Auteur : Bloodylove013
Pairing : Harry X Drago (et ouiiiiiii ^^", je retombe du côté yaoiste de la force ^_^)
Disclaimer : Dray n'est toujours pas à moi, bouhahahahahaha T^T !!!!!!! Ni 'Ry d'ailleurs, ni aucun des personnages d'Harry Potter, dont l'univers reste à l'entière propriété de la suprêmement génialissime Rowling. Je ne fais que les lui emprunter pour faire mumuse avec.
Rating : M, parce que je le vaux bien !
Ces salops s'étouffaient, enfin, dans leur propre sang. Il avait réussit, réussit !
Comment un individu ordinaire, même si à ce sujet, tout est relatif, peut-il devenir le pire des assassins ?
Peut-être plus innocent que les autres, le monstre, le démon assoiffé de sang et de haine. Peut-être un ange, perdu dans ce monde dont la logique lui a toujours échappé, qui l'a toujours rejeté. Si naïf à sa manière, malgré le sang sombre et séché sur ses mains ; se braquant, s'isolant, parce qu'il a comprit qu'en tentant de se conformer aux règles, leurs règles, il était devenu comme eux, eux qui sont à présent ses juges. Pire qu'eux ; presque une caricature grotesque, déformant, noircissant à l'extrême les défauts de la société qui l'avait condamné, se les appropriant, les faisant siens, sa marque de fabrique.
Son esprit, sa conscience enfermée, quelque part en lui, dissimulée, comme une réaction instinctive d'autodéfense, pour s'empêcher de sombrer, dans l'inextricable abîme qu'est la folie, comme un oiseau se jetant désespérément contre les barreaux de sa cage, dans le maigre espoir de se libérer, même s'il savait pertinemment que c'était inutile.
Il n'était plus personne. Plus rien ; juste une coquille vide sans importance. D'ailleurs, n'en n'avait-il jamais eut ?
Le monde l'avait abandonné, et lui crachait dessus. Quelque chose, au nom amer de la haine, le dévorait lentement de l'intérieur. Il leur ferait payer, à tous, jusqu'à son dernier souffle.
Mais tout ceci était bien loin à présent…
Il était si fatigué...
Alors, il sauta.
- Par les couilles de Lucifer... HARRY ! TU M'ECOUTES QUAND JE TE PARLES, BORDEL ?
Le dit Harry, Incube de son état, consentit enfin à lever la tête de la boite de beignets qu'il venait de commander, la bouche pleine, débordant de toute part de nourriture, à un tel point qu'on pouvait se demander comment il était démoniaquement possible d'ingurgiter autant de nourriture à la fois. Mais, le plus extraordinaire de tout ça, ce fut qu'il réussisse à émettre, malgré tout, quelques sons, projetant, au passage, des miriades de parcelles de nourritures sur le dossier urgent qu'il était censé étudier, ouvert devant lui, et déjà tâché de chocolat fondu.
- Ch'est à moi que fous barlez, batron ? Réussit alors à dire l'impertinent, honte de tout le peuple démoniaque.
- BIEN SUR QUE C'EST A TOI QUE J'CAUSE, ABRUTI DU TROISIEME CERCLE ! S'égosilla à s'en briser les cordes vocales le Directeur du Département de Régulation du B.F.S.O, le Loup-Garou Sirius Black, en personne. QUEL MOT ES-TU INCAPABLE DE COMPRENDRE DANS " DOCUMENTS IMPORTANTS" ? Ajouta-t-il en désignant du doigt les rapports tâchés de gras, et de chocolat. TU ME VOIS RENDRE CA AU PATRON ?
Un jeune Vampire Sang-Pur, du nom de Blaise Zabini, le tout nouveau adjoint de l'Agent Spécial Harry Potter, lui-même dirigeant la cellule Serpentard, débarqua à cet instant dans le bureau exigu, les bras chargés de dossiers importants à signer, après avoir défoncé la porte d'entrée d'un vigoureux coup de pieds.
Sirius Black sursauta, désarçonné par l'arrivée d'un témoin imprévu dans sa futur tentative de meutre sur la personne d'Harry Potter. Puis il se reprit :
- QU'EST-CE QUE TU VEUX, TOI ? Aboya-t-il à l'encontre du dit Zabini, qui eut un mouvement de recul quand Black se tourna vers lui.
- Euh... Hésita un instant le Vampire, avant d'adresser au Directeur du Département de Régulation un petit sourire crispé. C'est pour les dossiers à signer...
- DE QUOI ? Vociféra le Loup-Garou. TU VEUX DONNER A CE FEIGNANT ENCORE PLUS DE MATERIAUX PRECIEUX A L'ORGANISATION A FLINGUER ?
Blaise, soudain persuadé que son tout premier jour dans le Département de Régulation serait également le dernier, demanda d'une voix faible :
- Alors, qu'est-ce que je fais ?
- TU DECAMPES ! SORS DE CE BUREAU ET APPORTES CES DOSSIERS A UNE PERSONNE COMPETANTE, N'IMPORTE QUI, SAUF CE CRETIN FINI ! FAIS CE POUR QUOI ON TE PAYE ! ALLEZ, OUSTE ! MAGNES-TOI LE TRAIN ! DU VENT !
Blaise décampa sans demander son reste, sidéré de ne pas avoir été viré.
- Enfin, Sirius, tu n'avais pas besoin de lui flanquer une frousse pareille ! Bougonna Harry, qui venait, enfin, d'avaler ce qu'il avait dans la bouche.
- LA FERME ! JE N'EN AI PAS ENCORE FINIT AVEC TOI...
Du côté des box de la cellule Serpentard, tout le monde bouffait de rire. Sirius Black criait si fort qu'il était impossible de ne pas l'entendre. Aussi, lorsque Blaise apparut, il fut salué par une salve d'applaudissements.
Une jolie Fée brune, aux pommettes hautes, le nez légérement retroussé, et aux yeux bleus foncés, l'accueillit :
- Félicitations, te voilà dépucelé !
Elle semblait ravie, totalement indifférente aux vociférations de Sirius Black en fond sonore, indistinctes et vaguement terrifiantes.
- Moi, c'est Pansy Parkinson, sourit la brune. Et toi ?
- Blaise. Blaise Zabini.
- Joli coup ! Dit un Vampire de Classe B, c'est-à-dire, portant en lui, une parcelle de métissage avec des humains, d'une voix sinistre. Je suis Severus Rogue, précisa-t-il en lui tendant la main.
D'une pâleur à faire frémir, il était vêtu en noir de la tête au pieds.
- Enchanté, répondit timidement Blaise en lui serrant la main, après avoir laissé tomber la pile monstrueuse de dossiers urgents à signer sur le sol.
Un Veela, aux yeux en forme d'amandes inversés d'un vert lumineux, à la silhouette filiforme, et, les cheveux d'un blond foncés plaqués en arrière, tendit l'oreille, soupira, puis regarda sa montre.
- Ca va encore prendre des heures ! C'est que je crève la dalle, moi !
- Ce n'est pas encore trop grave, déclara Pansy. Tu te souviens, Theodore, quand il a réussit à réduire une partie du Département des Archives en cendres, parce qu'il avait éteind sa cigarette sur un parchemin vieux de 700 ans ? Là, ça avait vraiment chauffé !
- C'est un vrai débile ce mec, rétorqua le dit Theodore. Je n'arrive toujours pas à croire qu'on l'ait tranféré de la cellule de Gryffondor, pour nous le refourguer ! A la direction de Serpentard, en plus de cela !
- Mr Potter a réduit une partie du Département des Archives en cendres ? S'exclama Blaise d'une voix horrifiée.
- C'est exactement ce que je dis ! Répondit Theodore, avec fureur. Quoique le Monsieur était peut-être de trop...
- A mon humble avis, intervient Severus, je pense que cette chère Minerva ait tenté de se débarasser ce danger public, tout en, pour faire une pierre deux coups, sabordant notre noble cellule...
-Mouais, fit alors Pansy, ça se tient. Cette vieille Harpie n'a jamais digéré que Serpentard ait été décoré de la Croix Inversée par Dumbledore.
- J'ai toujours su qu'elle nous le ferait payer un jour ou l'autre, affirma le Vampire de Classe B. Mais, quand même, aller jusqu'à recommander Potter à la direction de Serpentard, ça dépasse toutes les limites permises de la cruauté !
- J'ai faim, répéta Theodore.
Au même instant, la porte du bureau de Potter s'ouvrit, et le désastre ambulant sortit la tête, et leur lança :
- Hé, les gars, il semblerait qu'il y en ait encore pour un moment. Je vous rejoins à la cafétéria !
- FERME CETTE PUTAIN DE PORTE ! Hurla Sirius Black derrière lui. JE N'AI PAS ENCORE TERMINE !
La porte se referma en claquant.
Il avait mal. Horriblement mal. Même s'il ne sentait plus sa nuque. Même s'il ne sentait plus rien en dessous de son bassin. Ses jambes, réduies en bouillie par l'impact, s'étaient entrelacées, comme une natte de petite fille. Il émit une sorte de chuintement puis commença à paniquer, sentant qu'il était en train de se noyer dans son propre sang. Il ne pouvait plus respirer. Il allait s'étouffer. Pourquoi le choc, l'impact de son corps sur le sol après une chute de plus de treize étages ne l'avait pas tué sur le coup ?
Pourquoi ? Pourquoi...
Il avait violemment heurté les vélos parqués dans la cour de l'immeuble, avant de rebondir sur l'asphalte.
Il entendait, vaguement, des gens crier, hurler tout autour de lui. Leur longue plainte sourde se mouvant en un hurlement de terreur qui lui agressait ce qui lui restait de tympans.
La ferme !
Ses traits distingués étaient froissés par la douleur. Son corps crachait des jets de sang en spasmes rythmés. La douleur physique était atroce. Pourtant, la mort ne venait toujours pas, comme si le Faucheuse prenait un malin plaisir à le laisser mourir lentement, pour lui permettre de ressentir, à chaque seconde, ce qu'il avait fait souffrir à ces victimes.
Il avait mal...
- Drago Malfoy, dit Sirius Black, en déposant précotieusement un dossier, après avoir viré du plat de sa main, tout ce qui n'avait rien avoir avec le travail de bureau, sur le meuble de bois de cerisier. Un Semi-Démon, précisa-t-il.
Dans le bureau du Directeur de Serpentard, le Directeur du Département de Régulation venait de finir son harangue, renonçant à la fin de son sermon après s'être brisée la voix. Ainsi, après une longue quinte de toux, Sirius, presque devenu aphone, dû se résoudre à ne parler que du pourquoi il avait dû se déplacer chez les Serpentards, au départ.
Harry se mit à feuilleter, d'un air absent, le dossier aux pages plastifiées, tout en se maudissant intérieurement d'avoir accepté de remplacer le vieux Horace Slughorn, au départ en retraite de celui-ci, au poste de Directeur de Serpentard. Une photographie aggrafé sur la première page du dossier attira son attention : un jeune adolescent, aux cheveux blonds d'une pâleur lunaire, presque surnaturelle, ce qui, après réflexion, était sûrement le cas, coupés dans la nuque, au teint laiteux, aux yeux gris pâles étirés vers les tempes, et aux traits aristocratiques, le fixait avec malvéillance.
Bon, d'accord, ce n'était qu'une photo ; il n'empêche qu'il n'aimait pas la manière qu'avait ce type de le regarder.
Voyant le peu d'intérêt que semblait susciter cette affaire chez son subordonné, le Directeur du Département de Régulation précisa, du bout des lèvres :
- D'après nos sources, ce garçon aurait pour père un Shinigami...
Harry tiqua. Son visage, quittant enfin son expression m'en-foutiste, s'assombrit brusquement.
La situation était grave.
Blaise, Pansy, Severus et Theodore descendirent dans le restaurant du Bureau Fédéral de Sécurité d'Outremonde, discutant tranquillement dans l'escalier. A l'entrée de la salle, chacun prit un plateau couleur bordeau en fibres de verre et se glissa dans la queue remplie de superviseurs, de secrétaires, d'analystes et d'agents de tous âges, et de toutes races. Blaise crut même apercevoir un Troll.
Blaise commanda un pichet remplit à raz-bord de sang frais à la réserve, si bien qu'il fut le dernier membre de Serpentard à arriver à la caisse. Une fois qu'il eut payé, il balaya la salle du regard, cherchant ses nouveaux collègues des yeux. Il s'avança jusqu'au milieu de la salle, regardant autour de lui.
Pas la moindre trace des membres de Serpentard.
Au bout de quelques secondes, il finit par se résigner à l'idée de manger tout seul. Il se mit donc à la recherche d'une place discrète, peut-être près de ce groupe de vieux comptables Gobelins ? Il fit un pas dans leur direction...
- Hey ! dit Pansy, en lui expédiant un vigoureux coup de coude dans les côtes.
- Hmm ? Fit Blaise, surprit, ayant manqué de lâcher son plateau sous le choc.
- On est assis là-bas, précisa-t-elle en lui indiquant de la main une table au loin.
Elle y avait déjà déposé son plateau avant de revenir le rechercher.
Il la suivit, et ils rejoignirent Severus et Theodore.
Une fois assit, Blaise remarqua que Severus s'était contenté de commander de la nourriture normale. Enfin, de la nourriture normale pour un Être Humain. Mais plutôt inhabituel pour un Vampire, par sa totale absence de sang, Humain ou animal. Il se contentait... D'une salade ! Cela s'expliquait sans doute par le fait que Severus était à moitié humain, mais quand même... Cela restait plutôt surprenant !
A cet instant précis, alors qu'il venait à peine de s'asseoir, une petite sonnerie stridente retentit. Severus sortit un minuscule bipeur de sa poche, avant de froncer les sourcils :
- Nan, mais je rêve ! Marmonna-t-il, en le remettant dans sa poche.
- Quoi ? Demanda Pansy, tout en s'acharnant à découper avec son couteau la gigantesque tentacule d'Être de l'Eau qu'elle avait commandé. Qu'est-ce qui se passe ? ' Y a un problème ?
- Notre Bien-Aimé patron nous convoque de suite dans son bureau...
- Qu'il aille se faire foutre ! Coupa aussitôt Theodore. Même Lucifer en personne ne me fera pas sauter ma pause déjeuner !
- Tout de suite, j'ai dis ! Insista Severus de sa voix éternellement sinistre, mais cette fois aux intonations vaguement menaçantes. Ce givré est la premier à reconnaitre la sacralité de la bouffe ; donc, s'il nous convoque, de lui-même, en pleine pause déjeuner plutôt que se remplir l'estomac...
Pansy, et Theodore échangèrent un regard. Et, dans un mouvement parfaitement synchronisé, tous les trois se levèrent.
- Quoi ? Déjà ? Demanda Blaise. Mais j'ai pas encore fini de...
- Comme nous tous, répliqua Theodore, avant de l'attraper violemment par le col, pour le tirer derrière lui. Alors, ramènes tes fesses, le nouveau !
Trente minutes plus tard, ils étaient tous les cinq dans une Ford Taurus verte, la voiture de fonction déléguée à la cellule Serpentard. Après une discussion plutôt musclée, et surtout après avoir manqué de se faire égorger par Severus, Harry avait finit par renoncer, au grand soulagement de ses subordonnés, à prendre le volant.
Blaise finit par sortir de sa contemplation de la route défilant devant lui, et finit par poser la question qui lui brûlait les lèvres, brisant ainsi le silence mortuaire qui s'était installé :
- Euh... Qu'est-ce qu'on censé faire exactement ?
- Supprimer un foutu Semi-Shinigami, répondit, magnanime, Theodore, avant de vociférer : T'as pas écouté ce qu'on a dit tout à l'heure ou quoi ?
- Si, si... Mais, le truc que je n'arrive pas à comprendre, c'est... Euh... C'est quoi, au fait, un Shinigami ?
Il y eut un silence stupéfait.
- T'es sûr que t'as fais tes classes, toi ? Demanda Theodore, d'un ton suspicieux.
- Suffit, Nott ! Siffla Harry.
Il se tourna vers son nouvel adjoint, avant de lui dire, d'un ton apaisant, avec un sourire presque radieux :
- C'est vrai qu'on n'a pas pensé à t'expliquer, désolé. C'est vrai, on aurait dû : après tout, tu es tout nouveau, et tu n'es âgé que d'une cinquantaine d'années : tu n'as pas pu donc entendre parler, de près ou de loin, de ce qu'est un Shinigami, ni de ce qu'ils sont capables de faire...
Blaise ne répondit rien, et attendit la suite.
- Il y a près de trois siècles, alors que j'étais encore tout nouveau dans l'Agence, les Shinigamis pullulaient. Comme tu le sais, les peuples démoniaques ont signé avec les Humains le Traîté de Pragues en 1413, mettant fin à plus de 700 ans de guerre. De notre côté, pour nous mettre à l'abri de tout nouveau conflit avec les Humains, nos espèces ont décidé de vivre cachés, en parallèle de l'Humanité. Mais certains d'entre nous se satisfaisaient fort bien de la Guerre, et ne pouvaient accepter, un seul instant, qu'elle prenne fin...
- Les Shinigamis, complèta Blaise dans un souffle.
- Ouais, continua Harry. Ces... Parasites sont, normalement, à la base, les seuls d'entre nous, à pouvoir mourir de vieillesse. Et c'était une chose qu'ils n'ont jamais pu supporter. Jusqu'aller vampiriser -pardonne-moi de cette expression mais j'en vois pas d'autre, l'espérance de vie des Humains qu'ils massacraient.
Devant le regard interrogatif du Vampire de Sang-Pur, Harry poussa un soupir, avant de préciser :
- La date de décès de chaque Être Humain, tout comme pour chaque Démon, est prévue dès sa conception par Ceux d'En Haut... Les Shinigamis ont réussit, et on ignore toujours comment, à récupérer l'espérance de vie restante aux Humains qu'ils tuaient, cumulant avec leurs victimes, une espérance de vie de plus en plus importante, jusqu'à devenir immortels, jusqu'à commettre des massacres au-delà de l'immaginable. Comme tu peux l'imaginer, de tels êtres représentaient une véritable menace pour le Traîté de Pragues, et le paix établie entre le monde des Humains, et le nôtre... Nous les avons donc pourchassé, et massacré. D'après les registres, le dernier d'entre eux, Lucius Malfoy, a été abattu en 1980.
- Et alors ?
- Et alors, il semblerait que cet enfant de pute ait réussit à procréer avant de crever ! Cracha Harry avec une hargne qu'on ne lui connaissait pas. Et, comme il n'y avait plus aucune femelle de sa propre espèce encore en vie, il s'est croisé avec une Humaine !
- Vous voulez dire que... Ce gosse... ?
- Exactement ! Acquiesta Pansy. Ce cher -comment s'appelle-t-il déjà, ah, oui, Drago Malfoy semble avoir hérité des instincts sanguinaires de son cher papa. A 16 ans et des poussières, ce cher petit a déjà sur le dos le meutre de sa propre mère, de son beau-père, de trois de ses professeurs, et de quinze de ces camarades de classe ! Joli carton !
- Mais, je doute que ça soit pour les mêmes raisons que son regretté paternel, répondit Severus de son éternelle voix de croquemort, sinon il n'aurait pas tenté de se suicider juste après. Quoi qu'il en soit, aux vues de son ascendance, la hiérarchie pense que le plus sage, pour la paix, serait de le supprimer, purement et simplement.
P'tit sondage : cette fanfic vaut-elle la peine d'être continué ? Si oui, tapez 1. Si non, tapez 0. Dans tous les cas, une review ?
