Bonjour, voici une nouvelle fanfiction de mon cru, étant donné que j'ai fini de rédiger ennui vital et qu'il ne me reste plus qu'à la poster.
Rating : T
Bashing : Sirius, Famille Weasley.
Je voulais faire un truc un peu différent,et cette fois la romance en sera le centre je pense ;D
Harry sortait du cours de métamorphose avec Ron et Hermione et se dirigeait vers le cours de sortilège. Il était assez impatient d'avoir ce cours, puisqu'ils allaient enfin apprendre les sortilèges de soins qu'Harry devait connaître pour passer le concours d'auror. Il était donc très motiver, à l'inverse de Ron qui semblait plus blasé qu'autre chose. Hermione, elle, était tout amusée de l'impatience de son ami. En entrant dans la salle, les deux amis laissèrent Ron pour se précipiter sur les place à l'avant de la salle. Le professeur commença son cours en amenant devant les élèves des souris invoquées, toutes légèrement coupées. Hermione râla un peu dur la mal que l'on faisait à ces animaux, mais le professeur la rassura en disant qu'elles ne ressentaient rien, qu'elle étaient plus comme des substituts, des illusions. Hermione sembla si intéressé qu'Harry eu peur qu'elle se lance dans un débat avec son professeur, et préféra donc poser une question à ce dernier à propos des sorts de guérison. Le professeur se mit donc à faire son cours, et après la théorie, il laissa place à la pratique. Les élèves furent nombreux à rater le sort. Mais Harry, lui, plus que motivé, réussit le sort du premier coup, comme se fut le cas pour Hermione et pour Malfoy. Ce dernier ne semblait pas surpris de sa réussite, alors que les sortilèges n'étaient clairement pas son point fort. Harry, lui, fuit plus que ravi, surtout quand il écopa de 10 points pour Griffondor. Cette petite victoire permis à Harry d'apprendre durant la suite du cour un sort plus puissant, qui permettait de soigner des blessures plus graves.
À la fin du cours, Harry était en joie. Les sorts de soins, en plus d'être importants pour ses concours, l'étaient aussi pour sa propre survie. En effet, cet été encore il allait devoir rentrer chez les Dursley, et vu la colère de son oncle, il devrait en avoir bien besoin. En fait, il savait qu'il en aurait besoin. Il avait longtemps demandé à Sirius de le garder avec lui pendant les vacance, mais ce dernier avait refuser, en affirmant qu'il n'était pas encore près à le garder pendant aussi longtemps. Cela avait fait beaucoup de mal à Harry, qui s'était sentit trahi. Mais il avait passé outre, et avait demandé à Ron si c'était possible de passer un moment au terrier. La encore, se fut un refus. Les Weasley partaient en effet en vacance, et ne pouvaient pas s'en occuper. Il avait voulu partir avec Hermione dans le monde moldu, mais le directeur avait refusé, en affirmant que c'était trop dangereux. Voyant qu'Harry était très déçu, l'homme qu'il considérait comme un grand-père lui a proposé de se préparer aux difficultés chez son oncle et sa tante. Il avait donc demandé à certains professeurs d'enseigner des sorts utiles pour Harry. Malheureusement, Dumbledore ne pouvait rien faire de plus, n'étant pas le tuteur magique d'Harry, et n'étant pas en très bon terme avec Sirius, qui refusait de laisser Dumbledore s'approcher d' était devenu le tuteur magique d'Harry depuis sa troisième année. Ce statu permettait de gérer la vie de l'enfant dans le monde magique, mais pas dans le monde moldu dans lequel les Dursley étaient encore légalement ses tuteurs. Harry était assez déçu du comportement de Sirius, qui ne s'occupait de lui que très rarement, voir pas du tout, et qui lui envoyait des lettres plates et vides de sens. Malgré cela, il ne perdait pas l'espoir que Sirius se remette de son long séjour à Askaban et devienne un bon parrain. Les cours se poursuivirent encore pendant deux semaines, et les vacances arrivèrent. En arrivant chez les Dursleys, Harry se souvient de pourquoi il détestait cet endroit. Devant lui se trouvait son oncle, le regard méchant, qui semblait déjà rouge de colère.
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C'est à cette heure que tu arrive ? Ça fait plus de 20 minutes que tu es censé être ici.
Désolé mon oncle, mais je n'ai pas pu faire autrement, le train était en retard.
Ne te cherche pas d'excuses le monstre. Rentre, il faut faire à manger à Dudley..''
En rentrant dans la cuisine, il vit Dudley qui trépignait devant la nourriture qui cuisait dans un poêle. À son grand étonnement, sa tante était en train de faire à manger. En se retournant vers son oncle, il vit une chose qu'il n'aurait jamais cru pouvoir assister. Son oncle tremblait de rage, mais semblait aussi incapable de dire quoique se soit. Dudley, lui, tremblait d'impatience. Pétunia se retourna, et fit un grand sourire à Harry.. ''Bonjour Harry, va t'asseoir, le repas arrive''. Le Survivant s'arrêta de respirer un moment. Mais il ne se fit pas prier, en se demandant ce qui se passait dans cette maison. Jamais sa tante ne l'avait regarder comme elle venait de le faire. Dudley vint s'asseoir à côté de lui, et Vernom, qui ne semblait pas décolérer, s'assit devant lui. Pétunia revint au bout d'un court moment parfaitement silencieux, et posa la nourriture devant son fils, et Harry. Elle revint ensuite avec son assiette et celle de son mari.
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Tu dois te demander ce qui se passe, commença t-elle.
Heu... un peu oui.
Je vais te raconter une histoire. Cette histoire, c'est la mienne. En étant jeune fille, ma sœur, ta mère, était une sorcière. Une brillante sorcière d'ailleurs. Mais ce que l'on ne ta pas dis, c'est que j'étais moi aussi une sorcière. Cependant, je ne suis jamais allé à Poudlard. Ma magie est faible, vois-tu. Et je suis une sorcière assez spéciale. Je n'ai pas de baguette. Toute magie que j'accomplis, je le fait avec mes mains. Quand ta mère est morte, je me doutais bien qu'on allait te donner à nous. J'étais, je dois le dire, absolument terrifiée de ce qui pourrait t'arriver. Mais il c'est passé quelque chose de grave. Plus grave que ce que j'aurais pu imaginer. En effet, Dumbledore n'est pas le seul à avoir pensé à nous. Un homme est venu, peu après que tu sois rentrer dans notre vie, pour me jeter un sort. À moi. Ce sort, c'est un sort de magie noir très puissant. Or, cette magie noire n'est pas traçable, et même Dumbledore n'a rien vu. Ce sort avait pour but de me faire oublier tout de l'amour que j'avais pour ma sœur, pour la magie. Et pour toi. Mais ce sort ne prenais pas en compte que j'étais une sorcière. Je l'avais toujours caché, surtout avec un mari qui ne pouvait pas en entendre parler, et qui m'avait ordonné de ne rien faire. Mais cela m'a permit de retrouver la mémoire, retrouver mes sentiments. Il y a un vrai danger qui pèse sur toi Harry, et ce danger, ce n'est pas Voldemort.
Mais... C'est impossible ! Vous détestez la magie ! Paniqua Harry.
Oui, parce que c'est ce qu'on m'a demandé de faire. Mais c'est fini maintenant. Avec Vernom, nous allons divorcer. Je serai ta seule tutrice. Tu pourra retourner à Poudlard en toute sécurité, et il ne t'arrivera plus rien. Je suis vraiment désolé Harry, de tout ce que j'ai laissé faire, de tout ce que j'ai fait. J'espère sincèrement qu'un jour tu me pardonneras mes erreurs. La femme prit Harry dans ses bras, dans un étreintes pleine de remords. Harry fondit en larme, le soulagement se déversant dans ses veines.
Mais qui ? Qui a effacé ta mémoire ?
Un ami de tes parents.
Peter ?
Non, l'autre, celui qui est allé en prison. Sirius je crois.
Mais pourquoi ? Cet homme est mon parrain dans le monde magique ! Pourquoi aurait-il fait ça ?''
Harry restait choqué, sans pouvoir comprendre les actions de son parrain. Qu'elles étaient ses motivations ? Et quel était le rapport avec son comportement actuel ? Ces questionnements continuèrent de suivre Harry durant toutes ses vacances, mais ces dernières durent tout de même les plus agréables qu'il n'avait jamais passé dans sa maison. Pétunia s'était avérée très intéressante, et contrôlait sa magie plus par l'instinct qu'autre chose. Ils avaient passé de très bon moments ensembles. Et finalement, il avait réussit à aimer sa tante. Elle s'était excusé de nombreuses fois. Mais Harry avait fini par lui pardonner. Il en voulait par contre profondément à son oncle, qui finalement n'avait pas du tout changé de comportement. Mais la maison était au nom de sa tante, et elle ne le lassait jamais lui faire du mal. Il avait donc passé de très belles vacances, et avait tout particulièrement apprécié le moment où sa tante avait simplement viré son mari de sa maison alors qu'il s'en prenait encore une fois verbalement à Harry. C'est donc le cœur léger mais l'esprit plein de question qu'il rentra à Poudlard. Il était bien déterminé à en parler avec Dumbledore, mais pas encore avec Sirius. Il avait peur de se tromper, ou que l'esprit de sa tante soit encore embrouillé. Il en parla avec Hermione, mais pas avec Ron qui semblait trop occupé à s'empiffrer. Cette dernière fut aussi surprise que lui. À la fin de la journée de rentrée, il se dirigea vers le bureau du Directeur, et commença son récit.
Dumbledore avait du mal à en croire ses oreilles. Il n'arrivait pas à croire ce que le petit Potter lui avait dit. Il avait pour cet enfant une affection sans faille. Il s'en voulait atrocement pour la mort de ses parents, qu'il n'avait pas réussit à convaincre de se cacher mieux que cela. Et ce qu'il lui disait là était tout bonnement trop douloureux. Déjà, il venait juste d'apprendre à quel point Harry avait souffert à cause de sa ''famille''. Il n'avait jamais pu prendre de nouvelles du bambin sans dévoiler sa localisation, et n'avait de toute façon jamais pensé que se serait nécessaire. Pétunia, bien qu'assez faible, était une sorcière, et une femme assez douce. Son mari était certes abjecte, comme l'avait soulevé Minerva, mais il n'avait jamais pensé que sa femme le laisserait faire du mal à Harry. Mais elle n'avait apparemment pas eu le choix. Si Sirius avait réellement envoyé ce sort, alors Dumbledore ne comprenait plus rien. De plus, Molly Weasley lui avait assuré qu'Harry, bien que maigrichon, était en bonne santé, et ne se plaignait jamais de mauvais traitement. Pourquoi aurait-elle mentit ? Si il y avait bien une chose qu'Albus Dumbledore détestait, c'était de ne pas savoir. Il décida alors de faire sa propre enquête, après avoir rassuré Harry.
Ce dernier était retourné dans sa salle commune et s'apprêtait à rentrer dans sa chambre quand il surprit Ginny et Ron parler entre eux.
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Apparemment, Harry a passé de bonne vacance. Sa Tante aurait retrouvé sa mémoire.
Quoi ? Mais c'est a dit que Sirius avait pris ses souvenirs.
Apparemment pas. Mais quoiqu'il en soit, il ne faut pas qu'Harry cherche plus loin. Maman nous a dit qu'il ne lui fallait plus qu'un mois avant de pouvoir régler son plan. Il ne faut pas qu'Harry fouille d'ici là.
Il faut qu'on puisse le distraire. Si il apprend ce qu'il est, il voudra tout revendiquer, et nous aurons tout perdu.''
Harry ne savait absolument pas comment réagir. Il s'enferma dans son lit, en bloquant les rideaux, et réfléchit le plus vite possible. Il ne comprenait pas pourquoi Ron agissait comme cela, mais il était hors de question qu'il fasse comme ils le souhaitaient. Cela faisait maintenant un certain temps qu'il doutait de l'amitié de Ron, surtout après le tournois des trois sorciers. Il ne se parlaient plus que pour faire plaisir à Hermione, qui vivait encore dans leur amitié à trois. Il devait lui parler en toute urgence. Et il le fit. Il savait qu'il pouvait lui faire confiance. Après l'avoir trouvé et lui avoir tout raconté, les deux amis mirent un certain temps à comprendre ce qui se passait. De ce qu'il pensaient avoir compris, Ron et Ginny souhaitaient soutirer à Harry quelque chose. Sirius aussi apparemment. Harry avait du mal a digérer cette information. Sirius était un ami de son père, et il avait trahi sa confiance. Harry lui en voulait tellement, d'avoir été si hypocrite. Il n'avait finalement pas trop de mal à accepter que l'on trahisse sa confiance. L'année du tournois avait été assez significative quant aux trahisons, avec le faux Fol Œil et Ron. Et le vacances de cet été semblait simplement suivre le cour de la vie d'Harry. Il était dégoutté. Et Hermione le comprenait. Elle se sentait tout autant trahie et voulait vraiment prendre soin de son ami. Elle le força donc à sortir avec lui en l'emmenant dans les jardins du château afin de faire une petite balade, histoire de se calmer un peu. Une fois dans les jardins, le deux amis marchèrent main dans la main. Ils avaient tout les deux peur, ils ne savaient pas quoi faire, ils ne savaient pas à qui parler, et de quoi parler. Mais il restait une chose qu'ils ne feraient pas, et c'était de se laisser faire. Ils devaient penser à un plan d'action.
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Comment on s'y prend, commença Harry.
On ne s'y prend pas, on s'adapte. On voit ce qui se passe, et on fait en sorte de cacher que l'on est au courant de certaines choses.
Mais il sait pour ma tante.
Il faut que tu lui fasse s croire que tu n'as pas cru ta tante, ou plutôt que tu ne veux pas la pardonner.
Mais il va jamais me croire !
Ne t'en fait pas pour ça, ça reste Ron. Ce garçon n'est pas une lumière... ricana Hermione.
En effet, c'est le moins qu'on puisse dire, pouffa en retour Harry.''
Les deux amis partirent dans un fou rire nerveux, leur stress s'écoulant en même temps que leur rire. Ils avaient peur, oui, mais ils étaient ensemble. Alors ils étaient près à tout. Ils rentrèrent donc dans le château, et quand ils croisèrent Ron, ils ne firent aucuns mouvements de recul ou de dégoût. Ils affichaient une amitié simple et agréable, comme depuis toujours. Mais Ron, lui, était bien moins discret. En effet, il semblait incapable de se contenir à propos des découverte d'Harry. Ce dernier le rassura en lui assurant qu'il ne pardonnait pas à sa tante, et soupçonnait même qu'elle ne lui ai dit cela que pour pouvoir toucher à sa fortune à Gringott. À ces mots, Ron sembla plus stressé. Harry et Hermione s'en rendirent compte, mais ne dirent rien. C'était une piste à creuser. L'argent. Mais cela ne semblait pas suffisant. Harry avait certes une grande quantité d'argent dans son coffre à Gringott, mais pas de quoi tenir plus que ses études et de s'acheter un appartement raisonnable dans le Londres magique. Il devrait travailler, comme tout le monde, à la fin de ces dernières. Ron ne pouvait donc pas vraiment le trahir pour ses sous.
Finalement, ils ne poursuivirent pas la conversation, par peur de se découvrir pour Ron, et par simple lassitude pour les deux autres. Ils se rendirent dans la grande salle pour dîner. Sur le chemin, ils croisèrent Draco Malfoy, qui leur jeta un regard hautin mais qui ne dit rien. Cela faisait un certain temps que Malfoy était devenu un peu plus cordial qu'au début de leur scolarité. Il était même le partenaire d'Hermione en potion, et cette dernière n'arrêtait pas de louer son intelligence, au grand damne de Ron. Harry, lui, ne faisait pas réellement attention au blond. Ils s'ignoraient principalement, et quand il fallait qu'ils se parlent, c'était toujours de manière distante, sans cordialité superflue.
Mais ce matin, étrangement, le regard de Malfoy, bien qu'il eu commencé hautin, se fit plus doux. Il se planta devant Harry, sans aucun geste violent ni agressif. Harry s'arrêta aussi, étonné de l'action de son camarade. Ce dernier sembla hésiter un instant, et finit par prendre un grande inspiration. Avec un sourire que l'on pourrait qualifier de charmeur, Draco tendit sa main vers Harry, avec un simple mot ''amis''. Harry mit un instant avant de comprendre. Ron le fit avant lui, et se mis à hurler dans tous les sens sur Malfoy. Malfoy qui n'avait pas baissé sa main, et qui regardait toujours Harry, qui vit dans ses yeux beaucoup de sentiments. Le premier était de la détermination, le second de la peur, du regret et finalement autre chose de plus profond, qu'Harry n'arrivait pas à déchiffrer. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait besoin de plonger dans ce regard, d'accepter cette pognée de main. Parce qu'il n'aurait pas du la refuser des années plus tôt. Il n'aurait pas du et il se refusait à faire deux fois la même erreur. Mais Draco voulait déjà baisser sa main, le regard remplis de déception. Harry ne le laissa pas faire. Il se précipita presque sur la main qui retombait, et la sera délicatement. Draco, surpris d'abord, fit un mouvement de recul. Mais il se reprit bien vite, et sera la main de son nouvel ami en retour. Ami. Comme il l'aurait voulu des années auparavant. Il avait mit longtemps avant de se décider de redemander cette amitié, et il avait eu très honte face à l'absence de réaction d'Harry. Mais face à son empressement à lui ressaisir la main, il avait compris que son ancienne Némésis était sur la même longueur d'onde que lui.
À ce moment là, Harry savait qu'il allait perdre l'amitié de Ron, son geste étant surement vécu comme une trahison. Mais il s'en fichait. Il c'était trouvé un nouvel ami. Un ami qu'il avait choisit. Alors oui, il avait serré cette main. Mais il la serra autant de fois qu'il le faut pour pouvoir être ami avec Draco Malfoy. Parce que si il y a bien quelque chose d'important dans le monde, c'est la sincérité. Et ce regard transpirait de sincérité.
Qu'en avez vous pensé ? Cela vaut il le coup que je continu ?
