Bon, pour une fois ce n'est pas un one-shot.

Je vais mettre les choses au clair (petits spoilers mais nécessaire à lire pour ne pas être perdu): ici, la magie n'existe pas. L'histoire se passe dans le moyen âge de notre monde. Les vallites n'existent pas non plus (donc pas de Corrin ou de Azura, désolé). Katerina, Ikona, Sumeragi et Garon sont encore vivants. Il n'y a pas d'Anankos donc Garon est gentils. Nohr, c'est la France (oui, j'ai découvert récemment que Nohr était principalement inspiré de la France alors que je croyais que c'était l'Allemagne, ce fut un choc...) et Hoshido, le Japon.

Le prologue est écrit au passé/troisième personne mais les chapitres seront au présent/première personne.


Dans cette triste ère qu'est l'époque médiévale, au centre d'une petite ville française, trônait un château. Ce dernier appartenait au seigneur Garon, un vieil homme dont les nerfs commençaient à céder. La cause ? Et bien le seigneur, qui était marié à une femme pleine de charisme nommée Katerina, possédait de nombreuses concubines. Évidemment, il avait finit par avoir beaucoup d'enfants. Malheureusement, une grande majorité de ces jeunes gens perdit la vie lors des guerres ou des attentats inter-familiaux (chacune des concubines souhaitaient que leur enfant obtienne le trône et mettaient en place des stratagèmes terribles). Au final, seuls quatre enfants ont survécu. Deux garçons et deux filles.

Un jour, Katerina tomba grièvement malade et Garon, au summum de son désespoir, décida de partir en quête d'une terre où la médecine était, disait-on, miraculeuse et pouvait guérir sa femme. Pour cela, il fit préparer une caravelle et y embarqua avec sa famille et un morceau de son armée. Ne voulant pas que son départ se sache dans le royaume, il n'employa aucun marin. Il préférait compter sur Arthur, soldat d'origine normande, plutôt que sur un soit-disant capitaine apte à le trahir contre un peu d'argent.

La traversée se déroula sans encombre jusqu'à ce que la malchance rattrapa le pauvre infortuné servant de capitaine; alors qu'il voulut jeter un coup d'œil à la carte, cette dernière s'envola, laissant l'équipage dans le désarroi. Le normand n'osa plus toucher à quoi que ce soit, si bien que le navire dériva, porté par les vagues. La misère commença et les vivres se firent de plus en plus rares. Katerina s'affaiblissait incroyablement vite, entraînant son mari dans la dépression. Au bout du troisième jour après l'incident, un cri perça le silence s'étant répandu sur ce triste spectacle: "Oh mon dieu, le destin nous a sourit et a placé une terre sainte sur la route de notre épopée !

La plupart des passagers ne comprenaient pas. Certain se demandèrent si l'homme ayant crié était aux seuil de la mort et entrevoyait le paradis. Puis un autre cri retentit: "Terre ! Terre droit devant !"

Des hurlements de joie résonnèrent de toute part. Le seigneur fit un signe de prière et remercia son dieu d'avoir été si clément.

Le bateau faisait maintenant cap sur la terre qui se découpait dans l'horizon.


Ceci est juste le prologue, donc il est court, c'est normal...

J'aime avoir des commentaires, alors ne vous retenez pas !