Titre : Le loup
Raiting : T
Disaimer : Tous les personnages sont à Square Enix et l'univers est celui du Chaperon Rouge.
Note :
Il ne faut pas faire attention aux fautes d'orthographe et autre.
Je suis méchante avec les personnages que je ne supporte pas.
J'ai bien le sang donc il y aura des descriptions plus ou moins précises des victimes.
J'aime le Yaoi donc pas de mystère il y a forcément une histoire d'amour et peut être un lemon.
Pairing : Cloud/Zack (ils sont trop beau)
Bonne lecture !
Dans le petit village de Nibelheim les gens ne sortent jamais la nuit et toutes les nuits de pleines lunes on attache un animal sur un autel en bois. Les adultes ne m'ont jamais dit pourquoi on avait peur la nuit, tous parlaient d'un loup, mais je n'ai pas compris ce que c'était. Je sais juste que le matin l'autel et vide et qu'il ne reste plus rien de l'animal, à part un morceau de cuir déchiqueté.
Lors que j'eu treize ans ma mère m'expliqua ce qu'était le loup, des lors je pris l'habitude de dormir avec mon meilleur ami et voisin Zack Fair. Sa maison et la mienne se touchait et nos parents ne furent pas contre le fait que deux garçons dorment ensembles.
Bien sur ils avaient entendu parler de Angeal, Séphiroph et Genesis qui vivaient ensemble et fessaient apparemment l'amour ensemble, mais eu ce sont des cas à part comme dit ma mère.
Pourtant à quinze ans Zack et moi on tomba amoureux l'un de l'autre ne me demander pas comment c'est comme ça c'est tout.
A partir de là ce fut compliquer de dormir ensemble en plus mes parents et les siens parlent sans arrêt de mariage.
Un jour, au village, la vie changea, alors que je regardais Zack couper du bois dans les rayons du dernier matin d'automne on entendit des gens crier que le loup avait rompu le pacte. On accouru sur les lieux, le pacte disait que le loup ne devait pas manger d'humain si il est rompu c'est que…
Tout le village était dans le champ, la récolte étant fini la paille était en petit monticule de la taille d'un homme fort (deux mètre dix si vous voulez) dessus se trouvaient des fleures bleu et une légère couche de givre. Au milieu du champ se trouvait mes amis et ma famille. Je m'approchais, des gens voulurent me stopper mais je continuais à avancer.
Une odeur me prit le nez, une odeur de sang frais et de viande haché qui me retourna l'estomac. Au milieu du champ, se trouvait ma petite sœur, Violette, enfin ce qu'on avait dit être ma sœur car je ne vu de ma sœur que la tête intacte, sont torse et son ventre étaient déchiqueté, les côtes était sortie de sa cage thoracique et tourner vers le ciel, les restes de ses organes étaient soit dans son ventre soit autour, son bras droit était partiellement dévoré, le gauche avait disparu, les jambes semblaient plus mince et je compris a la quantité de sang qu'il ne restait que les os. Le sang, il était étalé comme une grande flaque tout autour d'elle.
Je criais, je pleurais, l'appelais aussi fort que je pus pensant que si je criais assez fort elle se réveillerait. Zack me prit dans ses bras et m'emmena loin du massacre.
Une fois dans notre chambre il verrouilla tout et me prit dans ses bras me berçant comme un enfant. Son torse était grand et chaud, ses bras réconfortant, son odeur épicer me calma progressivement et les battements de son cœur me parurent la plus douce des musiques. Mes larmes coulaient toujours, il m'embrassa les yeux et effaça les traces humides.
« Souri moi Cloud. Dis-moi que tu vas bien. Me supplia t-il
_ Zack… je… Je »
Je recommençais à pleurer me coulant à son corps voulant fondre en lui. Il continua à me bercer. Le soir tombait, nous descendîmes manger, je ne lâchais plus la main de Zack, je cherchais tout le temps son contact, il était ma dernière ligne de secoure avant la folie. Le repas ne comportait pas de viande et encore heureux je ne pense pas que je supporterais d'en manger après avoir vu la dépouille de ma sœur. Personne ne dit un seul mot de tout le repas. Une fois qu'on eu fini de manger Zack et moi somme retourner dans la chambre, je me suis allongé et il se positionna au dessus de moi.
« Laisse-moi effacer ta douleur. » me dit Zack.
Il se pencha sur mon visage et m'embrassa, ses lèvres étaient douce et chaudes. Son corps se colla au mien, il était dur. Son contact m'électrisa, je fus prit de frénésie et chercha son contact le plus possible. Je le voulais sur moi, en moi, ses mains me frôlait les flans, il retira mon haut puis le sien. Il parti à la découverte de mon corps se nourrissant de mes gémissements, goutant ma peau, je perdais pied. Lors qu'il revient sur mes lèvres il en profita pour caresser la bosse qui déformait mon pantalon. Je collais mon bassin au sien et nos gémissements furent interrompus par la barrière de nos lèvres soudées. Il me retira mon pantalon avec une lenteur malsaine posant des baisers papillons sur ma cuisse droite, au creux de mon genou, le long de mon mollet, jusqu'à ma cheville, avant de refaire le chemin inverse sur l'autre jambe. Son trajet fut accompagné de mes gémissements vainement étouffé par mon poignet. Il remonta sur mon vissage et prit mon poignet meurtri dont il embrassa les marques de dent.
« Ne retiens pas tes cris, me dit-il, ils sont pour moi a plus douces des musiques. »
Sa voix était roque et plus profonde que d'ordinaire, elle était magnifique. Il descendit m'embrassant le cou, la clavicule, le torse, s'arrêtant sur les tétons avant de continuer vers le nombril puis en fin il arriva à ma virilité.
Malheureusement on frappa à la porte du côté des Zack, ses parents voulaient de ses nouvelles.
