Hello tout le monde. C est ma premiere fanfic donc soyez indulgent. Je compte sur vos coms ^^
Chapitre 1 : Daena
"Où suis je ?"
Daena se réveilla dans une pièce inconnue. Elle était couchée dans un lit. Plutôt confortable, selon elle, malgré le faite que ce n'était pas le sien. Les seuls souvenir qui lui revenaient, c'était ceux de la bataille contre les spartiates. Elle s'aperçut qu'un homme la regardait. Pas dans son lit. A côté.
"C'est déjà ça, se dit elle, mais qu'est ce qui se passe ?"
*Flashback *
2300 ans plutôt
"Athéniens, AU COMBAT !
-YAAAAAAAAAAH !
La fureur s'empara de la pleine, devant la citée d'Athènes. Les spartiates et les athéniens versaient beaucoup de sang. Daena était la, en retrait, avec son arc. C'était la seule femme a avoir été admise dans l'armée. Elle avait du braver les interdits moraux de son époque, et prouver sa valeurs au tir. Deux traits fusèrent. Deux spartiates tombèrent. Elle avait fait mouche a tout les entrainements, forgeant sa réputation, et son respect. Elle avait héritée du ce don de son aïeul, Apollon. C'est le dieu qui avait tailler l'arc, et qui l'avait enchanté. Une flèche partie. Un mort de plus. Elle regarda le front, et constata que les soldats athéniens gagnaient du terrain facilement. Trop facilement. Elle pria Zeus et Apollon, pour que ce ne soit pas une ruse d'Eudimidas, le roi de Sparte. Ses prières ne furent pas exaucées :
"TUEZ MOI TOUT CES ATHÉNIENS !" entendit elle rugir a sa droite.
En effet, elle remarqua une quarantaine de guerriers spartiates, et leur roi, avançant vers eux. Elle rangea son arc et son carquois, prit son Xiphos, et partie a la mêlée. Le choc fut violent. Le sang coula rapidement, mais pas du côté spartiate.
Les soldats au front, constatant qu'ils n'avaient plus d'appuis, remarquèrent le stratagème des spartiates. Ils battirent en retraite, pour aider leurs frères d'armes. Mais il était trop tard. La discipline et l'expérience des spartiates avait eu raison des dernières résistances des archers.
Daena se retrouva acculée contre les remparts de la citée, luttant contre quatre adversaires. Elle tua le premier en plantant son épée courte dans la trachée du soldat, pris l'arme du cadavre encore chaud et décapita le second spartiate, et blessa le troisième.
"Prépare toi" entendis elle
Elle se retourna pour chercher la source de la voix. Fatale erreur. Déjà parce qu'il n'y avait personne, mais en plus, elle sentit une douleur intense dans sa poitrine, et une langue froide entrer et sortir de son corps. Elle se retourna et tomba. La phallange de son adversaire était tachée de son sang. Elle se laissât porter par les rumeurs de la bataille au loin, en attendant le coup qui l'achève fait. Puis, ce fut le noir.
Retour au présent
Vu par Daena
"Où suis je ? Répétais je
- ma chère vous êtes dans mon humble demeure de Carcassonne." Me répondit l'homme.
Carcassonne, ce nom m'était totalement inconnu. Je me surpris a regarder cet homme. Il avait un corps musculeux, portait un haut blanc sans manche et un bas bleu tirant vers le blanc. Quel manque de goût. Il ne portait même pas de toge. Il ne devait pas être riche. Il ne devait même pas être citoyen de Carcassonne. Probablement un esclave. Puis je remarquais sa couleur de peau. Elle n'était pas blanche, ni bronzée. Elle n'avait jamais vu cette couleur chez un homme. Ou une femme. Puis mon regard remonta vers son visage. Il était fin, avec des lèvres rouge pale, qui ressortait sur sa peau. Ses yeux en amandes cachaient des iris bleu-gris, qui mettaient en valeurs son nez fin. Ses cheveux noir n'était ni trop court, ni trop long, de sorte qu'il avait une mèche de cheveux devant ses yeux. Mèche qu'il relevait insolentement. Il me faisait penser aux aux êtres qui vivaient dans les lointaines contrées orientale, et qui tissaient une soie et du lin d'une qualité remarquable. Il me tira de mes pensées.
"Il était temps que tu te réveille
-Pourquoi ?
-Tu as dormis deux jours"
Deux jours. Je sentait une migraine se pointer, et mon corps tout endoloris me poussa me lever pour aller prendre l'air. Il essaya de me recoucher, mais il n'en eu pas le temps. Une douleur me terrassa. Je m'evanouis. Encore une fois.
