Poeme

The wind lovers

Il fût un temps,

Où le vent

Aidait le corbeau,

à voler tout là-haut,

Mais ne voulant être pris pour un moineau,

Il s'envola, loin, très loin là-bas

Le vent ainsi abandonné,

s'est laissé aller,

Tornade,rafale,

on fait bien du mal.

Sans l'être aimé,

on se laisse souvent aller,

car on ne peut l'oublier.

Mais un jour, un autre corbeau,

deviendra son tourteau.

Il deviendra l'être aimé,

mais lui saura rester.

Le protéger et l'aimer,

seront devenus ses priorités.