Note: Voilà, je commence une fic sur mon manga préféré: Samurai Deeper Kyo! C'est ma première de ce genre donc s'il vous plaît, ne soyez pas trop dur! (lol) et donnez votre avis!
Disclaimer: Les personnages de sdk ne sont pas à moi (snif snif)
Résumé: Cette histoire se passe à notre époque (XXI eme siècle) et les personnages sont don des lycéens, étudiants, ... voici leur histoire
Personnages: Ben, presque tous ceux de sdk! (à 2-3 exceptions près)
Couple: Je sais pas encore mais presque sûr Kyo/Yuya et Akira/Tokito
Voilà! Bonne lecture!!!
PROLOGUE: La fin des vacances
Chez Yuya:
Yuya était tranquillement installée sur son lit avec l'un des outills les plus précieux selon elle: du vernis à ongle quand une voix passablement enervée se fit entendre:
"Yuyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!"
Elle soupira, iritée d'être dérangée durant ce moment crucial. Ce cri l'avait fait sursauter et elle se retrouvait avec un joli trait rouge sur l'orteil de son pied gauche.
"Meeeeeeeeeeeeerde!!! Quoi??"
"C'est toi qui a pri mon sweet bleu marine?"
"Je l'ai pas touché ton sweet moi!! T'es content, maintenant j'ai plus qu'à recommencer !! »
La porte de sa chambre s'ouvrit alors à la volée et son frère Akira entra à l'intérieur sans lui lancer un regard.
« Ehhhhhhhhhh !!!!!!!!! Akira !!! Non mais tu te crois où ??? »
« Bah chez moi pourquoi ?? »
« Frappe quand tu rentre !!!!! »
« Oh ça va hein ! »
« Quoi ??? »
« Je cherche mon sweet. »
« Mais tu m'énerves !! Je ne l'ai pas ton sweet !! Alors maintenant dégage de ma chambre !!! »
Mais son frère ne lui prêta pas la moindre attention, semblant trouver ce qui se passait dehors nettement plus intéressant que les paroles de sa sœur, ce qui eut d'ailleurs pour effet de l'énerver encore plus.
« Akira !! Dégage !! »
« Et la politesse ? »
« M'en fous !! Tu gêne alors barre toi !! »
Akira voulut protester mais quand son regard croisa celui de sa sœur, il préféra abdiquer, tenant à rester en vie encore quelques années. Il soupira. C'est fou comme sa sœur était irritable. Il lui arrivait de se demander d'où lui venait son caractère de cochon mais préférait éviter le sujet en sa présence, de peur de rencontrer un mur, ce dont Yuya était spécialiste. Il soupira et s'affala lourdement sur le canapé. Leur mère avait repris le travail la veille et ne rentrerait sûrement pas tout de suite. Il se souvint alors que dans 3 jours c'était la rentrée. Cette simple idée le faisait angoisser au plus haut point. La rentrée. Il détestait ça. Surtout que cette année marquait un grand changement : ils entraient à la fac. Et bizarrement, il avait peur. Ce changement le terrifiait. Ce qui le rassurait c'était de savoir qu'il ne serait pas seul puisqu'il aurait sa sœur. Et puis, son meilleur ami Tigre Rouge et Mahiro, la meilleure amie de Yuya seraient là aussi. Malgré tout, il avait peur. Et il savait qu'il n'était pas le seul.
Chez Tigre Rouge :
Le soleil était déjà levé depuis longtemps quand le jeune homme se décida enfin à ouvrir les yeux. Combien de temps il avait dormi ? Il n'en avait aucune idée. Il se leva et rejoignit son père dans la cuisine, lequel l'accueillit un peu froidement, comme à son habitude.
« B'jour p'pa »
« Grmm…jour… »
Tigre voulut lui demander ce qui n'allait pas, puis s'abstint. Quand son père était dans cet état, mieux valait ne pas lui parler, sous risque de subir un sale quart d'heure. Il mangea donc en silence et partit se préparer. Puis il pensa au lundi suivant. La rentrée. Il angoissait à cette idée, car c'était quelque chose de nouveau. En effet, il allait rentrer à la fac. Il avait un an de retard dû à son redoublement mais ça ne le gênait pas. Malgré tout, il avait peur.
Chez Yuan :
Alors que Luciole était plongée dans un profond sommeil, il fut réveillé par des cris provenant de l'étage inférieur. Il grogna en espérant les stopper mais en vain. IL soupira de désespoir. C'était tout les jours pareils. Car il savait parfaitement ce qu'était ces cris. C'était encore une dispute entre Yulian et Kilian, 2 des quintuplés. Oui, les quintuplés. Car Luciole vivait certes ici, mais il n'était pas vraiment chez lui. Il vivait en effet chez son meilleur ami, Antony. Et ces fameux quintuplés n'étaient autres que certains des frères et sœurs de Antony. Certains ? Mais combien en a-t-il me direz vous ? Eh bien, si Luciole à bien compté, ils sont au total 10 dans cette maison. Avec lui. Il y 'a tout d'abord la sœur ainée, Anna. Puis il y'a Yuan, le grand frère. Puis vient Angélica, Antony et enfin les quintuplés : Yulian, Kilian, Malian, Lilian et Elian. Si on comptait aussi Anri, le fils ainé ils étaient en tout 10 enfants. Une grande famille. Grande mais très accueillante. Luciole n'oublierai jamais son arrivée dans cette famille. C'était après la mort de sa mère. Il s'était retrouvé seul, son père ne l'ayant pas reconnu. Car, oui il avait été élevé sans père, celui-ci ayant préféré les abandonné lâchement, de peur que sa femme officielle n'apprenne sa « trahison ». Il était donc l'enfant non désiré, l'enfant d'une maîtresse. Ainsi, au décès de sa mère il n'avait pas de famille, nulle part où aller. Puis, alors qu'il était bon pour l'orphelinat, il y 'avait eu un chamboulement : Antony, son meilleur ami lui avait annoncé que sa famille était prête à l'accueillir. Luciole n'avait pas hésité longtemps. C'est ainsi que depuis cette maison était devenue la sienne. Et il n'allait pas s'en plaindre. Il se leva donc, souriant face à ses souvenirs.
Chez Yukimura :
Le jeune garçon se dirigea sans bruit en direction de la chambre de son frère. Il entra sans bruit et le vit tranquillement endormi dans son lit, semblant faire un doux rêve. Il sourit et brandit alors les deux objets qu'il tenait en main : une cuillère en bois et une casserole. Puis… CLANG CLANG CLANG !
Le pauvre jeune homme se réveilla alors en sursaut sous le regard amusé de son frère.
« Hein ? Quoi ? »
Yukimura n'y tint plus et éclata de rire face à la tête de son petit frère. Celui-ci comprenant qu'il était la victime d'une mauvaise blague le regarda d'un air profondément agacé. Il ne supportait plus les gamineries de son frère ainé.
« Et tu trouva ça drôle ? »
« Bah…oui ! Tu verrais ta tête !! »
« Ah ah ah. »
« T'as une drôle de tête dis moi »
« Tu m'enerve !! Dégage de ma chambre Yukimura !! »
« Oh mais c'est que le petit Sasuke serait en colère !! »
« Casse-toi !! Laisse-moi tranquille !!!! Je veux dormir !! »
« Oulla ça va, du calme !! Je sors je sors ! »
Puis Yukimura sortit au pas de course en espérant que son frère ne ferait pas ce qu'il avait l'habitude de faire dans ces cas là, le bombarder de tout ce qui lui tombait sous la main Heureusement, il sortit indemne de la chambre.
Chez Kyo :
« Kyo !!! Debout !! Allez !! Vite !!! »
« Grrr… » Grogna le dit Kyo.
« Lâche-moi Kyoshiro !! Je dors !! »
« Lève-toi !!! Vite !! »
« Grrr…il est quel heure ? »
« 9h !! »
« Quoi ??? Mais il est beaucoup trop tôt ! Laisse-moi ! »
« Non !! Dans 3 jours c'est la rentrée !! Alors debout !! »
« … »
« Allez !!! »
« Ca va ca va !! Je me lève. Mais après je te tue. »
« C'est ça ! »
Puis Kyoshiro quitta la chambre de son frère, un sourire aux lèvres.
Pendant ce temps Kyo chercha en vain à retrouver le sommeil. Maudit Kyoshiro ! Il avait le don de l'énerver. La rentrée. Il ne voulait même pas y penser, bien qu'il s'en fiche. Ca sera comme tous les ans de toute façon : les mauvaises notes, les cours manqués, en solitaire. Il finit par se lever, tout en continuant de pester contre son frère.
Chez Mahiro :
Une jeune fille brune aux longs cheveux noirs était perdue dans ses pensées, assise au bord du lac qui surplombait un magnifique parc. Elle réfléchissait. Elle pensait notamment au changement radical qu'elle subirait dans 3 jours : la fac. Rien que ce mot, fac, lui mettait une boule à la gorge. ET ça l'énervait. Elle soupira en sortant de ses pensées et resta ainsi durant plusieurs heures à contempler l'eau claire, illuminée par les rayons du soleil.
3 jours plus tard :
Ca y'est. Le grand jour était arrivé : la rentrée. Un nombre impressionnant d'écoliers, lycéens ou encore étudiant se préparait à affronter une nouvelle année de galère. Mais pour certain, cette année risquait de changer leur vie d'un point de vue positif sans qu'ils ne le sachent.
