Auteur : Syrria
Genre : De tout et surtout torture mouhahah
Je dis plus rien a vo yeux maintenant
Un léger malentendu
POV prisonnier
Mal...j'ai tellement mal, comment peut on survivre avec une douleur pareil. Depuis combien de temps suis je là, attaché a cette chaise...la tête qui pend dans le vide...Une heure, deux heures, un jour voir peut etre une semaine. J'ai perdu toute notion de temps depuis...depuis cette mission. Pense y, ne décourage pas...ils viendront te chercher...Satané mission de reconnaissance. Tout ce qui parait de plus banal. Du café, les Alzoriens avaient du café. Comme ma mère le disait, il ne faut jamais se fier aux apparences. Et bien sur je ne l'avais pas vu venir, tout ca a cause de ce stupide contrat. Après plusieurs heures de négociation, nous repartions les bras chargés de café. Mais..il y a toujours un mais...avant de passer la porte, les Alzoriens se mirent en travers de notre chemin..comme ci ils pouvaient pas nous laisser passer. Une fléchette m'atteignit et tout devint noir. Le plus horrible c'est que je pouvais tout entendre mais intervenir m'était impossible.
-Que faites vous ?
-Nous prenons notre part du contrat dit un homme.
-Quoi !! Mais le contrat spécifiait des médicaments et un moyen de vous défendre s'écria une jeune femme.
-Il ne vous reste plus qu'a nous donner les médicaments, et nous vous donnerons d'autres fruits et de café déclara le chef du peuple.
-Mais...
-Au revoir cher allié et à très bientot..
Les atlantes voulurent protester mais voyant qu'ils ne plaisantaient pas, ils partirent contre leur gré laissant leur ami derrière eux. Ils se promirent de revenie le libérer.
Dans sa cellule, il repensait a tout ce qui s'était passé, certes il le traitait bien mais cela en dehors des séances de torture. Elles avaient pour but de lui faire avouer tout ce qu'il s'avait. Bien sur tête de mule qu'il était il n'avait rien dit...
POV prisonnier
Tout est noir, le noir m'obsède. Pourquoi m'avoir mis dans cette cage sans fenêtre. Je commence à devenir fou dans ce noir. Ils me glissent à manger à l'aide d'une petite trappe et je me jette dessus. Même cette ouverture est dans l'obscurité.
-Ne pas devenir fou...non je ne suis pas fou...pense a Atlantis...à ton équipe qui te cherche..
Après plusieurs heures entre la réalité et la démence, un homme entra dans la cellule. Il était étrangement vêtu d'une toge beige ainsi qu'un chapeau orné de plumes multicolores. Cette accoutrement était ridicule. Il était déjà venu auparvant. Il ne disait jamais rien ce qui me stressait atrocement. Rien de pire que de regarder des gens qui vous regardent sans rien dire. Cette torture psychologique était tout bonnement atroce. J'eu peur d'être ébloui par la lumière qui pouvait entrer. Mais aucune lumière ne pénétra dans la cellule. Il avait attendu la nuit pour venir le voir.
-Bien le bonjour Atlante, je ne me suis pas encore présenté. Je m'appelle Tarcin et je suis le chef de ce peuple.
-Quel nom ! rigola le prisonnier.
-Je vois que vous commencez à perdre la raison, c'est un bonne chose.
-Moi...perdre la tête...dans vos rêves les plus horribles...et puis dîtes moi pourquoi vous me retenez prisonnier.
-Laissez moi le temps de vous expliquer. Le contrat spécifié un moyen de se défendre et je n'ai pas précisé quel genre de moyen. Vous m'appartenez, vous êtes entièrement à moi. Pour commencez mettez cela autour de votre cou. Avec de la coopération nous arriverons à notre fin.
Il me lanca une sorte de corde qui avait un collier parsemé de diamant. En son extrémité, il y avait un collier avec de la fourrure. Je regarde le collier et Tarcin alternativement. Il me jeta un regard avec à la fois de la haine et de la tendresse. Mon visage vira au blanc.
-Vous êtes complétement malade ma praole, jamais je ne porterais ca. Vous entendez jamais ! Allez vous faire foutre.
Je le savais j'en avais trop dit, je le vis s'avancer vers moi un sourire machialévique sur les lèvres. Il se pencha vers moi, et enleva ses gants. Il enleva mon tee-shirt et commenca a parcourir mon torse avec ses mains chaudes. Je frissonais, je ne pouvais pas reculer, jétais pétrifié. Il continua et descendit de plus en plus bas, ouvrant mes boutons de pantalon. Je ferme les yeux et essaye de penser à autre chose.
-Arretez s'il vous plait, que voulez vous de moi.
Tout en continuant il répondit.
-Je veux que vous m'aidiez moi et mon peuple à se protéger des wraiths, sinon je vous ferrais pire que ca.
-Et si je refuse...
-Vous le regretterez toute votre misérable vie et je vous ferais subir les pires tortures qu'on peut imaginer.
J'aquiesce et Tarcin arrêta. Je me decrispe et il me met autour du cou la laisse et me lève de force. Il me pousse avec violence hors de la cellule. Je gemit un instant et lève ma tête pour apercevoir le village où nous avions fait ce foutu contrat. Je suis paralysé, il me somme d'avancer mais je ne fais rien, je lui résisterais.
-Avancez c'est un ordre...
Je ne l'écoute pas, je le vois sortir une petite télécommande de sa toge et appuie sur un bouton rouge qui me hante. Je sens mon collier se serrer, l'air se fait de plus en plus rare. Mes poumons réclament de l'oxygène, mes bras bougent..Rien n'y fait..je tombe à terre..ma vue se brouille...je ne hurle même pas..
-Ce collier est doté d'une puce, il a servi pour des gens comme vous, qui n'obéissent pas à leur maître. Dorénavant vous m'écouterez.
Je perdis conscience quand il eut fini cette phrase. Je pus seulement entendre ces paroles.
-Chef les amis de votre compagnon sont revenus..on ne peut pas les arreter...
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