Elle s'avance discrètement, regarde qui est là et se lance. Et oui, je me décide enfin à publié cette fic'.
Bon, faut pas s'attendre à du grand art, mais voilà...
Bon je présente vaguement la chose. J'ai repris (essayé) le plus fidelement le monde imaginé par la fabuleuse JK Rowling, donc tout lui appartient. Je n'ai fait qu'introduire mon personnage, tout droit sorti de mon imagination, et donc les conséquences qui en découlent.
Ceci n'est qu'un (petit) prologue que je vous laisse apprécier. J'esserais de mettre la suite le plus vite possible (disons une semaine) mais je ne garantis rien.
Sur ce, Enjoy!
Je marchais en direction de la salle où nous avions cours de Défense Contre les Forces du Mal, quand, au détour d'un couloir, je le vis devant moi.
Marchant la tête haute comme à son habitude, entouré de ses habituelles acolytes, eux aussi allaient en cours. Je les suivis donc, après tout, nous allions au même endroit.
Je me rendis compte lorsque j'arrivais devant la porte que je souriais bêtement. Cela était-il dû au fait que seule une distance de quelques pas nous séparait ? Sans doute. Je savais pourtant pertinemment que c'était stupide. Depuis ma première année je m'imaginais pendu à son bras, ce qui m'insupportait au plus point puisque je détestais toutes ces greluches qui rigolaient bêtement pour un oui ou pour un non, alors que j'aurais été capable d'en faire de même si IL m'adressait la parole.
Mais je restais néanmoins lucide, je savais très bien que je n'avais aucune chance ; en 6 ans, il ne m'avait jamais regardé, je n'étais même pas sûre qu'il connaissait mon existence, et ce malgré les cours qu'on avait partagé durant notre scolarité. Car certes nous étions dans la même année, mais moi je n'appartenais pas à la maison des Serpentards, ce que pour être honnête je ne voulais absolument pas. Ma maison, Serdaigle, me convenait parfaitement et j'étais fière d'y appartenir.
De plus, je n'essayais pas de ressembler à toute ces bimbos sur lesquels fantasmaient la majorité des garçons de Poudlard. Non, je n'étais pas blonde avec un décolleté affriolant, ne cachant presque rien d'une poitrine volumineuse. Tout d'abord j'étais brune avec, lorsque le soleil daignait se montrer ce qui était rare en ces mornes journées d'hiver, des reflets couleur miel. Et je ne passais pas plus d'une heure le matin devant mon miroir, même si je devais reconnaître que j'étais tout de même un peu coquette. Mais cela me convenait tout aussi bien de ne pas être l'objet convoité d'une bande d'ado en mal d'amour, poussés par la testostérone.
Je vous l'avais dit que c'était court ^^. Mais après tout, c'est le propre d'un prologue, mettre l'eau à la bouche.
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