Je tiens à précicer que j'adore les chats... si si je vous jure !
Pour un animal vivre, non réussir à vivre à Namimori, revient du miracle.
Prenons pour exemple un chat. Un mignon petit chaton brun avec des yeux bleus. Malgré son jeune âge Philibert (il lui faut bien un nom ) avait vécus de nombreux périples. En effet étant un chat de gouttière la vie fut rude. Il vivait dans un petit village quand soudain l'envie de voyager se fit sentir. Il ramassa une sardine qui trainait au sol et parti pour l'aventure. Après plusieurs jours de marche, il arriva à Namimori. Ville qui lui semblait paisible au premier abord. Il se trompait lourdement.
Alors qu'il courait tranquillement après un papillon, il se fit attraper…par une vache ?! Il ne comprenait pas cette vache avait des cheveux. Alors la lumière fut dans son petit cerveau ! C'était un enfant. Au début il pensait se tromper mais non ! Et dans la catégorie des personnes à éviter il y avait bien évidemment les enfants (ils vous arraches les poils sans remord !). Philibert sorti le grand jeu pour pouvoir s'enfuir, Il hors de question de rester avec ce tas de morve ambulante. Les coups de griffes, les morsures, avaler les bonbons du gosse, tout y passa ! Mais rien à faire. Il était épuisé, il sentait que sa vie libre touché à sa fin. Quand soudain une grenade rose sorti de la touffe de cheveux de l'enfant. Elle explosa, évidemment. Mais Philibert voyait là son salut. Posant alors de toute ses forces sur ses petites pattes toutes mimi, il sortit enfin de l'emprise diabolique de la vache !
Enfin libre il courut comme un fou pour mettre le plus de distance entre eux. Mais quelqu'un le poursuivait ! Cette personne criait des mots incompréhensible pour son esprit de chat. Il disait quelque chose du style « faisons la course à l'EXTRÊME le chat ! ». Philibert tourna la tête pour voire qui le poursuivait avec tant d'acharnement. Lorsqu'il vit des flammes sortir de ses yeux, il stoppa net. Effrayé. Malheureusement le boxeur ne le vit pas… Philibert put donc voir de plus près le ciel bleu, il était beau ce jour-là (et par la même occasion vérifier si les chats retombent toujours sur leurs pattes).
Après un magnifique vol plané il atterrit sur de l'herbe. Il papillonna des paupières. Tiens le sol tremble… Il avait peur, qu'est-ce qui allait encore lui arriver ? Oh rien de très très très grave. Juste que l'équipe de base-ball du collège de Namimori occupait le terrain. Qu'il y avait un joueur dont le Q.I. de devait pas dépasser celle d'une huitre. Et qu'il avait confondu la balle et Philibert… Il est fortement probable que l'alcool y est un peu responsable. Philibert se retrouva donc entre les mains du joueur qui ne c'était apparemment pas rendu compte de sa gourde et qui lança le malheureux chaton. Qui miaulait pendant se temps. Cependant dans les airs il était en sécurité. Au sol le batteur et accessoirement bretteur qui heureusement avait pris une batte normale…n'avait lui non plus pas remarqué que la balle était « légèrement » différente de celles habituelles. Après une deuxième observation approfondis du ciel Philibert prévoyait de la pluie pour les jours suivants.
Sa deuxième rencontre avec le sol fut plus douce. Il y avait même une odeur de chocolat et… un ananas violet au dessus de lui…normal… Il se réveilla une demi-heure plus tard (imaginez, vous vous retrouvez devant un ananas violet borgne qui vous parle, vous aurez fait quoi ?!) Donc une demi-heure plus tard il pensait se trouvait un vieux bâtiment. Il pensait puisque rapidement des cerisiers envahit la salle. Avec ses grands yeux bleus il regardait immobile le combat qui se déroulait sous ses pupilles. Il y avait un autre ananas, bleu cette fois avec un trident, et… c'est quoi une « alouette » ? Toujours est-il qu'il eut le plaisir de voir le sol se rompre sous lui et voir des colonnes de feu sortir du même sol maintenant inexistant. Le tout avec des « Kufufufu » et des « Kamikorosu ». Mais pourquoi pratiquement tout le monde criait ?!
Une petite heure après, ce fut sur un confortable canapé qu'il ouvrit les yeux. Il avait faim, il était fatigué, il voulait être en paix. Et son vœux semblait être exaucé. Il n'y avait personne et devant lui un magnifique petit oiseau jaune piailler de joie. Il ronronna de bonheur. Il avança d'un pas, de deux pas… encore un et il pourrait enfin se remplir la panse. Il s'arrêta. Plutôt il fut contraint par un bout de métal froid, un regard froid et meurtrier et une aura noire. Philibert opta pour le regard numéro 2 bis alias « les yeux larmoyant du Chat Potté« . Ce à quoi son opposant réplica par le, rarissime, regard numéro 31 bis alias « tu as beau être mignon, adorable et toute ce que tu veux, tu touches à MON Hibird et je te transforme en patté pour chat ». Il abandonna son repas, il était peut être fous mais pas suicidaire.
Il se remit sur pattes et se dirigea vers la porte. Porte qui explosa. Derrière… le sang de Philibert ne fit qu'un tour. Déjà le gosse aux grenades et maintenant des dynamites ! Oui dès qu'il le pourrait il s'enfuirait de cette ville de tarés. Pendant que l'adolescent, bombe-humaine, s'élançait sur l'autre Philibert courut comme si sa vie en dépendait par ce qui rester de la porte. Rectification sa vie en dépendait. Sous ses petits coussinets roses le sol défila rapidement. Soudain il fut dehors, dans la cours du collège. Il était libre ! Liiibbrrreee ! Il courut vers sa liberté tant chérie quand BAM ! C'était une jambe, un humain. Non, non, non ! Le chaton pleura, il n'en pouvait plus, il voulait partir. L'humain s'assit par terre. A la même hauteur de Philibert. Il avait de grand yeux bruns chaleureux et un sourire au lèvre. Philibert se laissa charmé par cette personne. Un personne avec un visage aussi adorable ne pouvait être méchante. Il se laissa être porté. C'était si agréable.
Cependant ne connaissant la malchance de cette personne il fit une énième rencontre avec le sol…
