Me revoilà! Depuis que j'ai écrit My tears for you, les idées se bouscule dans ma tête! mais cette fois-ci j'ai préféré faire une fic à longue periode à la place d'une OS! les chapitre seront ajouter au semaine peut-etre 1 semaine et demi dependant du temps que j'ai, j'espère qu'elle va vous plaire!
Genre:adventure,surnaturel
Author:Kasha-chan(non c'est le Pape en faite...)
Couple: Hina/Naru(en grande majorité) il va avoir certain couple ''minime'' et d'autre que j'ai la flemme de toute écrire, alors vous allez le découvrire par vous même!
Disclaimer:Naruto n'est pas a moi...bla bla bla...M.Kishimoto.Voilà.
PS: ne pas lire si vous êtes prêtre.
Italique: les pensée ou les action dans les dialogue.
Pour les besoin de l'histoire, j'ai du prendre des evenement et des coutume de christianisme(bien qu'il soit au japon),alors je vous demenderais de bien vouloir ne pas critiquer ce fais.Merci! bonne lecture!et encore dsl pour les fautes!
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Disturbed:La prophétie.
?? POV
Les gouttes d'eau glacée tombèrent sur mon visage laissant des trainées humide sur leurs passages, je m'arrêta quelques instants pour profiter de cette sensation rare qu'est la pluie. Le ciel, bien que nuageux, n'avais pas changé depuis ce jour, il était d'un noir corbeau, indéchiffrable et d'une certaine manière... Unique à cette ville maudite. Le soleil... La chaleur de ses rayons matinaux n'avait plus touché la peau d'un être vivant depuis des années, palissant nos peaux et nos yeux... Nous rendant faible face à la lumière. C'était pathétique. Je decida de ne pas m'attarder dans les ruelles sombre de l'encienne cité de Konoha.Nous ne pouvons prévoir ce qui se passerait après le couvre-feu. Je marchais tranquillement, au abord d'un trottoir qui n'en n'était plus un, quand soudain une ombre passa devant moi.Quoi déjà? La couvre-feu n'a pas encore sonné! Je commenca à marcher plus vite, c'était dangereux de rester ici, car...ils ne se promenent jamais seul. Qui sais combien était-il, il valait mieux pour moi de ne pas combattre et de fuir. L'ombre me suivait, zigzaguant de gauche à droite, se cachant dans ce qui restait des immeubles et maisons. Il m'observait attentivement, comme un prédateur qui guette sa proie en vue de son prochain repas. Malheureusement pour lui ce repas ne viendra pas. Je me mit à courir du plus vite que je le pouvais et quand une main (ou ce qui semblait être une main) m'aggripa l'épaule, je me retourna et lui planta mon couteau d'acier dans la gorge le transpercant de tout son long. Juste pour le plaisir je fit tourner la lame dans sa gorge, le sang gicla sur mon visage et ma poitrine, un sang aussi noir que la nuit que nous avions depuis près de 8 ans. Dans une plainte assourdissante il s'étala sur le sol, ses alors que je pu le voir. Il n'avais plus rien d'humain. Ses yeux, exorbités, semblait regarder dans 2 direction différente, la casi-totalité de son visage était en décomposition avancer, ses membres disloqués me donnèrent un gout âcre dans ma bouche. Sans plus attendre je courut jusqu'au monastère. Ils ne se promenaient jamais seul.
J'arriva devant les grandes portes barricadés du monatère, ils s'ouvrirent doucement dans un craquement sinistre, me donnant un lèger frisson dans le dos. Je pénétra l'antre de dieu et m'arrêta quelques instants, le temps que les portes se referment. Surtout, ne jamais oublier de regarder si elle sont bien fermés et barricadés. Quand je fut bien certaine d'être en securité, je me dirigea vers l'hôtel au centre de la pièce.Mes pieds claquèrent contre le sol marbré d'un blanc immaculé. Nous avions protègés cette endroit sain des démons de l'extérieur, pour garantir notre sécurité, ainsi à chaque fois que quelqu'un revenait d'une mission ,il pouvais - pour son plus grand bonheur- avoir une place ou l'espoir pouvais renaitre. Je n'agenouilla devant l'hotel et ferma les yeux.
-Tu arrive bien tard.
Doucement je reouvrit les yeux, sans regarder mon interlocuteur, je déclara:
-Ce n'est pas la premiere chose dont tu devrait te soucier. Je le regarda sérieusement. Nous avons un problème.
-Qu'a tu vu?
-Un damné ma attaqué, avant même que le couvre-feu n'est retentit. Je me releva et me posa devant lui. Ils sont affamés, il veulent de la nourriture que malheureusement nous ne pouvons leurs donnés et qui plus est, leurs états empirent, celui que j'ai tué n'avait plus rien d'humain.
-Alors, la transformation a commencer...Il baissa les yeux en se frottant la barbe, inquiet. Que propose-tu?
-Pour l'instant je n'en sais rien, laissez-moi y réfléchir.
Sur ces mots, je contourna mon compagnon et descendit dans les catacombes, là ou ma chambre ce trouvais. Les catacombes se résumais en un long couloir éclairé par des torches avec, de chaque coté, des pièces fermées pour la plupart à double tour. Chaque chambre ici avais son propre système de sécuriter que son hôte avait installé lui-même. Si par malheur les portes cédaient ils nous fallaient un autre moyen de nous defendre. Plus d'une trentaine de chambre était installées dans les sous-sol. Le sol en terre battu étouffait mes pas et les roches qui faisais allusion à des murs donnait un air macabre au catacombe. Quand enfin je fus devant ma chambre, je tourna la poignier et entra discrètement. Je la referma et installa mon système qui consistait -en gros- a écraser l'adversaire en le faisant tomber dans un trou (creuser à cette effet juste devant la porte) et grâce a un système de contre poid, l'écraser, le réduire en bouilli, l'étouffer, peut importe.
Je me dirigea vers ma table de chevet et déposa mes armes...2 couteaux, 1 arc avec une vingtaine de flèche d'acier, des shurikens à 6 pointes et le dernier et non le moindre, mes cartouches de poison. Je l'ai gardais continuellement avec moi, si un jour je devais me faire capturer, je ne voulais devenir comme eux alors autant se suicider.Je détacha mon corsage - ne croyez pas que je met ce truc pour le plaisir ou pour ressembler à ces héroine des films américain, le corsage est très pratique pour maintenir la poitrine en place...- enleva tout mes vêtements et me dirigea vers la salle de bain commune.Cette salle de bain comportait 4 douches et 2 cabinais de toilette, malheureusement elles étaient mixte et donc je la prenais le soir pour éviter certaine rencontre inapproprié. D'une lenteur que je ne croyais pas possible, je m'avanca et fit couler l'eau chaude. Je me débarrassa de ma serviette et entra sous l'eau qui maintenant était bouillante. Je ferma les yeux et abandonna ma léthargie. Le liquide transparant coula sur mon corps pendant plus de 20 minutes, quand je me sentit ''exorcisé'' je sortit, mit ma serviette autour de mon corps et sortit rapidement de la salle de bain.Il n'y avais aucune fenêtre, ou bien elles étaient condamnées par des planches de bois. Il ne fallait surtout pas que les damnés sente des présences vivantes, n'y qu'ils nous voient. Une erreur et nous mourrions tous. J'entra dans ma chambre et me posa devant mon mirroir qui se trouvait du coté droit de mon lit sur le mur. Mes cheveux mouillés collaient sur mes épaules, mon dos et ma poitrine ,mais ce qui m'intéressais c'était la marque sur mon cou, je la toucha du bout des doigh.. Je l'avais depuis ma naissance. Soudain je sentis une présence en arrière de moi, je m'apprettais à bondir sur mes couteaux quand une voix retentit. une voix suave, et rauque.
-J'ai une très jolie vue en ce moment...
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Qui sont les damnés?
Qu'est-il arriver à Konoha?
Qui est cette étrange energumene dans la chambre de notre heroine?
Qu'elle est cette prophétie?
VOUS LE SAUREZ DANS LE PROCHAIN CHAPITRE MUHAHAHAHA!
que le mystere plane dans vos esprit!
laissez des review! qu'il soit positif ou négatif!
ce chapitre etait tres petit, amis ce n'est que le début, les prochain seront plus long!
Blague du jour:
C'est quoi la différence entre une fraise et une blonde qui vien d'avoir son permis de conduire?
Y'en n'a pas il se retrouve tout les deux dans le champ.
hahahaha.
dsl pour les blondes lectrices.
