Bon... C'est que je poste souvent moi en ce moment! Bref, me revoici avec une nouvelle fic' sur les deux de la sixième (peux pas m'en empêcher, j'adore la dynamique de ce binôme) encore plus délirante, et pour une fois j'ai un peu de texte en avance donc pas de risque d'attente de six mois prévu.

Par contre l'idée principale est complètement stupide vous êtes prévenus.

Enjoy!

Disclaimer: rien à moi, tout à Tite Kubo


La nuit tombait à peine à la Soul So… Non.

Le jour se levait tout juste à la… Non!

Le soleil était haut dans le ciel à la Soul Society.

Il faisait une chaleur écrasante, les animaux eux mêmes n'osaient sortir de leurs terriers/nids/cachettes/rayez la ou les mentions inutiles et de l'ombre qui les protégeait.

De temps à autre on pouvait apercevoir un shinigami se traîner tel une pauvre hère en direction du réfectoire de sa la capitainerie de la sixième un bruit, tel le grondement du tonnerre, se fit entendre.

Il était midi pile.

Renji avait faim.

Son capitaine, assit derrière son bureau, se retînt de lever les yeux au ciel, geste indigne de sa noble personne.

Pourquoi une telle exaspération pour une simple manifestation corporelle, purement inconsciente,me demanderez-vous?

C'est bien simple. Le lieutenant de la sixième division -Abarai Renji de son nom- était de ces personnes -Oh combien agaçantes!- dont l'estomac est comme un réveil, programmé pour sonner à heure fixe.

Et ce, sans se soucier nullement des horaires de service, évidement.

Or nous étions mardi.

Oui, le mardi, le jour que Renji -et désormais son capitaine également- détestait le plus.

Le jour où les officiers supérieurs passaient au dernier service.

Comment? me direz-vous, Byakuya Kuchiki, ce monstre d'indifférence, préfère certains jours de la semaine à d'autres?

Non.

Ou du moins, c'est ce qu'il vous aurait répondu il y a trois ans. Mais tout avait changé depuis l'arrivée de son vice-capitaine.

Oh, je vous vois venir! Pas la peine de sortir de fleurs!

Le capitaine Kuchiki, glaçon national de la Soul Society, plus froid que le Froid lui-même (qu'il avait d'ailleurs détrôné à grand coups de regards frigorifiques) et répondant au doux surnom de Capitaine-Iceberg en avait assez.

Assez de devoir surveiller son insupportable vice-capitaine tous les mardis, de sa sonnerie stomacale de 12h00 à la pause déjeuner de 14h00.

Assez de l'entendre se plaindre.

Assez de devoir supporter les rappels du radio-réveil qui servait d'estomac à ce bon à rien d'Abarai, et qui se produisaient à intervalle fixe, c'est-à-dire toutes les cinq minutes précisément, ce qui faisait vingt-cinq fois en deux heures (oui, oui! Le capitaine Kuchiki, dans un moment de faiblesse les avait comptés).

Et plus que tout, le capitaine Kuchiki en avait assez de devoir rester de marbre face aux conneries qu'inventait son vice-capitaine dans l'espoir de le faire craquer pour qu'il le laisse aller manger plus vite.

«-Capitaine il fait beau aujourd'hui, n'est-ce pas?»

Et tous les mardis, le même schéma se répétait, inlassablement. Le capitaine avait d'ailleurs dressé une liste.

Étape n°1: Entamer la conversation avec un sujet bateau.

Done.

Il semblait au capitaine que le sujet du jour se résumerait à la pluie et au beau temps.

«- Quoiqu'un peu chaud, si vous voulez mon avis...»

Byakuya se retint de lui dire que non, il ne voulait pas son avis.

«- Je pense d'ailleurs que nous aurons de l'orage sous peu, la pluie sera la bienvenue et permettra de réapprovisionner le Gotei en eau. Il faudra néanmoins faire attention aux fortes bourrasques de vent, qui pourront atteindre des pointes à cent vingt kilomètres par heure dans les quartiers des divisions une, deux et douze (comme quoi la nature est bien faite). On observera également une étrange pluie d'hommes hurlants et de petites gouttes rouges accompagnée d'un ouragan ricanant produisant un bruit de clochettes dans les quartiers de la onzième. Les divisions huit et six peuvent s'attendre à une pluie de pétales de cerisiers et...»

Le capitaine sentant la migraine poindre tenta de faire abstraction de la voix plus qu'agaçante de cet imbécile d'Abarai.

Il se demanda soudain si Ichigo n'avait pas encore fait regarder la félévision à son vice-capitaine pour que celui-ci lui fasse un remake de la météo du journal de treize heure.

Byakuya se jura alors de faire de la vie du rouquin un véritable enfer lors de son prochain séjour à la Soul Society.

En toute discrétion.

Bien entendu.

Un nouveau grondement se fit entendre. Il était 12h05 et l'étape deux commençait.


Ça va le début est plutôt soft j'ai pas eu le temps de rédiger la suite... Bon bah à bientôt...