Disclamer : Les maraudeurs ainsi que Lily (Poudlard) ne sont malheureusement pas de moi mais de Joanne Kathleen Rowling. Je les empreintes juste le temps d'un rêve.
MAIS…
Alicia Myriam ET l'histoire est de moi, moi et encore moi…Pas touche !! Sinon vous subirez mon terrrrrriblllllllllle gourou.
Donc comme je viens de le dire ceci est une fiction donc les lieux et personnages sont aussi fictifs que le père noël…. (On ne sait jamais si ils y en à qui se reconnaissent dans ma fic)
Chapitre un : L'attaque
En cette nuit d'automne malgré la pénombre des bois on pouvait encore distinguer les couleurs des feuilles jaunes, brunes, oranges et rouges tomber en tourbillonnant, s'envolant avec le vent. Mettant de la couleur, du mouvement dans toute la forêt.
Moi je n'y faisais pas vraiment attention je sentais à peine le vent pourtant glaciale qui dansait dans mes longs cheveux roux.
A vrais dire je n'en avais que faire. Trop absorber dans mes pensées.
Je me présente, je me nomme Lily Evans et je suis perdue.
Non pas dans le sens littérale comment pourrai-je me perdre dans ces bois si bien connu ?
Mais je ne comprenais plus les hommes. En ces temps de guerres et de bataille je ne comprenais plus la passion destructrice qui les animait. Je ne comprenais plus la vie en elle-même.
Je regardai autour de moi et je remarquai le silence qui m'entourai comme si la foret s'était tu pour m'aider à mieux réfléchir.
Cela faisait un moment que je n'y étais plus venue. Alicia et Myriam m'avaient demandée d'éviter la forêt ces temps ci car on y avait repérer quelques activités de Mangemort.
Mais en défit de toute leurs recommandations, aujourd'hui je n'avais pas emprunté le chemin habituel qui était plus long mais qui faisait le tour de la forêt .Cette nuit je sentais le besoin de réfléchir dans un endroit calme et ou je se sentais bien.
Et le fait que quelque Mangemorts venait ici pour prendre des vacances n'allait pas m'empêcher de me balader ce soir…
Non je ne devais pas avoir peur. La peur ne fait que renforcer leurs dominations.
Et dire qu'il y a quelques années on prenait Voldemort et ses Mangemorts comme une petite secte sans intérêt. Voila ou on est arrivé maintenant…Ils sèment la peur et la destruction partout ou ils passent.
Pris d'une impulsion soudaine je chottai dans l'amas de feuille devant moi. Il était loin le temps insouciant de Poudlard.
La plus grande crainte des citoyens d'aujourd'hui est de voir « la marque des ténèbres » au dessus de leurs maisons. Et de voir leurs familles détruites.
A présent les meurtres étaient devenus mon quotidien. En tant qu'aurore j'avais déjà vu un millier de fois cette marque planer au dessus d'une habitation où je devais enquêter.
Je riais toute seule de ma penser.
Enquêter !! Et enquêter sur quoi ? Les Mangemorts ne laissaient presque jamais de trace et à chaque fois que j'arrivai sur les lieux, il etais trop tard. Les familles étaient déjà à jamais brisée. Tous ceux qui se trouvaient dans les parages au moment du meurtre étaient devenus fou à cause de doloris répétitif ou morts. Les fous on ne peut pas vraiment s'y fier. Quant aux morts c'est connu ça ne parle pas comme dirait James.
Tien un autre sujet qui rendait mes journées pas très gaies.
J'avais réussi à devenir Aurore mais malheureusement pour moi Potter et ses amis maraudeurs aussi. Et ils me rendaient parfois la vie impossible. Peut être que je...
Un craquement de branche derrière moi me sorti de mes pensés et je me retournai sur mes gardes tout en sortant ma baguette de ma poche. Tout ce que je parvint à voir était un corbeau qui s'envolait doucement de sa branche inconscient de la frayeur qu'il venait de me causer.
Soulagée d'être toujours seule, je regardai néanmoins la pénombre des bois pour m'assurer qu'il n'y avait rien.
- Retourne-toi …doucement…et pas de mauvais coup. Murmura une voix dure et trainante à mon oreille.
J'allais me retourner pour jeter un sort sur le fou qui se tenait derrière moi mais je du me raviser quand je senti quelque chose de dure entre mes omoplates…
Une baguette… Ce n'est pas vrai…sur le moment, je m'énervais de m'être fait avoir comme une débutante.
Mon agresseur profita de ma surprise pour m'arracher ma baguette des mains. Je l'entendais heurter le sol plus loin.
Ce n'était pas mon jour.
- Retourne-toi !! Ordonna une nouvelle foi la voix.
Je se retournais lentement et quoique je m'en doutais déjà, je fis un mouvement de recul lorsque je vis que je me trouvais face à face avec un Mangemort.
Le Mangemort fit un rire mauvais et d'un geste rapide, il enleva sa cagoule dévoilant ainsi une figure pale, des yeux couleur d'acier, de longs cheveux blonds, et un sourire très, très mauvais aux lèvres…
-Lucius Malefoy sifflait-je rageusement.
-Lui-même Lily ! Et tu vas bientôt le regretter …
Il laissa sa phrase en suspend et colla son corps contre le mien. J'en frissonnai de dégout. Sa baguette se posa sur mon coup et je senti qu'il me tira les cheveux en arrière de tel manière que je fus obligé de me mettre à genoux. Je m'obligea à garder les lèvres closes sur le cri de douleur qui menaçait de m'échapper. Non je ne lui ferais pas ce plaisir.
-Je vais te faire souffrir, oui beaucoup souffrir car à cause de toi le seigneur des ténèbres à perdu plusieurs de ses fidèles Mangemorts ! Et il n'est vraiment pas content. Ce sera une belle occasion pour moi de monter de rang. Imagine ma récompense lorsqu'il lira demain dans les journaux qu'on a retrouvé ton cadavre tellement mutilé qu'il en était méconnaissable.
Il me regarda fixement. Je me retint de lui cracher à la figure les mots qui me venait à l'esprit.
-oui, j'ai de grand projet pour nous deux. Malheureusement les tiens serons de courte duré.
Il me repoussa et je m'étalai à terre de tout mon long. J'en profitai pour chercher ma baguette des yeux et je commençai sérieusement à paniquer quand je ne la vis pas. Trouve une idée Lily…vite…
-C'est dommage continua Lucius en tournant autour de moi comme un lion ferait sur sa proie. -On aura fait de grande chose ensemble. Surtout que tu n'est pas mal pour une sang de bourbe et je suis bon en pas mal de chose souffla t'il de manière très suggestive dans son oreille.
-Tuer des gens sans aucune pitié ? Torturer et lécher les bottes de ton maitre comme un petit toutou. Merci je connaissais déjà tes talents Lucius…je répondis froidement.
Son sourire se froissa. Tan mieux.
-Et toi donc Lily tu préfère suivre un vieux fou. Je ne savais pas que tu savais jouer aussi bien la comédie. Toi une sang de bourbe et une espionne de Dumbledore infiltré chez nous qui l'aurait cru ? Tu avais presque l'air d'une sang pur dans ta jolie robe de Mangemort. Mais je vais te faire payer ta trahison. Ho Lily Dit t'il d'une voix faussement triste -Tu as choisi le mauvais camp.
Je rampai mettant de la distance entre moi et cet assassin tout en cherchant encore des yeux ma baguette.
-Qu'est ce que tu cherche ? Ta baguette ? Tu n'en auras pas besoin là ou tu va. assurât Lucius avec un grand sourire qui ne présageait rien de bon.
-Endoloris lança t'il soudainement
D'abord surprise je me tordis à terre. Me mordant la lèvre pour m'empêcher de crier.
Quoiqu'il me fasse je ne vais pas lui donner ce plaisir là.
J'essayai d'ignorer la douleur qui perçait ma peau comme des coups de couteaux. . C'était peine perdue la douleur revenait en vague de plus en plus douloureuse. Tout mon corps en était atteint.
Sur le moment j'en oubliai tout. Que j'tais une aurore, que j'étais une Gryffondore courageuse. Que je devais me sortir de là. Non. L'important était la douleur. Je voulais m'échapper, m'échapper de cette douleur courir …mais je ne réussi qu'à me mettre à genoux.
Je sentis dans ma bouche un gout métallique, un gout de sang…Je m'étais mordue la langue sous la douleur.
J'étouffai un cri. Me pliait de douleur encore et encore. Priant pour que je tombe bientôt dans l'inconscience.
Mais mon corps, entrainé à subir le plus longtemps possible la douleur, ne me donna pas ce privilège. Alors je priais que quelqu'un vienne.
Tout d'un coup le sort s'arrêta et la douleur s'estompa. Je repris son souffle péniblement essayant de me redresser. Et aussitôt mon esprit se remit automatiquement en marche pour trouver une solution et me sortir de là.
-Alors s'en est assez ou je continue??A moins que tu préfères te joindre à nous ? Tes informations sur l'ordre du phœnix nous serons très utiles. Et je te promets une mort rapide et sans douleurs après. Alors qu'en dis-tu ? Hum ?
Je réfléchis à toute allure au meilleur moyen de s'échapper.
-…je…je
Lucius s'accroupi a ma hauteur. Je compris alors, qu'il n'y avait aucune échappatoire. Je n'avais plus ma baguette et je ne pouvais plus se relever, je n'en avais plus la force.
Je ne lui ferais pas le plaisir de le supplier.
-Jamais…jamais…va te faire foutre…
Je repris un peu de ses esprits la respiration saccader et arriva après quelques efforts à soulever ma tête et avec mes dernières forces je lui crachai dessus pour lui montrer mon point de vue avant de sentir mes forces m'échapper.
Et le néant m'envahir...
-Lil…li…Lily…
Une voix d'homme. Il m'appelle.
Que cet appel semblait lointain … Je sentis deux mains me tenir fermement par les épaules et me secouer.
Non ! Qu'on me laisse tranquille. Je ne veux pas.
-Lily !
Je forçai mes yeux à s'ouvrir. Ma vue était brouiller je n'arrivais pas à voir correctement et mon dieu que j'avais mal partout.
-Lucius !! Criai-je en me remémorant ce qui c'était passer tout en essayant de me dégager des bras qui me retenait fortement. M'arrachant une plainte de douleur.
-Ne t'inquiète pas tout va bien, il est parti tu es en sécurité. Dit une voix rassurante.
A ces mots je tournai la tête vers la voix en question. Je clignai plusieurs fois des yeux afin d'enlever le voile flou qui m'empêchait de bien voir. A ce moment tout ce que je pus distinguer ce furent deux iris bleus tellement beau qui reflétaient en ce moment toute la tendresse et l'inquiétude du monde.
Ses yeux, s'était tout ce que je parvenais à voir. Deux morceau de cristal le plus pur. Si irréel.
J'eu comme le sentiment que ce qui m'avais été pris il y a des années se retrouvait là devant moi.
Il m'est revenu… Il est là…
Je voulais… le toucher. Je ne savais plus ce que je faisais. J'allais bientôt de nouveau tomber dans l'inconscience.
L'esprit de plus en plus embrouillé, sans trop savoir pourquoi je me mis à caresser tendrement sa joue terminant ma caresse par ses lèvres qui me parurent si tentatrice.
A la limite de l'inconscience je me redressai lentement afin d'arriver à la hauteur de son visage et alors que je fermai doucement mes paupières.
Je posai mes lèvres sur les siennes.