut tué sur le coup tout comme James. Quand les secours arrivèrent, Lily était dans un état critique. Elle mourut dans l'ambulance qui l'emmenait vers l'hôpital.
Ce soir là, Harry perdit son père et sa mère, devenant orphelin.
Il fut élevé par Sirius, son parrain, qui prit soin de lui comme s'il s'agissait de son propre fils. Sirius avait complètement changé de style de vie après la mort de James, son ami d'enfance et de Lily, qu'il considérait comme sa petite sœur. Lui qui était un coureur de jupon invétéré, se transforma en parfait papa poule, éleva Harry dans les meilleures conditions et ne le priva de rien.
Maintenant, Harry avait quitté la maison de son parrain grâce à l'argent que lui avaient laissé ses parents. Il vivait désormais dans la maison de ses parents. Harry était en deuxième année de droit dans une grande école où il faisait ses études pour passer le DESCF (diplôme d'études supérieures comptables et financières).
Il y avait quelques temps, il avait décidé de trouver un colocataire, et partageait dorénavant son logement Ron , un jeune homme de vingt-cinq ans, barman dans une discothèque branchée.
Malheureusement pour Harry, Ron était à un homme à femmes ; alors qu'Harry était discret au sujet de sa vie amoureuse. Il arrivait souvent à Ron de ramener une fille après son boulot. Mais Harry n'avait pas trop à se plaindre, il ne voyait son colocataire qu'en fin d'après-midi - début de soirée, et il s'entendait plutôt bien avec lui. Bien sûr, il y avait des étincelles entre les deux jeunes hommes, mais les disputes ne duraient pas longtemps.
Depuis ce début d'année, Harry avait fait la connaissance d'une jeune fille qui se trouvait elle aussi en deuxième année de droit. Harry en était tombé sous son charme au premier regard. Elle était plutôt petite, rousse, belle, gentille, intelligente, marante, elle avait du caractère, bref, à ses yeux, elle était la fille parfaite, la fille de ses rêves, elle pourrait être la femme de sa vie. Elle s'appelait Ginevra mais elle préférait se faire appeler Ginny.
Tous deux s'étaient liés d'amitié. Il y avait aussi une autre fille avec laquelle Ginny et Harry s'entendaient bien, une certaine Hermione Granger, la meilleure élève de leur année, toujours plongée dans un énorme livre à faire des recherches sur tel ou tel sujet. Nombreux étaient les étudiants qui se moquaient d'elle et lui en faisaient baver. C'est d'ailleurs comme ça qu'Harry l'avait connue :
Harry était entré il y a quelques jours en première année de droit et il avait remarqué cette fille brune au cheveux ondulés ; une bande de gosses de riche traînait autour d'elle, ils l'insultaient dans les couloirs. Il n'était pas rare de les voir lui faire un croche pied, la bousculer et d'autres choses afin qu'elle tombe. Au début elle ne disait rien et subissait sans rien dire. Puis, au bout de deux ou trois jours, elle s'était révoltée mais, au lieu de la laisser tranquille, la bande avec à leur tête Drago Malfoy, fils d'un grand magistrat de Paris, avait décidé de lui mener une vie encore plus dure.
C'était aux toilettes qu'il avait découvert leur plan. Au cours suivant, quand il arriva, elle s'était déjà installée à une table devant ; il vit Malfoy s'approcher d'elle, Harry accéléra alors et se jeta sur la chaise à côté de celle de la jeune fille. Il sortit ses affaires tout en faisant un clin d'oeil à la brunette.
-Toi ! dégage, cracha Malfoy, c'est moi qui m'installe ici.
- Désolé.
Malfoy s'appuya sur la table : - ton nom !
- Quoi mon nom?
- Donne moi ton nom!
- Harry Potter
- Potter, ta vie va devenir un véritable enfer si tu ne dégages pas tout de suite, c'est moi qui m'assieds à côté d'elle, c'est clair? Il fit signe à ses deux gorilles d'approcher.
- Un problème, Monsieur Potter et Monsieur Malfoy? Demanda, méfiante, le professeur MacGonagal
- Non, tout va bien Madame, dit Harry avec un grand sourire.
- Très bien. Monsieur Malfoy je vous prierais d'aller vous installer, et de demander à vos deux amis de quitter ce cours.
Après un regard des plus glacial envers Harry, il partit s'installer quelques tables plus loin.
- Très bien nous allons pouvoir commencer puisque vous êtes installés...
La professeur de droit commença son cours dans un silence des plus monumental. Harry jeta un coup d'oeil à sa voisine, elle était concentrée sur le cours et prenait des notes ; elle tourna la tête vers lui et lui fit un sourire avant de retourner à ses notes. La fin du cours sonna, elle rangea ses affaires dans son sac et se tourna vers Harry qui était prêt à se lever.
- Merci pour tout à l'heure.
- Ho, ce n'était rien, j'avais entendu leur conversation.
Ils se levèrent et quittèrent la salle.
- Oui mais tu n'étais pas obligé de m'aider. Maintenant tu vas avoir des problèmes par ma faute.
- J'adore les maths, j'arrive à résoudre tous les problèmes, ne t'inquiète pas. Au fait je m'appelle Harry Potter.
- Hermione Granger, enchantée.
- Je n'en ai pas fini avec toi, votre vie à tous les deux va devenir un véritable enfer, vous n'y arriverez jamais ; j'ai des connaissances haut placées qui vous bloqueront ! menaça Malfoy avec un rictus méprisant, entouré de sa bande.
- On sait tous Malfoy que c'est grâce à ton père que tu as pu entrer en droit. Hermione émit un petit rire qui se voulait discret, mais Malfoy l'entendit.
- Un problème, la SDF ? Comment va ton père ? Toujours en taule?
Il les planta là, un sourire s'étirant sur son visage devant l'air décontenancé de la jeune fille. Harry eu juste le temps de voir les larmes au coin des yeux de la jeune fille avant qu'elle ne tourne les talons. Il ne la vit plus de la journée.
Le lendemain il la croisa dans un couloir et l'appela.
- Hermione !
Elle continua à avancer comme si de rien n'était.
- Hermione !
Il la rattrapa en entrant en cours et s'installa à ses côtés.
- Hermione, tu ne m'as pas entendu ou quoi?
- Bonjour Monsieur Potter.
- Monsieur Potter? Je croyais que l'on était amis.
- Chut, le cours commence.
Il attendit la fin du cours pour lui parler, mais elle en avait décidé autrement ; dès la fin du cours elle saisit ses affaires et quitta la salle. Harry courut à sa suite.
- Comme c'est mignon, Granger et Potter, on a le droit à une petite scène de ménage ? Aucun des deux ne répondit à la remarque. Finalement Harry rattrapa Hermione.
- C'est quoi ton problème au juste? ... C'est par rapport à ce qu'a dit Malfoy? ... Réponds-moi, je n'en ai rien à faire de ce qu'il dit ni de ce qu'il pense.
Après cette dispute ils s'étaient expliqués et ils étaient devenus amis. Hermione lui avait expliqué quelques temps plus tard les paroles de Malfoy. Son père avait été envoyé en prison il y a deux ans après avoir commis des fraudes fiscales. Elle avait dû rapidement trouver un travail et un appartement tout en continuant ses études. Harry la considérait maintenant comme sa petite soeur, il la couvait un peu trop parfois, surtout lorsqu'un garçon lui proposait une sortie. Ils étaient si proche que quelques fois certains pensaient qu'ils sortaient ensemble.
C'est ce qu'avait cru Ginny au début, puis elle s'était rendu compte qu'il s'agissait d'un amour fraternel entre les deux jeunes gens, qui tous deux étaient enfants uniques. Harry se souvenait du jour ou il avait rencontré la rouquine, c'était devant la fac…
- Excusez-moi, fit une voix. Harry se retourna et fit face selon lui à la huitième merveille du monde, petite, rousse aux yeux d'un marron chocolat intense, un ange tout simplement.
- Heu...Oui ? bégayat-il.
- Je cherche l'amphithéâtre pour un cours de droit, je suis nouvelle.
- Tu es en première année?
- Non en deuxième année.
- Je suis aussi en deuxième année, moi aussi. J'ai justement cours dans cette salle. Au fait, je m'appelle Harry Potter.
- Ginny Weasley, enchantée.
Ils discutèrent jusqu' à la salle où il vit Hermione contre Malfoy.
Il demanda à Ginny de s'excuser et s'approcha d'Hermione et de Malfoy sous le regard de la rousse.
- Dès le premier jour, tu ne peux pas la laisser tranquille, c'est plus fort que toi Malfoy ?
- Potter?
-Oui, Malfoy. Surpris de me voir ?
- Mais...Mais tu n'aurais jamais dû être de retour ici.
- Il semblerait que tes connaissances ne soient pas si haut placées que cela.
La sonnerie retentit et ils entrèrent en cours. Comme à son habitude, Harry s'assit aux côtés d'Hermione mais cependant, ce jour-là il ne suivit rien au cours. Il passa son temps à jeter des coup d'oeil à Ginny qui était assise à l'autre bout de l'amphithéâtre, si bien qu'il n'entendit même pas la sonnerie signalant la fin du cours. Ce fut uniquement le coup de coude qu'il reçut dans les côtes qui l'arracha à sa contemplation.
- Ferme la bouche, tu vas baver.
- hein quoi? Ha heu oui. Arrête de rigoler.
- dépêche-toi, je t'attends dehors.
Harry rangea ses affaires et sortit de l'amphithéâtre. En sortant il vit Ginny qui discutait avec Hermione, il entendit des bribes de conversation alors qu'il allait à leur rencontre.
-...merci mais j'ai déjà quelque chose de prévu.
- Tant pis, peut-être une prochaine fois ?
- oui une prochaine fois, au revoir.
La rousse fit un sourire à Harry et partit.
- Qu'est-ce qui aura lieu une prochaine fois?
- Elle m'a demandé un renseignement, et je lui proposé de rester manger avec nous.
- Ha !
- Elle te plaît?
- C'est possible. Au fait, comment va ...comment il s'appelle?
-Pierre
- Oui, comment va Pierre? D'ailleurs c'est bizarre qu'il ne soit pas là à t'attendre.
-Je ne sais pas, et c'est normal, on n'est plus ensemble.
- Je te l'ai toujours dit, ce n'est pas quelqu'un pour toi, je ne l'aimais pas beaucoup.
- Tu n'apprécies jamais mes petits amis, tu ne les a pas encore vu que déjà tu les critiques.
- Mais que veux-tu, il faut que je protège ma petite soeur de tous ces méchants garçons.
- Il serait bien que tu ne te mêles pas trop de ma vie sentimentale, Harry.
- Mais je ne me mêle jamais de ta vie sentimentale.
- Ha bon, alors pourquoi es-tu venu l'autre soir, alors que tu savais que j'avais invité Pierre ?
- J'avais besoin du livre que je t'ai emprunté.
- A 21h du soir? demanda Hermione avec ironie.
- D'accord c'était une excuse bidon pour ne te pas te laisser seule avec lui, je m'excuse de l'avoir fait partir.
- Et moi je te remercie de m'en avoir débarrassé.
- Mais tu ne me reprochais pas à l'instant le contraire?
- Si, en général je trouve que tu te mêles trop de ma vie sentimentale, mais l'autre fois tu ne peux pas savoir comme j'étais soulagée de te voir. Tu avais raison, ce gars était une vraie plaie.
- J'ai toujours raison.
- Ça va, tes chevilles n'enflent pas trop? Harry, sérieusement, promets-moi de t'en mêler un petit peu moins.
- D'accord, mais si tu as un problème…
- Tu t'en feras une joie de m'en débarrasser, je sais !
