Prologue

Banlieu de Cardiff 1892

Ils se voyaient tous les deux pour la dernière fois. La faille spatio-temporelle située devant eux ne le leur laisserait que quelques minutes pour faire leurs adieux. Chacun deux le savait, ils ne se retrouveraient pas dans ce siècle. L'un était un homme qui traversait les siècles le célèbre capitaine Jack Harkness. Lautre venait du vingt et unième sicle, il avait donné le nom de Marty Mcfly lors de son apparition par la faille. Mais Jack n'était pas dupe, ce nom n'était que pure invention.

J : Et bien, voilà le temps des adieux.

M : Je sais mais ma place n'est pas ici. Nous le savions depuis le début nous ne sommes pas du mme siècle.

J : Et vous êtes de plus d'une fiddélité qui frise le ridicule.

M : L'amour n'a rien de ridicule quand il frappera votre porte ne le laissez pas filer.

J : Voilà que vous vous prenez pour un pote.

M : Ne jouez pas les cyniques alors qu'il ne nous reste que peu de temps.

J : Vous avez raison. Allez-vous respecter la promesse que vous m'avez faite peu après notre rencontre.

M : Cette promesse ne s'accompagnait elle pas du fait que vous deviez changer.

J son regard se perdant dans le lointain : Vous êtes seul juge qu'en pensez vous ?

M laissant passer quelques instant : Et bien Le fait que vous posiez la question prouve que le changement est en cours mais tout n'est pas encore gagné.

J : C'est un non alors.

M : Qui a dit ça.

Marty l'empoigna et prit avidement sa bouche. Puis partit sans un mot ni un regard en arrirère vers la faille.

J en touchant ses lèvres du bout des doigts: Adieu Marty Mcfly ce fut un honneur qui que tu sois. Sois heureux.

Quelques heures plus tard, Jack se retrouvait dans son bureau, il y trouva une lettre ainsi qu'une boîte àson attention. Il prit un coupe-papier et décacheta l'enveloppe :

Mon cher Jack,

Lorsque vous aurez cette lettre, je serai déjà loin. Les mots s'envolent les écrits restent voilà pourquoi vous trouvez cette lettre.

Vous allez me dire encore des ordres que vous devrez suivre. Je sais, je n'ai fait que cela depuis notre premire rencontre, toujours pour votre bien.

Sachez tout dabord que je suis fier de vous, de ce que vous êtes entrain de devenir. Rassurez vous je ne me targuerai pas de dire que ce changement est lié à ma prsence. En effet, vous aviez déjà initié celui-ci bien avant en aidant le Docteur sauver l'humanité. Alors poursuivez dans cette voie, ne laissez rien ni personne, vous dévier de votre route.

Comme je vous l'ai dit Devenez celui que vous deviez être .

Pour finir, je vous offre cette boîte et son contenu, ils n'apparaîtront qu'en temps voulu alors n'essayez pas de forcer l'ouverture d'ici là.

Votre ami dévoué,

Marty Mcfly

Jack faisant fi des indications de son ami tenta de l"ouvrir reçut une désagrable décharge. Après avoir repris le contrôle de lui-mme.

J regardant le dos de la lettre : Maudit sois tu Marty Mcfly.

Puis il partit dans un éclat de rire. Au dos de la lettre, un mot était ajouté

Post Scriptum : Connaissant votre grande curiosité, jai pris soin d'ajouter un système de sécurité.

Cardiff de nos jours

Comme chaque jour, Ianto était le premier arriv et montait les marches qui menaient au bureau de Jack. Celui-ci semblait concentré sur un papier.

I : Tu es parti bien tôt ce matin.

J : Oui je souhaitais revoir quelques choses.

I : Ce fameux papier que tu tiens à la main. De quoi sagit-il, on dirait une lettre très ancienne vu la couleur.

J : Cest bien cela. Elle a cent quinze ans jour pour jour. Et elle accompagne la boîte que tu vois là.

I : D'où provient elle ?

J : D'un très bon ami.

I jetant un regard jaloux : Ah ! Je vois.

J : Non ce n'est pas ce que tu penses. Nous n'avons jamais été amants. Pas que je ne l'aurai pas voulu. Mais il était déjà en couple et dune fidélité à toute épreuve.

I : Tu as dû en être dérouté, peu de gens te résistent. Quel était le nom de cette exception.

J : Et bien

Il fut sauver par lalarme de la faille et tous deux partirent, en direction des ordinateurs, sans sapercevoir que la boîte s'était mise à briller

A suivre