Hello tout le monde. Donc voici ma première fic sur le fandom Harry Potter.
Bien que j'ai trouvé une Bêta qui a la gentillesse de me relire et de me donner ses impressions, j'aimerai savoir si avec ce prologue vous aimeriez lire la suite.
Petit rappel obligatoire: Rien ne m'appartient, tout est a JK Rowling sauf l'histoire de la fic.
Ceci est une fic YAOI donc Couple Homosexuel. Pour ceux et celles qui n'aiment pas je vous pris de passer votre chemin.
Je vous laisse à votre lecture.
Bises.
PROLOGUE
Je me trouvais dans cette caverne, sombre et humide depuis maintenant plus d'une heure. Depuis qu'un sombre crétin a décidé de se faire passer pour l'héritier de Voldemort, je me retrouve à courir comme au temps de la seconde guerre. En tant que chef des Aurores et commandant de l'unité Shadow, c'est ce que l'on attend de moi, mais je suis plus que fatigué. Depuis quelques temps, quand je fais le bilan de ma vie depuis la fin de la guerre, je me rends compte que j'ai toujours vécu pour les autres. Enfant je vivais pour les Dursley, adolescent c'était pour mes amis. Puis il y a eu la prophétie. A partir de ce moment j'ai vécu pour le monde sorcier. Même quand la guerre c'est fini, j'ai continué dans la voix que les autres avaient tracée pour moi. Fils d'Auror, je devins Auror à mon tour. Orphelin, je m'installe avec mon amour de jeunesse qui ne restera que de jeunesse. Mais il ne faut pas faire de vague. Il faut toujours coller à l'étiquette que les gens ont mise sur moi. Au final me voilà cinquantenaire et ma vie n'est faite que de regret.
Mais qu'est ce qui m'a pris de le suivre seul. Pourtant je le savais, je ne suis plus un débutant. Je me suis encore comporté comme un parfait Gryffondor et j'ai foncé sans réfléchir. A vrai dire, si je meure aujourd'hui cela n'aura pas une grande importance. Au final ma vie n'a été que mensonge. Si une vie existe après la mort, peut-être sera-t-elle plus douce.
J'entends des bruits de pas. Il est sur ma droite. Je le suis. Il fait très sombre mais j'arrive tout de même à distinguer une vaste salle circulaire. Il se tient au centre, les bras ouvert en croix. Je l'entends psalmodier dans une langue inconnue.
« Tu devrais laisser tomber. Les ténèbres ne t'apporteront que la mort et la solitude. Crois moi, tu es trop jeune pour vivre cela. »
Il continue son incantation et je découvre qu'il est au centre d'un cercle runique. Plus sa voix devient forte plus les runes s'illuminent. Je commence à avoir peur de ce qu'il fabrique. Comprenant qu'il ne m'écoutera pas plus je lui lance un sort de découpe. Cela le déstabilise assez pour qu'il se décale mais il continue de psalmodier. Nous entamons un duel comme je n'en ai plus fait depuis que Voldemort est mort. Soit le gamin en face de moi est doué, soit je me ramollie. J'espère juste que c'est moi et pas le gosse qui est d'une puissance incroyable. Les sorts s'enchainent. Bien que la fatigue commence à se faire sentir des deux cotés. L'expérience et l'entrainement font que je reprends tout de même l'avantage. J'avais toujours pensé que l'Avada Kedavra était le sort le plus dangereux, mais ma formation d'Auror et la création de la section élite m'ont fait réviser mon jugement. Même dans la magie dite blanche j'ai trouvé parfois des sortilèges pouvant torturer plus gravement et à vie qu'un simple Doloris. Et me voilà debout devant lui. Il ne saigne pas mais son corps de bouge plus. Le sort afflictus est un sort de magie blanche, mais il fait pourtant des dégâts monstrueux. Comme son nom l'indique le jeune homme à mes pieds a eu le cœur brise, ou plutôt explosé. Le sang se solidifie et explose à l 'intérieur du sujet. Moi par contre j'ai l'arcade sourcilière fendue et un sort de découpe m'a fait une belle entaille sur le bras gauche. Alors que je le regarde et me dit que la folie des hommes ne s'arrêtera jamais, je m'aperçois que les runes ont réagis à mon sang que lorsqu'un halo lumineux m'entour. Je vais enfin les retrouver. A mon tour j'accueille la mort comme une vielle amie. Ma dernière pensée est pour elle. « Te voilà enfin. Tu en auras mis du temps.»
PAR LES COUILLES DESSÉCHÉ DE MERLIN ! DANS QUELLE BOUSE DE DRAGON J'ME SUIS ENCORE FOUTU-