Biiiiiiiijour ! Voilà pour vous une fanfiction sur le manga Naruto (sans blagues !). Elle se passe dans notre monde (comme d'hab'). Je compte faire plusieurs chapitres (2 ou 3 mais plutôt long comme celui-ci). J'espère que cela vous plaira ;)
Disclaimers : ... P.A.S A M.O.I. ... :'(
Rating : ShikaKiba, présence de NaruSasu...
Rated : M
En route, les aminches !
Depuis toujours, cela remonte à ses premières années lorsqu'il commença à savoir parler, les gens avaient toujours posé à Shikamaru des questions simples aux quelles il pouvait répondre facilement.
Car oui : Nara Shikamaru ne se compliquait pas la vie. « Est-ce que tout va bien ? », « que veux-tu manger ce soir ? », « que veux-tu devenir plus tard ? »… La première réponse était aléatoire, il pouvait même mentir quelques fois, la deuxième était selon ses envies du moment mais c'était très souvent : « poisson avec du riz », la troisième n'avait jamais changé depuis des années : il reprendrait le flambeau de son père, tacticien militaire de génie.
Oui, on peut le dire : Nara Junior ne se complique sûrement pas la vie mais il sait où il allait et c'était vers l'accomplissement de soi et la gloire de toute sa descendance.
Mais la vie n'est jamais un long fleuve tranquille où l'on peut simplement se laisser porter par le courant, car tout le monde le sait : les fleuves débouchent dans les mers, les océans, et ces derniers sont impitoyables.
Le blasé avait sûrement dû atterrir dans l'Océan Pacifique tant les tempêtes étaient violentes. C'est ce qui se passait dans sa tête, soit des tempêtes, quand la personne en face de lui, lui demanda :
-Est-ce que tu accepterais d'être mon petit ami ?
L'eau salée avait dû griller tous les plombs dans son cerveau alors qu'il restait, devant cette fameuse personne, la bouche ouverte, les yeux grands ouverts.
Bien évidemment, notre fainéant préféré était un adolescent normal de 17 années, avec des envies, et avait eu de nombreuses copines, des aventures. Il avait même déjà fait l'amour avec plusieurs d'entre elles. Mais malheureusement, notre Nara n'avait jamais trouvé le véritable amour, celui qui vous fait pousser des ailes aux fesses et qui vous pique les yeux tant votre moitié vous ébloui. Il les avait donc toutes laissé tomber car il faut se le dire : les filles sont galères, et ce ne sont pas les principales concernées qui le nieront.
Mais cette fois tout était différend : ce n'était pas une fille qui avait la tête baissé pour masquer son rougissement et regarder ses pieds. Ce n'était pas une fille qui suait devant ses yeux écarquillés. Ce n'était pas une fille qui se tordait les doigts à se les faire craquer. Ce n'était pas une fille qui se dandinait sur ses deux jambes comme si elle avait une envie pressante. Ce n'était pas une fille qui lui avait posé cette question.
Non.
C'était un garçon.
Un adolescent de son âge, du même lycée que lui. Shika l'avait aperçu plusieurs fois avec des copains, il ne connaissait pas son nom et ne c'était jamais intéressé à lui. Alors pourquoi l'inverse ?
C'est lorsque ce jeune lycéen vint lui poser cette question décisive que Shikamaru pénétra l'obscure océan, cruauté suprême sans pitié, à la manière d'un plongeon raté : un plat sublime.
Bien sûr, il n'avait rien contre les gays. Son oncle, le frère de son père, l'était lui-même et avait un copain, d'ailleurs le jeune Nara les adorait et avait passé une bonne partie de son enfance là-bas, non sans les remarques désobligeantes de sa mère dans le dos de son beau-frère. « Tu « les » as vu Shika ? Hein, pas vrai ? Ne deviens pas comme eux, mon trésor, s'il te plaît… ». Son père savait ce qu'elle racontait, il ne niait pas, il n'était pas non plus d'accord. Il adorait son frère. L'ananas lui avait demandé un jour pourquoi il avait épousé une femme qui détestait tant ce frère qui comptait tant pour lui, et qui pouvait avoir de sacrés crises de colère. «Quand ça lui prend, elle a un sourire si tendre. J'en suis tombé amoureux sur le champ… », Ce sourire tendre, Shikamaru l'avait déjà vu, elle lui souriait de cette manière quand il ramenait des filles chez eux. Elle pleurait à sa place quand tout était terminé, sa mère lui conseillait de prendre son temps, de bien choisir sa femme pour ne pas être malheureux. « Regarde comment je suis devenu… » la taquinait son père. Sa femme s'énervait puis le traitait d'idiot et l'embrassait en rigolant. Sa mère était heureuse. Si par malheur, son fils venait à être homosexuel, elle ne s'en remettrait sûrement jamais.
Shikamaru ne se croyait pas gay, au grand bonheur de sa mère. La question du jeune garçon tombait comme un pet pendant un silence dans une réunion de la NASA. Mal.
-Shikamaru ?
L'adolescent venait de dire son nom, il eut un frisson mais qui n'était pas du dégoût.
-Euh… Qui est-tu ? demanda le fainéant.
Le lycéen reprit assez d'assurance pour relever la tête et dévoiler ses yeux marron et de mystérieux triangles rouges sur les joues. Son visage était espiègle, avec son petit nez retroussé, et ses lèvres pulpeuses laissaient apparaître des canines pointues comme des crocs de vampires, ou de chiens. Il avait des cheveux en bataille bruns, il avait pour habitude de passer sa main dans sa chevelure d'un air cool mais pour l'instant, il avait peur de rester accrocher dans un nœud, ce qui était hautement improbable vu les cheveux courts qu'il possédait mais le pauvre avait le cerveau qui avait fondu et s'était échappé par ses oreilles.
-Je…Je suis Inuzuka Kiba, je suis en Première S4, avec un de tes amis. Il…enfin je lui ai demandé quelques trucs sur toi. Je…je suis fou de toi depuis la seconde…je…enfin, je…
-Tu croyais qu'on allait sortir ensemble ? demanda brusquement le blasé.
Ce Kiba avait réduit à néant tous ses projets en quelques minutes. Devenir gay était pour lui détruire sa vie, sa mère la lui pourrirait jusqu'à sa mort et même après. Toute sa vie qu'il avait menée sans embûche venait de faire ses valises et de partir en Thaïlande.
Shikamaru ne pouvait pas refuser, ça faisait trop mal. Mais en même temps, il ne pouvait pas dire oui. Et pour la première fois de sa vie, il ne répondit pas à la question qu'on lui posa : il s'enfuit à toute jambes jusqu'à sa classe, sauvé par la sonnerie.
Pourquoi était-il parti ? Il l'aimait tellement, il aurait tout fait pour lui. Il l'observait chaque jour, connaissait toutes ses petites manières. Jamais Kiba ne l'aurait cru aussi lâche ! Ce Nara !
L'Inuzuka n'alla pas en cours après sa déclaration, il s'enferma dans l'infirmerie sans cessez de pleurer. Son corps était lourd, il ne tenait plus sur ses jambes et son cœur avait été comme transpercé par des flèches empoisonnées alors que quelques minutes avant, il bondissait allègrement rien qu'en regardant Shikamaru. Il se sentait vide et seul, mais à quoi s'attendait-il ? Pensait-il réellement que Nara accepterait ses sentiments ? C'est un homme après tout. Les hommes n'ont pas de place dans le coeur des autres hommes. Le lycéen se laisserait bien mourir tout de suite mais il pensa à la souffrance que ressentirait ses proches et se sentit honteux. Il ne devait en aucun cas abandonné.
L'infirmière Shizune, sa confidente, l'excusa auprès de la Vie Scolaire et le laissa tranquille, lui apportant de l'eau de temps en temps. Elle se doutait de la raison de la tristesse de son élève préféré, car il lui avait confié quelques heures avant qu'il allait se jeter à l'eau une fois pour toutes.
Si elle avait su elle aurait essayer de l'en dissuader. Elle connaissait bien Nara Shikamaru, elle savait à quel point ce garçon ne contrôlait rien de sa vie sans en laisser paraître. Il laissait juste les choses se faire, il n'opposait aucune résistance à rien. Shizune le plaignait, ça devait être triste d'avoir un avenir déjà tout tracé sans essayer de changer son destin, alors que l'on est si intelligent.
La brune soupira et se leva pour visiter son ami dans la pièce d'à côté. L'ami des bêtes était debout et avait séché ses larmes amères.
-Merci, Shizune, renifla l'adolescent, je ne vais pas te gêner plus longtemps. J'y vais.
L'infirmière lui tendit sa veste d'uniforme et avant qu'il ne passe le pas de la porte, le prit dans ses bras et lui souffla un « courage » réconfortant. Le brun lui offrit un sourire joyeux mais ses yeux restés tristes et fermés, sombres. Shizune crut pleurer, elle détestait voir des gens souffrir surtout quand ces personnes sont aussi aimables, drôles et sincères à l'accoutumer.
Quand il rentra chez lui, le soir, Shikamaru monta directement dans sa chambre sans croiser personne. Il s'allongea sur son lit en un soupir et croisa les bras derrière sa nuque. Son esprit vagabonda loin des cours et des ennuis quotidiens et laissa le visage enfantin se dessiner doucement. Il secoua le visage pour chasser Kiba comme un bout de scotch au bout du doigt. L'ananas repensa à sa fuite : il avait vraiment été lâche sur ce coup. Après tout il avait rarement ressentit autant de bonheur à la déclaration de quelqu'un. Mais il devait se ressaisir : il devait continuer sa route sur le chemin que lui avait tracé ses parents, en particulier sa mère, si il devait en sortir, il le regretterait. « Quand on fait des originalités on est classé au plus bas dans la société. » la phrase préférée de sa mère. Les choses et les gens anormaux, les coups de folie, rendaient sa mère terriblement anxieuse et donc violente. Le jeune Nara ne voulait pas que sa mère Yoshino redevienne violente, les coups qu'il avait reçu quand il n'était pas encore discipiné, il s'en souvenait encore. Il grimaça en y repensant.
Etre comme le frère de son père, ne pas épouser une belle nanti et donc ne pas avoir d'enfants, décevrait sa mère. Shikamaru ne le voulait pas également.
Suivre le droit chemin est toujours le moyen le plus simple et court pour faire parti de la société et être accepté de tous, de ne faire honte à personne.
Mais à quel point ?
A quel point peut-on accepter de glisser entre les problèmes juste pour mener une vie sans embûches mais qui, finalement, ne nous correspond pas ?
-Galère…marmonna le brun dans sa barbe, en se jurant d'aller voir « son ami qui est dans la même classe que ce Kiba ».
Quand il retourna au lycée le lendemain, notre ananas fonça vers sa bande d'amis avec qui il avait l'habitude de rester depuis le collège, mais plus particulièrement vers un blond survolté qui tenait la main d'un Uchiwa, atterré par le flot de paroles que pouvait déblatérer son petit copain.
-Et là tu sais pas quoi ? Les ramens me sont sortis par le…
-Na…korf…ruto !
Les deux amoureux se retournèrent vers Shikamaru, essoufflé d'avoir autant couru (quelques mètres), étant habitué à marcher ou même à rester allongé. Alors qu'il reprenait sa respiration, Sasuke pivota vers son blond et lui demanda du regard ce qu'il avait encore pu faire pour presser le Nara jusqu'à le faire courir. Naruto esquissa un sourire et haussa les épaules. « Je le sens vraiment mal, là… » se dit intérieurement le noir.
-C'est toi…kof, hein ?
Naruto garda son air innocent et demanda à son ami de quoi il pouvait bien parler.
-Je te parle de ce garçon, là ! Unizaki Kiba, quel galère ce mec !
-Inuzuka. C'est Inuzuka Kiba, Shika. D'ailleurs, ça me fait penser qu'il est dans la même classe que moi et qu'il a été plutôt curieux à ton sujet…
La barre de stress et de patience du blasé monta de deux crans ce qui était impressionnant vu que celle-ci n'avait jamais dépassé la première barre.
-Galère ! Qu'est-ce que tu es allé lui raconter ? Tu sais au moins ce qu'il est venu me dire hier ? Tu sais dans quel foutu pétrin ça me met ?
L'Uzumaki laissa échapper un soupir, désespéré. A moins que ce ne soit Shikamaru qui l'était ?
-Oui, je sais : ta mère et tout ça… Mais ton sens de la droiture tourne vraiment au ridicule. Tu ne peux pas t'amuser pour de bon et voir « ailleurs » ?
-Ecoute moi Naruto, commença à grogner Nara. Moi je ne suis pas comme « ça ». Je ne peux pas être comme « ça » et d'ailleurs, je ne le suis pas. Combien de fois faudra-t-il que je te le dise ? T'es débile ou quoi ?
Les deux amis se dévisageaient bizarrement et la pression monta, Naruto serrait les dents et à la vue de la tête de Sasuke, la main de ce dernier qu'il n'avait pas lâché.
-Par comme « ça » tu entends comme nous ? J'ai fait ça pour te rendre service, tu sais ! Tu es tellement malheureux quand tu rompes avec une fille ! Et pas à cause de la rupture, ça non ! C'est parce qu'au fond de toi, je suis sûr que tu sais que jamais tu n'arriveras à contenter ta mère ! Mais qu'est-ce qu'elle fout dans ta vie amoureuse, bordel ? Je n'ai jamais dit que tu étais gay ou quoi, c'était simplement une expérience, pourquoi tu n'as pas accepté ? Comment tu peux vivre en sachant qu'elle décide de tout à ta place ? Et c'est moi qui suis débile ?
Sasuke plaqua sa main libre sur le torse de son copain et le poussa en arrière en lui chuchotant d'arrêter. Le blondinet se tût mais continua de fixer celui qui disait être son ami d'un œil noir.
-Galère, mais je vis ma vie comme je l'entends depuis le début, personne ne me donne d'ordres. Les désirs de ma mère m'arrangent, vois-tu.
-Qui vit dans cette histoire ? Toi ou ta mère à ta place ? demanda soudainement le petit ami de Naruto, les yeux cachés derrière des mèches sombres. Tu dis n'avoir aucuns préjugés envers les homos mais si tu devais en être un ça ne t'arrangerais pas et tu en serais même gêner ? C'est bien ce que tu viens de dire ?
Le visé ne savait pas quoi dire. En réalité, il ne savait rien du tout. Sauf une chose : il venait de blesser profondément les deux personnes qui étaient ses deux seuls amis dans ce monde. Et ça, c'était la pire chose qu'il pouvait faire.
-Quelle galère, pensa tout haut Shika.
Les yeux de Sasuke se plissèrent de tristesse, et si il y a quelques instants il était énervé, là, il était simplement peiné, touché.
-C'est trop « galère » pour toi ? Non mais tu t'entends parler ? Viens Naruto, on s'en va.
Les deux amis tournèrent les talons et comme pour la dernière fois, l'Uzumaki se tourna vers le jeune lycée perdu.
-Réfléchie Shika : à qui appartient ta vie ? Es-tu heureux ? Je veux dire : réellement heureux ?
Puis les amoureux, eux réunis par le destin, disparurent de la foule d'élèves bruyants.
Le fainéant se sentit pour la première fois seul. Il n'avait plus ses deux compères avec lui. Il était tout vide, il avait toujours dit que les amis étaient plus important que le reste et pourtant il venait de se les mettre à dos, sûrement à vie. « Galère, je suis un boulet… ».
Shikamaru ressentit comme un regard lourd dans son dos et jeta un coup d'œil derrière lui. Il vit tout de suite, le jeune garçon de la veille. Kiba. Le dresseur de chiens l'observait avec des yeux timides. Il se tenait à l'ombre d'un arbre en compagnie d'un garçon de son âge avec des cheveux courts couleur sang et aux yeux cernés et de deux filles, l'une blonde avec une forte poitrine et l'autre avec une affreuse chevelure rose et un front digne d'une table à repasser, ce qui allait magnifiquement bien avec ses seins inexistants. L'ananas ne pouvait pas détaché son regard de cet adolescent. Il était assez beau pour faire tomber les filles alors pourquoi s'embêter avec lui, Nara Shikamaru ? Ce dernier soupira de dépit. « Je ne ferais pas marche arrière, j'ai pris une décision. Désolé Naruto, Sasuke… »
Le tatoué brun partit en courant vers sa salle lorsque la cloche sonna e début de la matinée, sous les yeux surpris de ses amis qui ne se souvenaient pas de voir Kiba si pressé de rentrer en cours.
Kiba courait vers sa classe comme un bienheureux : Shikamaru, son fantasme, avait posé son regard sur lui et n'avait pas rompu le contact. Peut-être que ce qu'il lui avait dit hier l'avait travaillé comme l'avait prévu Naruto ! Déprimer et embêter Shizune à l'infirmerie n'aura servi à rien tout compte fait ! Ce fut la première chose qu'il annonça à ses complices.
-Il était là à me regarder ! Vous l'auriez vu ! Il était, il était… A tomber ! Oui c'est ça ! Les rayons du soleil le transperçaient, sa peau blanche ressortait encore plus et ce sac qu'il tient si négligemment sur son épaule ! C'est siii sexy !
Sasuke garda le silence et semblait perdu dans ses pensées, seul Naruto lui répondit d'un air gêné.
-Tu sais rien ne c'est vraiment passé comme prévu… Comment dire ?
Le blond se tourna vers son homme, le suppliant du regard. « Ces deux à sont vraiment proches, ils se disent pleins de trucs rien qu'avec leurs regards… J'espère que ce sera pareil avec Nara quand il sera à moi… » pensa Inuzuka d'un air rêveur, de la bave coulant sur la commissures de ses lèvres.
-Shikamaru a mal pris ce que tu lui as dit hier. Il s'est énervé contre moi, continua pour le blondinet, Sasuke.
La bulle dans laquelle s'était enfermée Kiba explosa en un fracas et il retomba dans la cruelle vérité. Celle où l'homme qu'il aime ne veut pas de lui et est dégoûté en le voyant. Peut-être que ses fameux rayons de soleil l'avait ébloui et qu'il s'était trompé dans l'expression de ce garçon inaccessible. Ses yeux s'emplirent de larmes, sa vie ne se terminera pas en happy end comme dans les films. Mais dans les films, l'histoire se déroule autour d'un homme et…d'une femme. Il baissa lamentablement les yeux vers sa poitrine qui restera plate à tout jamais. Il garderait aussi toujours son service trois pièces et ne pourrait pas faire d'enfants à cet être pourtant merveilleux.
-Mais ce n'est pas anodin, tu sais, reprit le noiraud. Shikamaru doit subir…
Quand il entendit cela, Kiba ouvrit grand les yeux, choqués. Mais il comprit. Lui, Inuzuka Kiba, ne ferait que l'entraver dans ses projets de bonheur, et il ne méritait que le contentement. Il comprit aussi que ce fainéant avait beau être génial, il n'était pas fort. Sinon, il aurait lutté contre sa mère et ne choisirait pas la facilité.
Le tatoué prit une décision : il sauverait son amour de cette cage où on l'a enfermé dès la naissance.
Deichou-chan : Piiuf ! Premier chapitre de fini :D *trop fière*
J'espère que vous apprécierez mon Shikamaru (bon il change pas trop, hein ! Trop fainéant ;) Je vous fais un bisou à vous, à votre famille, à vos amis et vos chiens et chats !
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