Défis de Ma0rie

Triangle amoureux : Couple stinglu et au final LuxLu

L'histoire commence sur Lucy, une jeune louve-garou dominante, âgée d'une vingtaine d'année, qui faisait sa ronde dans la forêt autour du territoire de sa meute, quand elle entendit des bruits de lutte.

Elle se rapprocha discrètement et vit Wendy, une des jeunes louves soumise de sa meute, se faire chahuter par trois loups d'une autre meute.

Lucy s'interposa en grondant entre Wendy et les intrus : Qu'est-ce que vous faites là, vous ? C'est notre territoire, dégageaient !

Minerva eut un sourire mielleux : Orga, Rufus, regardez ça, si ce n'est pas cette chère Lucy. Alors, toujours pas casée, la guenon ?

Lucy haussa un sourcil et sourit en montrant les dents et désignant le grand blond adverse : Tu veux dire avec le même genre de mec que le tien ? Désolé, je préfère les hommes qui ont quelque chose dans le froc. Le tien se contente de le faire croire.

Minerva plissa les yeux : Qu'est-ce que tu sous-entends par là ?

Lucy ricana : Mais voyons, ma chère Minerva, je voulais dire que ton mec est une vraie lopette bien sûr.

Minerva gronda : Retire ça tout de suite ! Tu es jalouse c'est tout, jamais tu ne connaîtra un amant tel que mon Rufus.

Lucy rit : J'espère bien. Par contre, Orga ne dira pas le contraire, j'en suis sûre. Minerva regarda les deux hommes en fronçant les sourcils. Tu ne savais donc pas que quand tu n'es pas là, ton copain fricote avec son meilleur ami ? Je les ai surpris il y a quelques jours près de la rivière. C'était chaud. Et moi qui croyait que rien ne pouvais échapper à une louve telle que toi. Tu n'as donc pas senti l'odeur de l'un sur l'autre ?

Minerva essaya de sauter sur son amant, mais le grand aux cheveux vert s'interposa.

Orga : Tu ne le toucheras pas !

Minerva gronda : Dégage de mon chemin, je m'occuperais de ton cas après.

Orga rit : Ho non je ne bougerai pas. Si tu veux en découdre, ce sera avec moi. Rufus a fait son choix, et ce n'est pas toi. Il m'appartient maintenant, et je ne te laisserais pas lui faire encore du mal.

Lucy rit en se tournant vers Wendy qui était restée recroquevillée dans son coin : Viens avec moi. Il est temps de rentrer et de soigner tes blessures. Cette histoire ne nous concerne pas. Elle lança en partant. Bonne chance, la morue. Et un petit conseil, la prochaine fois que tu te trouves un mec, vérifie qu'il n'en n'a pas que le nom.

Minerva gronda sans se retourner, prête à attaquer ses deux camarades : Je me vengerai de cet affront, sale garce.

Lucy rit en criant : Tu sais ou me trouver. J'espère que tu me présenteras ton nouvel amant, je te dirais s'il pourra bander un jour pour toi. Même si je ne parierais pas là-dessus, te concernant. Elle se tourna vers la jeune fille aux cheveux bleus. Transforme toi, ça permettra au processus de cicatrisation de s'activer. Nous parlerons de comment tu t'es retrouvé dans cette situation, plus tard.

Wendy, opina du chef, retira sa robe qu'elle laissa tomber au sol et laissa sa louve sortir et recouvrir ses membres d'un doux pelage cuivré.

Lucy ramassa la robe et sourit alors que le loup à ses côtés avait la tête et la queue basse. Elle lui caressa la tête : Je ne vais pas t'engueuler, mais il va falloir informer le chef de ce qu'il c'est passé avec la meute de Sabertooth. Il doit savoir qu'on risque des représailles.

La blonde et le loup rentrèrent à leur territoire, pendant que Minerva et Orga se battaient pour savoir lequel pourrait avoir Rufus.

Lucy emmena la louve à son chef. Elle frappa à la grande porte, attendit quelques instants qu'on l'autorise à entrer et finalement pénétra dans le bureau, le loup cuivré sur ses talons.

Makarov s'inquiéta immédiatement : Lucy ? Wendy ? Que c'est-il passé?

Lucy s'installa sur le fauteuil le plus proche, la louve s'assit à ses pieds : Je faisait ma ronde du côté nord de notre territoire, quand j'ai entendu un bruit de lutte. J'ai trouvé Wendy entourée de Minerva, Orga et Rufus. Les trois idiots semblaient bien s'amuser à ses dépends. Apparemment, le fait que Wendy fasse partie de nôtre meute est une raison suffisante pour lui faire du mal à la moindre occasion.

Makarov soupira : D'après ce que je vois, Wendy n'a rien de grave. Merci à toi d'avoir pris soin d'elle, Lucy.

Lucy leva la main en secouant la tête : Ne me remerciez pas. Vous savez bien qu'en tant que louve dominante de cette meute il est de mon devoir de protéger ceux qui ne veulent se défendre. D'ailleurs, à ce propos, je pense qu'il serait plus que temps que nos guerriers les plus doués, donnent des leçons de combats au corps à corps à ceux qui ne savent se défendre.

Makarov soupira : C'est inutile. Ils ne combattront quand même pas, surtout contre un loup plus dominant qu'eux.

Lucy : Ils ne combattront peut-être pas, mais ils auront au moins de l'entraînement et donc plus de chances d'esquiver les attaques et de pouvoir s'échapper.

Makarov fronça les sourcils, réfléchissant : C'est vrai que cela pourrait toujours leur être utile. J'en parlerais avec Guildartz. Nous verrons pour mettre ça en place assez rapidement.

Lucy se leva et se dirigeât vers la sortie : Merci Alpha.

Makarov : Attends, attends ma petite Lucy. Qu'est ce que tu ne m'as pas dit ?

Lucy se retourna vers lui : Comment ça ?

Makarov sourit : Les seules fois ou tu m'as appelé par mon titre, tu avais fait des bêtises. Dit moi que tu as laissé les membres de Sabertooth rentrer chez eux en paix et en un seul morceau.

Lucy fit un grand sourire : Ils ont dû rentrer chez eux maintenant. Par contre, en paix et entier, je ne le garantirais pas. Mais je peux vous jurer que je n'ai en aucun cas levé la main sur l'un d'eux. Wendy peut en attester.

Makarov se frotta la nuque : Mais ta langue acérée a dû frapper plus d'une fois, je me trompe ? Je suis sûr que de ça aussi, Wendy peut en attester.

La louve cuivré se gratta l'oreille avec sa patte arrière comme si de rien était.

Lucy fit son sourire le plus innocent : Mais voyons Alpha, j'ai simplement estimé qu'il était de mon devoir de louve dominante, de prévenir cette chère Minerva que son petit ami la trompait avec son meilleur ami, dès qu'elle avait le dos tourné. Vous n'auriez tout de même pas voulu que je garde une information aussi importante, pour moi ?

Makarov soupira : Lucy…

Lucy grogna : Ils s'en sont pris à un membre de notre meute, et biensûr pas à un qui pourrait se défendre, ces lâches ! Je n'avais pas l'intention de vendre la mèche pour Rufus quand je l'ai appris, mais Minerva m'a cherchée. Je suis désolé pour le blondinet, mais au moins son amant a l'air assez costaud pour prendre sa défense.

Makarov : Je te connais, je sais que tu n'avais pas l'intention de faire du tords à Rufus, mais que c'est Minerva que tu voulais blessée. Je suppose qu'elle t'a encore cherché sur le fait que tu étais toujours célibataire.

Lucy croisa les bras : Cela ne la concerne en rien. Et vous non plus ! Je fais ce que je veux. Je ne veux pas d'un mâle qui essaiera de me dicter ma conduite et qui me demandera des comptes pour chaque action que j'aurais faite.

Makarov : Tous ne sont pas comme ça. Nombreux seraient fière d'avoir une compagne aussi forte que toi, parmis ceux qui sont venu me demander ta main.

Lucy fronça les sourcils et serra les dents : Vous demander ma main ? sa louve gronda dans sa tête. Je vous préviens, si jamais j'apprend que vous avez accepté une telle chose alors que vous n'en n'avez absolument pas le droit, vous entendrez parler de moi. Sans compter que je combattrait celui qui vous l'aura demandé. Et vous savez très bien qu'il n'y a pas un mâle dans cette meute qui peut me battre.

Makarov sourit : Je sais bien a quel point ta louve est puissante, Lucy. Rassure-toi, j'ai prévenu ceux qui sont venu, que tu étais la seule décisionnaire de ta vie. Mais, tu dois savoir que ça commence à jaser dans la meute. As-tu eu des amants récemment ?

Lucy gronda : Cela ne vous regarde pas. Ni personne d'autre ! Qu'ils s'occupent de leurs affaires et me laisse tranquille !

Makarov leva les mains, dans un geste apaisant : Je ne veux pas m'immiscer dans ta vie privé, mais nous les garous, sommes des êtres qui avons besoin de contact physique avec les autres. J'ai remarqué que tu restes souvent en retrait lors des soirées. Je ne te dit pas de te trouver un compagnon, mais un amant pourrait t'aider à canaliser cette puissante énergie que tu refoules. Sans compter que ta louve serait plus détendu.

Lucy soupira en se laissant à nouveau tomber dans le fauteuil : Et qui voulez-vous que je choisisse ? Ils sont tous moins dominant que moi. J'ai besoin d'un homme à ma hauteur, un autre serait juste décevant. Et croyez moi, vous ne voulez pas me voir frustré sexuellement par ce que mon amant ne sais pas me contenter.

Makarov : Peut-être que dans une autre meute…

Lucy leva la main, le coupant : Hors de question. J'ai déjà rencontré ceux des autres meutes et aucun ne me convient. Laissez tomber, je ne vais pas perdre le contrôle de ma louve parce que je suis un peut en manque de sexe. Lucy interrogea sa louve qui souffla dédaigneusement. Ma louve et moi nous en accommodons très bien pour l'instant, mais c'est promis, le jour ou elle ne tient plus, je prendrais un amant dans la meute. Après tout, tant qu'il n'est pas mon âme sœur, tout ce que je lui demanderais c'est de me faire prendre mon pied.

Makarov sourit : Je sais que je peux compter sur toi et que tu prendras la meilleure décision. Mais sache que si tu ressens le besoin de parler, je serai toujours là pour toi. Tu es la louve la plus dominante dans la meute, j'ai bien vu que les autres ont tendance à te craindre et à, du coup, te laisser de côté. C'est une position très solitaire qui doit te peser. Tu me fais penser à mon petit-fils. Lui aussi était très solitaire. Heureusement, il a rencontré Fried, Ever et Bixlow avant de craquer. Si tu as besoin de compagnie, tu sais ou me trouver.

Lucy haussa un sourcil, un sourire en coin : Vous me proposez votre « compagnie » ?

Makarov rit : Ho non, pas se genre de compagnie, je sais bien que tu m'égorgerais si l'idée venait seulement à me traverser l'esprit. Mais si tu veux parler ou autre, tu sais ou je vis et tu sais aussi que tu seras toujours la bienvenue chez moi.

Lucy sourit tendrement : Je sais Alpha, merci.

La louve posa sa tête sur la jambe de la blonde en chouinant.

Lucy lui caressa les oreilles : Tu es gentille, Wendy. Tu devrais aller à l'infirmerie, Polyussica vérifiera comment tu cicatrises.

La louve acquiesça et la blonde lui ouvrit la porte.

Lucy s'apprêtait à sortir également du bureau de son chef de meute quand elle se tourna vers lui, l'air songeuse : Alpha, ou sont-ils maintenant, votre petit-fils, Fried et les autres ?

Makarov sourit tendrement : J'ai dû l'envoyer en mission il y a quelques années avec les trois autres, dans la meute de son père.

Lucy fronça les sourcils : Pourquoi son père n'est pas ici ? Ce n'est pas lui qui deviendra le prochain Alpha ?

Makarov : Mon fils n'en n'a plus pour longtemps à vivre. C'est mon petit-fils qui prendra ma relève quand il reviendra. Mais il doit d'abord se débarrasser de la menace que représente son père.

Lucy fronça les sourcils : Vous avez envoyé votre petit-fils tuer son père ?

Makarov soupira : Parfois j'oublie que tu n'étais pas encore avec nous quand tout est arrivé. Yvan, mon fils, est responsable de nombre d'attaque de loup-garou sur les humains. Il a perdu le contrôle sur son loup quand je l'ai banni. Il est retourné à l'état sauvage. D'après mon petit-fils, je suis trop vieux et rouillé pour me charger de son cas, il m'a demandé de le laisser faire.

Lucy sourit : Je ne le connais pas, mais il a raison, vous n'êtes plus de la première jeunesse.

Makarov : Impertinente, va ! Je me demande ce que cela donnera quand tu rencontreras mon petit-fils. Dit-moi, quel est ton type d'homme ?

Lucy sourit : Les vrais mâles, et vous le savez très bien. Elle soupira. Je crois que Fried m'avait déjà parlé de votre petit-fils avant qu'il ne parte. Alpha ? Quand est-ce que ce sera fini et que vous allez me rendre mon meilleur ami ?

Makarov : Fried te manque, pas vrai ? elle acquiesça en s'entourant de ses bras. Je suis désolé, je n'avais pas le choix. Avec Ever et Bixlow, ils étaient les plus à même d'aider pour cette mission.

Lucy : Je sais bien que si c'est lui que vous avez choisi, c'est parce que c'est lui qui convenait le mieux, mais… Ca fait quatre ans maintenant qu'ils sont partis. Combien de temps leur faut-il pour mettre à mort un loup solitaire alors qu'ils sont quatre ?

Makarov : C'est là le problème, il n'est pas seul. Mon fils a su s'entourer de loups relativement puissants. Mais j'ai bon espoir que d'ici quelques mois ils rentrent enfin.

Lucy grogna : Des loups puissants ? Il va voir cet abruti aux cheveux vert ! Il m'avait dit que cela pourrait prendre du temps, mais qu'il n'y avait aucun danger ! Je vais lui arracher les yeux !

Makarov sourit : Mais non, tu ne lui feras pas de mal. Il t'est trop précieux pour ça.

Lucy rit : Précieux ? C'est sûr qu'elle l'est cette petite tante.

Makarov se prit la tête dans les mains : Pitié, ne parle pas de ça. Au dernier rapport qu'ils m'ont fait, Fried n'arrêtais pas de me vanter les mérites physique de mon petit-fils.

Lucy rit : Il se tape votre petit-fils ? Alors là, je demande à le rencontrer. Fried a toujours eu très bon goût pour les hommes.

Makarov leva la main : Oui, enfin… Luxus, ne…

Lucy ne l'écoutais plus. Elle s'apprêtait à sortir et dit avant de refermer la porte sur elle : Je compte sur vous pour me tenir au courant de leur retour. Je vais aller m'entraîner un peut, et vous savez quoi ? Vous avez raison, il faut que je lâche un peut la bride à ma louve. Il me semble avoir aperçu un mignon blondinet tout à l'heure. Je vais voir si j'en fais mon quatre heure.

Elle sortit en riant.

Makarov haussa les sourcils : Elle aime les blonds ? Ca ne m'étonne pas dans ce cas qu'elle n'ai pas d'amant dans la meute. Les deux seuls mâles blond sont Luxus, qui est parti depuis quatre ans et qu'elle n'a jamais rencontré de toute façon, et Sting, le nouveau lieutenant qui remplace temporairement Fried et qui nous arrive de Sabertooth. Il soupira en se prenant la tête dans les mains.. Je n'aurais pas dû les séparer tous les deux, il est son seul vrai ami. Si seulement j'avais eu un autre choix. Au moins quand il était là et qu'on allait courir à la pleine lune, elle se mêlait à la meute, maintenant elle reste toujours à l'écart. Vivement qu'ils rentrent, je ne sais pas combien de temps elle va encore tenir sans devenir complètement folle. Même moi je vois qu'elle est toujours fatiguée. Sa louve doit constamment être aux aguets. Son loup grogna son assentiment dans sa tête. Lui aussi s'inquiétait pour la blonde.

Lucy arriva dans la salle de sport et sur le ring se tenait Natsu, le deuxième soldat de la meute, qui combattait agilement avec un blondinet plutôt bien fait de sa personne.

Ils étaient resté sous forme humaine, et ne portaient qu'un short, ce qui permettait à Lucy d'admirer leurs musculatures tout en finesse.

Sting renifla l'air et se tourna vers la blonde avec un sourire charmeur.

Natsu lui sauta dessus et lui fit une prise qui l'immobilisa au sol avec lui dessus. Il lui souffla à l'oreille : Trop forte pour toi, mon pote. Crois-moi, nombreux s'y sont cassé les dents. Elle te réduirait en miette si tu essayais de la contrôler.

Sting sourit en montrant les dents : J'aime vivre dangereusement. Et cette femelle… Elle exsude le danger et le sexe. Deux choses auxquels je ne peut pas résister.

Natsu se releva en riant : C'est pas un loup que tu devrais être, mais un lapin. Bordel, dès que tu n'es pas en fonction, tu passes ton temps à baiser.

Sting de redressa : Il n'y a rien de mal à aimer prendre du bon temps. Et je suis sûr qu'avec elle, je pourrais en prendre beaucoup.

Natsu : Prend garde à ce qu'elle en prenne aussi, sinon tu vas le sentir passer.

Sting rit : J'ai confiance en moi.

Lucy s'approcha : Jusqu'ou tu as confiance ?

Natsu se tourna vers elle : Bonjour Lucy. Je peux faire quelque chose pour toi ?

Lucy sourit : Non merci, Natsu. Je voulais juste m'entraîner un peut.

Natsu sourit : Biensûr, tu veux affronter quelqu'un en particulier ?

Lucy fixa le blond : Je pense que Sting fera très bien l'affaire, merci.

Natsu sortit du ring : Très bien. Je vais vous laisser, il va être l'heure pour moi de faire ma ronde.

Lucy : Tu devrais aller voir le vieux avant d'y aller. Parle avec lui du futur entraînement aux combats pour les loups soumis. Je crois que tu ferais un bon professeur, ainsi que Grey, Erza et Gajeel. Après tout, vous êtes les meilleurs soldats.

Natsu rougit de plaisir sous le compliment : Un cours de défenses pour les loups soumis ? C'est vrai que ça ne pourra pas leur faire de mal. J'y vais de ce pas.

Lucy se tourna vers le blond en retirant lentement sa veste, dévoilant une brassière qui mettait en valeur son imposante poitrine et sa taille svelte.

Sting se lécha les lèvres.

Lucy sourit en sentant l'excitation de son partenaire d'entraînement : Alors, tu ne m'as pas répondu. Tu as confiance en toi jusqu'à quel point ?

Sting eut un sourire carnassier en se mettant en position : Au plus haut point et à tous les niveaux. Tu veux que je te le prouve ?

Lucy se mit en position également : Ca doit pouvoir se faire.

Sting fit un simulacre de révérence : Les dames d'abord.

Lucy gronda en lui sautant dessus et réussi très rapidement à le maîtriser.

Sting se retrouva allongé sur le dos, la blonde sur lui, l'immobilisant totalement.

Lucy approcha son visage tout près du sien en libérant ses membres : C'est tout ce dont tu es capable, blondinet ?

Sting inversa rapidement leur position, se retrouvant entre les jambes de la blonde. Il bougeât son bassin lentement contre elle, lui faisant ressentir son envie : Tu me donnes une autres chance ?

Lucy enserra ses jambes autour du bassin du jeune homme et échangea encore leur position, d'un coup de hanche. Elle bougea sur lui. : Ca doit pouvoir se faire, mais attention à ne pas la gaspiller.

Dans son excitation, sting déchira les vêtements de la blonde. Il lui griffa les cuisses alors qu'elle ondulait lentement du bassin sur lui.

Elle arrêta tout mouvement et lui saisi la gorge en grondant : Ne laisse pas de marque sur moi, tu n'en n'as pas le droit, c'est clair ? Je ne t'appartient pas !

Sting grogna : Oui.

Lucy lui arracha son caleçon et s'empala sur son sexe dressé en gémissant : Maintenant, montre moi de quoi tu es capable.

Sting la saisi par les hanches et releva le bassin à sa rencontre alors qu'elle se soulevait légèrement.

Il alla vite, s'enfonçant violemment et rapidement en elle alors quelle gémissait. En quelques instant il joui et s'effondra au sol alors qu'elle se relevait lentement.

Sting sourit, sûr de lui : Alors, tu as aimé chérie ?

Lucy leva un sourcil : C'était…décevant. Vu ton assurance, je pensais que tu me ferais prendre mon pied, mais visiblement, tu ne pense qu'à prendre le tien. De plus, tu ne tiens pas la distance. Natsu a raison, tu es un vrai lapin. Elle s'étira sensuellement. J'ai besoin de courir un peut pour évacuer ma frustration par ta faute.

Sting la retint : Attends ! Donne moi une autre chance, je sais que je peux faire mieux.

Lucy gronda : Peut être une prochaine fois, pour l'instant, c'est pas une bonne idée.

Elle se transforma en une magnifique louve au pelage crème et sorti après avoir à nouveau grogné après Sting qui avait encore tenté de la retenir.

Quand elle revint au bout d'une heure de course effrénée, elle prit une douche et alla trouver Sting dans sa chambre.

Elle laissa tomber sa robe a ses pieds : Tu as ta chance, mais si tu ne fais pas mieux…

Sting lui saisi la nuque et l'embrassa violemment : T'inquiète, tu vas aimer.

Lucy grogna en montrant les dents : Ne joue pas au petit chef avec moi, tu pourrais le regretter.

Sting grogna à son tour : Pourtant je suis sûr que c'est ce qu'il te manque. Un mâle pour te mâter.

Lucy : Ce qu'il me faut, c'est une bonne baise. Mais si tu préfères discuter, je peux toujours aller trouver quelqu'un d'autre.

Sting la souleva et elle enroula ses jambes autour de sa taille.

Se genre de scène se répéta souvent pendant l'année écoulée. Et même si ni Lucy, ni sa louve n'étaient vraiment satisfaite physiquement, au moins, on la laissait enfin tranquille. Et quand Sting essayait un peut trop de prendre l'ascendant sur elle, il lui suffisait d'un petit combat sur le ring pour le remettre en place.

Nous nous trouvons d'ailleurs un an plus tard, à nouveau dans la salle de sport. Lucy et Sting se faisaient face sur le ring et toute la meute était venu assister à ce combat bien que routinier. Ils savaient tous que le blond allait rapidement mordre la poussière une fois de plus. Mais c'était simplement une nouvelle occasion pour eux de se moquer de lui. Depuis un an, le blond était devenu une cible facile pour les moqueries et certains s'en donnaient à cœur joie. De toute façon, il ne méritait absolument pas la jeune femme.

Makarov, Bixlow, Ever, Fried et Luxus entrèrent, alors que certains discutaient pendant que Lucy s'échauffait tranquillement avant le combat.

Gajeel donna une grande claque dans le dos du blond : Alors, t'es pas au niveau et elle t'a déjà castré ?

Sting : Elle prend son pied, je suis le meilleur, t'inquiète.
Natsu qui rit : Ha bon ? Parce que sans vouloir te vexer, je l'avais pas vu autant sur les nerfs depuis le départ de Fried, et elle ne couchait pas avec lui, il me semble.
Erza : T'es sûr que t'es aussi doué que tu le dis?
Sting : Tu veux vérifier?
Erza ricana : Non merci, Jellal sait me faire prendre mon pied, lui. Toi, par contre, je ne suis pas sûre vu l'humeur de Lucy.
Grey : Bordel, je savais pas qu'on pouvait être aussi frustré que ça. Mon loup a du mal à être dans la même pièce qu'elle, tellement sa louve est sur les nerfs.

Erza : Tu n'es vraiment pas une valeur sûre !

Lucy s'immisça dans la conversation : Ca c'est clair ! Même avec Fried j'ai plus pris mon pied.

Sting serra les poings de colère, alors que tous s'esclaffaient, car lui comme tous les autres savaient que le second lieutenant est gay.

Dans un mouvement d'humeur, le blond se jeta en grognant sur la jeune femme afin de la gifler mais elle esquiva facilement l'attaque, en riant devant le visage rouge de colère du jeune homme.

Luxus souffla à son ami aux cheveux vert : Alors c'est elle, la Lucy dont tu nous a tant parlé ?

Fried sourit en voyant son amie immobiliser le blond au centre du ring : Elle est formidable, n'est ce pas ?

Luxus observa la silhouette de la blonde, toujours de dos, et quand il ressentit l'aura de dominance de sa louve, son loup fut aussitôt aux aguets, ainsi qu'une certaine partie de son corps qui se dressa instantanément.

Lucy se redressa, libérant enfin son adversaire : Ca suffit. J'en ai vraiment plus qu'assez de se petit jeux entre nous. J'arrête les frais.

Sting grogna : Qu'est ce que tu veux dire ?

Lucy : Le jour ou tu arriveras à me faire prendre mon pied mieux que mon vibromasseur, je te laisserai peut être dire quelque chose sur mes activités, mais en attendant, apprends à rester à ta place. Tu ne m'es vraiment d'aucune utilité. C'est terminé cette histoire.

Luxus intervint : Je veux bien remplacer ton vibro moi, si tu veux. Je te garanti que tu ne le regretteras pas.

De nombreux rire se firent entendre.

Lucy ricana sans détourné le regard de son adversaire qui tremblait maintenant de colère et avait du mal à conserver forme humaine : Non, merci. Si t'es aussi peut doué que lui, je préfère en rester à une valeur sûre.

Sting grogna : Tu es beaucoup trop proche de lui ! J'ai le droit de me poser des questions sur ce que tu fais quand tu restes aussi tard avec lui, non ?

Gajeel se frappa le front et souffla : Ma parole, il veut mourir se con.

Lucy gronda : Ce que je fais avec Gajeel ne te regarde en rien. Il va quand même falloir que tu imprimes un jour, qu'on n'est pas un couple toi et moi. C'était juste un arrangement entre nous. Rien de plus. Je ne ressent rien pour toi. Et pour ce que ça vaut, je pourrais très bien coucher avec Gajeel, Natsu et Grey en même temps que tu n'aurais rien à y redire. C'est clair maintenant dans ta petite tête ou tu es vraiment le cliché du blond con ?

Les trois hommes cité s'entre regardèrent et dirent d'une même voix en levant la main : C'est bon pour moi.

Lucy rit : Ca n'arrivera pas les mecs. C'était juste un exemple.

Grey : Ho aller, à nous trois je suis sûr qu'on pourrait amplement te satisfaire.

Lucy : Si à trois vous n'arriviez pas à satisfaire une seule femme, je pense qu'on serait tous en droit de s'inquiéter. Quoi que, même trois Sting ne pourraient me satisfaire.

Gajeel râla : Hé, nous compare pas à lui, tu veux ? On est pas comme lui. Toutes celles qui sont sorties de mon lit avaient pris leur pied. Je saurais très bien m'occuper d'une femelle telle que toi.

Lucy : T'occuper de moi… en essayant de me contraindre à ta volonté toi aussi ?

Gajeel rit : Parce que j'ai l'air aussi stupide ? J'ai pas encore envi de mourir, moi. Ce qui ne semble pas être le cas de ton blondinet.

Lucy plissa les yeux : Ce n'est pas mon blondinet. Surtout, s'il y en a une qui le veut qu'elle n'hésite pas. Elle se pencha vers le blond, qui avait des poils qui commençaient à recouvrir ses bras, offrant sans le savoir, une très belle vue à Luxus sur son postérieur. Tu ne sais pas te contrôler Sting ? Faut-il que quelqu'un te donne des cours pour t'apprendre à nouveau à ne pas te transformer à tout bout de champs ?

Sting cracha : Salope ! Ca t'a éclaté de te servir de moi comme jouet sexuel ?

Lucy ricana : Jouet sexuel ? Sting, pour que je puisse te considérer comme tel, il aurait fallu que tu sois doué. Hors, ce n'est pas le cas.

Sting fit un sourire mauvais : C'est parce que t'es frigide !

Lucy sourit : Tu veux que je baise ici et maintenant avec le premier venu pour te prouver le contraire ?

Luxus s'approcha immédiatement du ring : Je suis le premier venu, je peux te rendre se service si tu veux.

Lucy se tourna vers lui, mais ses yeux furent attiré par une tignasse verte quelques mètres derrière lui. Son visage s'illumina d'un grand sourire et elle sauta par dessus le grand blond sans vraiment le voir, pour atterrir dans les bras de son ami aux long cheveux vert.

Fried la serra dans ses bras en la faisant tournoyer et murmura à son oreille : Tu m'as tellement manqué ma chérie.

Lucy avait les larmes aux yeux : Toi aussi mon cœur.

Fried la reposa au sol en souriant : Alors, tu as fait des bêtises à ce que je vois.

Lucy lui donna un coup dans l'épaule : C'est de ta faute, tu n'avais qu'à revenir plus vite ! Si tu avais été là, je n'aurais pas eu besoin de cet abruti.

Sting se redressa, blessé et humilié en plus de se faire maintenant royalement ignorer : Tu sais ce qu'il te dit l'abruti, connasse ?

Lucy fit un vague geste de la main sans se détourner : Non, et je m'en contrefou ! Va donc bouder dans ta chambre et laisse moi tranquille. Elle pris la main de son meilleur ami. Je veux que tu me racontes tout ce qu'il t'est arrivé pendant ces cinq ans. Il faut aussi que tu me présentes ton copain.

Fried pencha la tête en fronçant les sourcils : Mon copain ?

Lucy : Le vieux m'en a parlé, petit cachottier va. Alors comment il est notre futur Alpha ?

Luxus s'approcha et se racla la gorge : Je suis là.

Lucy se tourna vers lui et observa son visage barré d'une cicatrice qui semblait récente : Wouahou, c'est vrai que t'es un beau morceau. Elle tourna autour du blond, le regardant d'un air appréciateur alors que lui était halluciné de son attitude. Elle siffla. Fried, mon choux, alors là, je te tire mon chapeau. C'est un très beau spécimen.

Fried et tous ceux qui connaissaient le petit-fils de leur Alpha se retenaient de rire devant l'air ahuri qu'il avait.

Lucy : Tu es vraiment bien foutu. Et t'as de belles fesses.

Luxus sourit : Je te retourne le compliment, poupée.

Lucy rit en se tournant vers le vert : Fait attention, chéri, je pourrais essayer de te le piquer celui-là.

Fried sourit : Alors là, je demande à voir.

Lucy le pris encore dans ses bras : Je plaisante voyons. Enfin a moitié, il est vraiment canon.

Makarov s'avança : Puisque vous venez de vous retrouver depuis tant d'années, je vous laisse une semaine de congé pour tout vous raconter.

Lucy sourit en sautant dans les bras de son ami qui la réceptionna comme une princesse : Merci Alpha ! Tu m'emmènes dans ta chambre ?

Fried rit en l'emmenant vers ses appartements, laissant tous les autres en plan : A tes ordres, princesse !

Ils entrèrent dans la chambre du jeune homme, il lâcha la jeune femme sur son lit et s'allongea immédiatement a ses côtés en la prenant dans ses bras.

Fried soupira de bonheur : Alors, et si tu me racontais ce qu'il c'est passé avec le petit blond pour qu'il mérite des paroles aussi dur que ce qui tu lui as dit ?

Lucy : Je suppose que le vieux t'a dit que j'entretenais une espèce de relation avec lui depuis près d'un an ?

Fried : Oui, mais si tu étais si peut satisfaite, je ne comprends pas pourquoi tu ne l'as pas viré plus tôt.

Lucy resserra son étreinte : J'en avais marre que les gens parlent derrière mon dos. Apparemment ils sont nombreux a avoir été voir le vieux pour lui dire qu'ils trouvaient anormale que je sois encore célibataire. Certains ont même été demander ma main à l'Alpha ! Tu te rends compte ?! Comme si je ne pouvais pas décider par moi même ! Enfin bref, j'en avais marre, alors je me suis dit qu'il ferait très bien l'affaire pour un temps. Sauf que cet abruti avait la fâcheuse tendance à essayer de m'imposer sa volonté. C'était presque tous les jours la même chose, et je devais le combattre deux à trois fois par semaine pour lui rappeler son rang. Mais bon, il a au moins eu le mérite de m'occuper un peut.

Fried lui caressa les cheveux, dégageant son visage et lui embrassa le front : Ne les juge pas trop durement. Ils n'ont pas l'habitude qu'une louve soit aussi dominante que tu l'es. La seule qu'ils avaient connu jusque là c'est Erza, et elle est marié à Jellal.

Lucy : Oui, mais Jellal est son âme-sœur. Ils ne pensent pas que moi aussi je mérite de trouver mon âme-sœur ? Cet imbécile a essayé à de nombreuses reprise de laisser des marques de possessions sur moi ! J'ai pas le droit d'avoir quelqu'un qui m'aime et avec qui je pourrais enfin lâcher la bride à ma louve sans craindre de le faire fuir ? Je devrais me contenter de cet idiot imbu de lui-même et nul au lit ?! Ils ne comprennent pas…

Fried la coupa : Non, ils ne comprennent pas ce que c'est que de vivre perpétuellement avec une louve dans la tête, qui ne se laissera dicter sa conduite pas personne. Elle est constamment sur ses gardes pas vrai ? Mais je suis là maintenant. Je suis désolé d'avoir dû vous abandonner aussi longtemps, mais tu vas pouvoir te reposer réellement. Tu n'auras plus besoin d'être à l'affût du moindre bruit la nuit. Et grâce à notre Alpha, tu vas pouvoir te reposer toute la semaine avec moi.

Lucy soupira, les larmes aux yeux : C'est pas juste, il n'y a qu'avec toi que je peux montrer mon vrai visage. Pourquoi ce n'est pas toi mon âme-sœur ? elle se blotti contre lui, tentant de cacher ses larmes traîtresses qui s'échappaient. Tu m'as tellement manqué.

Fried la serra dans ses bras en lui frottant le dos lentement : Chut, je suis là maintenant et je ne te quitte plus. Je ne suis pas ton âme-sœur, mais je te promet que tu la trouveras un jour. Et en attendant, je serais toujours là pour toi.

Lucy : Je t'aime, tu sais.

Fried : Moi aussi, princesse. Maintenant dors, tu en as besoin. Je vais juste prendre une douche rapide et je revient.

Lucy enleva son pantalon, restant en shorty et brassière, alors que Fried filait dans la salle de bain. Elle s'endormit rapidement au son de l'eau qui coulait. Elle ne l'avouerait peut être jamais à son ami, mais pendant son absence, elle était discrètement venue dormir de nombreuses fois dans sa chambre, pour tenter de se réconforter.

Quand le jeune homme revint dans la pièce, il la vit profondément endormi. Il s'installa doucement sur le lit et contempla son visage marqué par les larmes qu'elle avait versé plus tôt et par la fatigue accumulée.

Fried soupira en lui caressant le visage : Il va falloir que j'ai une conversation avec l'Alpha. Il m'avait promis qu'il prendrait soin de toi pendant mon absence, il n'a pas tenu parole. C'est terminé, la prochaine fois, il devra trouver quelqu'un d'autre. Son rôle à lui est de faire passer les besoins de la meute avant ceux de l'individu, mais pour moi, c'est toi qui passe d'abord. Il s'allongea à ses côtés et la repris dans ses bras. Ma Lucy, si tu savais comme j'ai regretté… Et encore, si je n'avais pas autant saoulé Luxus, nous y serions sans doute encore. Mais soit on passait rapidement à l'action, soit ils se débrouillaient sans moi. Comme je me suis inquiété pour toi quand j'ai appris pour l'ancien Sabertooth. Quand le vieux me l'a dit, j'ai tout de suite compris qu'il devait y avoir un problème. Tu as dû tellement souffrir. Heureusement que tu t'es finalement rapprochée de Gajeel, il a sut te donner le genre de contact dont tu avais besoin et que je ne pouvais t'offrir. Il lui donna un léger baiser. Je ne te quitterais plus, je le jure sur ma vie. Tu sembles si forte que tu intimides les autres, mais tu es en même temps tellement fragile. Je sais que je suis le seul devant qui tu t'abandonnes complètement, mais un jour il faudra que tu leur montres la vraie toi. Pas juste la louve forte et courageuse, mais aussi cette petite fille qui pleure encore le rejet que son père a eu quand il a appris ce qu'elle était. Tu n'es pas un monstre, pas plus que moi. J'irais voir l'Alpha demain, cette situation ne se reproduira pas.

Si Lucy dormait profondément, sa louve, elle, avait été aux aguets jusqu'à ce que le jeune homme revienne et avait ensuite écouté tout ce qu'il avait dit, en émettant une sorte de ronronnement. Elle se sentait bien. Pour la première fois depuis cinq ans, elle pouvait laisser quelqu'un être fort et protecteur envers elle et enfin dormir sur ses deux oreilles. Avec Fried, il n'était pas question de rang dans la meute, il était juste question d'un amour pure et fraternel. Il était le seul être au monde, à part son Alpha, et encore, à qui elle pouvait se livrer entièrement. Même si doucement Gajeel avait su gagner la confiance de Lucy et s'en rapprocher, ce n'était pas pareil. Elle et Fried se connaissaient depuis des années. Elle avait une confiance aveugle en lui et serait prête à tuer pour le protéger. Tout comme lui le ferait pour elle. D'ailleurs, il allait, le lendemain matin, défier l'autorité de son Alpha pour ne plus jamais avoir à la laisser seule.