Bonjour !
J'éspére sincérement que l'epilogue vous plaira, parce-que franchement je stress a ne plus avoir d'ongle a ronger (ma pauvre manucure !).
Sinon que dire d'autre ? Je vous laisse lire et juger.
Epilogue
Je m'appelle Isabella Swan et j'ai 17 ans. Mes parents et moi habitions Paris. Grande ville pleine de lumières clignotante a droite et a gauche. Ma mère René Jane riche héritière d'une société de haute couture avait rencontré mon père Phil Swan au bal de fin d'année alors qu'il était venue accompagner la meilleure amie de ma mère. C'était un bel italien, grand, fort, gentil et intelligent. Entre eux deux sa avait était le « coup de foudre ».
Entre nous je doute que d'un coup comme ça en une demi-seconde on puisse avoir l'impression que tous bascule ! Il manquait plus que le cheval blanc ! Perso sa ne m'intéresse pas et sa ne sera jamais le cas ! Mais bon revenons a leurs histoires d'amour, beurk !
Mon père s'était approché de ma mère jusqu'à se poster devant elle et lui avait tendu la main pour danser sur un slow ! Il l'avait donc pris dans ses bras et blablabla… Il s'était marié et deux ans plus tard il avait eu une fille -ma sœur- Rosalie sœur jumelle de Jasper –mon frère-.
Un an plus tard j'étais née. Je sais se que vous allez dire, que mes parents n'on pas perdu de temps, mais franchement qu'est-ce que j'y peux ? Je n'allais pas emmener mon père chez le veto pour le faire castrer ! Pourtant j'ai essayé quand j'ai eu dix ans et que au repas il nous on demandé si on voulait un nouveaux petit frère ou une petite sœur. Jasper et Rosalie avez haussez les épaules en cœur en gardant le regard dans leur spaghettis en les remuant et avais avoué n'en avoir rien à faire ! Ha ! Je comptais sur eux pour dire non étant plus âgés que moi, et voilà, qu'il me lâchait ! Après mes parents m'avait regardé tombé dans les pommes. Je n'avais pas déjà assez souffert entre Rosalie qui me piquer mes fringues et Jasper qui n'arrêté pas de m'embêter a longueur de journées, fallait rajouter un petit ! Alors le lendemain j'avais pris mon père par la main traversé paris pour aller chez le vétérinaire et arriver devant le tueur d'animaux à blouse blanche j'avais balancé :
- « Monsieur vous pouvez s'il vous plaît castrer mon papa ? »
Et tout le monde avait ris ! Je m'étais fais mal au pied à traverser route, pont, parking, magasin, tous ça en pyjama pour qu'on se moque ouvertement de moi ! Au bout d'un mois à faire la tête toute la famille avait compris mon rejet et j'avais continué de vivre en paix !
Seulement aujourd'hui tous avait changé…
Je vous en prie, pour mes ongles et pour ma zénatitude dite moi se que vous en pensez !
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