Hello tout le monde!

Voici ma nouvelle fic' NCIS 8 ) Et voici mon disclamer:

Je ne possède pas NCIS 8 ( ni les personnages re- 8 ( et je ne gagne pas d'argent dessus ( seulement des simflouz ) . Wala.

Buenas Lecturas:

Mardi 2 novembre 2010, il faisait froid et gris, ce temps triste se reflétait sur l'humeur de l'équipe de Gibbs. De plus, ils étaient assis à leur bureau depuis leur arrivée, tôt ce matin.

L'étage grouillait de bruits en toutes sortes, les clics des souris, le claquement des touches des claviers, de lointaines paroles... Dans l'espace "Gibbs", peu de mots avaient étés prononcés durant les dernières heures. Le moral de l'équipe était au plus bas, la dernière enquête avait échouée, après deux mois d'investigations, elle n'était plus qu'un carton aux archives, non-classée.

La pause de midi approchant dangereusement, trois des agents s'attendaient à voir Tony se lever d'un bond et proposer aux autres d'aller se restaurer au bistrot d'en face, comme d'habitude.

Celui-ci n'en fit rien, toujours plongé dans ce rapport vieux de quelques mois qu'il fallait corriger et retaper sur ce foutu ordinateur.

Cela faisait au moins trois fois que la machine lui annonçait un message d'erreur sans queue ni tête. Mc Gee avait bien essayé d'arranger les choses mais rien n'y faisait, elle était trop vieille, il allait falloir attendre que celui qui s'occupait de cela la remplace par une nouvelle machine. Bref, tout était fait en ce jour pour que Tony soit de mauvaise humeur.

Lassée d'attendre et surtout morte de faim, Ziva leva la tête et lança à qui voulait bien l'entendre qu'elle partait déjeuner en face et qui l'aimait pouvait la suivre.

Mc Gee et Gibbs répondirent positivement à cette invitation, aussi rare soit-il que Gibbs déjeune avec ses agents. Ziva dut hausser la voie sur Tony pour qu'il daigne lui répondre que non, il ne viendrait pas, il avait une affaire à finir en ville. Quelques peu étonnés, les trois autres ne cherchèrent pas à savoir ce que cela pouvait être, l'agent sénior étant de trop mauvais poil.

Avant que l'équipe ne disparaisse dans l'ascenseur, Gibbs jeta un coup d'œil à Tony. Celui-ci le préoccupait quelques peu ces derniers temps. De loin, il le vit poser sa tête au creux de ses mains, les coudes sur son bureau. L'italien se passa alors les mains dans les cheveux accompagné de ce qui semblait être un profond soupir. Les portes de l'ascenseur se refermèrent sur un Tony soucieux.

Ce dernier, depuis quelques mois, disparaissait assez vite du boulot, dès qu'il avait finit son travail et passait du temps au téléphone. Mc Gee, Ziva et Abby étaient presque sûrs qu'il s'agissait d'une petite-amie mais Tony était plus distant, grognon, souvent de mauvaise humeur et en avance le matin, qu'auparavant.

La pause de midi se déroula comme tant d'autres, les trois agents bavardant de tout sans se préoccuper du temps qu'ils prenaient à manger. Après tout, le seul qui pouvait leur faire des reproches était parmi eux.

Au bout d'une heure, Gibbs reçu un message de la part de Tony: "Je reviendrais avec du retard, je pense pas être là avant 14h30. Un truc important à faire."

En lisant ce message, Gibbs ne pu s'empêcher de lâcher un "c'est pas vrai", grommelé entre ses dents, animant la curiosité de ses partenaires.

-Quelque chose ne va pas? demanda Ziva.

-C'est Tony, il vient de me prévenir qu'il sera en retard.

-Il ne changera jamais, Boss. tenta t-elle.

-J'espère. soupira le patron.

Mc Gee sembla hésiter à dire quelque chose. Ne trouvant pas le regard de sa coéquipière pour une sorte d'approbation, il se lança:

-Patron, je sais pas si vous avez remarqué mais il est assez différent ces temps-ci...se stoppa -il, attendant une réaction de son Boss.

-Continuez Mc Gee.

-Il... Je sais pas trop comment dire mais... Il me semble plus distant et souvent de mauvaise humeur...

La phrase resta en suspend. Ziva le fusillait du regard et Gibbs attendait la suite. Très peu sûr de lui, il tenta de retomber sur ses pieds:

-Il est pas comme avant...

-Comme avant quoi? demanda Gibbs.

-Ben... je sais pas... Timothy commençait à bafouiller, Ziva lui vint en aide:

-Ça fait plusieurs mois je dirais, au départ on à pensé qu'il avait une petite amie mais vu son humeur, je ne pense pas.

-Une idée en tête Ziva?

-Pour moi, je ne sais pas ce que vous en pensez mais tel qu'il passe de la super - elle fit de grands gestes pour illustrer ses propos - bonne humeur à la grosse déprime, je dirais bien qu'il est tombé sur une fille qui amène les ennuis.

-Je vais essayer de lui en toucher quelques mots.

Il y eut un petit silence puis Gibbs reprit avec un petit sourire en coin:

-Mais ne pensez pas que c'est mon genre de faire la commère compris?

Il acquiescèrent tous les deux avec un grand sourire.

-Abby est aussi au courant et elle s'inquiète beaucoup. reprit plus sérieusement Mc Gee.

Plus tard, ils rejoignirent les bureaux tranquillement, ne repensant plus tellement à leur conversation. Pourtant, dès leur arrivée dans l'open-space, Gibbs partit voir Abby.

-Hey grand manitou! s'exclama la laborantine.

-Ça va? demanda t-il, plein de sincérité.

-Très bien! Enfin moins bien qu'avant que je m'aperçoive que tu n'a pas mon caf-pow...

Elle croisa les bras et prit une posture de gamine effrontée.

-Tu l'auras plus tard, il faut que je te parle.

-De Tony?

-Tu as remarqué quelque chose de plus que ça mauvaise et "super bonne" humeur? demanda t-il en mimant les paroles de Ziva.

-Il vient me voir beaucoup moins souvent. En fait, il vient plus que pour les enquêtes.

-Il ne t'a rien dit?

-Ho non! Tu connais Tony, il ne parle de sa vie privée que lorsqu'il s'agit de filles bien roulées.

-Ouais... soupira t-il. Je vais essayer de lui parler quand il reviendra, je te tiens au courant.

-Merci.

-Je t'amène ton caf-pow dans une demi-heure.

Il la quitta et se dirigea immédiatement vers l'ascenseur, direction l'open-space. Tony était arrivé, le calme avait reprit sa place.
Gibbs décida qu'il attendrait que son agent sénior parte pour lui en toucher quelques mots.

Trois cafés, deux rapports terminés et une visite chez le directeur plus tard, Mc Gee et Ziva prirent congés, il ne restait plus que Gibbs et Tony aux bureaux.

-Tony, tu peux y aller si tu veux.

-Je finis mon rapport, j'en ai pour une demi-heure.répondit-il un peu sèchement, plus qu'il ne l'aurait voulu certainement.

Gibbs se leva, fit le tour de son bureau pour se poster devant celui de son subordonné. Ce dernier leva la tête.

-Quelque chose ne va pas?

-Comment ça?

-Ça fait quelques temps que tu n'a pas l'air dans ton assiette.

-Ouais... -il soupira- Écoute, c'est pas grand chose, je suis assez fatigué en ce moment, j'ai un pote qui est dans le pétrin, des problèmes avec un sale type qui à essayé de l'arnaquer. Il voulais pas aller voir la police, parce qu'il n'est pas tout blanc dans l'histoire mais on y est allés ce midi. Ça s'est plutôt bien passé... conclut-il.

-Tu me tient au courant si tu as besoin d'aide.

-Ok merci.

Vendredi 5 novembre 2010, le temps ne s'était pas amélioré.

A 9h30, l'équipe, incluant Gibbs, commençait à s'inquiéter un peu. Cela faisait plus de cinq moi que Tony arrivait à l'heure sinon en avance et là, quelques jours après avoir parlé avec Gibbs, il était en retard de plus d'une heure et demie. Gibbs passa un dernier coup de fil sur tous les téléphones connus de son agent, laissant un message à chaque fois. Il se dit alors que si à 10heures, l'italien n'avait pas laissé de message ou qu'il n'avait pas passé les portes de l'ascenseur, il demanderait à Mc Gee de le localiser.

Il n'eut heureusement pas à le faire, Tony arriva dans l'open-space quelques minutes plus tard. Malheureusement, celui-ci avait une vilaine cicatrice sur le haut du front, à droite et le bras gauche en écharpe. Il avait vraiment mauvaise mine. Ses coéquipiers le regardaient, interrogatifs. Il posa son sac nerveusement et se retourna vers ses partenaires. Enfin surtout vers Gibbs.

-Faut que je te parle.


Ça vous à plu hein? Dites ouiiii 8 D

Mais surtout pensez au guide, laissez de la monnaie... heu... un commentaire ^^